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Grand Frère (et les sorcières) – Chapitre 7

Grand Frère (et les sorcières) - Chapitre 7



Cette histoire folle me fait faire des choses que je n’aurais jamais imaginées. Je viens de prendre ma grande sur en levrette, et putain qu’est-ce que j’ai kiffé. Elle aussi apparemment, j’en suis heureux. J’ai un sentiment étrange et contradictoire. Je suis d’un coté hyper content de pouvoir jouir grâce à ma mère, ma tante et maintenant ma grande sur, et en même temps, je suis un peu frustré, car j’aimerais les toucher, les caresser, les embrasser, mais je ne m’en sens pas légitime, je ne suis pas leur copain, je suis leur source de pouvoir. Bref jessaie de ne pas trop quoi y penser, je suis déjà chanceux de ce qui m’arrive. Je suis dans la cuisine, je me sers un verre de jus d’orange quand ma petite sur Liza vient faire pareil.

— Je t’en sers un ?

— Oui merci

— Alors comment ça va Liza ?

— Je sais pas trop, cette histoire est perturbante

— Je sais pour moi aussi ça l’est. Mais tu sais que je t’aime plus que tout, je ne ferai jamais rien qui te rendrait malheureuse.

— Je sais, je t’aime aussi très fort… Et… euh… comment dire ?

— Tu peux tout me dire sans crainte

— Je vous ai entendus avec Alisa et… euh… j’ai un peu regardé

— Ah, désolé si ça t’a choqué.

— Non ça ne m’a pas choqué en fait. Ça m’a… euh… intéressé, Alisa a semblé aimer et être convaincu pas la magie.

— Oui je le pense aussi

— Ça m’a donné envie d’essayer aussi.

— Ah oui ?

— Oui, si tu es d’accord

— Je ferais ce que tu voudras

— OK alors quand Kira sera de retour, je n’ai pas d’expérience avec les garçons et encore moins avec les rituels, alors je veux qu’elle m’initie.

— C’est une bonne idée, je serais là quand tu voudras

— Merci

— Mais de rien ma Liza

Nous nous prenons dans les bras, comme nous avions l’habitude de le faire avant toute cette histoire. Je suis heureux d’être à ce moment-là juste un grand frère comme un autre et pas LE Grand Frère. Nous nous séparons et vaquons chacun à nos activités, moi j’avais envie de regarder un peu la TV.

Une heure plus tard, je suis nu sur le canapé en train de me faire sucer par maman, tout aussi vêtu que moi, à genoux sur le parquet du salon.

— Maman ?!… Sérieusement ?

Alisa vient d’entrer dans le salon et de nous surprendre.

— Désolée, ma chérie, mais Max en avait besoin.

— Mais c’est la pièce télé !

— Je sais. Laisse-moi terminer et on pourra parler.

— Euh… OK. Ca dérange pas si je reste pour regarder ?

— Si tu veux. Ça te va, Max ?

— Je crois que la timidité, c’est du passé pour moi

Maman me reprit en bouche vigoureusement et l’effet ne se fit pas attendre

*Gloups, Gloups*

— OOH !

— Merci pour ton don, Frère.

Après s’être rassasiée, maman vient s’installer à côté de moi sur le canapé.

— Alors, qu’est-ce qui se passe Alisa ?

— Ben je ne sais pas. Je veux dire… je venais voir mon frère et je tombe sur ma mère en train de lui tailler une pipe, comme si c’était normal.

— Eh bien, c’est tout à fait normal. En fait, ça va devenir une habitude pour nous.

— Comment peux-tu dire ça ? C’est tout sauf normal, non ?!

J’avoue que la situation est plus que déstabilisante. Maman et moi sommes nus sur le canapé, moi la bite toujours bien droite malgré la fellation que ma mère venait de me faire. Ma sur face à nous en débardeur trop grand, laissant aisément constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, et je la soupçonne même de ne pas porter de culotte non plus, à discuter de la normalité ou non de me faire sucer dans le salon. Avouez que c’est cocasse.

— Je veux dire, normal pour une sorcière.

— Admettons, mais pourquoi ne nous as-tu pas dit plus tôt que nous étions des sorcières.

— En fait, je l’ai fait, je vous ai raconté beaucoup d’histoires, à ta sur et toi quand vous étiez plus jeune…

— Euh… je pense que je m’en souviendrais, non ?

— Non. J’ai effacé ce souvenir de ta mémoire.

— Quoi ?! Mais pourquoi ?!

Alisa semble sonné par ce que maman vient de lui annoncer, et s’assoit à côté de moi sur le canapé.

— Tu te souviens d’oncle Dave ?

— Oui

— C’était notre précédent Grand Frère. Les étapes normales pour présenter le don à une sorcière se font d’abord via la masturbation. Cela donne une jeune fille habituée à l’acte sexuel. Puis vient l’acte par voie orale, puis par voie vaginale. Parfois, le sexe par voie anale est utilisé, mais pas pour tout le monde. Oncle Dave adorait l’anal, et c’était sa méthode favorite pour délivrer son don. Vers la fin de sa vie, oncle Dave est devenu très exigeant et ne voulait plus donner son don que par voie anale. Vous vous étiez en âge de recevoir votre premier don et deveniez impatientes. Mais Dave refusa de suivre les étapes d’initiation et tenta de me et te persuader de le laisser te le remettre par voie anale.

— Il voulait me sodomiser ?

— Oui, il n’acceptait plus que ça et de plus, il n’était pas très tendre, ça aurait pu te traumatiser. Alors je m’y suis opposé, j’ai effacé vos souvenirs et je lui ai interdit de s’approcher de ta sur ou toi. Depuis, je vous transfère un peu d’énergie pour maintenir cette petite flamme de magie qui est en vous depuis votre puberté.

— Ben merde… J’arrive pas à croire tout ce qui se passe…

— Je t’ai donné beaucoup à réfléchir, alors je vais te laisser avec ton frère. La magie peut nous apporter beaucoup, mais rappelez-vous d’une chose, tous les deux : tout doit être fait de manière consensuelle et pour le plaisir.

Sur ce, maman nous laissa Alisa et moi.

— On décompresse un peu en matant une série ?

— Avec joie… Dis-je

— J’arrive pas à croire que Dave a essayé de me convaincre de le laisser me sodomiser

— Ouais, c’est vraiment glauque

— Je me demande si c’est pour ça que je suis devenue lesbienne.

— Non, c’est nawak. Tu es qui tu es. Rien n’a « fait » de toi une lesbienne.

— Tu as sans doute raison… tu veux bien me masser les pieds ?

Dit-elle en venant poser sa jambe droite sur mes cuisses et glissant une main sur son entrejambe pour cacher son intimité. Elle n’avait en effet pas de culotte. Je commence à lui masser le pied.

— En fait, depuis que j’ai eu ta bite en moi, je ne repense plus qu’à ça…

— Ah oui ?…

— Oui, c’était mieux que tout ce que j’ai pu faire avec mes amies.

— Tu as déjà des relations avec des gars ?

— Non, qu’avec des filles.

— Mais tu n’étais plus vierge. Ma bite est rentrée toute seule.

— Et… ?

— Ben comment c’est possible ?

— C’est pas tes oignons. Sers-toi de ton imagination ou va voir sur le Net, ha ha ha.

— Euh… J’y penserai.

— On dirait que tu bandes encore.

— C’est toi, avec tes histoires de lesbiennes. Puis tu me la caresses un peu avec ton pied. Et ta position avec ta main pour cacher ta chatte.

— Oui, j’avoue, tiens, tu las mérité.

Dit-elle en retirant sa main pour me dévoiler une vue sublime sur sa chatte. Mais elle ne s’arrête pas là et vient s’installer à genoux devant moi, dans la même position qu’elle a trouvé maman en arrivant et agrippe mon sexe comme pour vouloir me le sucer.

— Tu es sûre de vouloir faire ça ?

— J’ai pu voir à quel point tu aimes ça. Et j’aimerais au moins essayer. Alors frérot, puis-je sucer ta bite.

— Oh que oui !

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je sentis le contact doux, chaud et humide de la bouche d’Alisa sur ma queue dressée… J’avais l’impression qu’elle avait déjà fait ça plein de fois tellement elle maîtrisait totalement son sujet, alternant les descentes et les montées lentes et délicieuses avec des va-et-vient soudains beaucoup plus rapides et presque furieux qui me faisaient penser qu’encore une fois, je ne tiendrais pas très longtemps.

— Bon sang, tu es sûre que tu as jamais fait ça avant ?

— Hmmmmui…

— En tout cas, tu es vraiment douée…

Je voulus la remercier, quand je la sentis, elle… ma liqueur, ma semence, ma jouissance, monter sans que je puisse faire quoi que ce soit pour l’arrêter le long de mon dard prêt à exploser, et finalement jaillir en un geyser orgasmique qui vint maculer le palais de ma grande sur…

— Hé ben dis donc !… T’en pouvais vraiment plus ! rigola Alisa. Tu as giclé une sacrée dose… Je savais même pas que c’était possible !

— Heu… moi non plus !… »

Et nous partîmes dans un fou rire interminable alors qu’Alisa tentait de nettoyer de la main le sperme qui s’échappe de ses lèvres sans grand succès, tant elle se contorsionnait d’hilarité…

— Merci pour ton don, ha ha ha.

— Vraiment ? C’était OK pour toi ?

— En fait, c’était amusant. Je l’ai fait comme il fallait ?

— Oh bon sang oui !

— Je suis contente que vous vous soyez bien amusés.

— Maman !! Tu nous espionnais

— Juste à la fin. Je n’ai pas voulu vous interrompre. Tante Kira vient de rentrer, elle est avec Liza. Elle a demandé si Max pouvait venir.

— Bien sûr, maman.

— J’espère que tu en as gardé pour ta petite sur.

— Haha, c’est pas un souci. J’enfile mon short et j’arrive.

— Vas-y comme ça, tu n’en auras pas besoin, je crois.

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