GANG BANG A LA CASERNE
Je me présente : je m’appelle Benjamin, j’ai 40 ans, et je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine qui en a 35. Nous pratiquons un sexe libre et sans limites. J’ai déjà raconté sur ce site quelques aventures.
L’histoire que je vais raconter s’est produite début décembre dernier. Suite à 15 ans dans la même caserne, je suis muté à un poste plus administratif pour finir ma carrière. Ayant appris ma nouvelle affectation début novembre pour le mois d’après, je profite donc de notre Sainte-Barbe traditionnelle pour faire un pot de départ. Delphine insiste pour être présente en prétextant que malgré toutes ces années passées dans la même caserne, elle n’y a jamais mis les pieds. Ce qui est vrai par ailleurs. Elle me laisse sous-entendre en plus que l’on pourrait en profiter pour réaliser un de ses fantasmes, qui est de se faire baiser dans un camion. Cette idée n’est pas pour me déplaire, bien au contraire.
Les jours passent, et une idée bien plus perverse me vient en tête : j’aimerais, après l’avoir baisée dans un camion, la lâcher en pâture au reste de la garde pour la voir se faire souiller par près de 25 pompiers en rut. Après avoir analysé les pour et les contre, je fais part de mon idée à Delphine une semaine avant la date fatidique.
Delphine, tu peux venir ?
Oui, j’arrive. Qu’est ce que tu veux ?
Delphine, assieds-toi ; je dois te parler d’un truc important.
À quel sujet ?
Au sujet que tu m’as demandé dernièrement.
Pour ma présence à ton pot de départ ?
Tout à fait. Voilà le topo. Je veux bien que tu viennes
SUPER !
Attends, j’ai pas fini. Si tu viens, j’ai des conditions à te soumettre.
Tu me fais peur, là C’est quoi, tes conditions ?
Tout d’abord, je veux bien pour la baise dans un camion, et ceci plutôt deux fois qu’une. Mais après, je voudrais te voir te faire baiser par tous les pompiers de la caserne, et ce jusqu’à la fin de la fête.
Tu es d’accord ?
J’ai le droit de réfléchir ?
Oui, bien sûr, mais je dois prévenir de ta venue à ma prochaine garde.
C’est quand ?
Demain.
Salaud tu pouvais pas me dire ça plus tôt ? C’est impossible ; du coup, qui va garder les petits ?
T’inquiète pas pour ça : j’ai demandé à mes parents s’ils pouvaient les garder, et du coup ils viennent les prendre vendredi soir.
Et si je refuse de venir ?
Tu auras ta soirée pour toi toute seule.
Tu es un sacré comploteur ! Tu n’as pas peur que ça jase dans ton dos après si j’accepte de me faire baiser par tes collègues ?
Tout ce qui se passe en caserne reste en caserne. Et puis tu ne seras pas la première à te faire baiser en groupe.
Ah bon ? Ça arrive souvent ?
Non, mais ça c’est déjà fait.
Et pour tes potes qui viennent à la maison ?
Je m’occupe d’eux, et en plus ils pourront m’aider si je suis dépassé par les événements.
Delphine repart dans la salle de bain finir de se préparer pour la nuit. Moi, je me lave les dents et file me coucher pour l’attendre. À son arrivée dans la chambre :
Je suis partante.
C’est vrai ?
Oui, mais à une condition.
Laquelle ?
Je ne veux pas être présentée comme ta femme ; je veux que tu me fasses passer pour une salope que tu as soulevée en boîte et que tu prêtes pour l’occasion.
OK. À part les quatre qui t’ont déjà vue, personne ne sait à quoi tu ressembles. Du coup, c’est faisable. Mais pourquoi tu veux passer pour une salope ?
Pour qu’ils ne se retiennent pas. Quitte à en prendre pleins mes trous, autant que ce soit sans retenue !
OK. je cale tout ça sur mes prochaines gardes, et toi prépare tes trous car tu vas prendre cher
Eh bien allons-y maintenant, alors !
Sur ces paroles, Delphine plonge sous les draps et commence à me tailler une pipe magistrale. Ma main glisse sur son corps en direction de sa vulve ; elle est déjà plus que trempée. Je la doigte allègrement tout en me faisant sucer. Je constate que d’aller se faire sauter par plusieurs mecs dans quelques jours la met en appétit. Ce soir-là, je la prends par tous ses trous, et plusieurs fois dans la nuit. Au petit matin, je pars à ma garde les couilles vides et le gland douloureux et rouge.
À la caserne, je me retrouve avec mes quatre meilleurs potes, Ludovic, Jérôme, Fabien et Nicolas dans ma chambre ; je leur explique la situation.
Écoutez-moi ; Delphine va venir à la Sainte-Barbe.
Oh merde !
Nous qui voulions te faire une surprise pour ta dernière journée
Doucement, les mecs ! Je ne vous ai pas tout dit encore.
Bah, accouche alors. Qu’est-ce qu’il y a de si important ?
Bah voilà. Delphine me tanne depuis plusieurs années pour venir à une de nos fêtes. J’ai toujours refusé, mais là elle a mis dans la balance une chose que je ne pouvais pas refuser.
Quoi ?
Si je l’autorise à venir, elle veut bien se faire baiser dans un camion.
Ah ouais Elle paraît pas comme ça.
Attendez, c’est pas fini. Je vous ai déjà raconté comment je la baise et avec qui ?
Oui, oui, mais on sait que tu nous phrases !
Et bien, à cette soirée, Messieurs, j’ai l’honneur de vous informer que vous et tous les pompiers présents à la caserne pourront se faire Delphine !
Oooooooooooh ! Tu nous dis de la merde, là, c’est pas vrai !
Si : elle veut se faire baiser dans une caserne, elle va passer par toutes les bites présentes.
Et comment tu vas faire ?
Ché pas encore. Elle veut passer pour une salope que j’ai soulevée en boîte, mais je sais pas quelle histoire raconter pour expliquer sa présence à la soirée.
Un silence se fait dans la chambre.
Et si tu la faisais venir pour qu’elle fasse Sainte-Barbe en personne ? Elle nous fait le discours habillée en toge, et après elle passe la soirée avec nous. Tu la baises en premier, et après on arrive avec les autres pour le deuxième round.
T’es pas con, mon Ludo Je sais maintenant pourquoi on est potes !
De rien !
Et nous, alors ?
Eh bien, vous m’aidez pour la logistique.
Tu veux quoi en logistique ?
Pour commencer, au moins 100 capotes.
Tant que ça ?
Oui. On va être entre 20 et 25, elle va se faire baiser toute la nuit, donc il faut au moins ça.
Même nous on mettra des capotes ?
Non, pas vous quatre, ni moi d’ailleurs. Ensuite il faut de l’huile d’olive ; prenez-en un bidon de 5 litres, et de la vierge bio.
Il y aura que ça de vierge dans la soirée !
Rires collectifs.
Elle sait combien nous serons ?
Non. Elle pense sûrement que nous ne serons que les huit de gardes habituels.
Elle va être surprise
C’est aussi le but ; une fois sur le fait accompli, elle ne pourra que subir cette joute interminable.
T’es un débile, et Delphine aussi d’ailleurs !
Je ne vous mentais pas sur ses exploits ; et encore, vous ne connaissez pas tout.
Bah, au point où on en est, tu peux tout nous raconter maintenant.
OK, mais avant on cale tout pour sa venue.
D’acc !
Donc je pensais, pour pas de merde après, à l’entrée de la remise (l’endroit où sont stationnés les camions). Toi, Fabien, tu prendras tous les portables des mecs.
Et s’ils refusent ?
Ils ne rentrent pas.
OK.
Dans des saladiers, nous mettrons les capotes en libre-service.
Je gère les saladiers, propose Nico.
Mais tu veux vraiment la faire baiser par tous les mecs sur le sol en béton ? s’inquiète Jérôme.
Tu n’as pas tort ; c’est vrai que ça va être rude sur le béton derrière les camions !
Je pensais à la salle de musculation au sous-sol, précise Jérôme.
Pas bête ! En plus, sur le tatami, ce sera nickel ! Et pour la gestion du flux, idem.
Après avoir mis toute la logistique en route entre les interventions, nous nous réunissons comme tous les soirs dans ma chambre. Les quatre loustics n’attendent qu’une chose : en apprendre plus sur les exploits de Delphine, et maintenant qu’ils savent que je ne raconte pas des craques, ils écoutent avec une attention religieuse. Ils n’en reviennent pas ! Ils demandent même si Alexandra ne peut pas être présente à la petite sauterie. Ils ne perdent pas le Nord, mais je leurs dis que non, désolé. Cependant je me dis que ce serait pas mal de faire une soirée privée avec eux quatre, Delphine, Alex et moi ultérieurement.
La nuit est bien entamée quand nous décidons d’aller nous coucher. Il nous reste encore une journée à faire derrière.
Le lendemain, j’envoie un message à Delphine pour lui dire que tout se goupille bien, et que les seules choses qu’elle doit faire c’est d’aller chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale et de trouver une toge style romain. Après ses interrogations sur la toge, elle accepte et part en shopping.
Aujourd’hui, c’est la Sainte-Barbe. Hormis les personnels de garde, tous les autres s’habillent dans le thème de l’année pour fêter ce jour. Cette année, ce sont les plages californiennes. Toutes les festivités sont prêtes ; je communique avec Delphine par SMS pour orchestrer son arrivée. Discrètement, je la fais monter dans ma chambre pour qu’elle se prépare et j’attends son message pour annoncer son arrivée. Je reçois le top départ. Je prends la parole :
Messieurs, comme chaque année, Sainte-Barbe va nous faire son discours de bénédiction et introniser les jeunes sapeurs de l’année. Faites place à Sainte-Barbe !
Sous les applaudissements et les sifflets d’encouragement, Delphine pénètre dans le réfectoire. Elle a laissé détachés ses longs cheveux noirs ; seul un fin bandeau doré marque la délimitation entre sa chevelure et son front. Elle est drapée d’une toge d’un blanc immaculé ceinte d’un ruban rouge qui lui marque les hanches. Au balancement de sa poitrine lorsqu’elle marche, je constate que Delphine ne porte pas de soutif. Dans une main, elle porte une branche de laurier et de l’autre une plaque avec le dessin de notre compagnie. Elle me surprend : elle s’est investie entièrement dans son rôle.
Après un petit discours, elle demande aux jeunes sapeurs de se mettre en file devant elle. Ils s’exécutent sans rechigner. Elle demande un bol rempli de bière ; on le lui pose sur la table à côté d’elle. Elle demande au premier de mettre un genou à terre, tel un chevalier prêt à être adoubé ; une fois dans la position, elle trempe le rameau de laurier dans la bière et le bénit avec. Elle lui dit de se relever. Une voix dans l’assemblée se fait entendre :
Embrasse-la !
Il commence à s’approcher de sa joue quand je dis :
Non ! Sur un sein : ça te portera chance !
Sans perdre une seconde et me jetant un regard qui en dit long sur ses intentions, Delphine fait glisser une des bretelles de sa toge et dévoile un des ses seins. Sous une acclamation collective, le jeune s’approche timidement de cette mamelle laiteuse qui lui est offerte. Delphine lui dit :
Alors, tu attends quoi ? Tu n’es pas le seul !
Il l’embrasse timidement et laisse son tour au prochain. Ils s’enchaînent les uns après les autres, plus ou moins timides. Il y a en même un, plus hardi que les autres, qui lui tête carrément le mamelon sans retenue. Une fois tous passés et sous une dernière salve d’applaudissement, nous offrons à Delphine une bière et nous trinquons à Sainte-Barbe. Le repas se passe normalement, alternant quelques histoires salaces et des récits d’interventions marquantes. Les mecs restent courtois avec elle, hormis quelques mains au cul de temps en temps. En milieu d’après-midi, j’attire Delphine dans la remise où se trouvent les camions.
Choisis ton camion et je te baiserai dessus.
La grande échelle !
Parfait.
Je l’attrape par la main et l’entraîne vers le camion. Arrivés à ce dernier, je sors ma bite et la lui présente.
Si tu veux monter dessus, il va falloir que tu me suces d’abord !
Sans un mot de sa part, elle se met à genoux et gobe ma bite d’un trait. Elle me suce divinement bien, alternant entre des gorges profondes et des gobages de couilles. Je la relève, lui retire sa toge et constate qu’elle ne porte pas de string : elle a passé sa journée sans sous-vêtement, mêlée à des pompiers en rut. J’étale sa toge sur le parc échelle et invite Delphine à se mettre à quatre pattes dessus.
À peine en position, je lui pénètre la chatte sans avertissement, ce qui lui arrache un petit cri de complaisance. Je suis comme un animal en rut ; la voir se faire embrasser le seins devant tout le monde et les regards que lui lançaient les autres m’ont excité. Je martyrise son con, et avec mon pouce je commence à lui dilater sa rosette. Toujours en la baisant, je lui enfonce maintenant deux doigts dans le cul, je sors ma bite de sa chatte d’un coup et remplace mes doigts en m’enfonçant jusqu’à la garde d’un trait. Elle crie de nouveau, je la lime si fort qu’elle a du mal à rester stable.
Le moment fatidique arrive : je gicle au fond de ses entrailles ; Delphine jouit pour la première fois de la journée. Une fois fini, je la retourne et lui présente ma bite à lécher ; elle sait ce qu’elle a à faire. Elle lèche ce morceau de chair qui se ramollit déjà pour le rendre propre. Une fois terminé, je me rhabille et lui dis d’attendre sans bouger ni parler. Je m’éloigne de l’échelle et rejoins mes quatre acolytes qui, derrière un autre engin, ont filmé toute la scène.
À vous, les mecs. Soit vous la baisez en premier et après vous ameutez les autres, ou vous allez chercher les autres tout de suite.
Ils se regardent, et après quelques instants de réflexion ils décident de la descendre dans la salle de musculation et d’aller chercher les autres pour le début des festivités. Deux vont la chercher et la descendent pendant que les deux autres retournent dans le réfectoire chercher les autres pompiers volontaires pour une partie de baise.
Quand j’arrive en bas avec ma caméra pour filmer, Delphine est déjà à l’uvre. Elle est à genoux en train de sucer les deux qui l’ont descendue. Elle ne s’est pas rhabillée ; ils l’ont mise sur les tatamis dans le fond de la salle, un endroit confortable pour la suite de la journée. De plus, ils sont face à des miroirs : elle pourra voir sa performance en direct.
Un premier groupe nous rejoint rapidement. Ludo se retire vite de sa bouche et se jette sur son cul : il veut être le second à l’enculer. Je m’en doutais qu’il la désirait depuis le premier jour qu’il l’avait vue ; j’aurais dû lui proposer un plan à trois plus tôt. Delphine est maintenant à califourchon sur Ludo, la bite calée dans ses entrailles. Elle a une bite dans chaque main et un autre lui baise littéralement la bouche en la tenant par les cheveux. Certains lui malaxent les seins, d’autres la doigtent.
Celui qui était dans sa bouche la jette en arrière après l’avoir bifflée, ce qui lui fait lâcher les deux bites et tomber à plat-dos sur Ludo. Ce dernier lui saisit les deux seins et s’active dans son petit trou ; elle geint de plaisir. La bite encore mouillé de la salive de Delphine, il met une capote et se présente maintenant à l’entrée de sa chatte luisante de mouille. Il entre sans résistance. Lui et Ludo la liment à l’unisson. Cette double pénétration lui arrache deuxième orgasme. Delphine s’agrippe aux bites qui sont à portée de ses mains et les branle frénétiquement. Les deux branlés se vident sur son visage et dans ses cheveux ; ces giclées lui déclenchent encore un orgasme. D’autres s’avancent à leur tour. Ludo et son partenaire de la double pénétration se dégagent, retirent leur capote et giclent sur le corps de Delphine.
Les trous de Delphine ne restent pas vides longtemps. Ils sont remplacés tour à tour par d’autres plus en rut les uns que les autres. Je ne compte plus les orgasmes de Delphine. Elle se retrouve maintenant à quatre pattes en train de sucer Jérôme allongé sur le dos. Celui qui lui pilonne la chatte ne la ménage pas ; il est doté d’une bite énorme (pour info, sa bite mesure 26 cm pour une circonférence de 17 cm), ce qui lui a valu le surnom de « Petit Poney ».
Il décide de visiter son rectum ; il présente son gland. Malgré que son cul soit déjà dilaté, il pénètre difficilement. Nicolas lui dit de retirer sa bite et lui donne en même temps un entonnoir. Il le cale dans le cul et y verse une bonne dose d’huile. Après cette lubrification, Petit Poney présente une deuxième fois son gland qui entre plus aisément. Le reste de sa colonne prend plus de temps pour la pénétrer. Delphine est obligée d’arrêter sa fellation de temps en temps pour se concentrer sur la dilatation de son cul.
Il est enfin enfoncé jusqu’à la garde. Il lui claque violement le cul et commence à la limer de toute ses forces. Delphine crie, des cris de douleur mélangés à des cris de jouissance ; ses seins cognent le sol et les cuisses de Nicolas. Peu à peu elle se relâche, ne laissant échapper que des cris de jouissance. Elle recommence à sucer les bites qui se présentent à elle, subissant les jougs dans son cul. Petit Poney se retire, arrache sa capote et gicle à son tour sur le dos de Delphine. Il se relève, laissant un anus dilaté à l’extrême après son passage. Elle est maculée de foutre, elle n’est plus qu’un bout de chair ointe de semence mais elle en demande encore.
Deux courageux décident de lui prendre le cul ensemble. Ils y arrivent assez facilement ; pas étonnant, après le passage de Petit Poney ! Comme les autres, ils se terminent sur son corps et son visage. Le groupe se vide petit à petit. Le jeune sapeur qui lui avait gobé le sein s’encanaille : il plonge sa main dans le broc d’huile et présente ses doigts à l’entrée de son vagin. Il la pistonne d’abord timidement ; encouragé par les derniers qui ne sont pas encore remontés, il s’active. À un moment, Delphine ne pouvant plus tenir lui attrape le poignet et s’enfonce elle-même la main du sapeur dans la chatte. Elle lâche un cri de jouissance une fois qu’elle est arrivée à ses fins. Le sapeur reste bouche bée.
Qu’est-ce que tu attends ? Fiste ma chatte de pute !
Le sapeur s’exécute. Il commence à la pistonner ; elle hurle de plaisir. Il sort son poing et le rentre d’un coup. Un autre lui enfonce sa bite au fond de la gorge pour la faire taire. Il se vide dans sa bouche. Les derniers se branlent au-dessus d’elle et répandent leur foutre sur elle. Il ne reste plus que le sapeur. Il retire sa main et l’encule à son tour ; il entre sans aucune retenue. Il éjacule dans sa capote, bien calé au fond des entrailles de Delphine. C’est le dernier à partir.
Après avoir fait quelques photos d’elle et surtout du résultat de ce gang bang je remonte aussi pour aller chercher de quoi essuyer Delphine avant de l’aider à monter prendre une douche. Elle est méconnaissable : une couche épaisse de foutre la recouvre entièrement, son maquillage a coulé ; elle ressemble à un raton laveur. Ses cheveux font des sortes de dreadlocks avec la quantité de sperme de mes collègues qu’elle a reçue.
De retour dans la salle de musculation, l’odeur de foutre me prend le nez ; j’entends des gémissements. Pensant d’abord qu’il s’agit d’un gourmand qui est revenu, je m’approche sans faire de bruit pour les mater à l’aide des miroirs. Je rage en mon for intérieur d’avoir laissé ma caméra dans ma chambre lorsque je suis remonté chercher des serviettes. Arrivé à un endroit stratégique, par jeu de miroirs je peux observer la scène sans être vu. Je reste sur le cul : ce n’est pas un pompier qui provoque ces gémissements ; c’est Riff, le chien de la caserne, un mastiff de couleur fauve. Il est en train de la lécher. Delphine est sur le dos, les jambes relevées, et Riff lui lèche le visage, les seins et le ventre ; il a l’air de se régaler ! Je commence à bander. Je remonte dans ma chambre tel un éclair pour aller chercher ma caméra.
Quand je redescends, Riff est maintenant en train de lécher l’entrejambe de Delphine. Je commence à filmer. Delphine lui caresse la tête et lui appuie dessus comme pour lui dire de la laper plus profondément. À un moment, elle le repousse avec ses pieds ; elle s’y reprend à plusieurs fois car niveau force, elle ne fait pas le poids. Elle finit par y arriver. Elle se met à quatre pattes et, en tapant sur sa cuisse pour l’appeler, elle dandine son arrière-train. Riff comprend ce qu’elle lui demande : il plante sa truffe dans sa fente et passe de grands coups de langue. D’un coup, sans prévenir, Riff se retire de la fente de Delphine et vient poser ses pattes avant sur le dos de Delphine qui, sous son poids et par surprise (il fait 90 kg environ) s’écrase le visage sur les tatamis.
Elle se retrouve la gueule écrasée sur les tatamis, les bras le long du corps et le cul en l’air, dans l’impossibilité de se relever. Delphine veut se retirer de cet assaut, mais la seule chose qu’elle arrive à faire c’est de faire glisser les pattes de Riff qui les met de part et d’autre de ses hanches. Il commence à approcher son train arrière en faisant déjà des gestes saccadés comme s’il l’avait déjà pénétrée.
Delphine tente de nouveau de se sortir de là, dandinant de plus en plus son cul. Riff présente son membre rose tendu et suintant à l’entrée de l’anus de sa maîtresse d’un soir. Elle est prise au piège. D’un dernier coup de reins, Riff la pénètre d’un trait. Elle crie de surprise. Je décide de m’approcher un peu plus pour filmer de plus près. Ni l’un ni l’autre ne me captent. Un liquide blanchâtre sort de son cul pendant que Riff l’encule. Il redonne un coup de reins sec suivi d’un autre. Au troisième coup de reins, ses boules entrent à leur tour. Delphine est prise de spasmes orgasmiques. L’accouplement dure quelques minutes ; Riff s’assagit mais reste toujours bien calé au fond du cul de Delphine. Elle se masturbe en même temps. D’un coup, elle remarque ma présence :
Ben ! Arrête de filmer !
Pourquoi ? Je t’ai dit que je filmerais la journée.
Je vais tout t’expliquer !
Expliquer quoi ? Tu viens de passer un cap, Madame ; les hommes ne te suffisent plus maintenant, il te faut aussi les chiens ?
Je ne voulais pas qu’il me baise ; il m’a prise par surprise !
Arrête de mentir, j’ai tout vu depuis le début : tu l’as fais te lécher, et après tu lui as offert ton cul en te mettant à quatre pattes.
Non ! Je voulais juste qu’il me lèche, je te jure !
Qu’il te lèche Que nenni ! Tu avais encore envie de bites, et c’est la seule qui s’est présentée à toi. Mais rassure-toi, ma chérie : cette vision de tes performances ne fait qu’augmenter mon désir envers toi.
Riff finit par réussir à se retirer. Je lui fais une caresse sur la tête et lui fais signe de remonter. Je recadre sur Delphine qui s’est lovée sur le côté. Je tourne autour d’elle, constatant le résultat de ses joutes répétées. Elle présente des marques de claques sur le cul, des pincements sur les seins, son anus est béant et dégouline de foutre canin. Son dos est lacéré par les griffes de Riff. J’éteins la caméra et prends une des serviettes que j’ai descendues. J’aide Delphine à s’asseoir et l’enveloppe dans la serviette. Je lui essuie les yeux.
Ça va ?
Oui.
C’est un petit oui, ça !
Je te dégoûte pas trop ?
Pourquoi ? Pour le gang bang d’aujourd’hui ? C’est moi qui te l’ai demandé pour mon pot de départ.
Oui, mais aussi parce que je me suis fait baiser par un chien !
Ce que tu viens de faire avec Riff m’a laissé sur le cul ! Mais t’inquiète, ma chérie, je sais qui tu es, et en plus tu n’es pas la première que Riff baise devant moi.
Oui, mais moi je suis ta femme !
Justement ; je sais comment tu es quand tu es excitée : insatiable, et franchement je suis là depuis le début avec Riff. Tu crois que je t’aurais laissée le faire sans rien dire si je trouvais ça horrible ?
C’est vrai ?
Oui, c’est vrai.
Alors embrasse-moi !
Je m’approche d’elle et commence à l’embrasser à pleine bouche. Sa langue a le goût de tous les spermes qu’elle a pu avaler aujourd’hui. Je sens sa main se balader sur mon entrecuisse et remonter vers mon sexe qui est encore dur.
Ça t’a excité pour de vrai
Je ne te mens pas, ma chérie : je t’aime encore plus.
Sur ces mots, je lui retire sa serviette et commence à la doigter. Elle recommence à gémir. Ma main rentre entièrement. Mon fist lui déclenche encore un orgasme. Je sors ma bite de mon pantalon et lui enfourne dans la bouche : ses trous ont tellement été visités que je ne toucherais pas les parois, aujourd’hui. Du coup, elle me suce avec toute l’avidité et l’énergie qui lui reste. Sous son regard de chienne, je ne mets pas longtemps à me répandre au fond de sa gorge. Elle lèche ma tige pour bien la laver et se couche à mes côtés. J’ai à peine le temps de me rhabiller qu’elle s’est endormie, là, nue dans une mare immense de foutre humain et canin. Je m’approche de sa dépouille, l’enveloppe dans les serviettes et la porte jusqu’à ma chambre pour la déposer dans mon lit. Il est presque minuit. Je prends une douche et viens ensuite me coucher à ses côtés.
Au petit matin, je la réveille, lui dis d’aller à la douche et lui demande de rentrer à la maison avant le réveil de la garde. Elle sort par la porte de derrière où l’attend un taxi qui la ramène à la maison. Elle marche en boitant un peu : pas étonnant, après la prouesse qu’elle a réalisée hier !