Permettez-moi de m’introduire brièvement avant de vous raconter mes histoires. Je m’appelle Félix, 20 ans, je vis à Montreal et viens tout juste d’entrer à l’université. Je suis comme la plupart des gars de mon âge, à part les études, les amis et la famille, ce qui me branche le plus, c’est les filles. Je suis célibataire et veux le rester pour un bout de temps questions de butiner un maximum avant de me caser pour de bon. Je suis plutôt beau garçon, assez confiant et fonceur, donc avec les filles, ça va plutôt bien. J’ai un certain succès, je réussi à séduire la gente féminine de façon assez régulière et suis plutôt efficace pour les attirer dans mon lit. Mon ’’problème’’, s’il en est un, est qu’une fois dans la couchette, il est rare que ça se concrétise par une partie de jambe en l’air satisfaisante autant pour moi que pour mes conquêtes. La raison vous surprendra peut-être, j’ai une trop gosse queue. C’est un fantasme pour bien des femmes de se faire prendre par un énorme engin et bien sûr, pour bien des hommes d’en avoir un entre les jambes. Il y a par contre une certaine limite physiologique au-delà de laquelle les choses peuvent se compliquer. Comme tous les mecs, je l’ai bien sûr déjà mesurer, en érection, elle fait 30cm en longueur et 15cm de diamètre. Quand les jeunes femmes baissent mon pantalon pour la première fois, elles sont toujours sous le choc et certaines se mettent carrément à avoir peur. Donc, je dirais que, 3 fois sur 4, l’espoir d’une baise s’arrête net. Souvent, elles quittent rapidement les lieux évoquant une excuse bidon, d’autres fois, elles me disent sans détour que c’est trop gros pour elles. Au moins, de temps en temps, j’ai droit à une fellation ou une branlette. Certaines filles essaient, mais n’y arrivent pas, c’est trop douloureux ou bien ça n’entre tout simplement pas, c’est très frustrant. Parfois, je tombe sur une nympho accroc au grosses bites et c’est le pied, celle-là vénèrent littéralement mon phallus.
Je me suis rendu compte à l’adolescence de ma spécificité en prenant la douche après les matchs de sport à l’école, les autres avaient l’air de pénis miniatures à côté du mien. Puis plus tard, en regardant des vidéos porno sur le web, même les types avec des supposés ’’big cock’’ en avaient des plus petites que la mienne la plupart du temps. Dernièrement, j’ai essayé la stratégie suivante, quand je conclus avec une fille et que je sens qu’elle a envie de baiser, je lui dis sans détour que j’ai un énorme membre, et que j’espère bien que ce ne sera pas un problème pour elle. Les résultats sont plutôt mitigés, la plupart du temps, elles s’enfuient, pensant probablement que je suis un espèce de pervers ou un type trop bizarre ou même dangereux. Donc maintenant, je préfère quelles découvrent par elles-mêmes, puis après on verra…
Ma dernière conquête remonte à vendredi dernier, un cas classique de ’’one night’’, très banal. Je vous la raconte pour vous montrer le genre d’histoires typiques que je vis trop souvent. Nous étions dans un club bien connu de la ville fréquenté par des jeunes gens de mon âge, entre 18 et 25 ans. Je reluquais une belle jeune femme depuis un moment, elle devait avoir aux alentour de 20 ans tout comme moi. Elle avait un très jolie visage, longs cheveux teints blonds, grandeur moyenne. Une jolie jupe d’été laissait deviner facilement une belle paire de fesse bombés. Elle avait surtout des seins généreux, bien larges et ronds, probablement le résultat d’une augmentation mammaire, qu’elle déployait fièrement sous un ’’tank top’’ plutôt ajusté. C’était le genre de fille qui s’entraînait au gym à tous les jours et qui passait la majorité de son temps à sculpter son corps et magasiner des fringues. Pas spécialement mon genre mais ce soir, elle m’allumait, je voulais voir ses nibards. Je lui sors mon baratin habituel, lui paye quelques verres, ça fonctionne. La soirée avance, il est tard, 3 heures du matin. Je l’invite chez moi, elle accepte. Nous repartons en taxi Arianne et moi vers mon appart situé pas très loin, nous aurions pu marcher la distance. Pendant le trajet, je ne cesse de reluquer sa poitrine sans aucune discrétion, nous savons très bien tous les deux où nous conduira cette rencontre d’un soir.
— Tu as hâte de les voir ?
— J’en meurs d’envi, je les boufferais tout de suite.
— Vas-y alors.
Je me penche vers elle et porte ma bouche à son sein droit par dessus son pull. Ma main droite agrippe son autre sein, je la tripote sans gêne. Mon élan est arrêtée par le chauffeur qui nous annonce le terminus. Nous montons chez moi, je la conduis par la main directement à ma chambre. Je retire son pull en même temps qu’elle retire le mien tout en s’embrassant. Ses seins sont magnifiques sous son soutient-gorge rouge orné de fines dentelles. Elle porte ses mains à son dos pour le détacher en me regardant droit dans les yeux pendant que le bout de tissu tombe au sol. De mes deux mains, je les empoigne avec fermeté et les lèche, ils sont fermes comme je m’y attendais, impossible de dire si ce sont des faux, ils sont parfaits. La voyant porter ses mains à mon jean, je la devance et abaisse sa jupette, je préfère prendre les devant et l’exciter d’abord, persuadé que ça augmentera mes chances qu’elle accepte le coït malgré ma bite géante. Sa petite culotte, ou du moins le minuscule bout de tissu qui cache son sexe, est rouge et blanche aux couleurs de son soutif. Je l’enlève aussitôt pour découvrir un pubis entièrement rasé, très lisse, elle l’a sûrement fait aujourd’hui! C’est si invitant, je la couche sur le dos sur le lit et m’agenouille devant elle pour lui bouffer sa mignonne chatte. Ma langue travaille dans tous les coins, elle gémit déjà, elle se pince les mamelons de ses deux mains au même rythme où je lui lèche le clitoris, elle est complètement trempée.
— Tu aimerais que je te suce moi aussi, c’est à mon tour.
— Suce-moi. Sois pas trop surprise, je suis plutôt bien nanti.
— T’inquiète-pas, j’en ai vu d’autre!
Elle se glisse sur le dos vers moi et se retrouve au pied du lit agenouillée devant moi. La vue de cette belle blonde et de ses protubérant nichons vue d’en haut en train de détacher ma braguette est fantastique. J’ai toujours à ce moment un sentiment à la fois de fierté de montrer mon engin mais aussi de stress devant les innombrables moments embarrassants auxquels cela a souvent conduit. Elle abaisse mon pantalon, je suis bandé comme un cheval, ma queue est placée latéralement sur ma cuisse, le seul endroit qui permet de l’abriter sans qu’elle sorte de mon slip. Arianne a un léger moment d’hésitation devant cette bosse absurde puis elle descend mon boxer jusqu’à mes genoux. Elle porte ses mains devant sa bouche en signe de stupéfaction.
— mon dieu, c’est incroyable…J’ai jamais vu quelque chose de pareil,
c’est irréel!
— Tu la trouve grosse ?
— Grosse c’est pas le mot, c’est gigantesque, c’est fou, tu as toute une
queue toi!
— Suce-là.
Parcimonieusement, elle prend ma verge avec sa main, commence de légers mouvements de va-et-vient et mets ses lèvres autour de mon gland. Sa bouche doit s’étirer au maximum pour l’encercler. Elle suce du mieux qu’elle peut, ma queue n’entre pas plus du quart dans sa bouche. Sa main me branle pendant qu’elle s’affaire à satisfaire mon capuchon. La vision de cette blondasse étirant ses lèvres pour accueillir mon paquebot et tentant bien que mal d’accomplir sa tâche malgré la surprise et la nervosité m’excite sauvagement, j’aimerais tellement la pénétrer jusqu’à l’orgasme. Vu sa surprise devant la vue de mon membre, je doute qu’elle soit chaude à l’idée. Après quelques minutes d’une fellation douce mais efficace, elle me sort alors de sa bouche et, tout en continuant de me masturber, me dit:
— Écoutes, je vais être franche, t’as une trop grosse bite pour me baiser
ce soir, ça va pas entrer. Je peux te sucer et te faire venir si tu veux ?
— Tu as dit que tu en avais vu d’autres!
— Oui, j’ai connu des gars bien membrés mais toi t’es hors compétition.
Sérieusement, ta queue est plus grosse que mon avant-bras, y’a
aucune chance que ça puisse entrer en moi.
— Suce-moi alors.
— Bien sûr chéri, ça je peux le faire, même si ta verge entre à peine dans
ma bouche, j’vais faire de mon mieux.
Docilement, elle ouvre toute grande sa bouche et avale tout ce qu’elle peux de mon cylindre. Elle tente à chaque va-et-vient d’entrer mon pénis encore plus profondément dans sa gorge et prend soin de garder ses lèvres bien serrées autour de mon membre. De temps en temps, elle utilise une ou deux mains et me branle avant de me réinsérer dans sa bouche. Consciente que son refus de baiser me déçoit, elle s’applique à la tâche du mieux qu’elle peut, elle me fait une pipe digne d’une actrice porno. Elle joint bientôt ses deux mains et entrecroise ses doigts afin de couvrir tout le périmètre à la base de mon organe et me masturbe vigoureusement en suçant et léchant mon gland vaillamment en même temps. Son travail acharné porte fruit, mon excitation monte dangereusement. Elle sent le point culminant approcher.
— Dis-le moi avant de venir, j’avale pas.
— Ok je vais te venir sur le visage.
— J’aimerais mieux que tu viennes sur mes seins, ok?
— Remets ma queue dans ta bouche et suce.
Elle replonge mon gland aussitôt et resserre l’étau de ses lèvres tout en recommençant ses mouvements de va-et-vient. Ses mains jointes l’une à l’autre autour de ma bite n’ont pas arrêtées de m’astiquer tout ce temps et elles continuent de plus belle. La belle Arianne s’apprête à faire connaissance avec un autre de mes ’’talent’’ sexuel, celui de produire des éjaculations monstres. Était-ce relié au fait que j’avais une bite géante ? Je ne le savais pas trop mais à toute les fois que je venais, je pissais littéralement du foutre. Ça impressionnait habituellement autant les femmes que la dimension de mon attribut lui-même. Celles qui n’aimaient pas trop le sperme étaient traumatisées par le raz-de-marée sortant de mes couilles.
— Je vais venir
Elle me sort de sa bouche et dirige mon organe vers sa poitrine afin de le décharger. De ma main droite, j’entoure ses propres mains et intensifie les mouvements de masturbation tout en rétablissant l’angle vers son visage. Elle tente sans trop de conviction de ramener mon dard vers le bas, je m’y oppose et le maintient fermement en place, elle sais qu’elle n’aura pas gain de cause, j’ai déjà essuyé trop de refus pour ce soir, la petite blonde devra se soumettre et elle le sait bien.
— J’avais dit pas dans la face! C’est dégoûtant et en plus
ça va me tout me gommer les cheveux.
Sa phrase à peine achevée, une première décharge de sperme lui frappe la joue de plein fouet mais ricoche vers le bas sur son protubérant sein droit. Voulant éviter les prochaines salves, elle cambre sa tête sur le lit derrière elle. La pauvre, son visage placé ainsi à l’horizontal tout juste devant moi m’offre une cible parfaite. Un deuxième jet s’étale parfaitement de son menton jusqu’à sa belle chevelure blonde. Elle ferme alors ses yeux et sa bouche le plus hermétiquement possible. Une troisième gerbe s’étend couvrant sa bouche et un il. Elle pousse un grognement d’insatisfaction mais il est trop tard, cette petite allumeuse est en train de tout recevoir. Un autre trait atterri dans le mille. Alors que pour n’importe quel homme, normalement, l’éjaculation s’achèverait, dans mon cas elle ne fait que débuter. D’autres jets puissants et volumineux s’abattent sur son jolie minois les uns après les autres, inlassablement. Ce soir mon sperme est très blanc et particulièrement épais, il colle littéralement en place et forme de longues stries. Arianne tourne sa tête tantôt vers la droite puis vers la gauche, essayant de se soustraire à l’éjaculat projeté vers elle, sans succès. Le déversement se poursuit, les larges et longues traînées de sperme éparpillées un peu partout sur son visage commence à s’agglutiner pour ne former qu’une seule énorme couche visqueuse et collante. La belle blondinette continue de pousser de légers grognements réprobateurs à mesure qu’elle encaisse la plus grosse éjaculation faciale de sa vie. La source se tarie enfin, ses cheveux sont désormais tout gras et son magnifique visage, arborant une peau si parfaite qu’elle entretient probablement à coup de pots crème valant une fortune, est tout gâté par la couche de foutre qui le tapisse maintenant d’un bout à l’autre.
Voyant que ma main lâche son emprise sur ses propres mains entourant ma bite, elle me repousse et se lève d’un bond avec un air d’un mélange de dégoût et d’insatisfaction. Aveuglée par le masque de sperme, elle cherche la salle-de-bain à tâtons, je lui indique où se diriger. Après une courte séance de nettoyage, elle réapparaît dans la chambre, s’habille en toute vitesse et sans même me jeter un regard ou dire quoi que ce soit, quitte mon appartement en coup de vent. Nul besoin de vous dire quelle n’est pas restée à coucher…