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Francine – Chapitre 2

Francine - Chapitre 2



PRISE A SON INSU.

Michel rentre du travail vers dix sept heures. Il pose ses clés sur la tablette du téléphone. Il voit un message sur le répondeur. Il l’écoute et fronce les sourcils.

-Chérie, tu es là? Demande-t-il.

Pas de réponse. Il décide d’appeler chez ses beaux parents.

-Bonjour, çà va…ah, elle vient de partir…bon, elle va pas tarder…allez, à plus.

A peine raccrocher, Francine arrive. Michel s’avance pour l’embrasser.

-Tu es bien ravissante aujourd’hui. Par contre, tu as des cernes sous les yeux. Tu es fatiguée, remarque-t-il.

-Attend, se justifie Francine, j’ai passé la nuit en pensant à ce que l’autre salaud t’a fait. Et toi, toujours en colère?

-Disons qu’avec le recul, c’est peut être pas plus mal, çà me ferai du temps de libre. Je l’ai appelé cet après midi, je lui ai dis que je lui ferai parvenir les papiers. Si tu pouvais t’en charger, çà m’arrangerai.

-mais comme tu veux mon chéri, tu me dis. En attendant, je vais me changer.

Une fois seule, elle ne peut s’empêcher de sourire.

-Je vais boire un coup chez Gérard, dit Michel. j’en ai pour cinq minutes.

-Bonjour Lucette, Gérard n’est pas là?

-Il vient de sortir, répond-elle. Je m’inquiète tu sais. A son âge, il se casera plus.

-Mais çà s’arrangera, la console Michel. Vous lui direz que je suis passé.

C’est vrai que Gérard n’a pas un physique de jeune premier. Un mètre soixante cinq, assez enveloppé, un double menton naissant. Bref, rien d’attirant. et il approche de la quarantaine.

Michel rentre chez lui, et prend une douche. Francine fini de ranger. Elle passe devant le répondeur, écoute le message, sourit, puis l’efface. Ils passent à table, il est dix neuf heure trente. Ils décident de se caler devant la télé. Au lit, Michel reste calme. Après son après midi érotique, Francine n’insiste pas.

-Au fait, dit Michel, vendredi matin, je ne travaille pas. Par contre, j’ai rendez-vous chez un client à quatorze heures, pour lui installer un système informatique. je serai pas rentré avant dix huit heure.

-C’est bien, dit Francine, çà te fera une demi-journée pour te reposer.

Le vendredi arrive, Michel a tout préparé. Francine est sous la douche.

-J’y vais, dit-il, je ferme à clé?

-Oui, s’il te plait Chéri, à ce soir.

Michel ferme bien à clé, mais reste dans l’appartement. Suite au message sur le répondeur, il a un doute. Il a tout prévu. La caméra numérique, la chambre d’amis légèrement ouverte, le grand yucca en guise de cache. Il faut la jouer fine. Francine adore se faire prendre sur le canapé. C’est plus excitant, dit-elle. Quatorze heures, la sonnerie de la porte retentie.

-J’arrive, s’empresse de dire Francine.

Michel met la caméra en route. Il voit passer sa femme en peignoir très sexy.

-Oh mon chéri, comme j’étais impatiente de te voir, dit-elle. Depuis lundi, çà fait long tu sais.

Ils rentrent au salon, les lèvres soudées dans un baiser interminable. Plus de doute, c’est bien Guy, son pire ennemi, l’auteur du message. Il retient sa colère, il veut en savoir plus, même si çà fait mal. Guy défait le peignoir, et fait courir ses doigts sur le corps de Francine. Arrivé au pubis, il s’exclame.

-Mais tu as épilé ton minou. Ouais, que c’est beau.

-J’ai voulu avoir une fente de petite fille pour toi, çà te plait? demande-t-elle.

-Putain, si çà me plait.

Guy ôte le peignoir, et force Francine a s’asseoir sur la table basse du salon. Elle écarte ses jambes, et cambre ses reins en prenant appuie sur une main. Guy se met à genoux, et plonge sa tête entre les cuisses de sa maitresse. Francine lui prend la nuque, et le plaque contre sa chatte.

-Que c’est bon cette moustache qui frotte mon clitoris, oh putain. Prend moi avec ta langue, écarte bien mes lèvres. oui, comme çà, houuu, salaud.

Michel est en nage, mais ne veut pas intervenir. Il préfère immortaliser les ébats de sa femme, pour mieux tirer profit de la situation. On sait jamais.

Au bout de dix minutes, le bouton de Francine se gorge de sang. Ses lèvres, ouvertes se gonflent sous les coups de langue expert de son amant. Elle hurle de plaisir.

-Oui, bouffe moi, tu sais te servir d’une femme toi, hein? Tu vas voir la pipe que je vais te tailler après.

Guy se déshabille, et s’installe sur le canapé. Francine se penche, et lui saisit la queue.

-Bonjour toi, tu vas voir comme on va bien s’amuser toute les deux, sourit-elle.

Avec ses lèvres, elle mouille le gland entièrement décalotté. D’une main, elle branle la colonne de chair, de l’autre, elle joue avec les testicules. Elle entame sa fellation. Guy commence a donner des signes de faiblesses. On voit la forme du gland déformer les joues à l’intérieur de la bouche. Il pousse des "Han" de plaisir. Quand Francine sent qu’il va éjaculer, elle avale la queue jusqu’au couilles, et ne bouge plus. Seule se joues se creusent. C’est sur, Guy se vide dans sa gorge. Elle attend qu’il est fini, puis sort la bite de sa bouche.

-je t’ai eu, petite vicieuse, dit-elle, c’était bon, hein?

Guy la relève en lui prenant le menton, et lui l’embrasse.

-Que tu es bonnes,dit-il, comme tu suces. ton mari doit se régaler avec toi.

-Salaud, bien sur qu’il se régale. J’ai besoin de me faire mettre maintenant. Allons dans la chambre.

Michel sursaute, puis se rassure. Francine l’emmène dans leur chambre. il s’avance sans bruit, et plaque la caméra contre la porte légèrement entre ouverte. Bien sur, il n’a plus d’image, mais il a le son.

-Un bon coup de queue dans le petit trou, çà te dis pas? il y a un moment que je me suis pas faite sodomiser. Allez, vas y, s’il te plait, encule moi. Autant que ce soit toi qui refasse le passage.

Pendant un heure, Michel va entendre sa femme hurler de plaisir. Elle enfonce même le clou en comparant ses prouesses sexuelles avec celles de son amant. C’est une totale humiliation qu’il reçoit.

-Putain, comme tu me niques, gémit-elle. Pourquoi mon mari me baise pas comme toi. Tu me fais mouiller comme une pute. Combien çà fait de fois que tu fais jouir.

Il est seize heure trente, Michel quitte la villa, blessé au plus profond de sa chair. Il se rend au bureau pour graver le film sur DVD. Il en fait plusieurs copies.

Michel rentre vers dix huit heures. Il essaie d’avoir bonne contenance malgré l’affront qu’il vient de subir.

-Alors mon chéri, dit-elle, çà c’est bien passé?

-Très bien, répond-il, et toi, tu as passé un bon après midi?

-Bof, rien de spécial.

Michel se retient de tout lui balancer à la figure. Mais il se maitrise, la surprise en sera plus grande.

-Tiens, poursuit-il, je t’ai apporté un petit cadeau, j’espère que çà te plaira.

-C’est gentil, en quel honneur, je peux l’ouvrir?

Elle ouvre le carton, et en sort une jupe minuscule, avec un haut qui ne cache pratiquement rien.

-Oh mon chéri, c’est très beau, dit-elle, mais je peux pas porter çà, on va tout me voir.

-Mais mon amour, répond-il, c’est pour la maison, quand o, sera que tout les deux. Tu peux la passer, sans rien dessous, tu veux bien, s’il ta plait.

-Avec plaisir mon amour.

Elle revient, sexy endiable, quelle beauté. Lui, entre temps, s’est mis en caleçon.

-Tu as vu, on voit toute ma chatte, et la moitié de mes seins, fait-elle remarqué.

-Approche, dit-il, fais moi toucher. mais, tu es toute épilée. Que c’est beau.

Francine prend les devants.

-C’est pour toi mon chéri, je t’aime tellement. Touche me petite fente, elle commence à mouiller. Je suis chaude ce soir.

Francine pense à la tête de Guy quand il va la voir dans cette tenue.

"Qu’est-ce-qu’il va me mettre comme coup de queue. Il va me manger" pense-t-elle.

-Tiens, poursuit Michel, on m’a passé un DVD un peu hard. U veux qu’on le visionne.

-Pourquoi pas, répond-elle, çà nous mettra en forme.

Francine pose sa tête au creux de l’épaule de son mari. Michel appuie sur play. les premières images commencent à défiler sur l’écran. Francine porte les mains à son visage.

-Mon dieu Mi.chel. Com..ment est-ce pos..si..ble. Ou..as-tu eu..çà.

Les mots sortent difficilement de sa bouche. La voix est hésitante.

-Tu sa..vais, mais com..ment? Dis..moi.

-Le répondeur Francine, le répondeur. Au fait, j’ai fais quelques copies au cas ou. une pour tes parents, une pour ton amant. Il pourra la passer au cours de ses partouzes. Demain, je passe voir mon avocat.

-Je t’en supplie mon amour, ne fais pas çà, dit-elle en sanglotant. C’est un accident.

-Un accident, reprend-il. Regarde comme il te chatte, comme il te caresse les seins. Et la pipe que tu lui tailles. les mots que tu lui murmure que je croyais les miens, les cris qu’il arrache de ta bouche. en plus tu en redemandes. Tu appelle çà un accident. moi j’appelle çà faire la pute.

Francine est en larmes. Elle essaie d’être câline pour sauver les meubles. mais Michel est imperturbable.

-Ne me détruit pas, implore Francine, ne me laisse pas. je t’aime Michel. je ferai ce que tu voudras, mais je t’en prie, je veux pas te perdre.

-Et si je demande de te soumettre à tout mes désirs, et à ceux de mes amis’ dit-il.

-S’il le faut, je le ferai, pleure-t-elle, mais garde moi avec toi, ne me laisse pas seule.

-Je vais réfléchir, dit Michel. Peut être une période d’essai. Mais attention, je veux que tu portes cette tenue, et que ta chatte soit toujours épilée,OK,

-Ce que tu voudras mon amour, dit-elle.

-Tu comprendras pourquoi je prends la chambre d’amis ce soir.

C’est en sanglots que Francine regagne sa chambre.

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