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Fétichisme lesbien – Chapitre 2

Fétichisme lesbien - Chapitre 2



Chapitre 2: Notre amour si particulier

Il fait nuit depuis longtemps déjà. Je suis couchée dans mon lit. Elsa, blottie au creux de mon bras, dort profondément. Je la regarde, elle est belle. Cela fait maintenant 3 mois quelle a emménagé chez moi et bouleversé ma vie par la même occasion. Je caresse lentement ses cheveux, lui bise le front et repense à la soirée qui vient de sécouler.

Nous étions toutes les deux tendrement enlacées sur le canapé. Nous étions nues sous la couverture à regarder une mauvaise rediffusion de film à la télévision. La moiteur de nos corps était agréable, nous ne parlions pas, nous profitions de ce moment partagé. Le désintérêt progressif que je portais au film amplifiait de plus en plus mon attention sur la chaleur de ma partenaire. Je sentais monter en moi un sentiment que désormais je savais apprivoiser.

Brusquement, je poussai Elsa au pied du canapé. Stupéfaite de se retrouver au sol, elle tenta de se redresser. Je la coupai dans son élan en lui appliquant la voute de mon pied sur lépaule. Frissonnante davoir quitté la douceur de mon corps, je vis cependant son regard silluminer. Sa surprise laissait désormais place à de lexcitation.

Jétais assise face à elle, cuisses ouvertes, le pied toujours posé sur son épaule, je la contemplais. Agenouillée, elle commença à prendre délicatement mon pied entre ses mains et une fois celui-ci amené face à son corps, elle entreprit de lembrasser. Je la regardais prendre soin de mon extrémité, elle était consciencieuse et appliquée.

Elle lembrassait partout puis commença à le lécher. La douceur de sa langue était exquise, elle noubliait pas non plus de sucer mes orteils, je méchauffais de la voir ainsi. Je savais que je stimulais ses sens et je retardais le moment où je déclencherais sa véritable excitation

Elsa appliquait sa langue de lextrémité de mon orteil jusquà la base de ma cheville lorsque je lui retirai rapidement mon pied et la repoussai avec par une petite tape sur son front. Docilement agenouillée, elle mobservait. Je repliai ma jambe lentement en lair de sorte que ma cheville se retrouve à hauteur de ma vulve. Je me rapprochai les fesses du bord du canapé et, cuisses totalement ouvertes je lâchai un jet durine sur mon pied. Elsa ne ratait rien du spectacle Je marrêtai rapidement, puis représentai mon pied à ma frêle compagne.

Javais allumé le feu en elle, elle se jeta avidement sur mon membre souillé et le lécha avec encore plus dardeur. Elle prenait réellement plaisir à nettoyer mon pied avec sa bouche allant même jusquà le reposer dans la petite flaque au sol afin de pouvoir à nouveau lécher le liquide sur ma voute plantaire.

Comme à chaque fois, ma jolie petite compagne se transformait en une véritable furie. Lurine lexcite au plus haut point, je laccepte et joue de ça. Jai limpression de pouvoir la maitriser de cette manière.

Elsa cétait maintenant levée, elle avait positionné mon pied entre ses jambes écartées et pissait puissamment dessus. Une fois sa miction finie elle approcha le dessus de mon pied de son sexe doù séchappaient les dernières gouttes dorées. Elle le plaqua au creux de sa féminité. Je la regardais jouir de frotter mon pied sur son entrecuisse humide. Que son sexe était doux et quel plaisir je prenais de la voir se lâcher totalement face à moi.

Les membres tendus, elle était quasiment sur la pointe des pieds, je sentais ses mouvements de bassins saccélérer. Elle frottait de plus en plus vite et vint enfin pour elle le moment de sa délivrance. Elle orgasma sur lextrémité de ma jambe. Elle était belle, son corps parcouru de frissons et son souffle haletant.

Je libérai à nouveau mon pied de sa fente, le releva à son épaule et appuya afin de linciter à reprendre sa position agenouillée. Je lui représentai le dessus de mon pied quelle se remit à dévorer. Elle dégustait le résultat de sa jouissance, ma chatte était en feu par lexcitation que me provoquait cette petite « garce » Il fallait que je jouisse moi aussi, je nen pouvais plus !

Pendant quelle saffairait toujours sur ma cheville je finis de vider ma vessie. Voyant mon jet séchapper, Elsa abandonna aussitôt ma jambe pour essayer de récupérer ma liqueur dans sa bouche. Je me vidai complètement, elle tentait den avaler un maximum et lorsquelle fermait sa bouche cela aspergeait sa petite poitrine. Elle était trempée.

Une fois mon ruisseau tari, elle sapprocha toujours à quatre pattes de ma petite chatte. Jallais moi aussi pouvoir me libérer de toute cette tension sexuelle. Quand elle appliqua sa langue sur mon sexe, je crus décharger de suite et dus faire beaucoup defforts pour profiter le plus de mon plaisir. Rapidement tout de même ses caresses orales eurent raison de moi et je fus emportée par un violent orgasme.

Le calme était revenu dans la pièce. Je me relevai, pris la main dElsa dans la mienne pour la redresser et lentrainai dans la salle de bains. Arrivées sur place, je la fis monter dans la baignoire. Elle était debout, les bras le long du corps, nous ne parlions pas. Après avoir régler le jet du pommeau à la bonne température, jentrepris de lui rincer le corps.

Elle se laissait faire, immobile. Mes mains parcouraient doucement son être, jappliquai délicatement le savon sur ses membres, jeffaçai toutes traces de notre ébat sur son corps. Je lui rinçai son adorable chevelure puis entrepris de la sécher avec soin. Je voulais faire delle ma princesse, quelle sente bon, quelle devienne ma jolie poupée

Quand elle fut toute pomponnée, je lentrainai à ma suite dans la chambre. Là, toujours sans un mot nous nous couchâmes, nos deux corps entrelacés et, après un baiser dune grande douceur, elle sendormit dans mes bras.

Je la regarde à nouveau dormir. Ce petit être a chamboulé ma vie. Cest vrai que notre relation peut paraître complexe ou malsaine aux yeux de certains, mais nous nous sommes trouvées et je Et je laime

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