Bien installé à quatre pattes, je sentis d’abord le froid contact du gel qu’on appliquait doucement en caressant l’il de bronze. J’étais excité comme une pucelle, à la fois impatient et inquiet. Puis je sentis un doigt me pénétrer, puis deux pour me lubrifier comme il fallait. Les doigts s’agitaient dans tous les sens. Un mec vint coller son gland sur mes lèvres, je les ouvris.
Enculator me saisit enfin par les hanches et colla son sexe dans ma raie sans trouver immédiatement l’orifice affolé et avide. Il dut s’aider de la main droite et je sentis le gland commencer à me forcer l’anus.
Enculator remit sa main sur ma hanche et força doucement le passage. Je sentis la tête du nud s’enfiler mais le blocage vint immédiatement à cause du diamètre du chibre. Enculator fit pression sur la rondelle pour l’assouplir puis relâcha puis revint et je sentis une brûlure. Je dus retirer la bite que j’avais dans la bouche pour serrer les dents à mesure que la tringle rentrait
Enculator fit quelques tous petits allers et retours puis, m’attrapant par les épaules il poussa sans s’arrêter en maîtrisant la vitesse. L’énorme zob écarta la fragile paroi.
Je gémis sans crier mais en pleurant, les poings crispés sous la douleur. Quand il toucha le fond en me torturant, il prit un temps d’arrêt, retira presque tout le zob et d’un grand coup sec le remit jusqu’au fond. Je ne pus laisser échapper un grand cri. Il recommença et je le suppliai de cesser de me faire mal. Alors il resta immobile un moment recula, revint en douceur et répéta ce va-et vient lent plusieurs fois.
Je commençai à mieux me sentir. Graduellement le plaisir vint rejoindre la douleur et les deux se confondirent dans une sensation étrange que je n’avais jamais connue. Il accélérait, et je me remis sur les paumes des mains. Je rouvris la bouche et juste avant d’avaler la queue qui se présentait, je criai : "casse-moi le cul bâtard"!
Alors il ne se retint plus et me secoua sans ménagement. Mes fesses claquaient contre le bas de son ventre. Il laissa la place au Gand Maître qui pénétra le trou dilaté sans précautions. Le sexe, beaucoup moins gros y rentra sans problèmes.
Puis ils défilèrent les uns après les autres. Ils me pénétraient, s’agitaient pendant quelques minutes et se retiraient pour laisser la place.
Cependant la fatigue s’installait car le défilé de bites dans mon cul n’en finissait pas. On changeait les positions, tantôt sur le côté, sur le dos, allongé… mais les mecs s’impatientaient car même avec quatre cul à disposition le défilé n’allait pas assez vite. Les premières années n’étaient pas autorisés encore à nous enculer mais ils tendaient leurs croupes aux autres qui en voulaient ou s’enfilaient entre eux. Petit à petit des queues déchargeaient et les mâles, hors de combat se mettaient sur le côté s’asseyaient en regardant, tout en se tripotant mollement la bite. Il y eut enfin un ordre.
Nos culs furent libérés et nous reçûmes l’injonction de nous allonger sur un troisième année, le dos contre lui , chacun offrant un trou béant, élargi par tant de coup de bites, à sa queue dressée. Quand la bite fut insérée et autre type vint se présenter pour une double. Mon trou était tellement ouvert, tellement chaud, rendu tellement glissant par tant de zobs couverts de gelée qui le ramonaient sans relâche depuis plus de deux heures et demie que la seconde verge entra sans problème et vint se caler contre celle, très longue, qui m’évasait déjà la "chatte".
Le nouveau venu , tout en me tenant fermement les jambes me défourailla virilement. J’entendais les cris des mecs qui découillaient dans tous les coins de la pièce. Puis je sentis un liquide chaud m’envahir le rectum.
Le mec éjaculait en moi. Il retira son nud dégoulinant sous les applaudissements des quelques mecs qui avaient choisi de nous regarder. Le mec sur lequel j’étais couché me retourna et éjacula lui aussi. Il était à peine retiré que je sentis un choc violent.
C’était Jeff qui me pénétrait sans ménagement. Il me prit en bouledogue et ce fut une avalanche de coups de pine dans le cul. J’étais au bord de l’effondrement, totalement harassé. Chaque coup de queue provoquait une sorte de décharge électrique dans mon pauvre cerveau. Il se retira et je sentis une pluie de foutre me recouvrir le dos.
Il me fit sucer sa pine après et je le fis sans réfléchir vaincu par tant de fatigue que je n’avais plus de volonté. Je m’écroulai sur le ventre. Délicatement, un homme vint s’allonger sur moi. C’était Kyle.Il me fit de petits bisous sur la nuque, dans le coup en me murmurant de doux mots d’amour. Puis il glissa sur mon dos en continuant de m’embrasser, me massa les épaules pour me relaxer, me caressa les fesses, joua avec, les serrant, les élargissant, puis il bouffa mon cul gluant.
Il vint ensuite m’embrasser sur la bouche puis s’allongea à nouveau de tout son long. Il écarta mes cuisses et lentement mit son pénis dans mon fourreau. Il aurait pu y aller franchement car le cul était à ce point délabré que la pénétration se fit sans souci. Et il me travailla tout en douceur lentement. J’étais complètement relaxé et me laissai aller à tant de délicatesse qui contrastait tellement avec le démontage dont j’avais été victime avant.
Simplement il se fit un peu plus violent au moment de gicler, se tendant sur ses bras et je sentis toute sa crème me remplir et me satisfaire. Nous restâmes en long moment sans bouger, lui sur moi, les mains jointes. Je commençai à m’endormir.
"Viens" me dit-il.
Je le suivis. La fête avait dégénéré en partouze générale mais l’atmosphère mollissait. Des mecs avachis s’étaient endormis, la place s’était vidée et seuls deux dizaines de gars forniquaient encore sous les yeux indifférents de ceux qui ne roupillaient pas encore. Des corps gisaient, couverts de foutre.
Nous remontâmes les escaliers et nous y croisâmes, ainsi que dans les couloirs, des groupes de deux ou trois qui se baisaient là.
Quelques portes ouvertes montraient dans les piaules des premières années en train de se faire travailler docilement. Derrière des portes fermées, on entendait des râles orgasmiques. Nous atteignîmes notre chambre. Kyle me demanda de descendre les matelas des deux lits pour les mettre côté à côte. Il prit des draps. Nous nous étendîmes. Il s’allongea sur moi. J’ouvrai mes cuisses pour lui faire la place. Il m’embrassa. Nous nous roulâmes une pelle très longue. Mais nous étions vidés dans tous les sens du terme et nos sexes restèrent inertes. Alors il se mit sur le côté et nous nous endormîmes enlacés l’un à l’autre.
Je me réveillai, pris par une incoercible envie de pisser. Je me levai et sorti, complètement nu, pour aller aux urinoirs. Les couloirs étaient vides. On n’entendait aucun bruit à part quelques mâles ronflements qui de temps en temps s’échappaient d’une turne.
Les toilettes n’étaient pas des plus propres. On y sentait encore l’orgie. De la pisse sur le carrelage, des traces de jute sur les cuvettes, tout montrait que la soirée s’était prolongée jusqu’ici à une heure avancée.
Je regagnai ma chambre, pris une verre d ’eau et dénichai dans mes affaires un cachet de paracétamol pour calmer un mal de crâne assez puissant. Je me rallongeai à côté de mon "parrain" ou mon "amant", au fond je ne savais pas très bien.
Mes sentiments étaient confus. Machinalement, je portai mes doigts à mon trou, très sensible, douloureux même. Je me remémorai la soirée avec un mélange de dégout et de plaisir. Je me demandai si je ne m’étais pas laissé emballé par l’ambiance. Je me sentais sali d’avoir été baisé par autant d’inconnus, ma bouche était encore gluante, comme si je n’arrivai pas à me débarrasser de tout le foutre que j’avais absorbé. J’éprouvais une sorte de honte. Que penseraient mes parents, mes amis de France… s’ils savaient ce que j’avais fait, s’ils savaient que j’étais gay ?Comment ferai-je mon coming-out en rentrant en France ? Le ferais-je jamais ? Et Kyle, étais-je vraiment amoureux de lui ? Ne m’étais-je pas engagé trop vite. Je le regardai.
Allongé sur le ventre, une jambe repliée sur l’autre, le drap baissé découvrant quasiment tout son corps, je le contemplai. Ses beaux cheveux frisés, son corps musclé, sa peau douce et ferme, les poils légers lui couvrant les cuisses et la raie, je dus reconnaître qu’il était très beau. Je me mis à bander. J’avais envie de lui, tellement et surtout tellement envie qu’il me prenne dans ses bras, qu’il me protège, qu’il me confirme les mots d’amour qu’il avait prononcés la vieille au soir. Mais était-ce de l’amour ? En fait, il avait la réponse. Je voulais qu’il m’aime pour être sûr de l’aimer.
N’y tenant plus, je m’approchai de lui. Je commençai à le caresser, l’effleurant à peine, puis à l’embrasser timidement dans le cou, la nuque, sur les épaules. Ma main descendit sur ses hanches ses fesses, ses cuisses. Il se réveilla avant que je ne lui prisse le sexe.
Il se retourna, s’étira, écarta ses jambes. Je continuai à l’embrasser, sur les seins, les aisselles, dans le cou. Il commençait à bander.
Puis, délicatement, il passa son bras derrière ma tête et m’attira à ses lèvres en disant : "My beautiful baby french". Nous nous embrassâmes doucement, lentement, langoureusement.
Puis je m’assis. Il en fit autant face à moi. Et je lui demandai : "est-ce que tu es amoureux de moi, je veux dire vraiment "?
Il me reprit par la nuque et colla mon front contre le sien, nos nez se touchaient, nos bouches étaient presque l’une sur l’autre.
Il me répondit qu’il était fou amoureux de moi, qu’il n’avait jamais aimé personne autant que moi avant. Je lui demandai de me le promettre, ce qu’il fit em me demandant en retour de faire la même chose. A ce moment, je n’avais plus de doute. Je le lui promis, en pleurant de bonheur.
Nos langues se cherchèrent, se trouvèrent, s’enlacèrent. Je m’allongeai, écartai les cuisses et l’invitai sur moi.
Il me couvrit, son sexe plaqué contre le mien, terriblement dur. Je mis mes mains sur son dos. Il me bombarda de baisers, vint lécher mes tétons, mon nombril. J’accrochais mes mains dans ses cheveux, le laissant avaler ma queue qu’il mangea longtemps, sans oublier mes burnes.
Je le suppliai de me sodomiser. Je relevai ma croupe. Il chercha un tube de gel mais je lui demandai d’essayer sans pour mieux sentir sa force me déchirer et avoir l’impression d’être plus à lui. Il me mangea la rondelle, l’ouvrit de ses doigts et la força. J’eus mal mais pas trop. Il fit attention, s’y reprit à plusieurs fois, entrant, sortant, jusqu’à ce que je mouille et me dilate. Enfin il fut tout au fond de moi. Il bougeait lentement, je me cramponnai à ses fesses. Nous nous palochions sans arrêt.
Puis je lui dis d’accélérer mais il fit à son rythme. Parfois, il se reculait pour mieux me bouffer les seins ou les aisselles, puis reprenait ma bouche. Mon excitation grandissait et je finis par jouir sans me toucher en sentant mon trou se contracter sur sa verge à chaque shoot de sperme.
Ma semence dégoulinait le long de mon ventre. Il y plongea les doigts, puis les lécha avant de me rouler une mégapelle pendant laquelle il accéléra brusquement son va et vient, se crispa et éjacula dans mon cul.
Il s’affaissa sur moi. Nous restâmes ainsi très longtemps. Je lui demandai ce qui allait se passer maintenant.
Il se retira, s’assit et m’attira à lui. Je m’allongeai, la tête sur ces cuisses, contre son torse sur son sexe qui sentait la sueur et le sperme.
A suivre