Je suis capable d’être une déesse dominante ou la plus obéissante des soumises. L’une ou l’autre des postures demande de faire confiance et de se laisser aller à son imagination et à son plaisir. J’aime changer, jouer à la soumise puis à la dominante. Je n’ai vécu la vraie soumission avec perte de contrôle qu’avec un amant. J’avais 25 ans, une pleine confiance en moi, en ma capacité de séduction et en mon corps. Loin de la complexée du passé. J’adorais (et je l’adore toujours !) ma vie. J’enchaînais les mecs, les dragues, les plans culs, une fille en confiance peut faire tomber n’importe quel mec… d’autant plus avec cette généreuse poitrine. Mes formes sont un avantage que j’utilise, je les mets en valeur, les expose avec sensualité, parfois provocation. Loïc est tombé entre mes cuisses 2 semaines après notre rencontre fortuite lors d’un footing. Une sortie pour lui montrer que je suis sympa, un restaurant pour lui exposer mon physique atypique, un ciné pour l’allumer avec mon parfum le plus entêtant doublé de ma tendresse et il est à moi !
La quatrième sortie c’est chez moi ; à peine le premier verre terminé qu’il m’embrasse le cou, le creux de mes seins puis mon sexe. La relation est torride, on se voit, on baise, on prend un pied énorme. J’ai bien compris qu’il était sexuellement très libéré, plus que moi, mais sans crainte je fonçais.
Loïc et moi étions ensemble depuis 3 mois quand il m’a avoué être un dominant, adepte du bondage et de l’initiation de jeunes femmes naïve… et je fais bien la naïve ! Il me propose de tester, prépare le truc en me demandant de décrire mes fantasmes. Selon lui, si on a une liste de 10 fantasmes, on ne cite jamais les numéros 1 et 2, le numéro 3 est donné mais plutôt vers la fin, après une hésitation. Sur ce point, il a eu raison avec moi je cite des trucs plus ou moins intimes en premier : des jouets, partouze, relation lesbienne etc… la perte de contrôle et l’humiliation sont arrivées après une relance, il a donc compris mon numéro 3. Il me demande mes limites, je cite la douleur et les relations avec de parfaits inconnus. Il énumère différents actes habituels en S/M et je limite la violence, la modification physique et plein d’autres complètement détraqués. Les animaux arrivent sur la table, je sais que ce site produit pas mal de textes sur le sujet, parfois très excitants, mais j’ai du mal à me voir honorée dans une relation interspécifique ! Il conclut en me disant qu’il faut, dans ce genre de relation SM, se laisser mener par son dominant et que dans cette liste certaines choses peuvent évoluer.
On définit un mot-clef et un geste avec la main pour interrompre une séance si je souhaite arrêter. Plein de choses sont évoquées, le thème m’excite au plus haut point, lui aussi. On fait l’amour, on reparle de domination et de soumission, il me demande si je veux être sa soumise, je dis oui et on lance l’aventure.
Six jours plus tard c’est le grand jour. Il m’invite chez lui pour la soirée et la nuit, je vais être sa soumise et lui mon maître. Le dress-code est une tenue de soubrette sans sous-vêtements. Je suis ultra sexy ! Petits souliers noirs, collants blancs jusqu’à la limite des genoux, mes grosses cuisses sont bien apparentes car la robe s’arrête au tiers supérieur de ma cuisse. Je me penche devant la glace et sans surprise on voit tout, mes fesses très rondes et mon sexe lisse pour la soirée. Ma taille est bien marquée par une ceinture blanche, mes seins débordent de la tenue, en sautillant face au miroir le gauche s’échappe. La robe, achetée à un prix relativement élevé, a des mousses qui font un effet push-up d’enfer. Ma poitrine est énorme. Le petit serre-tête, le plumeau et un maquillage provocant font de moi une bombe sexuelle. Avec ça je provoque une érection à n’importe quel mec… et Loïc n’y échappe pas comme je vais vite le comprendre. À mon arrivée chez lui (en voiture, pas de transport en commun ainsi !) il ne me lâche pas des yeux.
Il me complimente puis m’embrasse. Il me demande enfin si je suis prête, je valide. Il me donne alors son premier ordre : le sucer. Quelle imagination !… Quand il sort son engin j’en meurs d’envie, je m’active sur son pénis et il me caresse, me parle de ma soumission, de ma tenue, me nomme comme "sa suceuse de bite". Un peu bizarre mais j’adore, je mouille au possible. Juste avant de jouir, il me fait mettre à genoux et me demande de le masturber sur mes seins. On est dans le film X là! Il éjacule sur ma poitrine et sur mon visage, il me force ensuite à manger son sperme. Un début assez académique et plutôt à sens unique mais plaisant.
Je dois ensuite faire le repas, de bonne volonté je m’active. Il me sort de quoi mettre le repas, 2 assiettes, 1 fourchette et un couteau… un problème ? Non c’est prévu. Me voilà à manger au sol comme une chienne, et ça m’excite, il me caresse, m’humilie verbalement. Je me révèle docile, soumise et obéissante à un point inattendu. Le classicisme de la relation déclenche tout de même en moi un besoin d’aller plus loin et d’explorer mon désir de soumission. Le repas se déroule ainsi, je débarrasse et fais la vaisselle (le lave-vaisselle n’est pas pour les chiennes !).
Durant cet exercice, il passe derrière moi et me bande les yeux puis me conduit dans sa chambre. Un bâillon est posé sur ma bouche et je suis installée sur le sol à quatre pattes, les fesses relevées. Il insère un objet ultra lubrifié dans mon anus (ce fut ma première rencontre avec un plug anal, une belle rencontre) et me positionne sur le lit sur le dos. Mes mains sont attachées à la tête de lit. Mes jambes aux pieds du lit. Je suis offerte. Il asperge mon sexe et mes seins avec du lubrifiant. Loïc suspend ses bourses sur mon visage et son pénis fait des va-et-vient entre mes seins lubrifiés. Lorsqu’il se baisse, je me retrouve écrasée, le nez entre ses fesses et ses joyaux. Il gagne ensuite le bas du lit et me baise sans ménagement, me rabaissant verbalement. Je suis figée, offerte et soumise. Un orgasme me secoue violemment, j’aime ça.
Lui n’en a pas terminé, il me détache, sort mon bâillon et me fait déplacer en bordure de lit, la tête dans le vide, il utilise ma bouche pour se masturber, je penche au maximum ma tête pour faciliter l’accès, il se libère et se retire. Me voilà exténuée, rincée et heureuse.
Après avoir retrouvé la vue, je me retrouve nue sur son torse dans un câlin plein de tendresse. J’ai aimé cette sensation de soumission. Je l’ai trouvée un peu violente et conventionnelle (ça manquait de subtilité et d’attentions envers moi) mais mon excitation ne peut cacher mon attirance pour ce type de sexualité. Une sexualité que nous avons pratiquée ainsi quelques semaines. Les relations furent plus douces, plus tendres, il m’a fait découvrir le plaisir de la douleur, de la frustration et du bondage. Je pense qu’il me préparait à l’étape suivante, une soirée BDSM dans un club libertin.
Me voilà devant l’entrée normalement vêtue en apparence, il avait seulement choisi mes dessous. J’ai une chemise blanche et une jupe assez courte. Un pull bleu par-dessus. Les dominants et dominantes sont vêtus de cuir ou en tenues civiles, c’est le cas de Loïc. On reconnaît les débutants, le couple reste en tenue normale. Chez les habitués le soumis est dans une position de soumission immédiate, tenu par une laisse, nu, en cuir, orné d’objets de torture, animalisé ou encore travesti. J’ai peur et je l’exprime à Loïc qui me rassure, m’offre un verre et m’explique des scènes. Lui a une cage de chasteté, depuis 3 mois selon son maître. Elle, des bracelets aux poignets reliés à son collier pour la contraindre. Dans un autre couple une femme a déguisé son soumis en cheval. On voit des scènes fortes, excitantes. Loïc bande fortement, je mouille énormément. Nous partageons notre excitation, discutons de la situation. Il me présente à des personnes comme son animal de compagnie, ça m’excite encore plus. Je comprends petit à petit que le cadre est sûr que les gens se respectent tous et sont là pour partager des plaisirs extrêmes. Les règles de sécurité et d’hygiène sont respectées ce qui me rassure.
Loïc bavarde avec une domina sculpturale, elle est fine, musclée harmonieusement, son visage exprime la fermeté et l’expérience. Son look de maîtresse en cuir avec une cravache est remarquable. L’envie de me lancer et de m’affranchir de mes craintes se fait de plus en plus forte, je me tourne vers Loïc et me lance :
«Maître, je suis prête à me soumettre !
— Voilà qu’elle nous coupe cette garce ! répond fermement la domina, je baisse les yeux.
— Tu te crois où toi ! Viens me prendre en bouche, ça t’évitera de la ramener pendant que je discute.» me dit fermement Loïc.
Sous leurs regards autoritaires je descends de mon tabouret et me place sur le sol à la hauteur de son entrejambe. J’extrais son sexe et je le suce avec application. La domina marche autour de moi et, dans mon dos, elle soulève ma jupe avec sa cravache et caresse mon sexe.
« Oh la belle vache » dit-elle en rigolant.
En effet, le choix de Loïc pour mes dessous s’est porté sur un ensemble en coton avec un imprimé vache, c’est-à-dire blanc tacheté de noir. En me le présentant il m’avait dit que je serais la plus belle vache soumise du club. L’idée m’avait excitée. Quoi qu’il en soit, les allers-retours de la cravache m’allument et le coton s’humidifie légèrement. J’espérais que ça n’allait pas se voir mais ma position et mon attitude passive ont dénoncé mon plaisir.
«C’est qu’elle a l’air excitée la petite, suce bien ton maître, il le mérite. Regarde-le dans les yeux, savoure son plaisir ».
Avec Loïc, nos regards se croisent, je vois la luxure et le plaisir, je pense lui renvoyer. Nos regards restent figés et il se libère dans ma bouche, le sperme me remplit, quelques gouttes coulent sur mes lèvres et tombent sur mon pull. Je suis ravie d’avoir franchi le pas. Loïc reprend ses esprits et se lève, il range son engin et hoche la tête. Il me demande de me déshabiller totalement, j’obéis avec crainte. Un collier est placé autour de mon cou, la domina tend la laisse à Loïc qui me conduit jusqu’à une table basse. Je suis installée à quatre pattes sur cette table, des sangles attachent mes tibias contre la table, une sangle avec des bracelets larges aux extrémités me fixe à l’avant. Loïc réalise un réglage en dessous, je ne peux ni resserrer les bras ni les écarter au risque de tomber. Je suis fixée sur la table, nue. Ma plastique et la scène ont attiré de nombreux regards, tout le monde a compris que c’était assez initiatique comme moment et tout le monde veut voir cette initiation. Je suis exposée, les fesses à la vue de tous, les jambes assez écartées pour laisser ma vulve en accès libre, mes seins sont suspendus et se balancent.
Je suis terrifiée, je tremble, je mouille (et encore en rédigeant la scène… un petit plaisir solitaire plus tard…). Loïc me dit de savourer et me rassure en disant que je peux tout arrêter par un geste de la main ou le mot-clef. Il me demande de réaliser le geste de la main pour vérifier ma capacité à le faire, le geste des rockeurs, je peux le faire. Je le regarde, il m’embrasse sur la joue et s’éloigne.
La domina revient avec une corde en chanvre qu’elle fait traîner sur mon dos. Loïc m’a déjà attaché avec ce type de corde, j’ai aimé. Je me fais ficeler impuissante, humiliée face à tous ces gens. Elle a une dextérité remarquable et sûrement une grande expérience. Les gestes sont précis, doux et autoritaires. Mon corps s’ajuste à ses demandes sans un échange de parole, j’obéis au doigt et à l’il. Elle me rassure, elle m’excite aussi car je pense qu’elle va me faire vivre un moment incroyable. Les sexes se tendent face à moi, mon regard les balaie, quelques soumis et soumises me regardent avec tendresses d’autres veulent se jeter sur moi pour me baiser. La corde passe à la base de mes seins et autour de mon cou de façon à comprimer ma poitrine qui s’allonge et devient rigide, entourée de plusieurs tours de corde à la base. Le balancement de ma poitrine change, il est moins fluide. La domina lance à voix haute:
«Regardez les gros pis de cette vache, meugle la vache !»
Je la regarde avec incompréhension, l’air de dire "elle est sérieuse ?" mais un coup sec frappe mes seins, je lâche un cri.
«Meugle la vache !
— MEUUUH », je suis pitoyable et ça attise mon feu interne !
De nouvelles personnes viennent voir la scène, on valide sa technique et ma position. Je suis une vache dans un zoo ! La même corde est repassée dans mon cou et entre mes jambes, de part et d’autre de mes grandes lèvres afin d’ouvrir mon sexe. Ceci a pour effet de me redresser la tête, d’augmenter la compression mammaire et de m’exposer encore plus, impossible d’éviter les regards, impossible de tourner la tête. Si certains couples vaquent à leurs occupations, beaucoup ont tout arrêté pour me savourer. La domina me caresse et me fouette doucement avec sa cravache, je ne vois plus Loïc qui a visiblement laissé la main à plus expérimenté. Je suis à l’affût, ils vont m’utiliser et je le redoute.
C’est une jeune et jolie soumise, envoyée par son maître, charismatique, qui s’avance vers moi. Elle m’embrasse tendrement sur la joue et me donne du courage par des mots simples « savoure ». Elle passe derrière moi et s’enfouit dans mon sexe. Me voilà broutée par une femme, exposée à la vue de tous les libertins. Je mouille énormément. La domina continu de passer doucement sa cravache sur mon dos, mon ventre ou mon cou pour me rappeler sa présence, elle soupèse mes seins ce qui les oppresse et donne une sensation indescriptiblement excitante. Le plaisir du cunnilingus se répand en moi, je n’oublie pas le côté humiliant de la situation mais je l’accepte. Je lâche prise, je franchis un cap et deviens une vraie soumise. Terminé le jeu de rôle, le relatif contrôle et le confort. Je me laisse aller, je m’abandonne, je savoure. Les coups de langue sont précis, mon clitoris et savamment masturbé ; personne ne peut faire mieux le sexe oral qu’une femme. Je commence à gémir, à lâcher des « oui » qui encouragent la soumise, la domina et un autre maître à s’approcher.
Lui me tripote la croupe, s’abaisse pour jouer avec mes seins, les téter et simuler une traite. Je le regarde impuissante ; c’est un mélange de douleur et de plaisir. Il me dit que je suis la plus belle vache qu’il est vu… Loïc avait raison ! Sans surprise il sort son pénis et le place dans ma bouche. Je ne résiste pas ce qui me vaut des félicitations, qu’aurais-je pu faire ?
A l’arrière, la soumise s’arrête et c’est un sexe qui me pénètre, il glisse en moi sans obstacle dans ce sexe naturellement lubrifié et artificiellement écarté ; je suis sans défense, impossible de savoir qui me prend dans cette situation. L’homme face à moi se retire et part se mettre derrière moi. La soumise revient face à moi et m’offre son sexe. Je le lèche tant bien que mal, pas évident ainsi de lui rendre la pareille et je manque clairement d’expérience. Elle m’aide en se caressant, la domina me félicite. Un cri à l’arrière et un jet chaud sur mes fesses, le pénis en moi grossit et se libère aussi, je gémis (ou meugle !) toujours plus fort. Un coup puissant sur la fesse m’interrompt.
« Pas d’orgasme pour la vache soumise pour l’instant».
L’homme se retire de mon vagin maintenant plein, c’était Loïc. Il me sourit, s’approche de moi, la soumise se pousse et il me parle :
«Marlène, veux-tu arrêter ?
— Non, je veux jouir comme une salope de vache soumise».
C’est sorti tout seul, des gens rient ce qui augmente ma gêne. J’ai dépassé toutes mes limites et j’en veux encore. Mes possibilités de soumission sont terribles. La domina revient équipée d’un gode ceinture de grande taille et un sextoy qui ressemble à un gode mais avec des lanières. Elle place le gode ceinture dans ma bouche pour simuler une fellation. Je préfère les vraies bites mais ne le montre surtout pas ! Elle s’adresse à moi :
« Maître Christophe trouve que sa soumise mérite de jouir de toi. Qu’en penses-tu la vache ?
— Oui maîtresse, je suis une vache obéissante et je ferais ce que vous me demanderez» dis-je après avoir relâché le gode.
Elle sourit et caresse mon cou avec sensualité. Mon corps frissonne tout entier par la force de sa puissance sexuelle. Le second objet est placé dans ma bouche, il m’arme d’une bite factice attachée à mon crâne. Une chaise est approchée par deux soumis aux pénis encagés ; visiblement la cage bloque bien l’afflux de sang car la partie arrière du pénis est gonflée. La soumise s’installe, lève les jambes pour les déposer sur mon dos et s’empale sur mon gode buccal. Mes mouvements de tête sont limités et douloureux mais je veux la faire jouir. Je suis collée à son sexe ouvert, je sens son odeur, sa chaleur, son liquide intime et je ne vois qu’elle. Je suis un objet destiné à son plaisir, je gémis en harmonie avec elle, elle se caresse le clitoris ce qui augmente les sécrétions et me mouille. Je me sens à elle, à elles, à eux. Elle va venir, c’est sûr. La domina me prend alors avec son faux sexe, la cravache fouette mes seins. Submergée par les odeurs de ma consur soumise, par son jus, par la vue qu’elle m’offre, par ma situation, par mon humiliation, par les bruits de plaisir et par mon propre plaisir vaginal, j’explose comme jamais. J’accélère mes mouvements de tête, peu importe la douleur, je balance mon bassin comme je peux, je suis incontrôlable mais contrôlée.
Ma consur partage mon plaisir et la domina hurle des « oui, lâche toi la vache » comme pour valider mon plaisir et le détenir.
Quand le plaisir retombe il est difficile de se reprendre. Je suis lessivée, inerte et incapable de me ressaisir. Ma bouche est libérée et la soumise m’embrasse en me félicitant pour l’une des scènes des plus torrides de sa vie, (j’aurais aimé la revoir plus tard, peut-être même partager sa vie de soumise au pied de son maître). Je réalise alors ce qui vient de se passer. Je regarde les gens, je suis perdue devant le flot d’informations, perdue dans mes pensées. Certains ont tourné la tête vers un soumis qui se fait massacrer par son maître mais beaucoup veulent voir ma réaction. J’ai honte et je suis fière, j’ai totalement assumé mes envies. La domina relâche rapidement la corde, les seins sont douloureux, elle me rassure en me disant que ça passera dans la soirée (enfin les traces restent quelques heures de plus !) ; elle me félicite et félicite Loïc pour son dressage. Plusieurs libertins, dominants et dominés, passent me féliciter, féliciter Loïc et la domina. Certains ne tarissent pas d’éloges quant au pouvoir sexuel de la scène, quelques-uns avouent s’être masturbés, ou s’être fait masturber durant la scène…
On me propose une douche, j’accepte, et dans cette douche chaude et purifiante je me masturbe, moi la vache lesbienne soumise, prise par son Maître face à toute l’étable. Moi la soumise initiée, j’ai meuglé face à tout le monde, j’ai supplié d’être humiliée, j’ai bouffé une chatte, j’ai été dominée par la plus puissante des Maîtresse. Je m’habille seulement avec mes dessous de vache, je veux assumer mon statut. Je ressors en m’exhibant fièrement, je pense être attendue et impressionner car tous me regardent avec respect et envie, Loïc aussi, il est fier de moi. Nous avons bu un verre, discuté avec quelques personnes, admiré des scènes magnifiques et nous sommes rentrés. Beaucoup de mes fantasmes ont été cochés, Loïc et moi avons poursuivi nos aventures quelques mois encore. Moi qui assume une parfaite soumission, lui qui m’y encourageant et m’y guidant. Ma position de soumise m’a aussi appris à dominer, à lâcher prise et à me libérer encore plus, la vie sexuelle est une folie à explorer.