On se réveillait à peine, quelques heures de sommeil, après une soirée, et une nuit brûlante. J’étais debout la première, en train de me préparer un café. Tu es arrivée derrière moi, tu t’es collée, et tu as commencé à me chauffer. Ton corps se frottait au mien, tu me caressais de partout, des bisous dans le cou, qui me donnaient des frissons. Je me suis retournée, et j’ai voulu te toucher. Tu m’en as empêché, en me saisissant les poignets. Tu continuais à te dandiner contre moi, m’excitant autant que tu le pouvais. Et tu m’as proposé un jeu… J’en ignore le nom, et s’il en a un. Tu m’as juste dit, que tu avais vu cette scène dans une série, que tu avais trouvé cela infiniment excitant, sensuel… Et que tu voulais l’expérimenter avec moi.
Les règles en sont très simples, le gagner, bien moins facile. Le but est de se chauffer en s’embrassant, mais interdiction d’utiliser ses mains. La première qui touche l’autre, a perdu. Celle qui perd, devient le jouet de l’autre, et pourra lui faire, tout ce qu’elle veut. Tu m’as demandé si je voulais jouer… Oh que oui, je veux jouer. Tu m’as alors poussée sur le lit, je me suis retrouvée assise, et tu m’as chevauchée. Tu t’es assise sur mes cuisses, ton bassin allait, d’avant en arrière, j’avais le feu entre les cuisses. Nos culottes faisaient pourtant barrière, mais ce que je ressentais était intense. Mes bras étaient placés de chaque côté de moi, si proche de toi… Tu avais les mains en l’air, et tu as commencé à m’embrasser.
Tes baisers étaient tellement chauds, ta langue dans ma bouche baisait la mienne. Tu faisais tout pour me faire perdre. Dés le moment où tu es venue sur moi, je partais perdante. Mes mains étaient à quelques millimètres de tes fesses, j’en pouvais plus. Tu me faisais de grosses léchettes sur les lèvres, je me dandinais sous toi. Trouvant que je résistais trop longtemps, tu m’as poussée en arrière avec ta tête, et je me suis retrouvée sur le dos. Tu avais les bras en l’air, ton sexe se frottait au mien, tu me dévisageais, te mordillant les lèvres. Et… J’ai craqué… Je n’en pouvais plus. J’ai passé chacune de mes mains sur tes fesses, sous ta culotte, je les ai agrippées très fort. Je les malaxais, les serrais, les desserrais, frôlant ton petit trou. Tu m’as regardé en rigolant, et tu m’as dit : " Perdu ! ".
J’étais comme soulagée, j’allais enfin pouvoir te toucher, et tu allais jouer avec moi, j’allais être à toi. Je regardais tes seins, il me faisait envie depuis tout à l’heure. J’approchais mes mains, je les frôlais presque, quand tu m’as demandé ce que je faisais. Je t’ai regardé avec des grands yeux, je ne comprenais pas. Et tu m’as dit : " Qui t’a dit que tu avais le droit de me toucher ? Tu as perdu, j’ai gagné ". Le supplice continuait donc alors. J’avais pourtant tellement envie de toucher ton visage, tes seins, ton ventre, ta chatte, te sentir vibrer au bout de mes doigts. Tu as vu ma détresse, et cela t’a amusée. Serais-tu un peu sadique ? Tu m’as donné un baiser sur les lèvres, et ta bouche est descendue tout le long de mon corps, pour venir se poser sur ma petite culotte. Tu m’as donné des petits baisers, puis des coups de langue, et tu l’as retirée, regardant ma chatte, l’air affamé.
Tu venais de retirer ma culotte, tu me regardais avec appétit. Ton regard m’excitait, j’avais hâte que tu me lèches, hâte de sentir ta langue s’insérer entre mes petites lèvres, la sentir coulisser, puis effleurer mon vagin, la sentir me pénétrer. Mais, tout ce que j’ai ressenti, ce sont tes cheveux qui m’ont chatouillée. Tu avais décidé de me faire languir. Excitée comme une puce, je te regardais l’air suppliant, mais rien n’y faisait. J’avais envie de quémander, je ne l’ai pas fait, tu m’aurais fait attendre encore plus longtemps. Pour pimenter un peu le jeu, tu es venue déposer un bandeau sur mes yeux, je ne voyais plus rien, la nuit noire. Puis, j’ai entendu un petit bruit métallique, un petit gling gling.
Tu as saisi un de mes poignets, et tu l’as emprisonné, tu as fait de même avec le second, et mes bras se sont retrouvés étirés, au-dessus de ma tête. Tu m’avais menottée, et attachée, à la tête du lit. Je t’entendais marcher dans la chambre, tu ouvrais les tiroirs… Mais qu’étais-tu en train de faire ? Je brûlais de plus en plus. Je te désirais tellement. Tu as mis de la musique, du classique. Une femme chantait, une voix enivrante, j’en étais presque chamboulée. Et puis je t’ai sentie monter sur le lit, sur le bout du lit, à mes pieds. Tu les as écartés, un peu. Juste de quoi pouvoir t’installer entre mes jambes. Mon cur s’est alors mis à palpiter… J’étais nue, mains liées, jambes ouvertes, toi entre mes cuisses, avec une vue imprenable sur mon intimité excitée.
J’ai senti cette chose douce, sur ma bouche, tu le promenais dessus, puis sur mes joues, ma gorge, mes épaules… C’était d’une extrême douceur, et me procurait des frissons. Le petit plumeau, se baladait à présent entres mes seins, il allait et venait, contournait soigneusement mes seins. Les sensations étaient fortes, je n’arrivais pas à rester immobile, le dos cambré, je gigotais. J’ai poussé un petit cri, quand les plumes délicates, ont effleuré mon téton. Je le sentais tout dur, tout gros, tout gonflé de désir, de plaisir. Plus tu le caressais, plus il grossissait, il me faisait mal, j’aurais à ce moment-là, que tu le mordes, sentir tes crocs, j’en tremble encore. Tu as fait de même avec le deuxième, puis, le plumeau a repris sa route.
Il a franchi mes côtes, mes flancs, il m’a chatouillé, et cela t’a bien amusé. Tu as bien insisté sur ces zones sensibles, coquine. Il est arrivé sur mon nombril, sur mon bas-ventre. J’étais très impatiente, de le savoir si près, à quelques centimètres seulement, d’un délicieux plaisir. J’attendais, mais il ne descendait pas plus bas… Tu l’avais posé sur mon ventre, et étais descendue du lit. Je t’entendais farfouiller à coté. Tu es revenue, tu as détaché la petite chaîne qui reliait les menottes au lit. " Mets-toi à quatre pattes ". Tu avais pris un ton sec et autoritaire. J’obéis bien évidemment. Ce n’était pas facile de se mouvoir avec les menottes, mais j’étais à quatre pattes, devant toi. Tu m’as écarté les jambes, me fis redresser les fesses, j’étais toute cambrée, pas très stable.
Ma chatte était toute humide, j’espérais qu’enfin tes doigts, ou ta bouche me donnent du plaisir, j’y croyais… Mais il me fallut attendre encore. Tu as écarté mes fesses, t’es amusée à souffler sur ma raie, sur mon petit orifice, qui s’est de suite contracté. Amusée, tu as recommencé plusieurs fois. Et j’ai entendu un " pschitt ". Quelque chose me coulait entre les fesses. Et là, ça a commencé à être intense, ton doigt est venu tournoyer sur mon anus. Je le sentais se contracter, se décontracter, de plus en plus. Il me pénétrait progressivement, jusqu’à entrer totalement, il était bien dilaté. J’ai entendu à nouveau ce petit bruit, un coup, deux coups… Qu’étais-tu en train de faire ? Une chose froide, s’est posée sur mon petit trou, tu le pressais contre, le caressais avec et…
Et… Tu l’as enfoncée d’un coup sec. Cette chose glissa en moi, s’enfonça, me faisant crier un coup. Ton joujou, ce joli petit plug me faisait déjà du bien. Pour en augmenter les sensations, tu t’amusais à le faire bouger, tu le faisais tourner dans mon petit orifice. Tu le laissas en place, me claquas un coup les fesses, et tu me dis, que je pouvais me rallonger. Je le sentais en moi, à chacun de mes mouvements, c’était très agréable. Je me suis remise sur le dos, tu as rattaché les menottes au lit, et tu es venue t’allonger sur moi. Tu as retiré le bandeau. Ton corps a recouvert le mien, tu étais brûlante. Ta chatte sur la mienne… J’avais envie que tu te frottes à moi. Tu m’as embrassée tendrement, langoureusement. Tu m’as léché le visage, la gorge.
Chaque fois que tu bougeais, je sentais le plug en moi. Bouge encore ! C’est délicieux ! Tu étais en train de dévorer mes seins, presque entier dans ta bouche, tu mordillais l’extrémité. Enfin, j’avais droit au plaisir, te sentir, te ressentir. Le plaisir était intense, l’excitation très forte. Tu frottais ta chatte contre la mienne, contre mon clito gonflé. Puis ta bouche parcourut les centimètres, sans s’arrêter, aucune étape. Elle avait hâte, je crois, de me dévorer. Elle se précipita entre mes cuisses, langue dehors, pour savourer ma fleur béante, dégoulinante. Elle fut des merveilles, me baisant furieusement, le plus fort, et le plus profondément qu’elle le pouvait, me faisait gueuler, et jouir. Un orgasme phénoménal, si intense. Mon corps fut fortement secoué, les spasmes, les contractions de mon vagin faisaient vibrer le joujou dans mon anus, le plaisir en fut décuplé.
Je me sentais épuisée. Je t’ai regardé tendrement. Tu as ôté les menottes. Mes poignets étaient ankylosés. Je les ai bougés un peu, attendant que les fourmillements partent. Et j’ai approché mes mains de toi, lentement. j’avais peur que tu me repousses de nouveau, tu n’en fis rien. J’ai caressé ta bouche, tu as donné un baiser à mon doigt. Puis j’ai caressé tes seins, je les ai embrassés, j’en avais tellement envie. Sentir tes tétons dans ma bouche, sous ma langue… Je t’ai ensuite allongée à côte de moi, sur le côté, on se faisait face, et je t’ai masturbée en douceur. Mes doigts s’enfonçaient en toi, deux, puis trois, lentement. Tu étais bien mouillée, j’écoutais tes petits cris, jusqu’à l’explosion intense, où tu as vibré. J’ai glissé ma jambe entre les tiennes, et ma chatte a continué à caresser la tienne, jusqu’au dernier spasme. Tu étais brûlante, trempée, encore vibrante… Je t’ai longuement embrassée.