Aujourdhui c’est le grand chambardement. Tous doit disparaître, comme ils disent dans les grands magasins. Nous avons eu une bonne entrée d’argent : nous pouvons changer les vieilleries qui servent depuis je ne sais quand comme meubles.
Tout est très bien sauf que je n’ai pas de chambre à coucher installée. Je dois aller chez une copine pour la nuit. Chic, nous allons nous amuser comme des folles.
Quand arrive le soir, au moment de se coucher, je maperçois que j’ai oublié chez moi la chemise de nuit. Tant pis me dit ma copine Berthe, tu dormira nue. Ce n’est pas pour me déranger sauf qu’il faut que je prenne des précautions pour aller aux toilettes, à la salle de bain..
Avant d’aller au lit, je vais prendre ma douche du soir. Je grelotte presque sous l’eau soit disant chaude. Je file dans la chambre pour me réfugier dans le lit. Il est chaud de la présence de Berthe.
Bien sur nous ne nous endormons pas vite : nous parlons de tout. Nos rires font venir la mère de Berthe qui demande du silence.
C’est bon, nous ne faisons plus de bruit. Mais les mains de ma copine commencent à venir sur moi, elle me chatouillent un peu puis elle me caresse involontairement. C’est sacrément agréable. Je lui rend ce qu’elle me fait. Nous nous retrouvons les lèvres unies dans un premier baiser.
Nous en sommes étonnées, mais pas dégoûtées, au contraire. Nous recommençons. Mais à ces jeux là on sait d’où on part, pas où on arrive. C’est lèvres me rappellent celles de mon premier amant : j’en mouille. J’ai envie de jouir. Au lieu de me taire je le lui dit.
Tout est parti, elle passe ses mains partout et je me laisse faire. Ma poitrine est la première victime de ses frôlements. Je ne peux me laisser faire sans réagir : je rend ce qu’elle me fait, j’en rajoute même un peu.
Nous nous retrouvons avec la main sur la chatte de l’autre. L’instinct fait que nous caressons normalement le sexe de l’autre. Bien sur le plaisir est partagé, sauf qu’elle jouit trop vite pour moi. Tant pis pour elle, je recommence : cette fois je jouis presque en même temps.
Un long baiser conclut notre première fois. Je me retourne en lui tournant le dos. Je reçois rapidement une main sur mes fesses. Elle me cherche encore. Elle caresse, passe même dans la raie. La vache,elle ne vas pas aller sur mon petit trou ? Pourtant si, elle caresse en descendant bien vers mon cul.Et puis à quoi bon râler ? Elle veux me faire une câlin particulier, pourquoi le refuser.
Je suis prête à la suite. Sa main passe bien entre les deux fesses. J’essaie comme je peux de les écarter encore un peu. Ce nest pas la peine. Elle trouve vite ce quelle cherche. Quelle bonne idée de mexplorer ainsi. Je la sens cette fois directement sur l’anus. Elle le caresse lentement. Malgré moi j’ouvre un peu ce petit trou. Qu’elle y fasse ce qu’elle veut.
Je sens un doigt entrer doucement, il est suivit d’un autre aussi curieux que le premier. Si elle en met un autre, j’aurais l’impression d’être enculée.
Elle m’encule facilement. J’aime sa façon de faire. Je me surprends à gémir. J’écarte les cuisses plus que nécessaire. Elle passe lautre main en direction de la chatte. Je bénéficie d’une autre masturbation. Je la laisse faire. Elle m’embrasse encore et murmure : à toi.
A moi donc. Je suis embarrassée, je ne sais trop comment la faire jouir. Je pense comme une idiote que je suis. Je n’ai qu’a la branler comme pour moi. Elle attend bien ma main qui uvre sur son bas ventre. Je sens son humidité, je sens sa fente, je sens son sexe, je sens en particulier son petit bout. Il est assez durci, je le traite comme je fais pour moi. Deux doigts suffisent pour la calmer.
Je la masturbe sans arrêt, elle gémit. Je voudrais bien visiter son anus, je ne peux pas à cause de sa position : elle se tourne un peu. Je peux passer dans sa raie. Elle est douce là. Mes deux mains sont occupées à son plaisir. Même pour moi c’est un plaisir, différent, mais réel, de caresser cette fille.
J’enfonce deux doigt dans le vagin : j’y fais des allers et venues. Elle aime ça. Mais derrière j’entre profond deux autres doigts puis le troisième. Je sens les autre doigts dans son con. Je la pince de l’intérieur : elle se cabre. Le pincement a un effet inattendu pour moi, je le sens jouir.
Je l’embrasse profondément pendant son orgasme qui dure, dure.
Nous nous endormons ensuite. En cour de nuit je voudrais lui faire encore l’amour : elle n’est pas là. Elle revient plus tard nue comme moi. Elle se jette sur moi, m’embrasse, me caresse vient poser sa bouche sur ma chatte.
Nous finissons la nuit en 69, longtemps après avoir jouit ensemble. Heureusement que sa mère ne nous a pas vu.