C’est après avoir lu une histoire sur votre site que j’ai décidé de vous raconter la mienne.
J’ai découvert la zoophilie dans des circonstances très particulières. J’étais toute jeune à l’époque, commençant tout juste une vie de couple avec Alain, mon copain du moment. Il avait un jeune bullmastiff d’un peu plus d’un an, nommé Démon, lequel m’a tout simplement violée un jour que nous nous trouvions seuls dans l’appartement. Voici comment tout cela est arrivé.
En général il était toujours en vadrouille avec Jean mon copain, lequel ne me laissait pratiquement jamais seule avec lui car sachant très bien qu’il ne m’obéissait pas. Pire, il me faisait peur.
Ce jour-là, Jean avait dû le laisser à l’appartement à cause de son travail. Démon s’est couché dans un coin de l’appartement sans s’occuper de moi. Je me suis rapidement habituée à sa présence pour vaquer à mes tâches ménagères.
La matinée s’est vite passée, j’ai mangé puis me suis couchée pour une petite sieste pendant laquelle j’ai fait un rêve coquin. Je me suis réveillée en sueur, la chatte en nage frustrée de m’être réveillée trop tôt.
En une seconde, j’ôtais mon tee-shirt, ma culotte pour me retrouver complètement nue, la main entre mes cuisses, pour une masturbation éclair dont j’avais le secret. Quelques secondes plus tard, j’explosais bruyamment, me faisant jouir rapidement en me masturbant le bouton avec les doigts.
Démon entra dans la chambre sans que je ne l’entende, sans doute attiré par mes gémissements. Lorsque j’ouvrais les yeux, je le découvrais surprise, la truffe à quelques centimètres de mon ventre.
Apeurée, je sautais du lit mais dans ma précipitation je m’affalais à plat ventre sur la moquette de la chambre. J’allais me relever mais alors que j’étais à quatre pattes, je sentis le chien me sauter sur le dos, s’accrochant à mes flancs avec ses grosses pattes.
J’esquissais un geste pour me dégager mais le grognement agressif qu’il poussa à ce moment me figea sur place, me glaçant le sang dans les veines. Pétrifiée je n’osais plus bouger. Un conseil de mon homme, qui m’avait dit une fois de ne pas faire de gestes brusques voire de rester immobile en présence d’un chien agressif, me revint à l’esprit.
Je reposais mes mains au sol, à quatre pattes avec le chien toujours sur mon dos, la gueule menaçante tout près de ma nuque en signe d’avertissement.
J’étais loin d’imaginer ce qui allait suivre, attendant qu’il se calme et me libère de son étreinte.
Ce n’est qu’en sentant un truc gluant et dur me taper sur les fesses que je réalisais qu’il essayait de m’embrocher comme une de ses congénères. Le contact de ses crocs sur ma nuque me dissuada de tenter une nouvelle fois de me dégager.
Je n’avais pas eu le temps de me rhabiller. J’avais les fesses à l’air, la moule encore inondée des secrétions de ma jouissance toute proche en levrette devant un chien qui visiblement n’avait qu’une envie : me planter sa queue dans la chatte pour faire de moi, de gré ou de force, sa femelle.
J’avais beau réfléchir à toute vitesse, je ne voyais aucune issue à cette situation. La bite glissait dans la raie de mes fesses, frappant mes globes charnues sans parvenir à me pénétrer ce qui dut énerver le chien puisqu’il se mit à grogner de plus belle en ouvrant la gueule pour me saisir la nuque.
De plus en plus paniquée, réalisant que je ne pourrais pas échapper à l’animal, je décidais de lui faciliter la tâche plutôt que de me faire mordre. Les larmes aux yeux, je m’aplatissais autant que je le pouvais au sol, pour surélever mon arrière-train et le tendre vers mon agresseur, priant pour qu’il se calme après avoir eu ce qu’il voulait.
Personne ne saurait jamais rien de tout cela, nous étions seuls dans l’appartement.
Le chien n’arrivait pas pour autant à ses fins. Il serra ma nuque plus fortement. Sans réfléchir, je passais une de mes mains entre mes jambes, j’attrapai sa bite pour la guider à l’entrée de ma vulve.
D’un seul coup, il s’enfonça dans mon ventre, m’arrachant un cri de surprise. La tige de chair m’investit sans coup férir, ouvrant mes chairs jusqu’à buter sur ma matrice au plus profond de mon fourreau.
Un liquide visqueux, épais me souillait les doigts. En quelques coups de reins, le chien m’avait embrochée jusqu’aux couilles si j’ose dire. Bien ancré au fond de mon ventre, il s’activait de plus en plus vite, arc-bouté sur mon dos, ses deux pattes avant agrippées à mes flancs.
Dans sa précipitation, il avait sauté sur mes mollets pour mieux m’ajuster. Ses griffes me labouraient les jambes à chacun de ses coups de reins.
Je sentais son membre aller et venir à toute vitesse dans mon ventre. Je n’étais plus qu’une femelle. Sa femelle. Démon poussait maintenant des petits jappements de satisfaction, cherchant à planter sa queue de plus en plus loin en moi. Je me sentais écartelée par une masse de chair énorme à l’entrée de mon sexe. J’y portais la main pour découvrir deux énormes protubérances sur la tige plantée en moi. Un coup de rein plus fort de l’animal fit céder la résistance. Je poussais un cri de douleur tandis que l’anneau passait pour se loger à l’intérieur de mon ventre.
Je me sentais prise comme jamais. Le chien bavait, ça me coulait sur le dos. J’étais en train de le faire jouir et bizarrement, je n’avais plus peur. J’étais même malgré la honte, étrangement excitée de me faire grimper par un chien doté d’une bite aussi grosse.
D’un seul coup, il se mit à trembler sur mon dos, me lacérant les flancs avec ses ergots, j’étais au bord de la jouissance mais je me ressaisis en refoulant le plaisir qui m’envahissait. Je ne pouvais quand même pas jouir avec un chien. Non, ça ne pouvait pas arriver.
Un flot de liquide se mit à couler le long de mes cuisses. J’en récupérais sur mes doigts puis les portais à mes narines pour en sentir l’odeur. Ça sentait fort. Je les essuyais sur la moquette en attendant que Démon me libère mais il restait désespérément sur mon dos. L’image de chiens restés collés après l’accouplement me revint subitement à l’esprit.
Je paniquais une nouvelle fois en pensant que quelqu’un pourrait arriver et nous découvrir soudés l’un à l’autre. Affolée, je hurlais :
Démon, couché maintenant. Couché !
Sans doute grâce au ton sans appel que j’avais utilisé, Démon se mit à reculer ou du moins essayer de se dégager mais ça devait lui faire mal autant à lui qu’à moi. Je sentais ma chatte s’écarteler à chaque tentative.
Tout à coup, le passage s’ouvrit. Il s’était bien passé cinq à six minutes, d’une longueur interminable. Un nouveau flot de son sperme s’échappa de mon vagin. Une partie sur mes cuisses, l’autre directement sur la moquette. Il m’avait mis la dose le salaud.
Je me retournais juste à temps pour voir l’énorme mandrin avec ses deux protubérances à la base, complètement sorti de sa gaine. Démon se mit à la nettoyer en le léchant sur toute sa longueur puis sortit de la pièce sans s’occuper de moi.
Je m’asseyais complètement abasourdie par ce qui venait de se passer. J’ouvrais les cuisses pour regarder ma chatte entrouverte. Un liquide presque translucide s’en écoulait encore. Je n’avais pas rêvé. Ce salopard de chien venait bien de me sauter.
J’étais sous le choc mais malgré tout une sourde mais forte excitation était en moi. Furieuse, je posais mes doigts sur ma chatte pour la flatter puis, décidais de me calmer en me masturbant le bouton jusqu’à ce qu’un puissant orgasme me tétanise encore une fois.
Je me laissais retomber à même la moquette pour récupérer et réfléchir à ce qui venait de se produire. Les idées se bousculaient à toute vitesse dans ma tête. Quoi faire ? Comment réagir ? En parler ? A qui ? Qu’est-ce qui allait se passer après ça ? Pourquoi avais-je eu du plaisir ?
Aucune réponse, aucune certitude, que des interrogations.
Je me levais pour aller à la douche. Démon était revenu. Il semblait content de me voir puisqu’il se mit à japper comme jamais il ne l’avait fait avec moi, se frottant sur mes jambes en quémandant des caresses.
Partagée entre la colère, la honte ou encore l’incompréhension, je sentais que quelque chose avait changé dans les relations que j’avais jusqu’à présent avec ce chien. Je décidais de tirer avantage de ses nouvelles dispositions en imitant son maître lequel lui tapotait le poitrail lorsqu’il voulait le féliciter.
Démon, n’attendait que ça, gonflant le poitrail en poussant de nouveaux jappements de satisfaction.
Bon chien, Démon. Bon chien. Tu vas être gentil avec maîtresse maintenant n’est-ce-pas Démon ?
Son regard d’habitude dur et perçant, avait changé. Je prenais ça pour un accord en langage animal aussi je disparaissais sous la douche après une dernière caresse sur la tête de l’animal, qui partit immédiatement se coucher dans le salon, à sa place habituelle.
Inutile de vous dire que lorsque mon homme arriva très tard le soir, j’omettais de lui parler de cet incroyable journée me contenant de lui annoncer que nous avions finalement fait ami-ami, pour sa plus grande satisfaction.