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Gain en famille – Chapitre 4

Gain en famille - Chapitre 4



Ça chuchote à côté de moi.

Nicolas s’éveilla doucement, mais maintint les yeux fermés.

Que la vie est douce… enfin depuis quelques heures… et puis il y a toujours nos problèmes sexuels qu’il faudra résoudre… et la maison… nous devrons bien y retourner un moment ou un autre.

Hum ! fit-il en se contractant.

C’est moi ou quelque chose me tripote la bite.

Il ouvrit sa paupière droite d’un millimètre.

Sally se venge de ma petite incartade de ce midi. Je ne vais pas dire que je ne l’ai pas mérité, mais bon ! Je suis rentré dans leur jeu, alors maintenant…

Sally était à genoux sur sa gauche et le suçait en silence. À chaque bruit ou craquement, elle se figeait puis reprenait.

On dirait qu’elle n’a pas dit à sa sur qu’elle comptait venir me saluer… oralement, si vous me passez l’expression.

Il lui caressa la tête, elle se figea puis lui sourit. Elle continua puis lui fit une réflexion à laquelle il ne sut quoi répondre.

J’ai eu du mal à te faire bander, dis donc.

Il déglutit.

Je me suis dit au début que c’était parce que tu dormais.

Il haussa les épaules.

Et puis je me suis rendu compte que tu avais du sperme qui sortait.

Il déglutit difficilement.

Comme si tu avais éjaculé récemment. Alors quelque chose à avouer ?

Oh boy ! Qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui raconter.

Elle le masturba en attendant une réponse.

Je me suis dit que tu t’étais peut-être masturbé ?

Une réponse comme une autre.

C’est bien ça, tu as raison.

Elle serra fort la verge.

Tu as ta voix de menteur, dit-elle avec colère.

J’ai une voix de menteur ? Va falloir que j’y fasse attention ou que j’arrête de mentir…

Elle se mit debout.

Tu es passé sur maman ?

Son silence répondit à sa place.

Qui ne dit rien consent ! sexclama-t-elle en colère.

Elle enjamba le transat et releva sa robe sur sa fente d’où goûtait un liquide translucide épais.

Je pense que je vais arrêter de mentir.

Espèce de pervers !

Je te retourne le compliment. Et qui a commencé tout ça, hein ?

Elle enfonça le membre en érection en elle et ne put retenir un râle de plaisir.

Conclusion de tout ça, je n’ai rien fait pour la retenir, raisonnement logique… je suis un gros pervers.

Je suis trop jalouse, combien de fois l’avez-vous fait ?

Il releva son buste, mettant son visage en face de celui de sa sur et chuchota :

Deux fois, une dans le jacuzzi juste en face de vous et une autre après que vous soyez parties à la douche.

Elle frissonna en fermant les yeux. Lorsqu’elle les ouvrit, son regard aurait pu être celui d’un junky en pleine tripe.

J’ai joui.

Vu la taille de tes pupilles, je l’ai deviné tout seul.

Elle se jeta en avant en l’embrassant, il retomba sur le dos.

Sa langue est une tornade dans ma bouche.

Elle le libéra et le chevaucha pesant tout son poids pour enfoncer la verge au plus profond. Elle ne le quitta pas des yeux. Ils se sourirent devant le plaisir mutuel qu’ils se donnaient. Nicolas lui caressa la joue de sa main droite, Sally attrapa son pouce dans bouche et le suçota.

Il glissa la main gauche sous la jupe pour lui caresser les fesses. Il les massa avec douceur, parcourant les reliefs et descendit jusqu’à la pastille et la caressa du bout de l’index en faisant de petits cercles.

Nini, tu me chatouilles, dit-elle avec le sourire.

Cela commença à la chauffer, elle rougit puis souffla fort.

Espèce de pervers, dit-elle au bout d’un moment en fermant les yeux.

Elle accéléra ses mouvements puis repoussa les mains étrangères et retira sa robe.

Jouis pas tout de suite, j’en veux plus.

Elle se mit à accroupir les pieds sur le transat et descendit à fond. Elle couina, murmura, gémit et finir par lâcher des "Oh putain" à répétition. Nicolas n’était plus que spectateur des envies et désirs de sa sur.

Elle déglutit difficilement et se figea. La bouche grande ouverte, les yeux fermés, elle trembla puis s’écroula sur le torse de Nicolas.

C’était bon, mais je n’en peux plus.

Moi, je n’ai pas terminé.

On s’en fiche, dit-elle en fermant les yeux doucement.

Oh là ! Mais pas du tout, ça ne se passe pas comme ça.

Il la bascula sur le dos, releva ses jambes molles et la pénétra en position d’enclume. Il la besogna fort.

Nini, j’en peux plus, tu vas me fendre.

Il continua encore et encore, elle se lâcha, libérant un flot d’urine claire. Elle devint toute flasque, laissant son frère profiter d’elle. Face au regard flou de sa sur, il ne tint plus et se déchaîna encore plus.

Il jouit bruyamment, mais quasiment aucun liquide ne jaillit son urètre.

Oh bordel, c’est bon !

Il se retira et laissa sa sur sur le transat, il mit la robe sur un pater et la recouvrit d’une serviette. Il se rinça et se mit dans le hammam. Il ferma les yeux et apaisa son esprit.

Une bonne chose de faite, maintenant que je suis plus que vide, peut-être que le cours de mes pensées resta sur le droit chemin.

Nicolas somnola pendant près d’une demi-heure, il sortit du bain de vapeur avec les pores de la peau bien ouverts.

J’ai vu une pomme de douche par ici, à pas de mitigeur, ce doit être de l’eau froide.

Il laissa l’eau couler sur ses pieds puis sur ses jambes, ensuite, il se concentra pour ne pas couiner et la fit couler sur le reste de son corps.

Je suis un homme, un vrai ! Oui, oui, avec un cône et deux boules vanille.

Il passa la tête dans la zone principale et vit Sally toujours en train de dormir sur son transat, la serviette avait fini par glisser. Il se dirigea à pas de loup, tout nu vers la sortie, mais lorsqu’il s’approcha de la zone de douche commune, il entendit sa mère et Tina se laver.

Elles vont sûrement retourner dans le jacuzzi.

Alors qu’il s’éloignait, il entendit son nom et décida de rester écouter leur conversation.

Je ne sais plus trop comment réagir avec Nini maintenant que tout ça est arrivé, dit Tina à sa mère.

Marine prit le temps de la réflexion avant de répondre.

Il faut revenir à ce que tu as toujours connu, il faut oublier tout ce qui est arrivé sauf le fait d’avoir gagné à l’Euro-million.

Tu as raison, mais je pense que ça va être dur.

Je le sais mon cur.

Tina se rapprocha de sa mère et lui dit d’un ton plus joyeux :

Au fait maman, je trouve que tes seins sont énormes en ce moment.

Marine les prit en main et répondit :

T’es sûre ? Je ne trouve pas qu’ils soient plus gros que d’habitude.

Elle les relâcha et frotta ses cheveux sous l’eau pour les rincer. Tina en profita pour les saisir et les malaxer. Nicolas ouvrit les yeux grands comme des soucoupes.

Mais qu’est-ce que tu fais ? demanda leur mère.

Elle voulut s’écarter, mais Tina resserra sa prise.

Comment ils sont lourds, dit Tina, j’espère que j’aurais les mêmes un jour.

Arrête, veux-tu, lui dit Marine.

Sa fille fit pointer les tétons et joua avec.

J’ai bien l’impression qu’elle ne veut pas vraiment arrêter, je pense même que ça va ne faire qu’empirer.

Alors comme ça, moi, je n’ai pas le droit, mais Nini, lui, il peut te baiser, te faire sucer sa queue et te téter les seins ?

Marine déglutit difficilement et plaida avec une voix chevrotante :

Je ne vois pas de… quoi tu parles.

Maman, dans le jacuzzi, je somnolais juste et j’ai bien vu Nini te baiser et s’occuper de tes nichons.

Aïe ! De toute façon, ce n’est pas ma faute, mais celle de Maman.

Elle commença à descendre une main sur le ventre de sa mère.

Et je suis sûr que vous l’avez refait plus d’une fois ensuite et qu’avec Sally, il s’est aussi passé un truc.

Sur le canapé ? J’avoue là… c’était peut-être un peu ma faute.

Sa main continua à descendre. Marine sut tout de suite qu’elle ne pouvait rien dire à sa fille et elle était certaine que Tina la testait et qu’elle n’irait pas plus loin. Dix secondes plus tard, elle sut qu’elle s’était lourdement trompée lorsque des doigts fins la pénétrèrent.

Je me demande ce qui est gluant entre mes doigts ? demanda Tina en l’air.

Elle est douée pour trouver des éléments de confirmation à ses suppositions.

Marine décida de prendre les choses en main. Elle se tourna et saisit Tina par les cheveux et l’embrassa sur la bouche. Surprise, celle-ci se laissa faire.

Qu’est-ce que je disais…ça a vite dégénéré…

Leur baiser fut long et devint vite sauvage. Tina libéra sa bouche et se jeta sur les seins de sa mère qui ne lutta pas. Les caresses qu’elles se donnèrent touchèrent à chaque fois au but.

C’est bon ce que tu me fais, mon cur.

Eh oh ! Moi aussi c’était bon !

Tina se releva et embrassa sa mère. Marine pinça doucement les tétons turgescents de Tina, puis à son tour, suça les seins de sa fille. Elle prit son temps et caressa en même temps la fente humide et toute douce de Tina.

Maman, je sens que… je…

Marine enfonça son majeur tout doucement.

La mère passe à la vitesse supérieure.

… Oh… je vais…

Elle commença un va-et-vient de son doigt et n’hésita pas à l’enfoncer profondément. Elle suça les tétons comme elle-même aimerait qu’on lui fasse.

Elle s’applique dis donc, je pense qu’elle ne va pas tarder à la faire jouir.

OH MERDE ! cria Tina en jouissant.

C’est du rapide.

Elle glissa au sol, soutenue par sa mère. Elles s’allongèrent tout en s’embrassant, la fille passa au-dessus et massa les seins de Marine puis recommença à les sucer, puis descendit vers la fente offerte. Marine écarta les jambes pour laisser la place à sa fille. Celle-ci n’hésita pas une seconde et se jeta sur le sexe.

Ouh ! fit Marine, lorsque la langue glissa le long de sa fente.

Tina s’arrêta et fit une réflexion à sa mère :

Nini doit s’être bien lâché… j’ai le goût de son sperme sur toute la langue.

Marine ne répondit pas, se contenta d’attraper ses cheveux et la forcer à reprendre son office. La langue pénétra le sexe de quelques millimètres. Un filet de sperme et de cyprine mélangés coula et fut goulûment aspiré.

Oh, ma chérie, j’adore ce que tu me fais.

Et moi j’adore voir ce que vous vous faites.

Tina trouva sa position, elle se mit à quatre pattes en se reposant sur ses coudes. Elle attrapa les grandes lèvres et joua avec à l’intérieur avec sa langue. Son fessier bien remonté offrait une vue splendide.

Cette position est une invitation à la pénétration.

Elle suçota le méat et mit un petit coup de langue sur la pastille en dessous. Un frisson parcourut sa mère, surprise par la sensation. Elle continua à lécher la zone entre le méat et l’anus, remontant un peu quelques secondes puis redescendant sur le petit cercle.

Dis donc, ta langue est bien aventureuse.

Nicolas ne voyait pas les détails.

Aventureuse ! Qu’est-ce qu’elle veut dire par là ?

Je viens de me doucher, mais ce n’est pas obligatoirement très prop…

Tina enfonça son index dans l’anus de sa mère. Celle-ci se crispa, mais se détendit rapidement en sentant son clitoris se faire chahuter.

Elle lui a mis un doigt dans le cul ?

Nicolas bandait maintenant dur comme une barre de fer.

Je pensais être vide, mais il me semble que j’ai encore un peu de force et d’envie.

Il ouvrit doucement la porte et s’approche de Tina. Sa mère le regarda en se léchant les lèvres et l’invita de la main à prendre sa sur en levrette. Il se mit à genoux et attrapa les hanches et pénétra sans difficulté le sexe offert.

Merde Nini ! cria-t-elle surprise.

Il commença un lent va-et-vient.

T’aurais pu prévenir…

Te disperse pas, la coupa sa mère.

Marine lui attrapa la tête pour la coller à sa fente. Elle regarda son fils et dans son regard, il put lire toute la luxure qui l’habitait. Des râles commencèrent à se faire entendre.

Tina, ta chatte est en train de me dévorer la queue comme une bête sauvage.

Marine pouffa et dit :

J’ai la même sensation.

Sous les compliments et la verge qui la ramonait, Tina eut de plus en plus de mal à ne pas crier de plaisir et poussa des cris de bête. Nicolas y répondit en poussant son membre jusqu’à la garde.

Aaaaah ! souffla Tina en s’écroulant à moitié sur le ventre de sa mère.

Eh, dit celle-ci en grondant son fils. Titi n’a pas terminé alors évite de me la mettre KO.

Je ne peux pas me retenir, répondit-il en recommençant à labourer sa petite sur.

Il frissonna sous un courant d’air. Sally, toute nue, entra et tira la tête de son frère en arrière.

Alors comme ça, on n’attend pas Sally.

Désolé mon cur, dit sa mère, mais c’est vite parti en sucette.

Sally observa sa sur qui avait une expression d’extase sous les coups de boutoir de leur frère. Elle ronchonna un peu et embrassa son frère. Elle caressa ensuite les fesses de sa sur de sa main droite et celle de son frère de la main gauche, puis elle descendit sa droite et enserra de son index et son majeur la verge qui coulissait dans Tina.

C’est chaud, et sa chatte palpite.

Elle remonta ses doigts sur l’anus de sa sur et joua un peu avec. Sa sur eut de nombreux râles de plaisir en réponse.

Ça fait trop envie de vous voir comme ça, mais je ne sais pas où mettre, dit-elle avec un mélange de tristesse et de jalousie.

Je pense que j’ai une petite idée, dit Marine en invitant sa fille à venir vers elle.

Elle lui intima de lui chevaucher la tête. Sally se mit debout au-dessus d’elle, elle se baissa en écartant les genoux, ce faisant, sa fente s’écarta et libéra un long filet de sperme qui chuta sur le bout du nez de sa mère. Elle arrêta sa descente et il y eut un moment de silence.

HA HA HA, s’esclaffèrent Nicolas et Sally, qui furent pris d’un fou rire.

Tina se releva pour voir ce qui les amusait tant et vit un nouveau filet, encore plus épais, éjecté du sexe de sa sur par ses rires, sa mâchoire se décrocha. Marine ne riait pas du tout, elle bougeait le visage de droite à gauche pour éviter la semence, mais le résultat fut décevant pour elle. Sa face se recouvrit de liquide blanchâtre presque translucide. Cependant, loin de s’énerver, elle se retrouva au comble de l’excitation et attira sa fille vers son visage. Marine prit possession du sexe, elle caressa la vulve avec ses lèvres, puis de sa langue, le pénétra de quelques centimètres. Sally passa du rire aux gémissements en un quart de seconde.

À cette vue, Nicolas reprit ses coups de reins et Tina baissa la tête, un sourire gourmand sur sa bouche au retour de la sensation. Elle regarda derrière elle et jeta un regard vicieux à son frère.

Elle veut sûrement que j’accélère le rythme.

Ce qu’il fit promptement, elle gémit à son tour. Les visages des jumelles se rapprochèrent, leurs regards se croisèrent et ne se lâchèrent plus.

C’est trop bon, chuchotèrent-elles d’une même voix.

Leurs lèvres s’effleurèrent à plusieurs reprises, puis se collèrent. Elles s’étaient déjà embrassées plusieurs fois pour s’entraîner, mais en cet instant, elles laissèrent libre cours à leur bas instinct. Elles sortirent leurs langues et se léchèrent mutuellement. Nicolas apprécia la vue, mais commença à souffrir des genoux, il s’allongea sur Tina qui fut forcée de se mettre au sol, la tête contre la vulve de sa mère qu’elle recommença à travailler au plaisir de sa mère.

Nicolas se retrouva avec les mains au sol.

Mes genoux me remercient et en plus, la position est intéressante.

Tina, allongé au sol et les jambes complètement écartées, se laissait besogner méchamment par son frère. Elle tendit les fesses pour qu’il puisse aller plus profondément.

Sally vit disparaître le visage de sa jumelle pour voir apparaître celui de son frère, pas troublée, elle l’embrassa à pleine bouche.

J’ai beau avoir éjaculé de nombreuses fois et je suis quasiment sûr que cela joue sur mon endurance, cette orgie va arriver à son terme pour moi. Mes bras ne tiennent plus et je suis sur le point d’éjaculer… quelque chose… du sperme ? Je ne sais pas s’il m’en reste, mais par dame nature, cette petite partouze improvisée va me vider de mes dernières forces.

Il s’enfonça dans le sexe en grognant bruyamment, les lèvres scellées par Sally. Tina sentit la verge aller plus loin et elle cria :

Oh Nini, tu es en train de me défoncer, je vais…

Elle jouit en même temps que lui, ils s’effondrèrent, suivis par Sally qui ne compta plus ses orgasmes subis entre les mains expertes de sa mère.

Marine se leva et se cala dans le même sens que ses enfants et laissa couler l’eau de douche sur leurs corps poisseux.

À leur réveil, ils se demandèrent bien ce qui leur était passé par la tête. Marine se leva avec difficulté, les muscles endoloris d’avoir dormi à même le sol. Nicolas, qui n’était guère plus vaillant, avisa une radio pour salle de bain et regarda l’heure.

Je dirai que l’on a dormi une bonne demi-heure.

C’est ce que mon dos me fait savoir, dit Marine.

Je me sens vide à l’intérieur, dit-elle en s’approchant de son fils pour l’aider à se relever. Je ne sais absolument pas ce que je vais faire de la fin de journée.

Tu te sens vide ? répliqua Nicolas. Laisse-moi rire, je suis vide au sens propre comme au figuré. Toi tu devrais plutôt dire "je me sens pleine".

Elle lui fit la moue, il continua :

Et pour ce qui est de la journée, tu devrais plutôt parler de soirée, il va bientôt être 19 heures.

Bordel, dit Marine. On a pris rendez-vous au resto à 30.

Nicolas leva les yeux au ciel et secoua ses surs.

On se lève, je veux tout le monde habillé dans 20 minutes.

Elles se levèrent et enlacèrent leur frère avec amour, lui faisant de petits bisous dans le cou.

Les filles, vous n’aurez plus rien de moi pour au moins trois jours, le temps que je refasse le plein. Et je parle aussi pour toi Maman.

Marine se retourna sur le pas de la porte, avec une moue innocente et dit dans un état second :

Trois jours c’est long, on en reparlera demain.

Elle tituba jusqu’à sa chambre, laissant son fils dans les griffes de ses surs.

Trois jours, cria-t-il, tu m’as bien entendu… j’espère que tu…

Tina l’embrassa tout doucement sur la bouche lui coupant la chique. Après quelques secondes, Sally tenta en vain de repousser sa sur, une petite bataille de bouche eut lieu sur la sienne. Il finit avec deux langues dans sa bouche chahutant la sienne.

Qu’est-ce qu’elles ont, elles aussi ?

Leur baiser à trois tarda à s’arrêter.

Et merde ! Ce n’est pas possible, j’ai une demi-molle, elle n’est pas encore exploitable, mais je sens que si je les laisse faire, elles vont réussir à en faire quelque chose.

Il se prépara à les repousser, mais Tina laissa la place à sa sur.

Ouf ! Une de moins à s’occuper.

Sally transforma le doux baiser en embrassade folle. Nicolas commença à se laisser prendre au jeu, surtout quand Tina commença à lui biser le sexe.

C’est très doux comme sensation.

Sally lui caressa le dos avec ses ongles, cela grisa un peu plus son frère. Tina commença à lécher la verge encore un peu molle comme une grosse glace, sa langue se faisant présente sur le plus de surface possible.

Stop !

L’alerte sonna dans son esprit, il fit un mouvement brusque repoussant ses surs. Sa verge échappa à Tina et vint la frapper dans l’il, elle s’écria :

Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu viens de me coller ta queue dans l’il.

Il sauta loin des diablesses et dit :

Bien fait pour toi ! J’ai dit trois jours, trois… jours.

Il fuit la salle de bain, laissant Sally les yeux fermés la bouche entrouverte et Tina à genoux une main sur son il gauche.

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