Chapitre 2 : Le match de quidditch
CORRECTION : SYSTEME PILEUX
Harry arriva dans les vestiaires de Quidditch de Gryffondor le dernier. Toute l’équipe l’attendait patiemment. Dans quelques instants, ils joueraient le match contre Serpentard. Ginny avait mis sa robe de Quidditch rouge moulante afin de ne pas être gênée lorsqu’elle tenterait de marquer des buts. Ron avait enfilé une robe ample qui l’aiderait à stopper plus facilement le souafle devant les buts.
Lorsqu’ils furent tous prêts, ils enfourchèrent leurs balais et entrèrent sur le stade. Tous les élèves de l’école étaient là pour regarder ce qu’ils appelaient le "match de l’année". Harry serra la main du capitaine des Serpentard, en veillant bien à lui écraser les doigts. Puis, Madame Bibine siffla et le match commença.
Katie Bell, une des poursuiveuses de Gryffondor, attrapa tout de suite le souafle et fonça vers les cages adverses. Un cognard passa devant elle mais elle ne ralentit pas. Au moment de marquer, un des batteurs de Serpentard lui envoya le second cognard dans le ventre et la Gryffondor lâcha le souafle. Le ballon traversa directement dans l’anneau central. Katie s’évanouit et glissa de son balai. Dumbledore intervint et ralentit la chute de la jeune fille. Celle-ci atterrit donc comme une plume sur le sol. Madame Bibine siffla un temps d’arrêt.
Madame Pince, l’infirmière de Poudlard, remit sur pied en moins de deux minutes la pauvre poursuiveuse. Madame Bibine ordonna un pénalty pour les Gryffondors. Ginny tira et marqua largement. Le gardien n’avait même pas pu bouger !
Par la suite, les Serpentard marquèrent plusieurs buts d’affilée. Le score était donc de 10 à 40 pour les Serpentard. Ron essayait de ne pas perdre confiance en lui mais ratait tous ses arrêts. Le score des Serpentard passa à 90. Ginny marqua un but. Le score passa à 20 – 90. Ron encaissa trois buts, puis, cinq autres. Harry regardait ça, décontenancé. S’il n’attrapait pas le vif d’or maintenant, ils perdaient le match.
Soudain, Harry vit un reflet doré lui passer en travers des yeux : le Vif d’Or ! Le petit objet voletait tranquillement au-dessus de la tête de Drago Malefoy, le pire ennemi de Harry et l’attrapeur des Serpentards. Il lança toute la puissance de son balai dans la course. Mais Harry se rappela tout d’un coup que s’il attrapait le Vif d’Or maintenant, il y aurait égalité. Le problème était que, en s’éloignant, le Vif d’Or était apparu aux yeux de Drago. Harry ne réfléchit pas et s’élança. Il doubla Malefoy et l’attrapa entre ses doigts. Il y avait donc égalité. Enfin, c’est ce qu’il crut pendant 10 secondes.
Une clameur s’éleva du public Gryffondor. Harry regarda le score affiché et lut : 180-170. En regardant Ginny lever les bras, il comprit que pendant qu’il était occupé à poursuivre le Vif d’Or, elle avait marqué. Le score final était donc de 180 à 170. Ils avaient gagné !
Les hués des Serpentard furent noyés par les centaines d’acclamations des autres Maisons. Harry atterrit doucement sur le sol à côté de son équipe. Ginny et lui furent hissés en l’air et ils entendirent tous les Gryffondor crier : "Gi-nny ! Ha-rry ! Gi-nny ! Ha-rry ! Gi-nny ! Ha-rry ! Gi-nny ! Ha-rry !". Ils furent reposés sur le sol et tous les Gryffondors coururent au château. Ils entrèrent tous dans la salle commune et les elfes de maison firent apparaître de la nourriture en abondance.
Pendant toute la soirée, Harry dévora Ginny des yeux. Un sentiment d’allégresse l’envahissait. Ne pouvant se retenir, il s’approcha de Ginny et lui attrapa la main :
"Bravo, pour tout à l’heure ! J’ai cru qu’on allait faire une égalité !"
Ginny sourit jusqu’aux oreilles et à la plus grande surprise de Harry… l’embrassa ! Harry resta sous le choc quelques secondes avant de reprendre ses esprits. Il enlaça tendrement sa nouvelle petite amie et lui rendit son baiser. Sa langue brisa la barrière de lèvres et commença à explorer l’intérieur d’une bouche divine. Ginny embaumait les effluves vaginales. Harry toucha sa robe qui était mouillée : Ginny était toute excitée !
Les pensionnaires de Gryffondor scandèrent tout à coup : "A poil ! A poil !". Ginny rit en entendant cela. Elle retira sa robe de Quidditch : elle avait en dessous un pantalon rouge et un Tee-Shirt noir. Elle attrapa ensuite la robe de Harry et la jeta par terre. Elle s’agenouilla doucement. Harry, rouge comme une tomate, saisit discrètement sa baguette et murmura :
"Accio cape !"
Sa cape d’invisibilité surgit de nulle part et recouvrit les amoureux. Un "Oooooh" de déception se fit entendre.
Ginny lui sourit et déboutonna le pantalon de Harry. Elle baissa ensuite le boxer et sortit un pénis bandé du haut de ses 17 centimètres. Le contact de la peau de Ginny était incroyable : doux et sensuel. Ginny avala le membre de Harry et commença à le faire coulisser en bouche. Ginny était en train de lui faire une fellation !
La rouquine arrêta son mouvement et lécha le gland du bout de sa langue. Elle titilla ensuite le filet puis descendit le long de la hampe. Elle prit les deux couilles de Harry dans une main et commença à malaxer tendrement les testicules. De son autre main, elle lui attrapa le bras et l’amena à ses seins.
Harry retira lentement le haut de Ginny. Elle portait en dessous un soutien-gorge de taille moyenne qu’il évalua à 85C.
« 90C ! » dit alors Ginny, comme si elle avait lu dans ses pensées.
Il retira ensuite le soutien-gorge, unique rempart vers le plaisir. Il le jeta par terre. Le sous-vêtement alla malencontreusement en dehors de la cape d’invisibilité et apparut aux yeux des autres Gryffondors.
Leurs compagnons se jetèrent dessus et celui qui réussit à l’attraper fut Colin Crivey, un cinquième année qui était fan de Harry. Il utilisa sa baguette pour le faire léviter puis lança un sort de glu perpétuelle pour l’accrocher au-dessus de la cheminée de la salle commune. Il écrivait en dessous : « Soutien-gorge de Ginny Weasley, petite amie de Harry Porter, qui le portait lors de leur dépucelage ».
Harry se promit de ne pas oublier d’enfermer Colin dans les toilettes des filles pendant une petite semaine ou deux. Il mit cela dans un coin de sa tête et reprit là où il s’était arrêté.
CORRECTION : SYSTEME PILEUX