Il faisait chaud en cette fin de soirée de juin. Nous étions dimanche et Christine quittait Bordeaux pour prendre la route de St André de Cubzac et remonter sur Rouen.
Elle partait pour 10 jours de séminaire qui ne commençaient en fait que le lundi après-midi. Mais elle ne l’avait pas dit à son mari, trop heureuse de partir quelques heures plus tôt, trop heureuse de se livrer à son jeu favori, le plaisir.
Depuis qu’elle avait goûté dans les bras d’autres hommes au plaisir d’être une femme, et même plus, une femelle, elle avait du mal à contenir ses impulsions. Ce n’est pas que son mari faisait mal l’amour mais c’était si rare, si rapide parfois et surtout si monotone, alors qu’avec d’autres….
Elle repensa à celui qui lui avait pris ses reins la première fois… sa longue préparation avec la
langue, les doigts, du gel aussi et puis enfin cette irruption chaude et forte dans ses fesses offertes, cette plongée qui l’avait faite râler et gémir de surprise mais aussi de désir… ces va-et-vient profonds en elle, les mots brûlants de son partenaire qui la fouettaient quand il lui murmurait à l’oreille qu’il aimait l’enculer, qu’elle avait la croupe brûlante et accueillante…
Elle ne pensait pas qu’elle allait y prendre du plaisir mais ce fut le cas, et elle jouit au moment où il déversait sa crème brûlante dans ses reins. Ils avaient fait le test tous les deux… ce fut une
découverte pour elle.
Elle passa le péage de Virsac et stoppa sa voiture tout de suite après. Elle sortit de sa voiture et s’étira longuement… vêtue de sandales hautes à lanières, d’une jupe légère arrivant aux genoux et d’une chemise tunique indienne arrivant 3 ou 4 centimètres sous les fesses ; elle regarda son reflet dans les vitres de sa voiture. Elle savait, elle sentait que la chaleur n’allait pas diminuer et se disait en elle-même que sa jupe était trop longue. Sans même se rendre aux toilettes, elle défit sa jupe et la ramassa pour la mettre à l’arrière de sa voiture, puis se regarda de nouveau dans les vitres. Ça allait mieux, beaucoup mieux même, elle sentait l’air tiède sur ses jambes, ses cuisses, elle en frissonna de plaisir. Elle tourna sur elle-même en levant les bras, constatant avec plaisir que sa chemise se troussant dévoilait le triangle blanc en dentelle de sa culotte brésilienne moulant un abricot renflé qu’elle avait parfaitement et complètement épilé l’après- midi-même. Elle fit quelques pas en s’éloignant de la voiture, en se déhanchant légèrement, et se pencha en avant sachant que l’envers de sa personne valait l’endroit. Elle fit demi-tour mais s’immobilisa en ouvrant sa portière, le corps tourné vers l’entrée du parking. Un camion plein phares s’y engageait et l’éclairait comme en plein jour. Elle leva les deux mains pour se protéger les yeux, sachant que ce geste permettrait au chauffeur de voir son corps et sa culotte largement découverte. Ce qu’il fit en donnant un léger coup de klaxon, peut être admiratif ou surpris. Elle sentit tout de suite une coulée de feu l’envahir de la tête aux pieds mais, sans attendre, elle se précipita dans la voiture et repartit.
Elle se rendit compte très vite que sa chemisette dévoilait sans pudeur son renflement intime et tout en conduisant, commença à le frôler légèrement puis avec plus de force et de précision. Deux doigts tendus s’insinuèrent sur le côté… elle était trempée et murmura qu’elle serait mieux sans culotte tandis que les doigts s’insinuaient en elle et qu’une voix dans sa tête lui soufflait de bien ouvrir les cuisses, ce qu’elle fit impudiquement…
Elle avait ralentit l’allure, pestant contre cette culotte qui la gênait alors qu’elle sentait monter en elle l’orgasme qu’elle libéra dans un long gémissement… surprise et ravie de le faire en conduisant, sans écart sur l’autoroute. Elle se lécha ensuite les doigts en se murmurant qu’elle était une vraie garce de le faire comme ça, mais que c’était si bon…
Elle s’arrêta sur l’aire de repos suivante. Il y avait du monde, du mouvement, des camions qui
reprenaient la route. Stoppant près des toilettes, elle attendit quelques minutes qu’il n’y ait personne dehors et, prenant sa respiration, se précipita à son tour dans les locaux.
Elle s’était déjà exhibée mais pas d’aussi près, et son cur battait la chamade. Elle se soulagea rapidement puis ôta sa culotte et son soutien-gorge, se disant qu’après tout….
Elle sortit lentement dans le silence et l’air tiède. Se sentir comme nue était extraordinaire. Mais elle se figea. Des pas venaient dans sa direction. Sans hésiter elle passa d’un côté pour tomber face à deux hommes qui arrivaient en sens inverse. Elle s’immobilisa, paniquée mais très excitée aussi.
Elle souffla un bonsoir à peine audible auquel ils répondirent en s’écartant pour la laisser passer
entre eux, ce qu’elle fit le cur battant. Ils se retournèrent sur son passage et lun des deux souffla :
« Hummmm quel cul, madame ! »
Elle reprit sa voiture et démarra, puis stoppa de nouveau en bordure de la voie d’accélération, les yeux fixés sur son rétroviseur. Quand elle vit plusieurs camions démarrer en file indienne, elle sortit et alla plonger le buste dans son coffre de voiture. Sa position tendue remonta sa chemise au dessus de ses fesses et elle se mit à bouger légèrement les cuisses entrouvertes. Son ventre trempé attendait une saillie profonde et elle espérait être satisfaite de cette façon… Mais, à part des appels de phares et des coups de klaxon, aucun ne stoppa sa machine pour la satisfaire…
Frustrée, elle reprit la route et, un peu avant Tours, s’engagea sur la N 10.
Il n’y avait personne… et son ventre la brûlait de désir…
Elle s’arrêta en rase campagne pour boire un café de son thermos. Il faisait toujours aussi chaud…
Elle était sur le bord d’une deux fois deux voies. Debout près de sa voiture, elle tenait le café d’une main, l’autre étant souvent nichée entre ses cuisses à caresser sa chatte brûlante de désir. Des phares arrivaient lentement par l’arrière, des phares de camion. Dès qu’elle fut éclairée, elle fit le tour de sa voiture pour se placer côté route et fit semblant de régler ses essuies glaces. Le camion ralentit, tous ses feux s’allumèrent, l’éclairant comme en plein jour et elle entendit les rapports tomber. Elle se dit que c’était bon et elle lui fit face en agitant la main. Mais le camion ne pouvait stopper sur le bas côté et continua.
C’en était trop, il fallait que…
Elle démarra derrière lui, le doubla et, quelques centaines de mètres plus loin, s’arrêta de nouveau.
Elle se plaça derrière sa voiture et, quand elle fut éclairée, se déshabilla entièrement en s’exhibant impudiquement, ne gardant que ses talons et prenant des poses. Le camion stoppa et le chauffeur lui cria qu’il y avait une aire de repos quelques kilomètres plus loin, si elle voulait… et il redémarra.
Fébrile et nue, elle fit de même puis, se plaçant à sa hauteur, elle alluma le plafonnier et commença à se caresser les seins puis la chatte.
Enfin, elle aperçut le panneau de l’aire de repos. Elle doubla le camion, ralentit, mit son clignotant et s’engagea dans l’aire. Elle stoppa dans le fond près d’une table et alla s’y asseoir dessus, les cuisses ouvertes, la main toujours entre…
Dès que le camion fut garé, le chauffeur vint la rejoindre Brun, peut être dans les 50 ans, elle s’en moquait. La regardant se toucher, il lui demanda ce qu’elle voulait et, dans un souffle, elle répondit : « me faire baiser ».
Il commença à se défaire en lui disant qu’il aimait être sucé avant… Sans un mot, elle glissa à genoux devant lui, saisissant le membre qu’il lui tendait et commença à l’embrasser de bout en bout avant de décalotter le gland de la langue et des lèvres, le faisant soupirer Sa queue devenait très dure, un peu recourbée vers le haut et il frissonna quand elle le prit en bouche en salivant dessus, allant et venant, serrant les lèvres, tout en lui massant ses boules fermes. Lui posant une main sur la tête il bougea les reins, lui soufflant qu’il lui baisait la bouche et qu’elle suçait bien.
Les yeux clos, elle buvait ses mots, elle buvait sa queue opinant de la tête quand il lui demanda si elle aimait le sucer. Elle le sentait palpiter prêt à jouir, mais il se retira et, tout en enfilant un préservatif sorti de sa poche, il lui demanda comment elle voulait être baisée et elle répondit : « comme tu veux, j’aime tout » ; alors, il lui ordonna de s’allonger sur la table, cuisses ouvertes, ce qu’elle fit tout de suite en levant les genoux. Il lui prit les hanches pour la tirer sur le bord de la table, lui replia les cuisses sur la poitrine, et se guida de sa main libre.
Il enfonça lentement son gland dans le fourreau trempé et, la sentant ruisseler, se planta en elle d’un seul coup de reins.
Elle feula plus qu’elle ne gémit quand elle sentit le membre dur s’enfoncer complètement en elle, dilatant son fourreau, cognant dans le fond d’une seule poussée et se cambra pour mieux l’aspirer… Puis, très vite, très fort, ces glissements en elle, ce pilonnage de son ventre qui la faisait gémir, se tordre et onduler de plaisir… ces coups de reins puissants qui la remplissaient toute, ces mains qui maintenant massaient sans vergogne ses seins, massaient, malaxaient en étirant les pointes, ces « salope, tu aimes ma bite… prends la bien… », elle soufflait « baise-moi, baise-moi toute, j’aime ta queue ».
Il la faisait coulisser sans retenue sur sa queue et elle cria son plaisir quand il arriva intense, rapide et inattendu, la faisant se cambrer comme un arc et retomber immobile sur la table, les yeux fous…
Il la regarda sans un mot puis se retira et lui ordonna de tenir elle-même ses cuisses complètement repliées, dévoilant ainsi la raie de ses fesses…
Plongeant ses doigts dans sa chatte offerte, il les retira couverts de cyprine et, sans un mot, les
enfonça et tourna dans ses fesses offertes Elle gémit en se cambrant sans protester lui, faisant dire qu’il sentait qu’elle aimait se faire enculer et, joignant le geste à la parole, il se guida et s’enfonça lentement en elle disant qu’elle était étroite mais bonne à fourrer.
Quand il fut à moitie entré, c’est elle qui le supplia de tout mettre en basculant le bassin pour mieux s’offrir ; cette sodomie fut longue, puissante, elle était en nage, suppliait, gémissait, se tordait sous lui : elle le sentait tout rentrer, les testicules cognant ses fesses, oubliait le lieu, l’heure, la situation même, ne sentant plus rien que ce va-et-vient dans son anus dilaté….
Elle se touchait le clito en même temps, il la doigtait et dans une explosion qui fit trembler la table, ils jouirent en même temps avant qu’il ne s’écroule sur elle.
Quand il se fut retiré, elle lui ôta le préservatif et lui nettoya le membre de la langue puis ils burent un café ; elle, toujours nue, tout en discutant et il lui conseilla d’acheter une radio CB pour avoir des contacts plus faciles et lui donner en même temps son indicatif au cas ou….
Comme il était pressé, il repartit le premier et elle resta se reposer seule une dizaine de minutes
avant de reprendre la route, en roulant un peu plus vite.
Elle le rejoignit dans un village, à un feu rouge. Il descendit la rejoindre et lui demanda de ne pas démarrer au vert et d’attendre le rouge suivant. Surprise, elle attendit : un autre camion vint se garer derrière le premier, et son « ami » la fit descendre devant l’autre chauffeur, puis il lui dit : « c’est un ami ; ça sert la CB. Il a une couchette, si tu as encore envie » ; l’autre lui faisait des signes elle accepta et, à la première aire de repos, ils s’arrêtèrent et elle le
rejoignit dans sa cabine et se fit baiser au milieu de photos pornos… baiser et enduire de sperme… La première chose qu’elle fit, arrivée à Rouen, fut de se doucher et de dormir…. Elle se sentait repue, mais très femme, très femelle et très salope.