Histoires de sexe voisins Premières histoires de sexe

GENDRE IDEAL – Chapitre 2

GENDRE IDEAL - Chapitre 2



Je suis réveillé brusquement par les vibrations de mon portable. Je dors toujours sur le canapé de Michelle mais ma queue est dans une semi érection, jai dû faire un rêve érotique…

Et plusieurs MMS me parviennent en cascade ! Je les ouvre et nen crois pas mes yeux ! Ce sont des photos de Michelle ! Nue et aussi bandante que sur des photos porno dun magazine. Je peux y voir ma belle-mère en train de sucer une bite assez grosse, de lécher un cul poilu, se faire prendre en levrette et dans dautres positions aussi salaces les unes que les autres. Je remarque quil y a plusieurs partenaires, hommes comme femmes !

Bien sûr cela me réveille complètement et je me repasse les photos en boucle ! Si on peut très facilement reconnaitre Michelle, le photographe, très pro, a néanmoins pris soin de ne pas prendre les visages des participants chanceux que Michelle lèche, suce et pompe. Je remarque que ma belle-mère sen donne à cur joie et quelle ne semble nullement forcée de faire ce quelle fait ! Elle y prend très clairement du plaisir la garce ! Mais quelle chienne je nen reviens pas !

Alors que, je repasse pour la troisième fois la série de photo, je marrête sur lune delle, cest ma préférée… On y voit Michelle, le regard lascif et la langue pendante à un centimètre de lanus dun homme plutôt poilus ! Et grand ! Je pense tout de suite à ce Bernard qui, justement est assez grand et qui ma paru le plus vicieux de la bande. Jen viens rapidement à mimaginer ma petite Julie de lautre côté de cet homme en train de le sucer La fille et la mère soccupant de ce veinard assez bien membré et très poilu, voilà qui est excitant comme jamais ! Bernard est un homme dans le début de la cinquantaine, de presque deux mètres, très poilu et daprès ce que je vois, doté d’une bite en rapport avec sa taille ! Il doit peser dans les 130 kilos sans pour cela paraitre obèse. Cest lui qui ma demandé des photos de Julie complètement à poil. Dimaginer ma petite chérie lui pomper le sexe pendant que Michelle lui lèche lanus, me fait bander très fort et mes couilles, toujours comprimées dans la culotte de ma belle-mère, sont sur le point dexploser ! Assister à un plan Q pareil me plait définitivement ! Mais comment y parvenir ?

Il faut vraiment que jy réfléchisse Et que je me calme surtout

Avec ce que Bernard vient de menvoyer, je ne peux déroger à ma parole et je me demande déjà comment faire les photos de ma petite chérie nue et consentante pour lui

Seulement, lidée que Michelle lèche cet anus et Julie sa queue me reprend Jai dû passer la moitié de la journée à bander et je nen peux plus : Je sors ma bite et commence à me masturber comme un ado. Heureusement ! Une lueur de lucidité insoupçonnée me fait arrêter cette caresse juste à temps. Je dois absolument garder mon sperme pour Julie

Jessaye de me calmer et vais à la salle de bain me refroidir, visage et bite à leau froide. Je parviens à me calmer et finis par me rendormir sur le divan de ma belle-mère.

Il est cinq heures du matin quand mon Gsm sonne. Le numéro de Michelle apparait et je prends, encore endormi, la communication.

— Salut, le mignon petit gendre !

Cest Nora, jai reconnu directement sa voix.

— Salut à vous, jolie maitresse de maison !

— Bien, il faut venir reprendre Michelle, elle a vraiment trop bu et ne peut même plus te téléphoner elle-même.

— Pas de problème !…. Jarrive.

— Ok, mon tout beau, je tattends avec impatience !

Le ton de sa voix en dit long sur ces intentions et je dois reconnaitre que cela me serait aussi agréable de passer un peu de temps à la tripoter. Je me remets à bander… mais me lève et prends le volant.

Dans les vingt minutes qui suivent, je stoppe la voiture devant le perron du manoir et vois Michelle affalée une serpillère. Je vois surtout Nora, en tenue super mini et je peux apprécier un peu plus son corps : Ses seins sont refaits, gros, ronds, fiers ! Son corps est athlétique, sa peau matte. Et ses jambes ! Putain quelles cuisses ! Elle me fixe langoureusement en retenant la tête de ma trainée de belle-mère contre sa jambe. Et cest à ce moment précis que je comprends clairement ce que je veux faire de la mère de ma femme ! Je me vois à la place de Nora, debout et tenant en laisse ma belle-mère comme une chienne. Je comprends à cet instant, pourquoi jai toujours voulu charrier, humilier et mettre mal à laise cette femme hautaine et snob. Je veux en faire une vide-couille, une esclave de sexe Mon esclave de sexe et un jouet sexuel que je prêterais à qui bon me semble et rien que pour mon bon plaisir ! Je ne savais pas encore exactement comment my prendre, mais je me savais assez malin et fourbe pour y arriver

— Enfin ! Voilà le beau et serviable gendre de notre amie !

— Re-bonsoir Nora, vous, vous êtes superbe

— Naurais-tu pas quelques instant, pour me montrer ce que tu es capable de faire à une femme dexpérience comme moi ? Hum !….

— Se serait avec plaisir, mais je dois moccuper de ma belle-mère avant quelle ne sécroule totalement Maccordez vous un délai ? (Là en revanche, je choisis délibérément de la vouvoyer)

— Quel dommage !…. Mais oui, je te laisse autre chance, tu reviendras, tu promets ?

— Avec le plus grand plaisir, et il est probable que je sois accompagné de ma femme !

— La mère, la fille et son beau mari !…. Hum !…. Un régal pour nous et pour moi en particulier ! Mais tu peux aussi revenir seul, et quand tu veux, ne tarde pas trop

Jempoigne Michelle par les aisselles et la rentre dans ma voiture comme je peux. Je constate avec un étonnement, doublé dun plaisir certain, que Michelle na plus de petite culotte et que de ses deux orifices dilatés suintent un liquide blanc-crème qui ne fait aucun doute Merde elle va tacher mes sièges !

Malgré ce désagrément, je linstalle comme je peux, fait signe à Nora visiblement triste de mon départ et emmène ma belle-mère chez elle.

Pendant le trajet, jentends derrière moi Michelle délirer et dire des choses insensées et peu compréhensibles. Jentends des « Non, pas là ». Des « Oh !…. Cest gros » et autres petites expressions qui me confirment quelle en a pris plein les trous !

Jarrive à la porter/tirer vers son lit et la laisse saffaler sur le dos. Là, à la regarder sendormir après sa nuit de débauche, je repense aux photos Je déshabille totalement ma belle-mère et avec de la corde trouvée dans le garage, je lui attache les poignets par-dessus la tête aux barreaux du lit. Je contemple sa magnifique poitrine, sur laquelle quelques bleus apparaissent et dont les tétons son toujours bien durs ! Cela contribue à me faire durcir encore plus. Je me déshabille à mon tour. Sa culotte toujours enroulée autour de ma bourse gonflée. Sa respiration est aussi un peu saccadée et elle à plusieurs renvois qui sentent alcool et sperme mélangés Quelle trainée.

Je prends Michelle en photos, inconsciente et attachée à son lit. Quand je zoome sur sa chatte, je vois le sperme qui en découle lentement. Je lui enfonce deux doigts. Cest encore tout chaud ! Mes doigts entrent facilement dans son trou gluant et irrité et je lui caresse lintérieur de la paroi vaginale. Elle réagit en gémissant. Je rentre un troisième doigt sans forcer ! Cette truie est tellement dilatée que je pourrais presque y mettre le poing ! Mais je nai pas aucune envie de plonger ma main dans cette outre à sperme qu’est devenue ma belle-mère ! En soulevant ses grosses cuisses, il constate que son anus aussi est dilaté, et rougi ! Je pense à Julie à nouveau Ma femme se régalerait d’autant de semence ! Peut être un jour jarriverais à soumettre sa belle mère au point de se faire aspirer ses trous plein de foutre par sa fille… Quel panard ça serait de les voir se gouiner toutes les deux, se partager ma queue et ma jute sur leur langue ! Quand ce jour arrivera, jaurais intérêt à me faire aider pour repaître pleinement les 2 gueuses !

C’est décidé ! ça devient un de mes plans Q à réaliser ! Mais il faut procéder par étape ! Si déjà jarrive à soumettre Michelle corps et âme, une bonne partie des autres projets serait achevée ! Mais je dois vraiment y aller à fond. Maintenant qu’elle est là, attachée devant moi, dégoulinante et saccagée je ne peux plus reculer ! Sur ces dernières pensées, je sens ma queue se dresser et la sève monter ! Je n’y tiens plus je vais éjaculer ! Tan pis pour Julie !

Je grimpe sur Michelle, maccroupis sur son torse surélevé sur la tête de lit et lattrape fermement par les cheveux. Je pousse vers sa bouche mon sexe prêt à cracher tout le sperme quil contient depuis une semaine et jai envie de tout lui foutre dans la gorge !

Juste avant de pénétrer sa bouche, Michelle ouvre les yeux et sécrie dans une lueur de lucidité :

— NOOOOON !…. PAS VOUS, FRANÇOIS !….. JE NE SUIS PAS UNE

— Pas encore, salope !…. Mais ça va venir !

Et je pousse mon sexe dans sa bouche. Jai trop fantasmé et trop bandé ces dernières heures pour encore avoir un semblant de réserve. Cest donc avec une certaine brutalité que je me mets à défoncer la bouche de ma belle-mère attachée et en mon pouvoir. Je maccroche même à la barre du lit pour donner plus de puissance à mes pénétrations buccales. Probablement, encore sous les effets de sa soirée, elle se met à me sucer et accepte cette fellation musclée. Je parviens même à entrer totalement ma grosse bite dans sa bouche, ce que je nai jamais réussi à faire avec Julie ! Quelle sensation agréable ! En moins de temps quil ne faut pour lécrire, je lui envoie au fond de la gorge, une bonne demi-douzaine de giclées de mon meilleur nectar, bien épaisses et gluantes ! Au comble de ma joie, elle avale la totalité de ma jouissance. Cest pour elle lexploit de trop et elle sombre dans une inconscience totale.

Après avoir repris mes esprits et râler sur moi de ne pas avoir pu me retenir, je délivre ma belle-mère, mais en lui rattachant un pied et un poignet de part et dautre du lit. De cette façon, elle ne pourra pas descendre, sans devoir mappeler.

Cest vers dix heures du matin que mon Gsm sonne et me réveille. Cest ma petite femme qui vient aux nouvelles et qui me demande, quand je compte rentrer

Je men veux de mentir à Julie, mais je suis sur le point de faire basculer sa mère, je ne peux vraiment pas laisser passer cette chance !

— Ecoute, ma chérie… Je ne sais pas comment de dire ça mais Ta mère nest vraiment pas bien. Elle a bu comme un trou. Je ne peux pas la laisser dans cet état ! Elle narrive à rien elle est encore en trin de cuver !

— Toi ? Tu ferais ça pour ma mère ? . Tu es sur que cest bien à toi que je parle ?

— Mais, oui, ma chérie, cest bien moi François ! Mais tu comprends que je ne peux décemment laisser ta mère dans cet état. Je reste jusquà son rétablissement et je fonce te rejoindre !

— Non François, cest moi qui arrive ! Hier soir jai Enfin ça a été trop dur de tattendre, jai besoin dêtre avec toi sinon je sens que je vais faire des conneries. Je prends le train cet après-midi !

— Mais, non ! Reste à la maison ! Je suis sûr que dici demain, ta mère ira bien mieux et je te rejoins aussitôt !

— Pas question, cest MA mère je veux être là, pour la soigner ! Et pour être avec toi, jai envie de toi. Jai pris la décision. Jappelle au boulot et je prends un train dès que possible ! Tu viendras me chercher ?

— Je, euh, je ne sais pas si, euh, je vais me débrouiller mon amour !

— A tout à lheure chéri.

Merde Moi qui croyais pouvoir grappiller quelques jours pour faire tomber de son piédestal, ma belle-mère et son snobisme, je navais plus que quelques heures Je ne pouvais pas men sortir tout seul ! Comment faire ??

Dans sa chambre, jentends ma belle mère qui appelle ! Je me lève et vais la voir, toujours bien attachée à son lit. Je rentre dans la chambre et aussitôt je suis agressé par la voix furieuse de Michelle, qui commence par me traiter de tous les noms doiseaux quelle connait.

— Je vous préviens, François, que si vous ne me détaché pas immédiatement, je porte plainte et je vous promets de faire divorcer ma fille !

— Fermez la belle-maman ! Avec ce que je possède sur vous, vous devriez fermer votre bouche à sperme et mécouter !

— DETACHEZ-MOI !

Je ne résiste pas à lui attraper un téton et à le tordre. Elle se met à hurler de douleur. – – Silence, Belle-maman ! Regardez plutôt ceci !

Je lui montre les photos de mon Gsm et elle devient blanche comme une morte ! Elle bafouille des mots sans suite et soudain, me parle comme une enfant prise en flagrant délit.

— Je vous en prie, François, ne montrer ces photos à personne !…. Détruisez-les, je vous en supplie !

— Les détruire ?…. Jamais, chère belle-maman, je vous trouve super bandante là dessus !

— Mais Mais que voulez-vous de moi ?…. De largent ?

— Ce que je veux de vous ? Mais votre soumission totale et sans condition !

— Ma Ma Ma soumission ?…. Je Jai. Jamais, je ne ferai une telle chose !

— Julie arrive cet après-midi, je vais imprimer ces photos et faire en sorte quelle les trouve par hasard Et puis je les mettrais en ligne, sur un « Blog » pour montrer ce que ma belle-mère est capable de faire. Ca craint pas un peu pour votre place au conseil municipal ça ? Et puis le club déquitation et votre association dentraide catholique, là aussi ça va vous desservir, je me trompe ?

— Non !…. Je vous en prie !…. Pas de ça !…. Je Je. Oooooh, noooon !…. Je ne pourrai jamais !

— Je vous donne une heure pour réfléchir Michelle, et pour vous y aider, voici vos jouets personnels !

Je lui montre ses trois godes de bonnes dimensions. Je vois alors sa tête se baisser de honte. Jen bande de joie. Elle lève les yeux et voit mon sexe faire une tente dans mon caleçon, car cest le seul vêtement que je porte.

— Vous. Vous êtes complètement fou !….. Ma fille se rendra compte de quel genre de type vous êtes !

— Peut-être, mais votre réputation sera brisée à tout jamais, chère belle-maman !

— Arrêtez de mappeler « belle-maman » Je ne veux plus rien à voir à faire avec vous !

— Cest ce quon va voir !

Je saute sur le lit attrape son pied libre pour lattacher de lautre côté du lit. Michelle, a les jambes écartées au maximum dans cette position. Je fais la même chose avec son bras libre et la voilà en croix, bien ouverte.

Je prends un de ses godes, le plus imposant, et commence à lui caresser la chatte. Si au début cela ne lui faite rien, quelques minutes plus tard, alors que je pistonne son vagin, avec rapidité, elle perd pied et se laisse emportée par ce plaisir forcé. Pas consenti, mais mécanique et naturel dans tous les cas. Elle jouit en moins de dix minutes de pilonnage, mais cela ne marrête pas et je continue à lui caresser le clitoris et lui pincer ses tétons, à nouveau tendus comme des mini-bites !

Une demi-heure et trois jouissances plus tard, Michelle me supplie darrêter : elle fera tout ce que je veux !

Cest un bon début, mais je ne crois pas aveuglément à ces déclarations de soumission. Je lui passe une corde autour du cou de plusieurs tours. Jy fais un nud et y glisse un autre morceau de corde pour en faire une laisse. Je la détache du lit en faisant attention à ses réactions, mais elle semble trop perturber par ses orgasmes pour pouvoir se rebeller.

— À 4 pattes, ma chienne !

— Non. Pas ça !…. Sil vous plait, François !

— Tout ce que je veux avez-vous dit !…. Et cest justement ce que je veux !

— Mais ?.

— À 4 pattes !

Je vois alors son fouet de cavalière sur la desserte, près de son chapeau-bombe. Cest un fin bâton muni au bout dun morceau de cuir plier en deux. Je tire sur sa laisse improvisée pour la faire tomber sur ses genoux et lui assène une tape sur sa fesse droite avec la cravache.

— Aieee !…. Vous êtes fou ?…. Aieeee ! Crie-t-elle sous le deuxième coup.

Elle a compris car, Michelle se met de suite à 4 pattes et semble attendre mes ordres. Je vais alors la promener dans toutes les pièces de sa maison et même dans le jardin. Arrivé devant la porte qui donne sur le jardin, Michelle me supplie de ne pas aller dehors, à cause de son voisin qui nest quun vieux porc vicieux et qui la matte à longueur dannée.

Je ne tiens compte de cette remarque et tire sur sa laisse pour sortir avec elle. Je ne suis pas deux minutes dans le jardin, que le voisin en question rapplique et regarde la scène par-dessus la haie.

— Putain de merde !

— Bonjour ! Vous connaissez ma belle-mère !

— Et comment, ça fait 15 ans quelle se fout à poil devant sa fenêtre sans rideaux pour que je la matte ! Elle me montre son cul tous les jours en shabillant !

— Vous voulez, une petite gâterie ?

— Quoi ?…. Elle fait ça aussi ?

— Pitié François pas lui ! Sil vous plait, pas ce gros porc !

— Hum !…. Je vois que vous en avez envie vous aussi chère belle-maman !…. Venez, cher voisin, elle va vous soulager de vos tensions !

Le voisin en question, est un homme dans la soixantaine, gros et un peu sale mais visiblement encore vert ! En deux minutes, il se retrouve dans le jardin de Michelle, la bite à lair.

— Sucez-le bien belle-maman !

— Non. Par pitié

— Suce le bon nougat de papy André !…. Allez avale le bien ! Dit le voisin en sapprochant de Michelle le sexe presque en érection totale.

Son sexe est loin dêtre aussi gros et grand que le mien et de ce fait, la bouche de Michelle sécrase jusquau pubis du voisin.

Michelle a de nombreux haut le cur, pas à cause de la queue du bougre, trop petite pour sa gorge experte, mais à cause de lodeur. Cest vrai que son hygiène est limite Même moi, je peux sentir quil pue le tabac, la friture et la pisse. Mais comme il la maintient bien en place, elle ne bouge pas. Je ne peux mempêcher de sortir mon gsm et de prendre plusieurs photos de Michelle suçant son vieux voisin dégoutant.

Ce dernier la pistonne comme si sa bouche était un vagin. Il jouit très vite en criant : « Avale salope !…. Avale tout ! » Le voisin reste plusieurs secondes à tenir contre lui la tête de Michelle comme pour être certain de bien vider ses couilles dans la bouche de sa voisine qui le fait bander depuis des années. Il relâche la tête de Michelle et cette dernière recrache le sperme que contenait sa bouche. Alors à coup de fouet de cavalier, je frappe Michelle pour quelle récupère, avec sa langue, le sperme qui se trouve dans lherbe bien couper du jardin.

Ses fesses seront très vite marquées de petits carrés rougeâtres et elle pleure à chaudes larmes, en me demandant « pitié ».

Je remercie le voisin en lui précisant quà partir de ce jour, Michelle se fera un plaisir de le soulager sil en ressent le besoin mais en ma présence uniquement ! Le voisin repart chez lui, joyeux comme un pinson et les couilles vides.

Je continue à promener Michelle, qui na toujours pas pris de douche depuis hier et lodeur quelle dégage commence à se faire sentir

Il nest pas loin de midi et jai faim. Je demande à Michelle de me préparer à diner, complètement nue et de faire attention à ne pas se bruler.

— Sil vous plait, François ?…. Laissez-moi me laver, je suis si, sale

— Hum !…. Vous ne puez pas encore assez à mon goût pour une vieille salope et je préfère garder vos trous bien graissés de sperme.

— Je vous en supplie !…. Vous voyez bien que je vous obéis !

« Pas encore assez, à mon gout » pensais-je. Elle avait toujours sa superbe dans son regard et je savais que si je relâchais la pression elle se reprendrait directement.

Je reçois un texto de Julie, elle doit finalement bosser aujourdhui. Ouf ! Mais elle sera bien à la gare demain à 10H36 Je me demande comment je vais lui expliquer ma façon dagir avec sa mère Alors que jéchafaude des plans et des explications plus invraisemblables les unes que les autres, Bernard, me revient en tête ! Je suis certain que cest lui le cul que Michelle lèche et cest à ce moment quune idée perverse me traverse lesprit

Jattache la laisse de Michelle à un pied de la grande table de la salle à manger et prend mon Gsm.

— Bernard ?…. Je ne vous réveille pas ?

— Non, non à qui ais-je lhonneur ?

— Cest moi, François, le gendre de Michelle !

— Ah, bien sûr ! Alors comment tas trouvé les photos, petit ?

— Bernard Elles sont encore mieux que je nespérais !

— Ravi quelles te plaisent, et avec Michelle, ça va comme tu veux ?

— Cest bien parti, mais je vais avoir besoin dun jour ou deux de plus

— Et ta petite femme ? Dailleurs noublie pas ta part du marché !

— Oh que non ! Et cest pour ça que je tappelle, jai peut-être une autre idée !

— Ah ?

— Plutôt que des photos, tu voudrais pas la voir en chair et en os ?

— Évidemment !

— Je suis bloqué avec Michelle là tu comprends, Julie pense quelle est malade. Pour toi, ça serait une occasion en or de faire sa connaissance et de laccueillir chez toi !

— Tu mintéresses

— Julie arrive demain matin 10H36 à la gare de Saint-Leu, tu pourrais aller la récupérer à ma place ? Dis lui que tu me connais, que tu me rends un service, non plutôt que tu es un ami de longue date à qui je ne peux rien refuser ! Que je te suis redevable Ca te simplifiera les démarches, et si tu ty prends bien avec elle qui sait

— Tu, tu me laisses carte blanche ?

— Tu as ma bénédiction ! Fais lui tout ce que tu veux, mais ne me labîme pas !

— Hum !…. Je nai pas besoin de brutalité avec les femmes, sauf si elle me le demande. Jai dans mon pantalon de quoi amplement les satisfaire.

— Je crois avoir vu oui ! Tiens-moi au courant surtout ! Et sache je suis preneur de MMS !

— Ok François, toi non plus, nhésite pas ! Et jai bien compris, tinquiète pas, je vais bien men occuper de ta petite femme ! Renvoies-moi sa photo de la plage, ça pourrait me servir

— Je te dois bien ça ! A plus tard.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire