Jhabite encore chez mes parents : je suis étudiante en 3° année de médecine. Jai beaucoup de travail à faire chez moi : je tiens trop à devenir une sommité plus tard. Jai mis ma chambre dans la mansarde, au dernier étage. Je ne dérange personne en étudiant très tard le soir.
Jai toujours la même envie avant de dormir : je tiens à me masturber jusquà lorgasme. Mon équilibre physique en dépend. Jai même acheté un godemiché des plus simples pour me remplir le cul.
Jai vite remarqué, en démarrant lannée, que la chambre de bonne voisine, appartenant à une autre personne de limmeuble, était vide. Une de mes collègues de lécole de médecine cherchait une chambre. Laffaire vite conclue, je me trouvais une copine. Nous étions dans le même groupe, ce qui facilitait nos révisions.
Je me réserve le samedi soir pour me détendre en allant voir un film. Ce soir-là, jentre relativement tôt, vers minuit et demi. En passant dans le couloir, jentends comme des gémissements. La porte de la copine est entrouverte. Curieuse comme toute femme qui se respecte, je jette un regard. Ma copine Gilette est couchée, nue, les jambes bien ouvertes, sa main sur sa chatte qui fait des va-et-vient.
Le spectacle mélectrise. Je suis tellement excitée que je la regarde en mettant ma main dans mon jean et mon string, à la recherche de mon clito. Jaccompagne ses mouvements, tellement que je me laisse prendre par le plaisir sans plus moccuper de ce qui se passe. Je suis sur le point de partir dans un bel orgasme quand je sens une bouche sur la mienne. Au lieu de me faire cesser, ma main continue pour que je jouisse vite.
Gilette cherche à mentraîner vers un rivage que je ne connais pas du tout. Mes expériences en matière de sexualité se sont réalisées avec des garçons qui mont presque toujours fait jouir assez pour me satisfaire. Je vais la rejeter, quand elle passe sa main sur ma chatte en appuyant sur la braguette du jean. Là, je ne refuse rien. Jentre à sa suite dans sa chambre. Elle est contre moi, nue, et moi encore habillée, membrassant toujours. Cette fois, sa langue entre dans ma bouche. Cest aussi bien quavec un homme. Je fonds quand elle défait mes vêtements pour me trouver aussi nue quelle. Je ne sais que faire, la branler, la caresser, bref je suis totalement dépourvue didées, alors quelle prend la direction en me dominant.
Gilette commence par me caresser les seins. Impeccable démonstration de son expérience. Je sens ma poitrine durcir. Je pense au fond de moi-même « pourvu quelle narrête pas ».
Nous nous retrouvons, je ne sais comment, allongées sur le lit. Ses lèvres entourent un de mes tétons pendant quune main caresse en descendant vers le ventre. Normalement, je crains les chatouilles, alors quelle passe vers le nombril. Jai hâte quelle aille plus bas. Elle est bien plus lente quun homme pour arriver sur ma chatte. Au lieu de plonger sa main directement sur mon sexe, elle caresse les jambes jusquaux pieds.
Enfin, elle caresse les mollets, puis lintérieur des cuisses. Toujours très lentement, elle arrive là où je ne lattendais pas : mon anus. Cest monstrueux le temps quelle a mis. Cest le diable en personne qui la guide quand elle caresse sans appuyer son doigt sur le cul. Je ne sais plus comment me mettre tellement cest agréable. Je crois même que je commence à transpirer à cet instant. Je suis secouée dans tous les sens quand je me contracte en entier, le corps pris dans un orgasme comme je ne connaissais pas. Quand jouvre les yeux, elle est assise, toujours à hauteur de mes hanches : Gilette regarde ma chatte avec attention.
— Cest beau ton con quand tu jouis.
— Merci de ce que tu mas fait.
— Ce nest rien à côté de ce que je vais te faire, tu ne pourras plus te passer de moi pour la baise.
Elle dit ça à une hétérosexuelle. Je ne suis pas, loin de là une amatrice de filles, quoique ce quelle vient de me faire connaître, jamais un homme, même en me sodomisant, ma fait connaître pareil plaisir si intense, alors quelle ne ma pas pénétrée.
Sa main vient prendre possession de ma chatte en entier. Je sens ses doigts monter vers le clitoris en passant lentement entre les grosses lèvres, le haut du vagin. Dun seul doigt léger, elle fait que mon petit bouton se développe largement. Elle le caresse délicatement comme on peut le faire à un nouveau-né. Je me laisse faire tellement sa masturbation menvoie de signaux érotiques. Jai envie quelle me dise des gros mots. Je nose pas le lui demander.
Je suis ses mouvements par les miens désordonnés qui me font faire nimporte quoi. Au moins, quand je baise avec un copain, je participe aux mouvements, sinon je ne jouis pas bien. Mais là, je ne sais que faire sinon lui tenir la main qui me donne ce plaisir, meilleur que quand je me branle. Je jouis encore aussi bien que la première fois. Cest une sorcière.
Elle aussi a des envies de jouissance. Elle membrasse avant de me demander de la caresser, elle aussi :
— Fais-moi jouir.
— Je ne sais pas comment faire.
— Fais comme pour toi.
A mon tour de la caresser à partir de sa poitrine que je découvre sous mes mains : douce au début, ferme à la fin. Je fais comme elle, sauf que je nose pas la faire trop attendre. Je passe sur sa chatte lentement avant daller sur son bouton que je caresse comme je le fais au mien. Jai bien fait puisque je sens Gilette jouir pendant que je continue. Prise dune inspiration, je me penche pour lembrasser sur la bouche. Cest bien la première fois que je me laisse aller à ce genre de familiarité.
Elle accepte mes lèvres et ma langue. Il me semble quelle est devenue mon amante à mon insu. Je ressens un vide dans la poitrine comme si jétais amoureuse.
Je nai pas le temps de réfléchir.
– Attends, nous allons nous amuser autrement.
— Comment ?
— Laisse-toi faire.
Je reste comme je suis en attendant quelle finisse de se retourner. Sa tête se fiche entre mes jambes et elle me donne sa chatte sur le visage. Je pense quelle veut que nous fassions un 69. Jaime bien faire ainsi avec les copains que jai eus, avec une bite dans la bouche, dans lattente dune éjaculation. Mais, là, sans sperme, je ne vais avoir que de la cyprine. Ce sera moins bien.
Je ressens le grand plaisir que sa langue me donne. Cette fois, elle commence par écarter les lèvres pour entrer toujours doucement dans le vagin. Je la sens me fouiller jusquau moment où elle trouve le fameux point G. Je reste toujours éblouie pas ce bien-être. Cest rare les garçons qui ont trouvé cet endroit fabuleux. Elle ajoute le doigt sur lanus. Si elle caresse un peu, elle entre cette fois. Elle le fait coulisser en limant.
Comment voulez vous que je reste insensible longtemps : je pars encore vers le pays de Lesbos. Je devrais, moi aussi, partager mon plaisir avec elle. Je ne sais comment faire au début de cette union.
Lamour que je ressens me pousse à lui faire plaisir aussi. Alors jinvente des choses pas possibles. Jentre trois doigts dans son con avant den mettre deux dans le cul. Je pense la satisfaire, quand elle jouit aussi. Jai gagné cette manche.
Elle vient à nouveau membrasser. Gilette se remet en position normale près de moi.
— Jai encore envie de toi.
— Fais ce que tu veux.
— Si je te donnais mon con contre le tien, tu aimerais ?
— Je ne sais pas.
Elle vient se coller contre moi, les jambes emmêlées. Je la sens bouger avant de sentir sa chatte contre la mienne. Elle commence la première à frotter son clitoris contre le mien. Cest agréable, le plaisir est lent à venir, mais plus fort certainement à la fin. Il me semble faire quelque chose contre nature. Cest vrai que prendre son plaisir avec une autre fille nest pas dans la normalité, mais cest si bon de se branler à deux.
— Tu sais, la prochaine fois, si tu veux, jentrerai toute ma main dans ton sexe.
— Toute ta main, ce nest pas possible.
— Jai bien aimé baiser avec toi. Et toi ?
— Non, jai adoré. Je recommencerai le soir, avant de mendormir.
— Cest à cette heure que je pensais de baiser. Tu as un gode ?
— Oui, jen ai un tout simple.
— Ca suffira pour se sodomiser.
— Tu aimes te faire enculer ?
— Comme toi sans doute.
— Cest vrai, jaime une bite au cul.
— Dégénérée.
— Pas plus que toi, lesbienne.
— Lesbienne, comme toi.
— Tu es une putain.
— Comme tu es une salope.
— Embrasse-moi, garce.
Notre baiser est long, il me donne envie de recommencer. Je suis raisonnable. Jentre dans ma chambre en tenant mes habits entre les bras, suivie de Gilette, aussi nue que moi, qui vient me « border ». Elle vient, une fois de plus, me donner sa chatte, penchée en avant pour me branler une dernière fois. Cest fou lamour que je ressens. Sil est partagé, je sais que nous ferons une spécialisation ensemble pour exercer à deux dans le même cabinet, pourquoi pas comme gynécologue pour donner du plaisir à celles qui en manquent.