Après une nuit agitée, un petit déjeuner léger, je m’habille et file sur Rennes. En effet, lors de mes essayages et après avoir visité plusieurs sites sur le net, ma décision est prise, je vais m’acheter une paire de faux seins. Je désire avoir une belle poitrine pour ce soir.
A Rennes je me gare pas très loin d’un sex-shop et passe plusieurs fois devant avant d’ y entrer. Je fais le tour et aperçois ce que je souhaite. Mon choix s’arrête sur une paire de seins qui fais une poitrine 90b. Je file à la caisse et là un homme qui paye ses achats me regarde, je deviens tout rouge.
Je paye et me dépêche de partir. Rentré à la maison je me précipite dans ma chambre et me change, je découvre ainsi une belle poitrine dans mon soutien gorges. Je reste habillée et attends ainsi ma sur.
Il est 17h quand Sandrine arrive à la maison, elle me découvre vêtue d’une petite jupe blanche moulante, d’un collant fin noir, en haut je porte le pull de Caroline.
Bonjour Christophe, heu Gwenaëlle.
— Bonjour Sandrine ça va?
— Oui bien et toi?
— ça va merci.
— Tu es adorable ainsi.
Je rougis, autant être habillée toute seule à la maison me dérange pas mais j’éprouve de la gêne d’être ainsi devant ma sur.
— Bon on va te préparer.
— Tu sais je suis pas sûre d’aller au dîner, j’ai peur de ce qui se passe.
— Va au moins dîner ensuite si tu te sens pas bien tu pourras toujours partir.
— Tu as raison.
Nous filons dans la salle de bain ou j’ôte mes vêtements. Je reste en dessous et attend que la séance de maquillage commence.
— Ho tu en as une jolie poitrine ma chérie. Elle fait très vrai.
Pendant 1 heure, après m’être rasé de prêt, ma sur me maquille, me coiffe.
— Bon tu sais ce que tu vas porter ce soir?
— Non pas trop, j’ai pas réussie a choisir.
— Allons voir ça.
J’étale sur le lit les vêtements que nous avons acheté ensemble ainsi que ceux que ma sur m’a ramené la veille.
— Pour commencer, on va changé tes dessous, tu vas mettre l’ensemble tanga blanc avec le soutien gorge ensuite je vais t’aider a mettre le corset.
Je me laisse guider par Sandrine, elle choisi la robe blanche qu’elle m’a fait acheter hier, elle me tend une paire de bas blancs que j’enfile et qu’elle m’aide à accrocher aux jarretières.
Je me regarde dans la glace, une fois passé mes escarpins, mon corps se cambre naturellement. La robe prêt du corps met en valeur mes formes. Le léger décolleté laisse apparaître ma poitrine, je suis subjuguée par ce que je vois, il me semble que Christophe n’a jamais existé.
— Bon te voila prête, tu es vraiment très jolie.
— Merci Sandrine.
Je tremble, je suis nerveuse, j’enfile une manteau que ma sur m’a emmené. Je suis toute de blanc vêtue. L’heure approche et va falloir que je parte. Je vais pour me dévêtir afin de ne garder que le minimum sur moi pour prendre ma voiture.
— Tu sais il fait nuit la personne ne te verra sortir de la maison et entrer dans ta voiture, tu devrais rester habillé. Prend juste un sac avec des rechanges fille et garçon au cas ou. Je décide donc de l’écouter et sort accompagné de ma sur. Nous séparons là et elle me souhaite bonne chance pour ce soir, en me faisant promettre de l’appeler dès que je serais rentrée.
— Promis Sandrine. Je l’embrasse et monte en voiture.
Le conduite en talon n’est pas aisé quand on a pas l’habitude, mais après quelques kilomètres, je m’habitue. Après 1/2 de route, j’entre enfin dans la cours de Caroline, je gare ma voiture au même endroit que l’autre soir. Je reste un moment assise dans la voiture et rassemblant mon courage et je file vers la porte.
Je sonne, Caroline vient m’ouvrir et me regarde, elle est superbement vêtue, une jupe crayon, un chemisier en soie blanc, elle m’accueille avec un grand sourire.
— Bonsoir Gwenaëlle, tu est ravissante.
— Bonsoir Caroline, merci toi aussi.
— Entres, donnes moi ton manteau.
— Tu es vraiment très jolie ainsi habillée, très jolie jeune femme.
Je rougis et la remercie. Nous pénétrons dans le salon et je m’installe dans le canapé. Caroline me sourit, petit à petit je me détends.
— Tu t’es préparée toute seule?
— Non, ma sur m’a aidé, je lui ai raconté ce qui s’était passé l’autre soir avec toi et ce que j’ai ressentie, elle m’a alors dit que petit, je demandais souvent a être habillé en fille, moi qui croyait que c’était mes surs qui m’habillaient pour m’embêter.
— Donc en fait tu as toujours eu l’envie de ressembler à une fille.
— Sans doute.
Nous passons un moment à papoter, il est 20h30 quand on sonne à la porte. Je sursaute. Caroline me sourit en me caressant la main. C’est un ami qui vient dîner avec nous n’ai pas peur. Pas peur, je pensais dîner avec Caroline et voila qu’un inconnu arrivait, je ne pouvais pas partir, une autre personne allait me voir ainsi. Je voulu dire quelque chose mais Caroline posa un baisé sur mes lèvres et me dit.
— Ne t’inquiète pas ma chérie, il sait pour toi, c’est un très bon ami et il voulait te voir quand je lui ai raconté notre soirée, il a peine a croire que tu fasses vraiment femme. Il est très gentil.
C’est tremblante que j’attends l’entrer de son ami, si j’avais su je ne serais pas venue, Caroline m’a dupé j’ai peur de ce qui va se passer ce soir.
— Gwenäelle, je te présente Stéphane.
— Stéphane, Gwenäelle.
Il m’embrasse sur la joue et je me sens rougir. C’est un bel homme d’une quarantaine d’année, les yeux bleus claires, le teint mate, il porte un costume gris très chic.
— Tu avais raison Caroline, j’ai vraiment vu une femme en entrant, il faut être très prêt pour s’en rendre compte.
Je ne sais plus ou me mettre, il me regarde, Caroline s’approche et m’embrasse à nouveau ce qui a pour effet de me détendre un peu.
— Bon nous allons pouvoir passer à table.
Je me retrouve assise à côté de Caroline, Stéphane est face à nous. Nous papotons, il me questionne sur ce que je ressent ainsi, mes goûts, je me livre sans complexe. De temps en temps, la main de Caroline se pose sur ma cuisse et me caresse ce qui a le dont de me faire frissonner et de m’exciter. Nous repassons au salon après le dîner. Caroline s’installe à côté de moi et continue ses caresses, Cette fois, Stéphane ne peut pas louper se qui se passe, ma tête commence a tourné sous l’effet de l’alcool et de l’excitation.
Caroline est de plus en plus entreprenante, entre baisers et caresses, elle a remonté ma robe et on peut maintenant voire ma culotte, je suis tellement excité que je n’éprouve aucune gêne. Stéphane nous observe, je le vois qui commence a caresser son pantalon et je devine maintenant une bosse prendre du volume.
Caroline m’abandonne et va embrasser Stéphane, je la regarde le caresser, Stéphane commence a déshabiller Caroline. Je les observe de plus en plus excitée par ce que je vois, Caroline me tends la main je la prend et m’approche, après un baiser de Caroline, Stéphane s’approche de moi et pose ses lèvres sur les miennes, je lui rend se petit bisou, mais il insiste et sa langue pénètre ma bouche, je le laisse entré en moi. Je viens d’embrasser mon premier homme. Caroline a repris ses caresses, j’ai maintenant la robe au niveau de la taille et ses mains me caresse les fesses, entre dans mon tanga. Puis c’est la main de Stéphane qui se pose sur moi, je le laisse me caresser, m’embrasser. Caroline en a profité pour ouvrir le pantalon de Stéphane , elle a sorti son sexe et le masturbe. Elle se penche dessus et commence a le mettre dans sa bouche.
Tout en suçant Stéphane, la main de Caroline avait sortie mon sexe du tanga, et me masturbait, l’effet combiné des caresse de Stéphane sur mes fesses et la masturbation de Caroline me fît jouir très rapidement. Caroline vînt m’embrasser et j’eu le goût du sexe de Stéphane dans ma bouche. Elle me guida lentement vers le sexe de Stéphane, après 2 ou 3 bisous, je commençais a suivre Caroline et léchait doucement ce sexe tendu, la main de Stéphane se posa sur ma tête et j’ouvris la bouche pour avaler son membre. Je suçais Stéphane maladroitement et Caroline me chuchota à l’oreille comment m’y prendre, petit à petit je m’appliquais et lorsque je sentis Stéphane se contracter, je reçu en pleine bouche sa jouissance. Caroline m’embrassa alors que j’allais cracher et ensemble, nous avalâmes son jus.
Nous avons fait une pause pour reprendre nos esprit, Caroline me félicita pour ce que j’avais fais, et nous partîmes toutes les deux dans la salle de bain abandonnant Stéphane dans le salon.
— Tu as été parfaite ma chérie, je ne pensais pas que tu ferais ça tout de suite.
— Je sais pas ce qui c’est passé Caroline, tu m’as tellement excitée que la suite est venue naturellement, je n’ai même pas réfléchie, j’ai adoré prendre le sexe de Stéphane.
— C’est bien ce que je pensais et que j’ai vue en toit dès que tu as été habillée en femme, tu l’est au fond de toi. Il fallait juste t’aider un peu a franchir le pas. Je suis heureuse de le faire. Bon on se refait une petite beauté.
J’allais quitter la salle de bain et Caroline me reteint. Elle s’accroupi devant moi, baissa ma culotte et commença a me caresser les fesses, je sentais son doigt se faire plus insistante entre mes fesses, venir caresser mon anus. Elle tendit la main prit un tube s’en déposa sur le doigt et pénétra mon anus. L’effet fut immédiat, une érection comme jamais me prit, elle m’enduisit l’anus avec du gel et me remonta ma culotte. Elle m’embrassa.
— Je pense que tu en as très envie ma chérie et Stéphane est l’homme parfait pour une première fois. Il est très doux tu verras.
Sachant maintenant ce qui allait se passer, c’est les jambes cotonneuse que je regagnais le salon. Stéphane était maintenant nu sur le canapé, son sexe en semis érection, Caroline m’invita a le réveiller. Je ma plaça entre les jambes de Stéphane et me penchant, je reprenais son sexe en bouche. Les effets ne se firent pas attendre son sexe gonfla de nouveau et emplit ma bouche. Caroline me fit m’appuyer sur l’accoudoir, fesses relevées, elle caressait mon sexe en érection, je senti un doigt s’introduire en moi puis un deuxième. Je commençais a gémir sous l’action combinée de Stéphane et Caroline. Tout à coup les doigts sortirent et c’est le sexe de Stéphane que je sentis contre ma rosette, il appuya doucement, une douleur me scinda en 2 quand son gland pénétra, il resta immobile et la douleur diminua, je me faisais à ce sexe en moi, doucement il s’enfonça, me pénétrant de plus en plus. Je sentis ses bourses contre mes fesses et il attendit encore. Il commença ses va et viens, Caroline accéléra sa masturbation, je gémissais de plus en plus fort, je prenais plaisir à être prise par un homme, lorsque je joui dans la main de Caroline, Stéphane joui en moi. Il resta un peu puis se retira alors que son sexe se ramollissait , je m’écroulais sur le canapé, fourbue, heureuse, des larmes coulant sur mes joues. Carline se lova contre moi, m’embrassa.
— Tu as été parfaite Gwenäelle.
Stéphane partit sous la douche, je pleurais de joie et en même temps de tristesse, cette soirée avait fais de moi une femme, un homme m’avait fait l’amour et j’avais adoré le sentir en moi lui donner du plaisir. Gwenäelle était née, je ne me sentais pas gay mais femme, oui ce soir j’étais une femme qui avait fais l’amour avec un homme. Comment Caroline avait pu en une soirée me faire passer de mon statut d’homme, a celui de femme, une soirée ou elle avait vu que portant ses vêtements, je devenais une femme et ce soir, toute fardée, transformée en femme, il n’y avait plus rien de masculin en moi.
— Que se passe t il ?
— Rien Caroline, je viens de me rendre compte que ce soir, tu as fais de moi une femme comblée. Je suis heureuse de ce qui viens d’arriver. Je comprend maintenant pourquoi je ne trouvais personne car mon désir n’était pas d’avoir une femme mais d’en être une.
— je suis contente que tu te soit découverte.
— c’est grâce à toi. Comment a tu vu ça en moi?
— L’autre soir quand tu t’es retrouvé avec mes vêtements, tu as immédiatement changé. J’ai vu une femme, pas très à l’aise au début puis quand tu m’as laissé te transformer totalement, tu m’as fait penser à un garçon que j’ai bien connu et qui se cachait. Il fallait juste te libérer un peu.
Stéphane sorti de la salle de bain nu, je regardais ce sublime corps et le désir remonta en moi. Caroline me regardait.
— bon les amoureux je vous laisse la chambre je dois dormir un peu.
Elle nous embrassa et parti dans la chambre voisine. Stéphane vint s’allonger contre moi. Je caressais son corps.
— Dormons un peu tu veux bien ?
Malgré mon excitation, j’étais éreintée et je me blottit dans ses bras. Il ne fallut pas longtemps pour que je m’endorme.
