Cette fois, il me semble que le moment est venu de laisser ma petite femme dans les mains dun autre homme, qui plus est, vicieux comme Bernard. Avec Julie on en parle souvent, sans jamais être passé à laction. Je prends des risques mais ça en vaut la peine ! Si Bernard sait bien sy prendre avec elle, jaurais deux jours de plus pour dresser et humilier suffisamment sa mère pour quelle mobéisse au doigt et à lil ! Je voulais avant toute chose que ma Michelle devienne ma chienne obéissante et soumise totalement.
Jai un projet pour ce soir et il est grand temps de faire un petit tour en ville ! Comme la nuit dernière, jattache Michelle sur le lit et la bâillonne avec la culotte qui ma servi de cockring la veille. Pour la perturber davantage, je lui enfourne une cagoule sur la tête et fourre dans sa culotte, bien placé sur son clito un demi citron que jai percé de nombreux petits trous. En coulant le long de sa vulve, le jus acide va lexciter délicieusement, au compte-goute
Puis je me dépêche de prendre la direction la solderie la plus proche pour trouver à ma petite pute des vêtements à la hauteur de son nouveau standing. Terminées les tenues classes, sobres et griffées ! Place au cheap et au commun. Pour à peine trente euros, je remplis mon panier de jupes vulgaires et de petits tops élimés trop petits pour elle. Je bande rien quen pensant à ses seins compressés dans ces hauts moulants
Je me dépêche de rentrer à la maison, je ne voudrais pas quelle fasse de bêtise en mon absence !
Je retrouve Michelle comme je lai laissée, à la différence quelle gémit sur le lit, la cramouille inondée dacide citrique Elle sest aussi pissée dessus la garce ! De bonne humeur, jautorise Michelle à aller prendre une longue douche chaude en ma présence et je loblige à se masturber debout dans la douche avec un de ses jouets en plastique.
Je vois bien, quelle ne met pas assez de volonté, alors avec la laisse que je lui ai laissé autour du cou, je loblige à se mettre à genoux, sort mon sexe et lui pisse dessus en visant principalement sa bouche et ses seins ! En lui pissant dessus, je commence à mimaginer tout ce que je pourrais faire de cette salope et je repense notamment aux chantiers et aux ouvriers qui nen demandent pas tant pour améliorer leur productivité.
A la sortie de la douche, je commence à agacer sa vulve et son clito avec un des ses godes. Dès quelle mouille assez, je lui enfonce le gode profondément.
— Chère belle-maman, je vous conseille de bien le garder profond, sans quoi, je me verrais dans lobligation de sortir en rue avec vous !
— Oh !…. Nooooon !….
Je vois avec plaisir quelle serre ses fesses sur la gode. Immédiatement, je vais en chercher un autre et revient pour lui caresser lanus. De temps en temps, je retire le gode de son vagin et asticote son anus. Mais elle contracte de toutes ses forces. En massant son clito je vois quelle relâche progressivement son sphincter et au moment le plus opportun, je sens un relâchement propice et pousse le gode en elle. Ce dernier senfonce de moitié dun coup !
Le cri que lance Michelle me perce les oreilles, alors je lui fourre le gode luisant de sa chatte directement dans la bouche. Son cri sétrangle et je me remets à pousser sur le gode de son cul. Enfoncé jusqu’à la garde. Je vois quelle essaye de le repousser mais je profite de cette contraction pour pousser dessus et cette fois, le bloquer sur la partie plus mince, à la manière dun plug anal.
Michelle souffle et je vois son corps se détendre complètement, jen profite et lui retire le gode de la bouche pour le renfoncer dans son vagin devenu plus étroit, à cause du gode dans son magnifique cul.
Je lui fabrique en quelques tours de corde une ceinture de contention, lempêchant définitivement de faire ressortir les deux godes enfoncés dans ses orifices écartelés.
Dans son armoire, je choisis porte-jarretelle, soutien-gorge à balconnet, bas et haut-talon. De mon shopping : minijupe et chemisier trop petit, et très léger.
— Il faudra que nous allions refaire du shopping Michelle, vos tenues sont beaucoup trop sages pour une salope comme vous ! Par contre, vous naurez plus besoin de ça ! Et je jette ses strings et culottes par terre.
— Pour fêter notre nouvelle amitié, je vous invite au restaurant ce soir !
— Mais dans cette tenue ? Je ressemble à A
— Mais, vous lêtes, chère belle-maman et je vais même vous le prouver !
— Je. Non. Vous ne pouvez pas. Me faire ça !
— À genoux ! Sortez mon sexe et sucez-le comme si votre vie en dépendait !
Jattrape la cravache de cavalier et la fait tourner au-dessus delle. Aussitôt, elle se met à genoux, avec ses mains tremblantes, elle ouvre ma braguette et sort mon sexe presque tendu. En quelques succions de sa bouche, mon sexe devient dur comme une barre dacier et au bout de dix minutes dune fellation encore incertaine, mais en net progrès, je lui jouis une purée bien visqueuse au fond de la gorge.
— Encore un peu de pratique et vous deviendrez une suceuse professionnelle !
— Je
Michelle laisse sa phrase en suspend en voyant mon visage rayonnant de joie : elle na pas recraché mon sperme !
Jusquau soir, je lui fais encore me sucer la bite de nombreuses fois, mais sans jouir dans sa bouche, je larrête à chaque fois à temps. Je dois reconnaitre que jai pas mal de difficulté à résister, mais, jessaye de brouiller son cerveau pour quelle me suce à chaque demande, sans se méfier.
Avant de quitter sa maison pour le restaurant, jordonne à Michelle de se maquiller vulgairement. Rouge à lèvre et yeux marqués de noir. Elle a vraiment lair dune pute et je bande rien quà la regarder Enfin, Michelle enfile un long imperméable léger pour cacher ses fringues de salope.
Une fois dehors, le voisin sort lui aussi sur son porche !
Je nai pas réservé, nous avons encore un peu de temps Lorsquelle comprend que nous nous dirigeons vers ce vieux vicelard, elle me supplie de partir ! Elle mobéira, tout ce que je veux, mais pas le voisin !
Comme je veux briser toute résistance en elle, je refuse de lécouter. Le voisin a compris et ouvre sa braguette immédiatement. La démarche de Michelle lintrigue, il ne se doute pas de ce quelle endure dans les trous. Devant lui, je pousse moi même la face de Michelle sur la queue ratatinée du vieux dégueulasse.
Nous sommes dans son entrée, la porte grande ouverte, Michelle à genoux et le voisin le bassin tendu vers elle. Cest un peu long Jai le temps, mais je naime pas le perdre, ce qui nous attend est bien plus excitant ! Pour presser le vieux et lamener à juter plus vite je lui fais la conversation :
— Jespère mon brave que vous ne vous êtes pas lavé la bite depuis tout à lheure ! Michelle adore sucer des queues encore un peu engluées de sperme
Ca marche, le vieux commence à grogner
— Auriez vous par hasard quelques amis aussi dégueulasses que vous, qui auraient envie de se faire vidanger les couilles par ma petite chienne ? Elle aimera ça mélanger vos foutres !
Il ne tient plus et gicle enfin au fond de sa gorge !
— Merci, cher voisin ! Et ne vous lavez surtout pas, jespère peut-être encore vous solliciter !
Michelle avale avec dégoût les larmes aux yeux Ma belle-mère doit savoir quà partir daujourdhui, elle est une vide-couille au service de qui jentends ! Et elle na rien à dire !
— Bonsoir voisin !
Sassoir dans ma voiture relève dun exploit pour Michelle car les godes en elle senfoncent encore sous son propre poids. Je lui bande les yeux.
— Le restaurant, cest une surprise Je vous trouve très en beauté !
Le trajet ne dure pas trop et je vois Michelle se déhanche tout du long, les godes en elle devant lui faire plus de bien que de mal
Le restaurant que jai choisi, vous vous en douter surement, est un routier que je connais de par mon métier. Je suis souvent sur les routes et jen connais quelques-uns où lon y mange très bien. Celui-ci à la particularité dêtre toujours très fréquenté. Le parking est plein de camions En attirant Michelle derrière moi dans la salle, je bande comme jamais : le restaurant est plein à craquer !
Notre entrée fait sensation et le silence tombe dun coup. Au bout de quelques longues secondes de calme je dis à la cantonade :
— Bonjour messieurs ! Je vous apporte le dessert !
Jouvre limper de Michelle et détache le bandeau de ses yeux. Elle est rouge de honte et tombe à genoux en me suppliant de partir. Décidément, elle ne comprend toujours pas !
— Partir ? Mais chère belle-maman vous mavez entendu ! Pas avec ce que je viens de leur promettre !
— Je vous en conjure, François Je, je ferai tout ce que vous voulez toujours, sans broncher, mais je vous en prie, partons dici, ces hommes sont tous si, si Sales !
— Fermez-là Michelle ! Cest justement parce que vous les trouvez sales quils vont visiter et remplir par tous les trous, ma chère !
Vaincue, elle baisse sa tête et les conversations ont du mal à reprendre dans le restaurant. Je vois déjà certains camionneurs regarder Michelle avec des yeux gourmands, je bande à nen plus finir. Puis un gros type derrière le bar savance vers nous lil torve.
— Les putes cest dehors !
— Mais qui a parlé de pute ? Regardez plutôt, cest pas une pute cest ma belle-mère ! Et je lemmène partout avec moi pour faire delle une vraie salope ! Pardonnez-moi de ne pas vous avoir prévenu, mais elle est en tellement en manque de bites quelle souhaiterait soulager tous vos clients avant quils ne reprennent la route !
— Hum !…. Vous demandez cher ? Je ne vois pas mes clients payer pour une pute aussi distinguée.
— Distinguée tu entends ça Michelle ! Vous lui faîtes trop dhonneur, cest une vide-couille rien de plus. Ne vous en faites pas, cest totalement gratuit ! Ma belle-mère veut juste avoir un bon entrainement !
— Ah Ok !…. Vous avez assez de capotes au moins ?
— Heu !…. Je ny ai pas pensé ! Elle aime tellement avaler…
— Bon !… Jai de quoi vous dépannez pour ce soir !
Il va vers son comptoir et me fait signe de le rejoindre. Je tire sur la laisse de ma chienne pour la mettre debout. Michelle a de gros sanglots car elle comprend ce quil va lui arriver : elle va vraiment y passer. Bouche, cul et chatte avec ces hommes gras et bourrus.
En passant entre les tables, leurs mains poilues se glissent sous sa minijupe et sur ses fesses. Elle ne porte en-dessous que la ceinture de chasteté que je lui ai confectionnée en partant de chez elle Il y a même un client qui se lève et qui lui attrape les seins à deux mains pour les pétrir. Michelle pousse un cri. Avant de se rassoir, il balance en beuglant :
— Hé, les gars !…. Ce nest pas du toc ses nichons, cest du bon gras de cochonne !
Une grosse rigolade se fait entendre dans la salle et tous les regards suivent Michelle vers le comptoir du restaurant.
— Je vais vous prêter larrière salle, jai justement un vieux matelas.
— Cest gentil de votre part !….. Ma belle-mère reviendra un autre jour pour vous dédommager des capotes et de la location du local.
— Hum !…. Si mes clients sont content et vu les prix quelle pratique, votre salope de belle-mère sera toujours la bienvenue ici !…. Ne vous en faites pas pour le dérangement !
— Vous entendez, belle-maman ?…. Vous serez toujours la bienvenue ici !
— Pitié, François !….. Je vous en supplie ne me faites pas ça !….
— Allez belle-maman, pas de chichi ! Donnez-moi votre imper !
Les larmes aux yeux et complètement soumise à mes directives, Michelle enlève son imper et me le donne. Je la conduis jusquau matelas, que le patron vient de jeter au milieu de la pièce.
Deux hommes assez poilus et vulgaires se présentent immédiatement et bavent devant Michelle.
— Elle est à vous messieurs !…. Tout est permis !
En moins de dix secondes, deux belles bites odorantes se pointent et lun des deux hommes pousse Michelle pour la mette à genoux. A peine est elle installée que les deux bites se placent devant sa bouche et se battent pour y entrer.
Pendant quelle suce les deux bites collantes, elle se fait totalement déshabiller par le patron Portugais, qui a lair de la trouver très à son goût ! Quelle nest pas sa surprise, quand il défait le nud de la corde, de trouver deux godes bien enfoncés dans les orifices de ma belle-mère ! Il ne lui laisse que ses chaussures à haut talon.
Les gros seins de Michelle sont pressés, malaxés et ses tétons tirés et pincés durement. Mais je peux constater avec ravissement que Michelle améliore ses succions sur les deux sexes au fur et à mesure, que leurs quatre mains la maltraitent. Elle me plait cette salope, je ny peux rien Quand je la vois se faire enfourner la bouche ou lanus, jai envie de lui juter dessus, dedans, partout ! Une avalanche de sperme, voilà ce que jaimerais lui mettre !
Je vois aussi que je ne suis pas le seul à mexciter, ses grandes lèvres toutes sèches shumidifient de plus en plus !
Le premier de ces sympathiques routiers jutera dans sa bouche sans se gêner et sans capote après quelques minutes daspiration ! Le deuxième, lui non plus sans capote, va lui enfoncer un sexe plus gros que la moyenne jusquau fond de la gorge ! Michelle avalera la purée en aillant des hauts le cur. Jai eu peur quelle vomisse mais la brave chienne a bien encaisser le coup ! Elle devenait une vraie professionnelle. Encore quelques ateliers et elle reviendrait la reines des salopes, mon rêve absolu !
A peine ont ils fini que pour Michelle, les choses sérieuses commencent. Trois autres clients entrent dans la salle et se déshabillent sans aucun complexe.
Les ventres sont poilus et pas vraiment propres. Ils se collent à ses fesses, sa vulve et à sa bouche pour vider leurs couilles toutes aussi poilues et collantes. Après une demi-heure passée à besogner belle-maman, en changeant régulièrement de place, ils jouissent tous les trois en même temps et remplissent trois grosses capotes ! Si pour deux dentre elles, seul le petit réservoir est rempli, la troisième contient une quantité de sperme surprenante !
Quel gâchis ! Je ne peux pas laisser perdre une gourde pareille ! Je vois une assiette trainer sur une table et me lève pour la prendre et la tendre vers les trois hommes. Ceux-ci comprennent immédiatement et y laissent tomber leur capote pleine.
Deux autres hommes entrent et prennent Michelle par le cul et la bouche. Je tends une capote à celui qui a déjà investi le cul de Michelle et en bougonnant, il se retire de son cul irrité et dilaté et enfile maladroitement la capote.
— Ne vous inquiétez pas, cette grosse pute aura votre sperme en elle de toute façon !
ça a lair de lui faire plaisir et le type se renfonce dans le cul de Michelle et sen donne à cur joie pour la défoncer de toutes ses forces.
Jusquà 22h00, Michelle va subir des pénétrations violentes, buccales, vaginales et anales sans discontinuer. Je peux même voir quelle jouit à de nombreuses reprises et quaprès une heure de cette vilaine tournante, Michelle participe plus activement à son propre viol collectif ! Elle avale les éjaculations comme une affamée et tend son cul ouvert vers les bites pas toujours très propres, mais toutes bien tendues ! Je me dis quelle avait ça dans le sang et que non seulement mon fantasme le plus improbable se réalisait, mais aussi que Michelle savère être une réelle salope de naissance. Il lui fallait juste un petit coup de main.
Telle mère, telle fille ? Il nen fallait pas non plus trop pour exciter ma petite femme, peut-être quun jour, je la verrais se faire défoncer lanus par un groupe de routiers et quelle me regardera dans les yeux amoureusement Si ce jour là je me fais en plus pomper le dard par sa mère, jaurais atteint le Nirvana !
Un des camionneurs sapproche et me demande sil peut pisser dans le cul de ma pute. Cest son fantasme à lui et la situation lui semble assez favorable…
— Mais pas de problème, mon vieux ! Mais pas sur le matelas !… Retiens-toi, on va la mettre aux toilettes dès quelle sera bien remplie. En attendant, il prend son tour dans la queue pour lui foutre sa bite dans le fion.
Je vois avec satisfaction que lassiette se rempli petit à petit avec les capotes pleines et gluantes qui sorte du cul ou de la chatte de ma vide-couille.
Deux hommes éjaculent de nouveau dans un bruit danimal en rut, lun dans la bouche et lautre dans le cul ; ce dernier se retire et enlève sa capote, pour y faire un nud et la déposer dans lassiette. Bien !
Lorsquun camionneur lâche sa bouche pour aller la prendre par la chatte, je ne peux plus résister, je bande depuis trop longtemps : Je me fais sucer par Michelle qui ne semble même pas me remarquer, embrumée dans son brouillard de plaisir. Putain quelle est belle quand elle prend du plaisir sur une bite, et surtout la mienne. Son rimmel a coulé et son rouge à lèvre à bavé. Ca lui fait un vrai visage de pute, et je prends un vrai kiffe à la voir se faire bourrer par derrière. Elle pousse de petits râles que ma queue au fond de sa gorge étouffent à chaque poussée du camionneur. Putain que je laime cette pute ! Je lattrape par les cheveux et me crispe au plus profond delle pour y décharger, encore une fois une longue série de jets de sperme.
Depuis quelle me suce, cest à dire la nuit dernière. Je constate avec un vrai plaisir quelle a fameusement amélioré sa technique ! Le fait sans doute den avoir sucé des dizaines depuis ce matin !
Vers 23h00, plus personne ne rentre dans la salle et Michelle est écroulée sur la paillasse, complètement épuisée. Avec le patron et le mec qui envie de lui pisser au cul depuis tout à lheure, nous tirons Michelle vers les toilettes, lasseyons entre deux urinoirs et lui attachons les mains au tuyau de façon à ce quelle reste bien en place.
Après une dernière bière offerte par la maison, les camionneurs défileront pour lui pisser dans la bouche et sur tout le corps. Ils seront si nombreux quà trois reprises, ils devront racler lurine sur le sol jusquà la bouche dévacuation. Michelle est toute souillée, mouillée, aspergée, trempée. Ses fringues, tout comme ses cheveux ne sont plus que des serpillères de pisse.
Lorsque plus personne ne rentre dans les toilettes et que son restaurant est vide, je demande au patron sil a deux grands sacs en plastique pour couvrir lintérieur du coffre de ma voiture. Le patron me remercie chaleureusement, je suis le bienvenu quand je veux, la prochaine fois, cest lui qui memmènera voir certaines putes quil fréquente, il est sûr que certaines me plairont beaucoup !
Il est temps de rentrer, Michelle a mérité un bon bain et un gros dodo ! Quand nous arrivons, il est trop tard pour demander à son voisin de se vider une troisième fois en elle, aucun intérêt dailleurs après tout ce quelle a pris ! Et jai encore ma petite idée.
Jinstalle Michelle dans sa baignoire et ferme le siphon. Elle somnole, encore habillée de ses fringues de pute qui sont dans un état pas croyable ! Jentreprends de déverser sur elle, et précisément, sur son visage, le contenu des trente et une capotes récoltées ce soir ! Au bout dun quart dheure de ce nappage au foutre, je ne vois presque plus le visage de ma belle-mère, englué dans ce glaçage blanchâtre
Je prends de nombreuses photos avec mon smartphone et les réajuste, si elles ne me plaisent pas.
Michelle est dans un tel état quelle se laisse faire et même lorsque sa bouche se rempli du cocktail de sperme qui lui coule dans la bouche, elle a le réflexe davaler ! Il est tard mais je ne résiste pas à lidée denvoyer une photo de mon chef-duvre à Bernard ! Pour le remercier davoir aider à soumettre Michelle et surtout doccuper ma femme pendant que je soumets sa mère à mes pires perversités. Mais va-t-il seulement reconnaître Michelle sous son masque de foutre ?
Et avec Julie, comment va-t-il sy prendre ? Jaurai peut-être dû le prévenir de deux, trois trucs Ou pas ! Sil sait y faire, ça ne sera que de belles surprises ! Il men dira des nouvelles !
Jen suis tellement excité à penser à ma femme, assis là à côté de sa mère dégoulinante que je ne peux mempêcher de me branler une dernière fois. Une énième éjaculation pour Michelle ! Certes peu abondante du fait des nombreuses jutées que jai eues depuis ce matin Il est temps de marrêter, jai cette fois mal aux couilles de mettre trop souvent vidé !
Je laisse Michelle dans ses vapeurs de sperme et à son inconscience sexuelle, me douche et me couche pour un sommeil réparateur. Je vais lui foutre la paix et la laisser se reposer, plus la peine de lattacher, elle a compris qui était son maître maintenant. Je suis assez fier delle je dois avouer, mais pas encore totalement convaincu, le serai-je jamais un jour ?
Demain en tout cas, elle aura le droit à une grande toilette et peut-être à un peu de shopping. Jai oublié la laisse et les godes au restau, il est temps dacheter du matériel de professionnel.
Demain soir, je lemmènerai voir un match de rugby ! Sur cette idée réjouissante, je sombre à mon tour.