Tu te rends compte Diam, tu es pleine.
Elle couine doucement et me montre sa joie, mais en même temps sa peur.
De qui penses-tu être grosse ?
Elle lèche sa patte droite. Comme Sherrif faisait lorsqu’il s’était blessé il y a un an.
Sherrif ?
Elle acquiesce.
Tu en es sûre ?
Elle me montre sa chatte et me fait comprendre que seul Sherrif s’y est déversé depuis un moment.
Bento ne te monte plus ?
Elle fait non de la tête.
Sherrif s’est encore plus imposé comme l’alpha ?
Oui.
Je n’avais pas spécialement remarqué. C’est une erreur de ma part. Bon, tu as compris, plus de saillie. On attend et on voit ce qui se passe.
Elle semble très triste. Dans notre contrat, il était stipulé que les chiens avaient un accès total et à discrétion à sa matrice et qu’elle, de son côté, étant donné ses besoins, pouvait se faire monter à loisir.
Cela dit, il y était aussi écrit qu’en cas d’absence de chien, pour quelque raison que ce soit, la satisfaction de ses besoins sexuels serait "gérée" par moi.
Nous arrivons à la maison.
Diam fonce dans sa niche, se déshabille, met en place sa queue, ses genouillères et ses moufles et vient me rejoindre.
Elle a un regard très interrogateur.
Je ne sais pas comment nous allons gérer ça Diam. Comment JE vais gérer ? Depuis combien de temps ne t’ont-ils pas montée ?
Elle me signe 7.
C’est beaucoup.
Oui
Tu es en manque ?
Oui
Tu as respecté la règle et tu ne t’es pas masturbée ?
Oui
Je comprends ton état. Ta tristesse. Je suis désolé, j’ai fait une grave faute. J’aurais dû m’apercevoir de ton état depuis au moins de 2 ou 3 jours. C’est ma faute.
Non
Si Diam. C’est contractuel, je dois m’occuper de toi, de ton bien-être, de tes plaisirs. Et là, j’ai failli. 7 jours sans accouplement, ce doit être un calvaire pour toi.
Oui
C’est à moi d’être puni. C’est à moi de me plier à tes désirs. Que souhaites-tu ?
Elle s’écarte de moi, se retourne, pose la tête sur le sol et fait frétiller sa queue.
Quoi ? tu veux que…
Wouaf, wouuuuuaf.
Diam, je n’ai pas le droit. En tant que chienne, tu n’as pas droit de t’accoupler à des humains.
Wouuuuuaf…
Et son postérieur frétille de plus en plus…
Je vois une main qui vient se poser sur sa vulve et qui l’ouvre.
Elle est déjà luisante.
L’entrée de son vagin palpite.
Elle s’introduit une phalange et la retire.
Une crème blanchâtre vient maculer son entrée.
Wouuuuaf, wouaf… huum huum huuuuum.
Elle fait jouer son anus et sa petite queue s’agite sans qu’elle ne bouge.
Elle se redresse et vient poser son visage sur mon entrejambe.
Elle lève la tête et me regarde.
Je vois une intense lueur de lubricité et de luxure dans ses yeux.
Elle tire la langue et jappe.
Hum, huuum, huuuuum, wouuuuuaf, wouuuuaf.
Elle se place à nouveau, croupe vers moi, tête au sol et écarte ses pattes arrière.
Diam… ce que tu me demandes…
Elle se redresse et s’assoit à 4 pattes devant moi.
Ses mamelles sont gonflées de désir et il me semble percevoir une goutte qui apparaît au bout d’une de ses tétines…
Effectivement, un peu de liquide blanc vient à suinter.
Elle vient frotter ma main de sa patte… elle me fait comprendre de l’accompagner.
Elle approche ma main de sa tétine.
Je tends un doigt et viens recueillir le lait qu’elle produit.
Elle sourit
Je le porte à ma bouche et le goûte.
C’est divin.
Je m’enhardis et viens presser un peu plus fort.
Un petit jet de lait en sort.
Elle éclate de rire, tourne sur elle-même et se remet en position, bombant sa poitrine et faisant sortir ses mamelles.
Je m’assois en tailleur devant elle, approche ma bouche d’une de ses tétines et viens sucer.
J’aspire un peu de liquide sucré.
Wouuuuuuaf, hum, huuuuuum, huuuuum.
Je m’écarte.
Ses yeux sont fermés.
Elle se retourne et me montre sa vulve maintenant trempée.
Non, Diam, on ne doit pas… Je suis ton dresseur, ton Maître, je ne peux pas, je ne dois pas te prendre. Tu te rends compte ?
Elle contracte maintenant ses muscles et sa petite queue jusque-là fichée en elle tombe, laissant voir son anus béant…
Huuuum, huuuuuuuuuum, wahouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu, wahouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu.
Ses deux orifices, luisants, ouverts, palpitent tandis qu’elle fait rouler sa croupe.
Je me suis rassis sur le canapé. Je suis bien entendu dans un état de tension indicible.
Mon sexe est bandé comme un arc prêt à décocher sa flèche.
Elle fait à nouveau demi-tour et vient sentir le plug qui quelques instants auparavant était fiché en elle.
Elle s’en approche, sort sa petite langue et vient le lécher, le prenant en bouche.
La queue pend entre ses lèvres.
Elle commence à secouer sa tête de droite et de gauche, balançant la queue des deux côtés en grognant.
Je l’attrape et commence délicatement à tirer dessus.
Elle-même tire dessus en arrière en reculant.
Je dois me lever pour ne pas lâcher la queue.
Elle recule à 4 pattes.
Où veut-elle en venir ?
Je comprends, je dois la suivre.
Elle lâche la queue, vient se mettre à mes côtés et avance lentement.
Je marche de même.
Elle va vers sa niche.
C’est un grand espace bien aménagé, chauffé, rempli de coussins, de couvertures avec un tapis sur le côté sur lequel elle se fait saillir par Sherrif et Bento.
Il y a également un grand fauteuil sur lequel je m’assois et d’où j’assiste à ses copulations canines.
C’est son royaume, un endroit où elle est libre de faire ce qu’elle veut, dans une certaine limite bien entendu.
Elle ôte donc ses genouillères et ses moufles et se retrouve telle que la nature l’a fait naître devant moi.
Waouf, waouf…
Elle se déplace vers le tapis de copulation, pose sa tête sur le sol, remonte ses mains vers ses fesses et écarte largement ses attributs féminins.
Ici Diam ? Dans ton antre ? Tu penses que je ne fauterais pas ? Tu te souviens de notre accord ? Une chienne copule avec ses semblables canins. Pas avec des humains. D’autant que ton voyage K9 est plus qu’amplement terminé puisque tu portes la progéniture d’un chien. Cela fait 4 ans que petit à petit tu t’es transformée pour devenir la petite chienne que tu es Diam, une vraie.
Hiii, hiiii, hiiii, hiiii… waouh, waouh.
Elle commence à remuer sa croupe d’avant en arrière, mime un accouplement, accélérant ses mouvements.
Elle n’a pas le droit de se toucher, la masturbation lui est interdite.
Pour une amoureuse du sexe comme elle, il lui arrive de se faire saillir jusqu’à 4 fois par jour.
Alors 7 jours d’abstinence, sa matrice est certainement en ébullition.
Mais étant son dresseur, étant donné tout ce que nous avons vécu depuis que nous nous sommes rencontrés il y a près de 5 ans, je bloque. Mon sexe n’en peut plus et n’a qu’une envie, remplir son vagin brûlant, s’y abandonner, s’y déverser, mais mon esprit n’accepte pas, ne veut pas.
Je me lève et quitte sa niche, refermant la porte de sa pièce de vie.
