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GENDRE IDEAL – Chapitre 4

GENDRE IDEAL - Chapitre 4



Cest vers 10h00 que je reçois un sms de Julie qui me prévient que son train à 10 minutes de retard. Je ne vais pas dire que je lavais oubliée mais moccuper de léducation de sa mère est un job à temps plein ! Jamais je narriverais à gérer ma femme et ma belle-mère sans laide de Bernard !

Dès le lever, je me trouve même excité à lidée de mimaginer comment le courant va passer entre ces deux là ! Daprès ce que jai vu des photos, je suis persuadé que cétait lui qui tendait son gros cul poilu à Michelle, cest un sacré pervers Et Julie ben Cest une sacrée salope, faut le dire. Cest dailleurs pour ça quelle ma plu ! Se marier, plus jy pense et plus je me dis quon la fait juste pour emmerder sa mère et surtout pour sentir lexcitation de pouvoir se cocufier mutuellement, et de séchanger. Elle aussi je laimais. Je rebande aussitôt en pensant à mon fantasme préféré : la mère et fille dans mon lit tous les matins ! Quel pied ce serait !

En attendant, je dois aller moccuper de Michelle, jai déjà la gaule et jai très envie de voir comment cette vieille serpillère de pisse et de foutre a passé la nuit

Quand je rentre dans la salle de bain, elle se réveille à peine. Dès le lever, sa propre odeur de chiotte lui file la nausée, et cette croute sèche dans ces cheveux la dégoute Elle se souvient surement ! Quoi quil arrive, je prends sur moi de rentrer dans la salle de bain, malgré lodeur.

— Bonjour princesse ! Bien dormi ? Vous ne men voudrez pas, mais vous étiez vraiment trop dégueulasse pour venir vous coucher près de moi. Votre lit est très confortable et je ne doute pas quun jour, vous puissiez y revenir et me tenir les couilles au chaud ! En attendant, vous allez prendre un bon bain et vous nettoyer en profondeur. Ce soir, on a un match à jouer et je vous veux en pleine forme Michelle !

— Je vous en supplie François, ça a assez duré, hier vous mavez humiliée comme aucune femme ne la été, je mérite plus de considé

-Vous ne méritez que le foutre Michelle, encore et encore Je vous ai bien vu mouiller et prendre votre pied pendant que ces gros porcs vous défonçaient la rondelle, ne le niez pas ! On vous avait pas baisé comme ça depuis des lustres et vous avez aimez ça, avouez le !

— Non, non, non Non !

— Je me lasse de ses mensonges éhontés et engage violemment le robinet de la douche. Le jet glacé la foudroie instantanément et elle se met à hurler de surprise autant que de souffrance. Leau est très froide et elle, à moitié nue

— Lavez vous, belle-maman, jaimerais que nous allions faire quelques courses tous les deux, vous pouvez mettre les vêtement que vous désirez.

Leau de la douche tiédit et Michelle se détend.

-Cest vrai !

-Evidemment ! Vous lavez bien mérité.

Ce que je ne dis pas, cest que pendant quelle se lave, jenfourne toutes ses fringues dans un immense sac poubelle que je cache dans ma voiture. A la place, je range cérémonieusement ses nouveaux vêtements : ceux que je lui ai dégoté la veille Bien sur, il ny a plus un seul sous-vêtement.

Quand Michelle me rejoint dans la cuisine, elle porte un teeshirt taillé pour une fille de quinze ans et un jean slim très serré. Cela lui dessine une silhouette exquise, pour qui aime les putes bon marché… Ses seins lourds sont compressés et ses cuisses comprimés. On dirait une grosse saucisse Je souris en la voyant. Elle a vraiment lair dune clocharde habillée par la croix rouge Elle a pleuré, je peux le voir mais, chose appréciable, elle ne geint pas en ma présence.

Je continue de lui faire plaisir et annonce que je lui ai lui ai préparé un petit déjeuner de reine, pour une chienne Croissant et café au lait comme elle laime ! Mais je lui ai fais la surprise de tout mixer et de lui verser tout ça dans une gamelle que je pose par terre. Bon appétit belle-maman ! Sans broncher, elle sagenouille et approche à quatre pattes de sa pitance. Jen juterai presque Pour la féliciter alors quelle lape sa soupelette, je lui caresse les fesses et passe ma main entre ses cuisses. Cest là quelle pousse un cri de douleur, qui me surprend ! Je la caresse de nouveau et constate quelle gémit de nouveau.

— Arrêtez François, sil vous plait, jai vraiment trop mal, jai limpression que ma chaire est à vif de mettre fait prendre par tous ces rustres

Quoi ! Ma belle-mère, abimée ? Sa chatte, son cul, interdits pour raisons médicales ? Hors de question !

— Bouffez votre pâté Michelle, nous allons vous soigner !

Sassoir dans la voiture est une souffrance pour belle-maman, décidément

Mais il faut absolument faire quelque chose, nous avons un match ce soir !

Je roule vers le petit centre commercial et marrête devant une pharmacie pleine à craquer. Quel heureux hasard Jemmène Michelle avec moi malgré ses protestations : elle accepte de me suivre sous la menace de se faire trainer avec ma ceinture de cuir en guise de laisse. Nous entrons dans la pharmacie et attendons patiemment notre tour. Je me délecte davance de ce que je vais raconter à la jeune pharmacienne dune vingtaine dannées, grande, fine, aux petits seins, brune, yeux bleus et jolie Elle a lair toute innocente, je vais me régaler !

Cest enfin à nous et je pose une main sur la nuque de Michelle, qui baisse la tête en signe de soumission. Je méclaircis la voix et entame suffisamment fort pour que tout le monde mentende :

— Bonjour mademoiselle, voilà, belle-maman a un petit problème personnel, cest assez gênant, cela concerne ses parties génitales

La jeune femme fait immédiatement des yeux gros comme des soucoupes ! Elle nen croit pas ses jolies petites oreilles.

— Nest-ce pas belle-maman ? Dites à la demoiselle où vous avez mal, ce que vous avez fait et surtout avec qui pour en arriver là !

Michelle est rouge de honte, jai limpression quelle va exploser mais je sens aussi que ça ne la désexcite pas non plus Elle marmonne entre ses lèvres :

— Jai lanus tout irrité, et le vagin aussi Jai été prise par une trentaine de rustres hier soir je

-Plus fort belle-maman, mademoiselle ne vous entend pas !

-Si, si, je crois que jai compris, ne vous en faites pas !

La demoiselle est elle aussi rouge pivoine, et elle est ravissante

-Mademoiselle, vous êtes charmante, je vous draguerais bien mais je dois dabord moccuper de belle-maman. Figurez vous que, hier soir, ma belle-mère est allée sencanailler dans un restau au bord de la nationale. Elle y a trouvé ce quelle cherchait, et même plus encore ! Sil vous plait, trouvez nous une crème miracle et ensemble, mettons fin à son supplice ! La pharmacienne commence à se détendre, elle doit sans doute croire à une blague et me fait un grand sourire ! Ses dents sont blanches, sa langue rose et douce je commence à bander à mimaginer visiter son palais avec ma verge.

Mais un affreux monsieur vient sinterposer. Il est chétif, vieux et tout rabougri et porte une blouse blanche.

— Je prends la suite Garance, va plutôt aider ta sur dans le fond du magasin. Monsieur ? Que pouvons nous faire pour vous ?

— Ah, Je déteste me répéter, regardez plutôt !

Je passe un doigt rapide entre les cuisses de Michelle qui se met à couiner de douleur.

Dans la pharmacie, les vieux et les mères de famille sont horrifiés et cest délicieux de choquer tous ces pisse-froids et ces culs bénis !

— Et vous verriez son cul, je crois que cest pire ! Elle a comme qui dirait, été punie par là où elle a pêché

Le pharmacien rabougri accuse le coup à son tour. Bredouillant un charabia incompréhensible Je commence à mimpatienter.

— Bon, on va pas y passer la nuit, le mieux cest que je vous montre !

Michelle me jette un regarde noir ! Et jadore ces yeux là Je commence à soulever son t-shirt pour atteindre le bouton de son jean mais le vieux pharmacien prend les devants, paniqué.

-Non attendez, pas ici voyons ! Suivez moi dans mon officine.

Il désigne une petite porte discrète sur le côté de la pharmacie. Nous entrons tous les trois dans un petit bureau qui na certainement jamais été rangé depuis sa création.

Le pharmacien sort une petite lampe torche de sa blouse et lallume plusieurs fois de suite pour la tester.

— Bon, montrez moi ça

Ravi de pouvoir humilier Michelle une fois de plus, je lui ouvre le pantalon pour le descendre sur ses chevilles.

-Allez belle-maman, montrez votre zézette à monsieur le pharmacien !

Le fait quelle ne porte pas de petite culotte ne lui échappe pas, et je peux voir sa vieille bite gonfler dans son pantalon de velours ringard. Il articule du mieux quil peut :

— Asseyez vous là

Michelle, mortifiée, obéit et pose ses fesses sur le bureau.

— Ecartez belle maman voyons ! Laissez votre pharmacien faire son travail !

Elle souffle de colère mais sexécute : elle ouvre très grand ses grosses cuisses pour révéler au pharmacien sa vulve irritée et rougie par le frottement dune quarantaine de queues Le pharmacien nen perd pas une miette et balaie de sa petite lampe tout le vagin rougi de Michelle. Il a lair bien excité déjà, il est tout rouge lui aussi et commence à transpirer.

— Et lanus vous semblez dire que

— Que cest pire ! Regardez seulement !

Michelle se tourne et se penche en avant. Jécarte moi-même ses fesses pour que le pharmacien se rende compte par lui-même ! Michelle pousse un petit cri quand ses chairs meurtris entrent en contact de lair ambiant.

— Bigre ! Vous ne faîtes pas semblant !

— Si vous laviez vue docteur Vous auriez vous-même contribué à cet embarras génitale Une vraie furie, hein belle maman, quelle soirée ! Des bites par paquets de trois, voire quatre !

Michelle se mure dans le silence, honteuse mais je le sais aussi, émoustillée par le récit de ses aventures à ce vieux dégueulasse de pharmacien.

— Est-ce que vous pensez que cest une allergie au latex ?

— Non, cest très irrité du fait déchauffement. Vous avez été une vilaine fille Mais pour soigner ça, je ne sais pas quoi vous donner Jai bien des crèmes apaisantes mais, il vous faut surtout du repos !

— Impossible Ce soir, Michelle joue un match important.

— Je vous déconseille le sport, de tout type

— Faîtes quelque chose docteur, Michelle vous en sera très, très reconnaissante. Vous remarquerez par exemple que sa bouche, bien que fort visitée, a été épargnée par cette vilaine irritation

La proposition a lair de le faire réfléchir plus vite !

— Il vous faudrait un remède de cheval ! Oui cest exactement ça, une crème pour animaux ! On sen sert pour accompagner les saillis, cest une pâte grasse quon applique sur les muqueuses pour les protéger en vue des rapports à répétition mais aussi pour les soigner. Elles sont utilisées sur les vaches et des juments, elles sont naturelles et très efficaces !

— Mais cest exactement ce quil nous faut ! Pas vrai Michelle !

— je vous en supplie, donnez moi nimporte quoi pour calmer ces douleurs

— Et bien, jen ai justement un pot

Dans un des tiroirs de son bureau, il sort un pot tout jaune à moitié rempli dune crème blanchâtre très épaisse. Un peu comme la colle à papier peint. Je constate aussi quil a une gaule denfer, et ne fait rien pour la cacher ! Je me demande aussi ce quil peut bien avoir fait de la première moitié du pot

— On doit lappliquer localement, en grosse quantité et masser doucement pour bien imprégner les chairs

— Et bien quest ce que vous attendez ?

Cest tout ce quil attendait ce vieux dégueulasse ! Il na pas aimé me voir faire sourire à sa fille mais pour doigter ma belle-mère là, pas de fausse pudeur !

Il plonge sa main dans la pâte, sans gants le salopard, et Michelle écarte de nouveau les cuisses. Quand il la touche, elle retient un cri qui pourrait très bien être un cri de jouissance libératrice ! Elle couine sous les caresses du pharmacien mais il semblerait que la crème soit effectivement efficace ! Au bout dune minute, les couinements se transforment en gémissements sous son massage.

-Tournez vous maintenant !

Michelle obéit et le pharmacien replonge la main dans la crème. Alors que je tiens toujours les fesses de Michelle bien écartées, il lui enfourne une bonne beurrée dans lanus et sur toute la marge anale.

-Comme je le disais, ça fait office de lubrifiant et cest très efficace contre les irritations de tout genre, même des vôtres

Michelle commence à prendre visiblement du plaisir, la souffrance senvole progressivement et je me dépêche de faire une photo delle. Avachie sur le bureau le cul à lair et ouvert sur la main chétive et grasse de crème visqueuse dun vieux machin fébrile.

-Remettez en une couche dans le vagin, nous voudrions être sûrs que ça guérisse vite et bien !

Michelle se tourne à nouveau et nous offre une vue plongeante sur sa vulve bien crémée.

— Allez-y ! Foutez en à lintérieur, faut bien me soigner tout ça !

Je nai pas à quémander beaucoup, de lui même, le vieux pervers se frotte les mains et enfonce trois doigts dans la vagin de Michelle, qui se remet à couiner ! Là je la retrouve ma petite chienne soumise ! Jaime bien la voir un peu souffrir je dois lavouer, cest là quelle mexcite le plus ! Cà et quand elle finit bien dégueulassée ! En tout cas, les quatre doigts finissent par passer tout seul, le pharmacien, qui sue maintenant à grosse goutte, re-badigeonne sa main entièrement. Il pose une épaisse couche de crème sur le vagin ouvert de Michelle et force sa main à la pénétrer entièrement. Là, Michelle beugle comme si elle accouchait, elle a les larmes aux yeux, souffle et elle a même de la bave qui lui coule le long de la gorge. Elle mexcite à mort. Je sais aussi que dans quelques instants, la crème va lapaiser entièrement, et partout. Cest maintenant ou jamais que je dois agir ! Je passe derrière le bureau et la force à sallonger. Je retire mon pantalon et lui présente ma queue, dégoulinante de miellat frais. Elle nen perd pas une goutte et ma bite en main, elle mattire plus encore de sa bouche. Elle mavale presque tout de suite et gémit pendant quelle me pompe, comme une reine !

Je peux voir que le pharmacien a entièrement passé sa main dans le vagin de Michelle et quil la fiste sans vergogne ! Michelle râle de plaisir, mais jimagine aussi encore un peu de douleur, ce qui me fait bientôt monter dans sa gorge. Mais je nai pas envie de ça, jai envie de jouir, sur son visage ! Je recule un peu en tendant ma queue et lui jette plusieurs giclées sur le front, les joues, les lèvres, les dents et les cheveux Putain que cest bon ! De son côté, le pharmacien a descendu son pantalon et toujours en fistant belle-maman, il se masturbe au dessus de son pot jaune Le batârd Il couine lui aussi et gicle en quelques jets minces pendant que du pouce, je regroupe tout le sperme que jai craché sur Michelle jusquà sa bouche. Elle sen régale la sale gueuse !

De lautre côté, le pharmacien retire sa main et referme le pot. Sa main est toute luisante. Je lui demande ce que contenait le pot avant quil ne jute à lintérieur. Malicieux, il me répond quil sagit dune crème à base de sperme de cheval, la semence est un excellent lubrifiant et cicatrisant naturel ! Il nexiste rien de meilleur !

— Et bien dans ce cas, faites en gouter à belle-maman ! Donnez lui votre main à nettoyer !

Pour le petit pharmacien, cest une révélation ! Il approche joyeusement sa main de la bouche de Michelle et comme sil lui fistait de nouveau, il lui enfonce deux, trois, puis quatre doigts dans la bouche en faisant de petits aller-retour. Michelle en a des hauts le cur et salive beaucoup. Jinsiste pour quelle aspire régulièrement pour ne pas en perdre une goutte !

-Nettoie le bien Michelle, cest bon nest-ce pas !

Quand les doigts du pharmacien son nettoyés, nous nous éclipsons.

Mission accomplie, Michelle est soignée, espérons simplement que cette crème soit assez efficace pour nous permettre ce soir au match, dencourager correctement léquipe locale !

Dans la voiture, je reçois un texto de Bernard, il est à la gare et attends Julie, son train vient de stopper sur le quai. A cette annonce, je bande aussitôt !

— Au fait Michelle, vous savez que Julie est dans le coin pour le weekend ?

— Julie ? Que voulez vous dire ? Comment osez-vous ?

— Nan, nan, nan, vous voyez, vous vous fâchez tout de suite !

— Je vous préviens ! Elle ne tolèrera pas une seconde les outrages que vous minfliger ! Votre chantage est infâme et elle vous obligera à y mettre un terme !

— Ta fille, ma femme, est bientôt entre les mains dun ami commun, quelquun que, daprès les photos que jai reçu de sa part, tu connais intimement ! Vilaine bouffeuse de cul poilu !

— Grand Dieu, Bernard ! Vous navez quand même pas jeter ma fille dans les bras de ce pervers !

— Ah oui ? Continue Michelle, tu mexcites !

— Cet homme, vous ne le connaissez pas, sa lubricité na pas de limite ! Il aime les hommes comme les femmes, cest une véritable aberration de la nature, insatiable, démoniaque !

-Tout de suite les grands mots ! Moi je laime bien la nature de ce type ! Bernard et moi allons devenir très amis, et Julie et lui vont faire connaissance dans quelques instants. Ne vous en faîtes pas, nous aurons des nouvelles tout au long de la journée, il ma promis quil nous enverrait des photos deux !

-Ma fille

-Ah, ma femme ma petite salope à moi Jaime de plus en plus lidée de la partager

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