Voilà bientôt 3 ans que ce que l’on a appelé Sex Fever ou SF en abrégé s’est répandu à travers le monde, entraînant la fin de la civilisation telle qu’on la connaissait à l’époque… J’entends en ce moment même dans le garage à côté de la pièce où je suis les membres de mon groupe qui sont en train de céder une nouvelle fois à cette fièvre sexuelle, j’entends leurs cris, j’entends les bruits mouillés des orifices pénétrés par les sexes ou autres, j’entends leurs appels à les rejoindre, je sens les effluves du sexe venir jusqu’à moi…
Mon érection est dure comme du bois, je me masse continuellement le sexe à travers mon pantalon bien que j’essaie de résister, mais je veux continuer ce journal, pour que, si un jour, quelqu’un le lit, qu’il sache par quoi nous sommes passés, à quoi nous avons dû faire face pour peut-être retrouver un semblant de civilisation !
Les cris, les cris de jouissance pénètrent dans ma tête, mes narines sont saturées des odeurs de sperme et de mouille venant de la pièce, ma bite me fait mal, tellement elle est dure, je ne peux plus, je ne peux plus, ma tête tourne, la fièvre monte, je dois y aller, je dois y aller, je dois y aller…
J’enlève mes vêtements, je les arrache plutôt, ma queue est dure, mon gland est écarlate, avec une goutte déjà au bout, tellement l’excitation est intense, je me rue dans le garage où le reste du groupe a installé des matelas et des bâches par terre, et je les vois en train de se tordre dans les spasmes de la jouissance.
Je vois Margot, une petite blonde avec un joli visage rond encadré par deux couettes, des seins énormes et un peu mous et un cul à l’avenant en train de chevaucher Vincent, un ancien athlète de gym, pas très grand et bien musclé, brun et un visage aux traits assez fins. Sa chatte sans poils dégouline sur la queue de Vincent lorsqu’elle ressort, des traces crémeuses le long de la bite montrant assez clairement le plaisir qu’elle prend à ces allées et venues. Son visage est rouge, congestionné, tellement elle met du cur à se faire démonter par Vincent !
Je vois Sandrine, une petite blonde platine aux cheveux coupés courts, avec de gros seins (moins que Margot, mais néanmoins très respectables) à quatre pattes en train de se faire baiser par Fred, informaticien dans l’Ancien Monde, mais qui faisait beaucoup de course à pied, et qui a gardé sa ligne svelte. Fred la baise intensément, en se concentrant sur ce qu’il fait. Sa grosse queue sort du sexe de Sandrine, presque totalement, et il la renfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles qui claquent sur le haut de ses cuisses. La chatte de Sandrine dégouline, des petites éclaboussures giclent à chaque fois que Fred rentre sa queue jusqu’au bout, Sandrine ahane à chaque fois que le gland percute le fond de sa chatte.
Pendant ce temps, Elise, la plus jeune du groupe, une grande brune avec également une jolie paire de seins, regarde avec des yeux un peu hagards les deux couples en train de forniquer. Elle balbutie : Aah les salauds et les salopes, ils baisent, ils baisent, j’ai envie aussi, moi aussi je veux me faire baiser !. Une de ses mains triture son gros clitoris, avec son autre main, elle est en train de s’enfoncer quatre doigts dans sa large chatte glabre, elle les fait entrer et sortir, ils sont luisants de mouille. Elle sort ses doigts, les lèche avec gourmandises, et les réintroduit violemment dans sa chatte sans précaution. Au bout de deux ou trois allers-retours, je la vois replier son pouce à l’intérieur de la main, et je l’entends marmonner Mmh oui, il faut bien la main pour ma grosse chatte de salope, et commence aussitôt à s’introduire la pointe ainsi formée dans son sexe trempé.
Elle commence à pousser ses doigts au fond de sa chatte, fait une pause au moment de passer la partie la plus large de la main, et pousse un dernier coup en gueulant : Haaan, ça y est, elle est dedans !. Elle a toujours été la plus souple, et je vois ses gros seins comprimés entre ses deux bras. Elle continue de triturer son clito qui ressemble maintenant à une petite saucisse, tellement il est raide, et je vois les tendons du poignet de la main enfoncée dans son sexe qui bougent, je devine qu’elle fait bouger ses doigts dans son sexe.
Enfin, dans un recoin de la pièce, je vois Stéphanie, ma cousine, une brune de taille moyenne, avec une petite poitrine toute plate, mais un joli cul, qui chevauche Christian en lui tournant le dos. Christian est allongé et profite des montées et descentes de Steph sur sa queue, et en regardant mieux, je vois que la bite de Christian est en train de lui dilater l’anus, Stéphanie a toujours beaucoup apprécié le sexe anal, la queue coulisse sans effort, elle se triture ses tétons, qu’elle a très sensibles.
Après avoir embrassé ce spectacle d’un coup d’il, mon excitation est à son comble, je m’approche d’Elise qui, toute à son auto-fisting, ne m’avait pas encore remarqué. Lorsqu’elle voit mon gland devant ses yeux, un petit gémissement d’excitation lui échappe, elle arrête de se caresse le clito pour empoigner ma queue, et l’enfourner dans sa bouche. Sa bouche est un four chaud et gluant, elle se met aussitôt à saliver, et à la recouvrir de bave épaisse, tandis qu’elle l’avale jusqu’aux couilles, qu’elle lèche du bout de sa langue. C’est une suceuse hors pair, elle l’a déjà prouvé à d’innombrables reprises, elle le confirme une fois de plus !
Pris par la frénésie sexuelle du groupe, je prends sa tête entre mes mains, et commence à utiliser sa bouche comme un vagin, en lui enfonçant ma queue jusque dans la gorge, et en la faisant ressortir. La bave d’Elise dégouline sur ma queue, mes couilles, et le haut de mes cuisses, des filets de bave relient mon sexe à sa bouche. Pendant ce temps, Elise a toujours la main entière dans son sexe, ses yeux roulent, tellement elle est excitée, elle émet des onomatopées dont je devine vaguement le sens.
Au bout d’un moment, je retire mon sexe de sa bouche, et lui demande :
Tu disais ?
J’ai envie… que tu… me baises ! me répond-elle entre 2 spasmes liés aux mouvements de sa main dans son sexe.
Ah, il suffit de demande, mets-toi à quatre pattes !
Elise se retourne alors, et se met à quatre pattes, sans sortir sa main de son sexe.
On passe par-derrière dans ce cas, si tu ne retires pas ta main ! lui dis-je.
Vas-y, oui, encule-moi, défonce-moi… le cul comme… une chienne !
Ma queue, dégoulinant toujours de salive, est suffisamment lubrifiée, et sachant qu’Elise était une pro de la sodomie, je n’ai donc pas de scrupule à approcher mon gland de son petit trou… A peine celui-ci était posé sur son sphincter qu’elle recule un grand coup, et que son cul avale sans frémir la moitié de ma queue ! En même temps, sa main s’agitant dans sa chatte me procure des sensations ô combien excitantes, comme ci son cul me massait la bite ! Je ne retiens qu’à grand-peine d’éjaculer tout de suite, tellement la sensation est terriblement sensuelle et excitante. J’y parviens et commence à pénétrer plus à fond son conduit doux et brûlant. Au bout de quelques minutes à ce rythme, je sens des contractions survenir chez Elise, signe d’une jouissance en cours. Elle halète rapidement, gémit et ressort sa main de sa chatte avec un bruit mouillé des plus érotiques.
J’en profite pour sortir ma queue de son cul, elle est salie par la sodomie profonde avec quelques traces brunes le long de la tige. Elise, encore à moitié abrutie par sa jouissance, ne réagit pas quand je la contourne et lui présente mon sexe souillé. Je force un peu ses lèvres avec mon gland, elle retrouve ses réflexes de suceuse, et se met à téter doucement mon sexe. Je pénètre petit à petit sa bouche avec ma queue, et commence à me la faire nettoyer grâce à ses lèvres qui encerclent parfaitement ma tige ! Cela ne la rebute pas puisque petit à petit, elle reprend de la vigueur, et recommence à me traire buccalement. Elle recrache ma queue pour la lécher sur toute la longueur, le gland avec la bave ressemble à une grosse prune luisante, elle utilise en même temps sa main pour me branler.
Je la préviens :
Arrête, arrête, je vais jouir !
Vas-y oui, balance-moi tout ! me répond-elle en accélérant le mouvement !
Bon, si vraiment elle le souhaite, je ne vais pas m’en plaindre, je sens petit à petit l’orgasme monter, la pression devient intenable, et la jouissance arrive comme une déchirure, de gros jets de sperme jaillissent de mon gland, mes couilles remontent en cadence sous l’effet des spasmes. Elise en face de moi reçoit de grandes balafres blanches et grumeleuses sur son visage et ses cheveux, elle a fermé les yeux par réflexe, et les rouvre après l’orage de sperme !
Avec ses doigts, elle récupère tout ce qu’elle peut de mon foutre et les porte à sa bouche pour les nettoyer…
Anéanti par la jouissance et essoufflé, je m’assieds à ses côtés pour récupérer. Pendant ce temps, les autres couples ont varié les plaisirs : Stéph et Christian ont continué leur sodomie sauvage, mais Margot est venue se mettre à quatre pattes en face de la chatte de Steph, et lui a fourré la langue le plus profondément possible. Vincent l’a suivie et continue de la baiser en même temps. Se faire sodomiser et bouffer la chatte déclenchent alors chez Steph un orgasme d’une intensité rare, tant et si bien qu’elle éjacule une grande quantité de mouille sur la figure de Margot. Elle gueule en même temps :
Aaah ouiiii, salope, tu me fais jouir !!
Margot avale, déglutit consciencieusement, et passe sa langue sur les lèvres gonflées par la jouissance de Steph, ce qui se traduit par des petits spasmes chez cette dernière :
Aah, aah, arrête, c’est hypersensible quand je viens de jouir !
Christian choisit ce moment précis pour sortir sa bite du cul de Steph, Margot en profite pour happer son gland violet tellement il est congestionné, et lui nettoyer la queue des traces de salissure éventuelles… Il n’en fallait pas plus à Christian pour libérer une quantité phénoménale de foutre, qui déborde de la bouche de Margot, et dégouline sur son menton et sa gorge, bien qu’elle ait tenté d’en avaler autant qu’elle pouvait !
De leur côté, Fred après avoir éjaculé au fond de la chatte hyperliquide de Sandrine, avait renoué avec son péché mignon : nettoyer son foutre au fond de la chatte de sa partenaire avec la langue ! Approchant une langue large et agile des lèvres du sexe de Sandrine, il avait délicatement titillé le clitoris, avant d’enfoncer sa langue dans les replis chauds et visqueux. Sandrine avait aussitôt décollé pour un orgasme fulgurant :
Oooh, ooh, oui, fourre-moi la chatte avec ta langue de vicieux, vas-y, ouiii !
Malgré les soubresauts de Sandrine, Fred réussit tant bien que mal à garder sa bouche collée au sexe de celle-ci et en profite pour récupérer du bout de sa langue toutes les sécrétions en tapissant les muqueuses…
Après ces orgasmes tumultueux, tout le groupe repose sur les matelas, essoufflé, mais repu de jouissance. Quelques heures de sérénité sont désormais disponibles avant un prochain round, je vais en profiter pour reprendre mon journal pour les générations futures…