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Games Of Chaos – Chapitre 19

Games Of Chaos - Chapitre 19



CHAPITRE XIX

BEAT THEM ALL

Queues en mains, ils se relèvent tous promptement, mais leur chef semble exploser. Il écarte les bras pour leur faire signe d’arrêter, en faisant résonner la salle de son cri :

– Personne ne bouge, moi d’abord !

On aurait dit une meute de loups. Je m’étais laissée dire que lors d’un repas, le chef de meute mangeait toujours en premier, pour rappeler sa supériorité sur le reste du groupe. Cet homme venait de faire exactement la même chose.

Je soupire de soulagement en le voyant retirer nerveusement sa tenue, sentant que je n’allais pas pouvoir tenir encore longtemps. J’écarte un peu plus les jambes pour lui faire signe qu’il est le bienvenue.

Une fois nu comme un ver, il s’agenouille devant moi et positionne son sexe sur ma vulve, puis la pénètre sauvagement et aisément d’un coup de reins, celle-ci s’humidifiant abondamment depuis le début de ma danse. Il m’agrippe fermement les cuisses, puis commence un va-et-vient soutenu dans mon ventre, encouragé par mes gémissements naissants.

– Rah… Putain… Trop bon… De la bonne… Profitez-en les gars…

Tout en étant secouée par ses mouvements amples et fermes, je vois les silhouettes nues des six autres hommes se dresser autour de ma tête, à genoux eux aussi, pointant mon visage avec leurs sexes, m’en affichant plein la vue.

– Suce !

– Suce salope !

– Suce !

– Suuuce !

Trop secouée pour faire quelque chose de précis, j’ouvre et referme machinalement mes lèvres, espérant attraper quelque chose. L’un d’entre eux a le réflexe de faire entrer son gland dans ma bouche, que je commence à sucer avec engouement. Les autres me frottent le visage de leurs verges, comme pour expulser leurs frustrations. Je recrache celle que j’ai en bouche pour tourner la tête et en attraper une autre. Je change ainsi de queue toutes les quelques secondes, le ventre toujours pilonné par les assauts de leur capitaine.

Personne ne dit quoi que ce soit de compréhensible, mais ils poussent tous de courts râles graves, et je gémis de temps en temps inconsciemment devant tant de verges dressées pour moi. Je continue de changer régulièrement celle que je suce, pendant que les cinq autres se masturbent énergétiquement en attendant leur tour. Mais leurs expressions de visage sont de plus en plus crispées. Je connais cette tête. C’est celle que font la plupart des hommes avant de jouir. L’un d’entre eux confirme mes pensées :

– Putain, écartez-vous…

Celui que j’avais en bouche se retire juste à temps pour esquiver un jet de sperme chaud envoyé par son camarade et traversant mes lèvres, suivis de quelques autres arrivant sur l’une de mes joues.

– Moi aussi…

Celui qui vient de dire ça pointe son gland en face de mes yeux, comme si il souhaite réellement m’aveugler. Je ferme mes paupières juste avant d’y recevoir plusieurs coulées dessus, m’interdisant de les rouvrir.

Alors que leur chef ne change absolument pas le rythme de son mouvement en moi, les quatre autres râlent à l’unisson tandis qu’ils jouissent sur mon visage. Souriant à pleines dents, je ressens le plaisir liquide et chaud me recouvrir littéralement le visage, atterrissant sur mon nez, mon front et mes joues, puis coulant sur mon cou, dans ma bouche et sur mes cheveux. Je recrache cette matière amère entrée dans ma bouche, achevant de recouvrir mon menton.

Il ne faut plus que quelques secondes avant que le capitaine ne vienne brutalement se coller aussi profondément qu’il le peut à moi pour se vider silencieusement au fond de mon ventre. Puis il se retire, me lâchant les cuisses – qu’il a tenu si fermement que je dois avoir une marque – et me laissant seule et aveugle au milieu de la salle, le visage recouvert de la semence de ses soldats.

Je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi intense. La situation m’a tellement excitée que je me surprends à rire. Allongée sur le dos, probablement encore encerclée par ces hommes, je suis en train d’aborder un grand sourire derrière mon masque blanc, et suis prise d’un long rire nerveux, tandis que les commentaires commencent à fuser autour de moi.

– Regardez cette salope… Elle adore ça…

– Pire, elle en redemande !

– T’aimes recevoir notre sperme sur le visage ?

– Venez les gars, dégageons-lui les yeux.

Je sens des extrémités de verge me caresser les paupières pour tenter de me rendre la vue. C’est très galant de leur part. Je rouvre un il, puis l’autre, et sourit de plus belle en voyant les mines ravies de ces mâles autour de ma tête.

– Une vraie perle, cette fille.

– La meilleure pute d’Imilchi. De loin.

– Elle en veut encore !

– Retourne-toi, montre-nous ce cul.

Ne pouvant résister à cette offre, je me laisse rouler sur le côté pour leur offrir cette vue tant convoitée. Plusieurs d’entre eux passent une main dessus, ou appuient, testant sa souplesse.

– Putain de cul !

– Ça donne envie d’y mettre sa pine !

– Ouais, j’en veux !

– On peut l’enculer ?

C’était à son chef que cette dernière question s’adressait. Il secoua la tête avant de décider :

– Vous savez quoi ? Profitez d’elle un bon coup, je viendrai après… Mais le meilleur morceau est pour moi. Personne ne rentre dans son cul.

Ses hommes poussent un cri de victoire à l’unisson avant de me prendre et de me relever debout, pour finalement jeter une masse grouillante de mains et de bouches sur la totalité de mon corps. Ils affectionnent particulièrement mes fesses, ma vulve et mes seins, qui se font tous trois lécher, caresser et malaxer avec passion.

Je sens l’un d’entre eux prendre mes fesses en se montrant particulièrement insistant pour me déplacer. Il est allongé sur le dos, juste en dessous de moi, et tiens sa queue bien verticale. Guidé par ses mains, je m’accroupis sur lui, sentant son membre me pénétrer aisément. Je sautille presque sur place, heureuse et épanouie de sentir ce sexe remuer en moi.

En voyant ma tête à hauteur de leurs verges, ses confrères me les présentent, m’invitant à m’en occuper, ce que je fais avec plaisir : d’une main, j’en attrape une pour en maintenir le gland dans ma bouche tandis que celle que j’attrape avec l’autre a juste droit à une masturbation régulière et rapide. N’ayant que deux mains pour ces cinq messieurs, je change régulièrement, laissant échapper un petit cri de plaisir à chaque fois que je fais sortir une verge de ma bouche.

Mais malgré mes soins, ils deviennent vite jaloux de celui que je fais glisser le long de ma paroi intime, aussi l’un d’entre eux fini par me donner une fessée sèche pour aboyer :

– À quatre pattes !

Je lache prise et me relève, les jambes tremblantes après un tel exercice. Je me jette à quatre pattes sur la moquette et me cambre, tête tournée pour tenter de voir qui va me prendre. Celui qui m’a claquée se précipite pour faire glisser son sexe sous mes fesses et le positionner à l’entrée. Je ferme les yeux, puis pousse un grand cri de joie en sentant le long membre s’enfoncer violemment en moi. Il m’assène ensuite une série de puissants coups de reins, secouant mon corps sur toute sa longueur, jusqu’à faire osciller ma tête. Un autre me l’attrape pour la faire cesser de bouger, puis place sa verge juste devant moi.

– Ouvre la bouche !

Le corps toujours remuant sous les puissants coups reçus derrière moi, j’ouvre comme on me le demande, laissant une note aiguë en sortir jusqu’à ce qu’on vienne l’étouffer. Une fois son sexe bien installé sur ma langue, il ne remue même pas, se contentant de profiter des caresses que mes lèvres lui procurent en étant secouées par l’ondulation de mon corps.

– Oh putain, c’est trop bon…

Je lève les yeux, voyant les siens fermés sur son visage. Il semble effectivement dans un état de béatitude total. Mais il est sans doute encore loin du mien. Après avoir été excitée comme jamais, je suis baisée brutalement sur un sol de moquette, entourée de mâles en rut attendant impatiemment leur tour.

Alors que je pense bientôt jouir, celui qui m’assaille laisse généreusement sa place à un de ses amis, qui ne met que quelques secondes à se caler confortablement en moi, m’agripper les hanches et me baiser sauvagement. Celui qui maintient sa verge dans ma bouche fait de même, se faisant remplacer par un autre, qui lui semble vouloir plus : il m’attrape l’arrière de la tête pour me tirer à lui, caressant le haut de ma gorge avec son gland.

C’est dans cette position complétement bloquée que je finis par jouir, exorbitant les yeux et me faisant étouffer un cri de plaisir. Tandis que mes deux amants actuels ne ralentissent même pas leurs mouvements pendant cet orgasme – pour mon plus grand bonheur – leurs camarades s’en rendent bien compte :

– Bien joué les gars ! Vous venez de la faire jouir !

Ils se retirent tous les deux, puis m’agrippent les bras et les jambes pour me retourner et me lâcher sur la moquette comme un vulgaire tapis. L’un d’entre eux vient se poser sur moi, posant ses mains à côté de mes seins, et me pénètre à son tour sans aucune douceur, commençant un missionnaire rapide, le visage ahuri juste en face du mien. Je vois tout son désir et son plaisir à quelques centimètres de mon visage. C’est divin.

Je sens quelque chose me tapoter le front. Je plie mon cou pour tourner ma tête de sorte à regarder derrière moi, le visage à l’envers. Je me retrouve alors face à une autre verge, trempée de par un proche passage en moi. Visiblement, le fait que ma tête soit dans une position presque acrobatique ne le gêne pas le moins du monde, et il se force un chemin entre mes lèvres pour se placer sous ma langue. Celui-ci, j’ai du mal à ne pas le toucher avec mes dents.

Il s’en rend rapidement compte, et souhaite promptement changer de position. Il se retire, permettant à celui qui était sur moi de me tenir fermement et de rouler sur le côté, m’emportant ainsi au-dessus de lui. Étant resté emboité avec moi durant la roulade, il reprend aussitôt son mouvement rapide du bassin, en me maintenant les cuisses contre lui. Très vite, l’un d’entre eux, en voyant ma bouche gémissante ainsi libre, vient en colmater l’orifice, tandis que je suis à quatre pattes au-dessus de mon amant.

Tout en me faisant limer la vulve, je sens quelque chose se frotter à mes fesses, comme cherchant un passage.

– Hey ! J’ai dit : son cul est à moi !

– Vous inquiétez pas…

Aidé par la cyprine que j’avais laissé couler sur son membre, un troisième glisse son gland sous mes fesses pour passer entre elles, ressortant par le haut et les poussant fermement l’une contre l’autre pour compresser sa verge. Tout en me pinçant ainsi, il commence à remuer lui aussi des hanches, son gland ressortant de l’autre côté.

– Je me branle dans son cul putain ! C’est trop bon !

J’aurais sans doute complimenté le garde moi aussi si je n’avais pas la bouche pleine. Le sentir ainsi remuer entre mes fesses est certes un peu douloureux, mais également plaisant, bien que loin d’égaler celui qui me pénètre encore et encore en restant allongé sous moi.

– Venez tester son cul les gars ! C’est unique !

C’est de derrière moi que vient cette phrase. Celui qui se masturbe frénétiquement entre mes fesses se retire pour se faire rapidement remplacer par un autre, prenant la même position, mais serrant encore plus fort et bougeant encore plus vite, comme si il avait décidé d’en finir. Ma bouche change également d’hôte, ne me laissant même pas le temps de dire un mot entre chaque fellation. Le veinard étant situé en dessous est complètement bloqué, et continue de profiter pour lui seul de mon joyau.

– Oh putain ouais, c’est trop bon… Je vais jouir…

Respectant ses promesses, et sans ralentir son frottement, celui qui est derrière moi envoie trois nouveaux jets au-dessus de mon dos, le premier atterrissant entre mes omoplates, le second entre mes reins et le troisième coulant lentement le long d’une de mes fesses. Quelques secondes plus tard, son voisin du dessous fait de même, poussant un râle de jouissance en se vidant dans mon sexe après l’avoir gardé trop longtemps pour lui. Je l’accompagne moi aussi d’un gémissement étouffé en sentant ainsi mon ventre se remplir de son plaisir.

– Bouge de là si t’as fini !

Ils se retirent tous et m’agripent pour me relever et me faire accroupir sur l’un d’entre eux, qui était allongé sur le dos. Guidée par mon excitation, je commence instinctivement à monter et descendre pour m’enfoncer sur ce pieu.

Sans recevoir aucune demande, mes mains attrapent les deux premières verges que je vois et les masturbent énergétiquement, pointée en ma direction. Le dernier d’entre eux se place debout devant moi pour plaquer son gland sur mes lèvres, forcer un passage et heurter ma langue.

Alors qu’ainsi, satisfaisant quatre hommes à la fois, je sentais un autre orgasme approcher, ils jouissent presque à l’unisson, me remplissant le ventre et la bouche, et m’aspergeant la poitrine, recouvrant mes seins de plaisir chaud.

Je lâche leurs queues, et lorsque celui qui était en dessous de moi se retire aussi, je m’écroule sur le dos, le visage béat, complètement essoufflée.

Je tente de lever la tête pour les apercevoir. Ils sont tous accroupis ou allongés, au moins autant épuisés que moi. Ils me regardent, la mine souriante, fiers de moi.

– Quelle pute !

– La meilleure du monde !

– Et jeune pourtant !

– Regardez-ça, elle est couverte de sperme !

– Et elle a adoré ça !

– Vous savez quoi ? Elle mérite une récompense !

Ils s’échangent un regard complice, puis se relèvent. Sans que j’ai le temps de comprendre, quatre d’entre eux m’attrapent chacun un membre pour me tenir en l’air, cuisse écartées. Les deux autres se placent entre elles, et passent chacun une main sur ma vulve gonflée et trempée. L’un d’entre eux passe deux doigts à l’intérieur, tandis que l’autre frotte et pince mon clitoris. Je crie de surprise de plaisir.

– Allez salope, c’est le moment de jouir !

– Allez jouis !

– Jouis pour nous !

Je relâche complètement mon corps, savourant le moment. Ceux qui me tiennent les bras ne le font qu’avec un seul des leurs, profitant de l’autre pour me malaxer chacun un sein. Ils se mettent tous à aboyer à l’unisson :

– Jouis ! Jouis ! Jouis ! Jouis !

Je sens l’orgasme venir. Il vient au grand galop. Ils accélèrent tous leurs frottements. Ma bouche s’ouvre toute seule, une longue note de plus en plus forte commençant à en sortir.

– Jouis ! Jouis ! Jouis ! Jouis !

Mon corps surélevé et complètement relâché est foudroyé d’un orgasme démentiel, faisant trembler chaque muscle et m’arrachant un hurlement de jouissance. Ils crient de joie en me voyant ainsi, avant de me lâcher sur un coussin, puis de s’effondrer autour de moi.

Je reste allongée sur le dos, inerte et heureuse. Je remarque que la musique douce n’a pas cessé autour de moi. Ça fera surement une parfaite berceuse.

Mais une silhouette se dessine devant mes yeux qui sont sur le point de se fermer. Je cligne frénétiquement mes paupières pour tenter de mieux la discerner. Il s’agit du capitaine, les bras croisés, le sexe dressé et la mine souriante. Lui est loin d’être rassasié.

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