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Gwendoline – Chapitre 2

Gwendoline - Chapitre 2



Je me nomme Gwendoline, j’ai tout juste 30 ans et je suis célibataire. Je mesure 1m70 pour 55 kg. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. J’arbore un mignon 90C avec des fesses bien rondes qui agrémentent un corps relativement bien entretenu par le sport.

Sans me vanter, j’ai pris l’habitude de voir que les hommes se retournent sur moi.

Je suis actuellement secrétaire dans une agence bancaire.

La dernière fois, je vous ai raconté laventure qui m’est arrivée l’année dernière en 2012, à mon retour de vacances sur une station de lavage où j’avais décidé de faire passer ma voiture.

Après une licence de Sciences Economiques, jai fait quelques petits boulots, puis jai été embauchée en 2007 dans la banque où je travaille actuellement. En septembre de cette année 2007, tout juste embauchée, jai effectué un stage de formation dans une agence du groupe, mais dans une autre ville de ma région.

Cela faisait déjà deux semaines que jétais en stage. Lambiance était bonne, 8 personnes dont Sophie, qui était ma tutrice et Marc, le directeur dagence. La trentaine, diplômé dune école de commerce et mignon, craquant !

Sophie mavait bien conseillée et jarrivais toujours à lheure dans une tenue correcte, celle de la parfaite secrétaire dune agence bancaire : Chemisier, tailleur, escarpins, parfois des bottes ou un pantalon, mais toujours classe !

Ce vendredi là, vers 17h30, alors que les employés commençaient à quitter lagence, fermée depuis 17h, Marc me demanda de le rejoindre dans son bureau. Comme il était mignon, me retrouver dans son bureau, même seule nétait pas une punition. Après quelques banalités, il sapprocha de moi, me complimenta sur mon travail, ma présentation et ma politesse, minvitant à continuer de la sorte pour les six prochaines semaines de mon stage. Se faisant, il sétait approchée très près de moi et nous entendîmes Sophie qui dit « Je pars, à lundi, je ferme derrière moi ! ».

Comme un signal de départ, il tenta de membrasser. Surprise, je me laissa faire notre baiser fut long et langoureux. Il me prit par la main et memmena vers un local qui se trouvait en face de la pièce des archives des comptes des clients. Cette petite pièce comportait une armoire, un bureau avec un fauteuil et une sorte de table de desserte. Le local était exigu, nous étions seuls, mais il referma la porte derrière nous et alluma la lumière. Il me prit dans ses bras et entreprit de passer ses mains sous mon chemisier, à la recherche de zones érogènes. Sans dégrafer mon soutien-gorge, il en remonta les bonnets pour en dégager mes seins dont les extrémités sensibles étaient déjà dressées. Après quelques caresses, cest sous ma jupe que ses mains se dirigèrent. Il atteignit ma culotte. Ses doigts glissaient sur le fin tissu qui était déjà humide. Jécarta les jambes, il écarta le mince tissu et ses doigts glissèrent vers mon intimité quils commencèrent à lexplorer. Ses doigts remontèrent un peu, à la recherche de mon clitoris, qui sous leffet de ses caresses durcit rapidement.

Il ouvrit sa ceinture puis dégrafa son pantalon et descendit son caleçon qui tombèrent sur ses chevilles. Il découvrit un sexe de belle taille qui commençait sérieusement à se dresser. Je tombais à genoux devant lui et mes lèvres se posèrent sur son sexe. Je commençai par passer doucement ma langue tout le long de sa hampe et jaspirai délicatement lextrémité dans ma bouche, suçant tout en caressant avec ma langue. Par moments, le lui léchais tout le sexe, descendant jusquaux bourses pour revenir jusquau gland. Cela dura plusieurs minutes.

Je me remis sur pieds et il me demanda de me pencher en avant sur le bureau. Il souleva ma jupe et écarta le tissu de ma culotte. Il introduisit alors son gland entre les lèvres de ma vulve. Il lenfila dun coup dans mon vagin et commença de délicats va-et-vient sur toute la longueur de sa hampe. Ses allers retours étaient pleins de délicatesse mais saccélérèrent bientôt. Dans cette position, il pouvait me pénétrer à fond. Son sexe occupait tout lespace que lui proposait mon vagin. A chaque coup de reins, je lâchais un petit râle de plaisir. Il sarrêta bientôt pour positionner son gland contre mon anus. Prise par le plaisir quil me procurait je némis aucune protestation. Même, je donnai alors une légère poussée vers larrière et sa verge se retrouva facilement à lintérieur de mon conduit anal. Il menculait doucement, mais fermement, bien à fond. Il me tenait par la taille, en haut des hanches, pendant quil mempalait. Il ondulait du bassin afin de bien me caresser tout lintérieur avec son gland. Il ressortit bientôt de mon anus dilaté et il sassit sur le fauteuil derrière le bureau. Il me demanda de venir masseoir sur lui en lui tournant le dos. Tenant fermement son sexe dune main, je me suis assise dessus en le faisant pénétrer au plus profond de moi. Puis, montant et descendant le long de son membre, choisissant le rythme qui me convenait. Je sentais sa verge gonfler, et une délicieuse sensation annonçait mon plaisir qui nallait pas tarder. Mon vagin lenserra alors plus fortement. Je lui dis « Je vais jouir », il me répondit « Moi aussi, je vais venir en toi ! »

Il me devança de quelques secondes dans le plaisir, laissant échapper son sperme au fond de mon ventre, alors que je gémissais. Je jouis alors que le plaisir me submergeait.

Il me demanda alors de prendre en bouche son sexe qui venait de me remplir. Je le léchais et le nettoyais de toutes mes sécrétions et gouttes de sa semence qui le recouvraient.

Il se rhabilla, membrassa sur la joue. Il remit un peu dordre dans la pièce alors que je me réajustais. Je sentais son sperme qui coulait le long de mes bas sous ma jupe. Il maccompagna jusquà la porte de lagence et me dit « A lundi Gwendoline ! ».

Les vendredis suivants de mon stage, nous eûmes de nouveau loccasion de nous retrouver dans le petit local sauf le denier vendredi, celui de mon départ. En effet, Sophie sétant aperçue de quelque chose, elle mavait envoyé, sans jalousie, mais davantage pour mettre en garde : « Il ta dit quil était marié ? ».

Le lundi suivant je commençais à travailler au sein de lagence où je suis actuellement.

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