Je me nomme Gwendoline, j’ai 30 ans tout juste et je suis célibataire. Je mesure 1m70 pour 55 kg. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. J’arbore un mignon 90C avec des fesses bien rondes qui agrémentent un corps relativement bien entretenu par le sport.
Sans me vanter, j’ai pris l’habitude de voir que les hommes se retournent sur moi.
Je suis actuellement secrétaire dans une agence bancaire.
Après vous avoir raconté laventure qui m’est arrivée l’année dernière en 2012, à mon retour de vacances sur une station de lavage et comment s’était déroulé mon stage de formation lors de mon embauche dans le groupe bancaire où je travaille, je vais maintenant vous raconter ce qui mest arrivé lors dune soirée organisée par une amie. Nous étions une quinzaine de personnes, des connaissances du travail ou des voisins ou amis, invités par Marion, une collègue de lagence bancaire.
La soirée se passait bien, si on faisait abstraction de Pierre, venu avec son épouse Lyse. Pierre, même dans ce type de soirée est incapable de ne pas vous parler de travail. Tout le monde se demande, comment Lyse fait pour le supporter.
Alors que nous avions tous déposé nos manteaux et sacs dans une petite bibliothèque à lentrée de la maison de Marion, jéprouvais le besoin de me refaire une beauté et décidais daller chercher mon petit nécessaire dans mon sac à main.
A lapproche de la bibliothèque, jen aperçu la porte qui était entrouverte et jentendais du bruit qui en provenait. Je mapproche et depuis la porte japerçois Lyse accompagnée dOlivier, le mari de Marion. Ils avaient lair très proches Olivier jouait avec la pointe des seins de Lyse qui étaient sortis de son soutien-gorge, alors que son chemisier était ouvert.
Pendant ce temps, Lyse qui se tortillait sous les caresses dOlivier en avait saisi le sexe après avoir déboutonné la braguette de son jeans. Elle pressait sa queue entre ses doigts et ne tarda pas à bientôt le masturber. Olivier glissa la main sous sa jupe et accéda à son entrejambes. Il y enfonça sûrement un doigt, car le soupir quelle lâcha fut révélateur de la qualité des caresses prodiguées. Elle se crispa de plaisir et saccrocha vivement à lui. A presque haute voix, il dit quil voulait la prendre là, maintenant debout contre la bibliothèque. Elle répondit que non, quils ne pouvaient pas pourtant, elle se mit à genoux devant lui. Ses lèvres se posèrent sur son sexe. Elle commença à passer doucement sa langue tout le long de sa hampe puis à en aspirer délicatement lextrémité avec les lèvres. Bientôt, elle lui lécha tout le sexe, descendant jusquaux bourses pour revenir jusquau gland, tout en continuant à le masturber. Olivier semblait apprécier et après plusieurs minutes de ce traitement il se contracta et explosa au visage de Lyse. Si une grande partie de sa sève était arrivée dans la bouche de Lyse, ses joues en étaient également recouvertes. Elle en avala une partie et se débarrassa du reste à laide dun mouchoir en papier. Elle se redressa et évoquant le fait que Marion et Pierre puissent sapercevoir de quelque chose, ils se réajustèrent et sapprêtèrent à sortir de la bibliothèque. Je me suis éloignée, surprise de ce que je venais de voir.
Quelques minutes plus tard, je croise Marion qui me demande de laide à la cuisine. Pensant à ce que je viens de voir, je laccompagne je revois Olivier en train déclater, éjaculant en longs jets dans la bouche de Lyse. Sa bouche pleine le foutre coulant de la commissure de ses lèvres … j’en avais les jambes tremblantes.
Au bout dun moment Pierre passa à la cuisine pour nous demander si nous navions pas vu Lyse. La jeune fille qui gardait les enfants à la maison venait dappeler sur son portable. Il y avait un problème avec lélectricité à la maison. A ce moment Olivier et Lyse apparurent. Pierre expliqua la situation à Lyse, qui voulut laccompagner, mais Pierre insista pour quelle reste, quil nen aurait pas pour longtemps et quil reviendrait ensuite. Il récupéra ses affaires dans la petite bibliothèque à lentrée de la maison et partit laissant Lyse à la fête. Savoir Lyse seule fit apparaître un léger sourire sur le visage dOlivier
Presque une heure plus tard, peu fumeuse, je sortis tout de même pour aller fumer une cigarette. Jétais dehors près des voitures, quand mon attention fut attirée par des paroles :
" Arrête de sucer, Marion, lève toi, je vais te baiser !". Curieuse, je me suis approchée discrètement. Jai vite aperçu Marion et Paul, notre chef dagence. Elle le regarda en souriant et se mit debout. Cachés derrière une voiture, ils se déplacèrent et Marion vint se positionner, sur le dos, sur le capot de la voiture garée là. Dès qu’elle fut sur le dos, elle releva sa jupe et ses jambes, quelle écarta. Vraisemblablement, elle ne portait ni culotte, ni string ! Il enfonça un sexe dune belle taille, sans difficulté dans Marion, trempée qu’elle était, sûrement par les préliminaires ! Il se mit à la besogner sans ménagement. Il la tenait par les hanches, ses jambes sur ses épaules. Elle accrochait ses mains à ses poignets pour ne pas glisser du capot. Elle gémissait à chaque coup de boutoir et elle ne tarda pas à jouir. Un orgasme violent, comme une fontaine, un long jet que Paul reçut sur le bas du ventre. De là où jétais, je pu tout voir. Elle gémissait, couinait Ils ne semblaient pas en être à leur première fois !
Il continuait à la pilonner, ramonant, entrant, sortant finalement il jouit en une profonde pénétration qui la fit crier un peu plus fort.
Il se retira, le foutre et la cyprine s’écoulèrent de la chatte de Marion sur le capot de la voiture.
Avant de me faire découvrir, je repartis vers la maison, sans même avoir fumé ma cigarette. Ce soir, jallais de surprise en surprise !
Plus tard dans la soirée, après quelques verres et quelques danses, je voulais me changer les idées. Pierre n’était toujours pas rentré et je n’avais pas vu Lyse et Olivier depuis plusieurs minutes une éternité ! A l’étage, en visite de la jolie maison de Olivier et Marion, je me suis retrouvée à la porte de l’une des chambres en train d’observer Olivier et Lyse. Je comprenais pourquoi je ne les avais pas aperçu depuis tout ce temps.
Lyse était presque nue, à quatre pattes. Olivier derrière elle, avait introduit son gland entre les lèvres de sa vulve et l’enfilait sur toute la longueur de sa hampe. Ses allers retours étaient pleins de délicatesse mais saccélérèrent bientôt. Dans cette position, il pouvait la pénétrer à fond. Son sexe occupait tout lespace que lui proposait son vagin. A chaque coup de reins, elle lâchait un petit râle de plaisir. Il sarrêta bientôt pour positionner son gland contre son anus. Prise par le plaisir quil lui procurait, elle sembla némettre aucune protestation. Il lenculait doucement, mais fermement, bien à fond. Il la tenait par la taille, en haut des hanches, pendant quil lempalait. Il ondulait du bassin afin de bien lui caresser tout lintérieur avec son gland. Il ressortit bientôt de son anus dilaté et
« Regardez qui nous avons là qui joue les voyeuses ? »
Je n’avais pas vu arriver Paul. Il semblait peu surpris de voir Olivier et Lyse dans cette situation et m’invita à finir d’entrer dans la chambre dont il ferma la porte derrière moi, à clef !
A notre vue, Lyse et Olivier cessèrent leurs ébats.
Quelques minutes plus tard, tout le monde était nu. Lyse se mit à sucer le sexe de Paul, alors que moi j’en faisais de même à Olivier. Après quelques temps, le sexe de Paul dans la bouche, je me faisais lécher le clitoris par Lyse, ce qui me provoqua une jouissance extrême alors qu’en levrette, elle se faisait prendre le vagin par Olivier. Bientôt, c’est son anus qui se fit de nouveau explorer par Olivier. Elle adorait ça, la chienne. Moi, Paul ne tarda pas également à me prendre en levrette avec vigueur. Des cris de râles et de jouissances se firent bientôt entendre dans la chambre. Les positions changeaient, les partenaires également. Je me suis vite retrouvée allongée de face sur Paul qui me prenait le vagin pendant que Olivier s’occupait de mon petit trou. Pendant ce temps Lyse encourageait Olivier, n’hésitant pas à reprendre en bouche régulièrement le sexe d’Olivier.
Quand tout le monde fut satisfait, le silence se fit. Je reprenais mon souffle, Paul se rhabilla et partit bientôt suivi de Olivier que Marion pouvait chercher ?
A mon tour, je me suis rhabillée, Lyse en fit de même. Nous regagnâmes la fête qui se terminait. Pierre revint chercher Lyse. Olivier et Marion nous saluèrent depuis leur porte d’entrée. Je suis rentrée chez moi.