je me suis installé à la table du fond, sous cette copie de ce tableau célèbre, les chiens qui jouent aux cartes. C’est le café des amis, chaque soir, il accueille ceux qui rentrent en train du travail. Dans ce vaste établissement public, il n’y plus de cadres, plus d’ouvriers, autour d’un verre, ils sont des hommes et des femmes. Tout le monde connait tout le monde.
Et elle est arrivée, superbe dans sa courte jupe noire, son chemisier blanc qui laisse devenir une superbe poitrine. C’est la première fois que l’on se voit et pourtant on se connait par cur. Elle est visiblement aussi troublée que moi par ce premier rendez-vous. Et puis, elle sent peser sur elle tous les regards des clients présents, personne ne la connait. Une inconnue ne passe jamais inaperçue, surtout si elle est très belle.
Elle s’assoit à côté de moi, nous nous embrassons sur les joues. Elle penche sa tête, poussant la nappe pour regarder mes chaussures. Elle vient de découvrir les préservatifs collés sur le côté intérieur de mes chaussures. Son sourire me fait plaisir. Nous buvons un verre quand sa main, déjà moite d’excitation se pose sur ma cuisse. Elle n’est là que pour vivre son fantasme, un fantasme longuement préparé, mis au point dans un très long échange de mail, de petit message. C’est elle qui m’a découvert, c’est encore elle qui a voulu que ce soit moi et pas un autre. Ce qu’elle ignore, c’est où tout va commencer.
Ici, dans ce bistrot près de cette gare de banlieue, c’est là que tout commence. Je me penche à son oreille. Lui susurre de se glisser sous la table. Elle jette un bref regard inquiet autour d’elle et obtempère docilement. À genou, elle se penche encore sur mes chaussures, les lèche lentement, soulevant mon pied pour me nettoyer la semelle. Ma main se perd sous sa jupe, elle mouille, complètement excitée. Peu à peu, l’établissement se vide. Je pousse mon majeur dans son sexe, le fait aller et venir avant de l’enfoncer lentement dans son anus. Les photos d’elle ne sont qu’un très pâle reflet de sa beauté. Je sens sa langue sur mes chaussettes, je ne me suis pas changé exprès. Elle peut sentir le nauséabond de mes pieds qui, toute la journée, ont marché de long en large dans mon usine.
Il est l’heure de la suite. Je la relève, son visage irradie de bonheur, déjà. Je paie, l’entraîne dans ce petit square, la nuit est tombée. Tout autour de nous, on peut entendre les télévisions cracher leurs programmes insipides. Elle est devant moi, ses mains dans le dos. Je défais son chemisier pour mieux masser ses gros seins, elle doit bien avoir du 90 C. ou plus encore. Qu’importe, sa poitrine me plait. Elle ne cesse de fixer mes pieds quand sa courte jupe glisse sur le sol. Punaise, on n’en voit pas souvent des femmes aussi bien faites. Je caresse son corps un long moment. Je la fouille, sans honte, pervers, vicieux même. Son corps ondule déjà, sa tête se renverse, elle est chaude, très chaude même. J’insiste pourtant, je veux la faire jouir debout. Elle peine à garder son équilibre. Parfois je dois même la retenir tellement elle s’abandonne. Nue, elle est réellement plus belle que sur les photos qu’elle m’envoyait. Son long soupir l’entraîne dans mes bras. Nos bouches se rejoignent, son regard plongé dans le mien, il sonne comme un aveu. Je ne lui ai pas menti. Il est temps que mon scénario se joue.
Je la pousse à mes pieds. Moi, assis sur le banc, elle, entièrement nue, se prosterne à mes pieds. Elle n’a qu’un droit, utiliser sa bouche pour me retirer, lécher et sucer mes pieds. Prenant le droit, elle frotte sa chatte sur le second. Elle lèche ma chaussure. Je devine son empressement à aller plus loin, plus vite. Je lui refuse ce droit. Je guide le jeu, c’est ma volonté et elle l’a acceptée ! Parfois, je caresse sa belle chevelure, l’encouragent par la même occasion. Sa croupe qui se frotte sur ma pompe, sa bouche sur l’autre, c’est un régal pour mes yeux d’homme. Je bande, à quoi bon le cacher. Mais je ne suis pas pressé, contrairement à elle que je dois continuellement freiner, diriger, ordonner.
Ma chaussure droite est retirée. Elle n’a pas utilisé ses fines mains. Son nez plonge dans ma chaussure, je devine sa langue léchant l’intérieur, sa croupe ondule toujours sur l’autre de mes pieds. Je vois ma chaussure gauche luisante de sa cyprine. Son nez ressort de cette chaussure malodorante. Elle me fixe à nouveau, le visage ravi. Je lui permets de me retirer ma chaussette. Je vois ses dents si blanches mordre la laine de ma chaussette puante. Je sens mes propres effluves nauséabondes. Sa langue lèche mon pied en partant, selon mes instructions, de mon tibia. Ses mains portent mon pied, tel un précieux objet. Sa langue est entièrement sortie, léchant se pied comme on lèche un fond de plat. Orteil après orteil, comme si c’était autant de pénis, elle suce, lèche, parfois chatouille un peu. Je l’admire, peu serait capable de se jeter dans les bras d’un presque inconnu pour vivre un fantasme longuement expliqué, décri. Elle l’a fait, elle mérite mon respect. Je me dois de tenir ma promesse. Elle pose mon pied sur ses seins, s’en caresse comme autant de main sur ses seins. Sur la pointe de mon pied gauche sa chatte s’empale, je vois son bassin remuer sur la pointe de ma chaussure. Oui, et elle le fait bien. Je sors ma queue tendue. sa langue s’enfile encore entre mes orteils, son regard fixe ma queue que je branle lentement devant elle.
Il faut aller de l’avant. Elle passe à l’autre chaussure, sur un ordre doucement sortit de ma bouche. Elle recommence, me faisant voir sa désapprobation. Qu’importe, je conduis, elle doit suivre, c’est notre contrat pour cette nuit. Une méchante claque sur sa croupe la rappelle à l’ordre. Je la menace d’une fessée avec ma chaussure. Elle plie et ma chaussure gauche se pose près de la droite. Elle hume, lèche, embrasse cette chaussure. Je lui permets la chaussette qu’elle retire prestement. Je l’arrête, la redresse. Je récupère ma chaussette de sa bouche, lui en frotte son visage, sa poitrine, son ventre, son sexe baveux à souhait et l’enfonce dans sa bouche. je viens de la freiner.
J’ai ajouté quelque chose à notre scénario, une fessée avec la semelle de ma chaussure. Je la couche en travers de mes cuisses, la fesse et peu doucement car elle pousse de petits cris à chaque coup reçu. Je laisse tomber ma pompe, glisse mes doigts dans sa chatte ouverte telle une fleur. Un, puis deux, et enfin tous, sauf mon pouce qui joue avec son clitoris. Lentement je force son sexe, le dilate le plus possible pendant de longues minutes. Je sens ma compagne d’un soir paniquer, une femme approche avec son petit chien. Elle ne peut pas ne pas nous voir. Elle hésite à s’approcher de nous et déjà mon pouce rejoint l’ensemble de mes doigts dans son sexe. Ma petite compagne ondule encore plus fort, tout comme cette tempête qui se forme dans son corps. La femme est près de nous, ni belle, ni moche, elle nous sourit. Je la salue d’un mouvement de ma tête pendant que dans les entrailles de ma compagne, mon poing se forme et déclenche cette tempête de plaisir dans son corps. La femme au chien est stupéfaite de voir ma douce jouir de la sorte. Tout autour, nul n’ignore ce qui se passe dans le square désormais.
— Tu peux maintenant.
— Mais elle ?
— Elle nous observe, rien de plus et quand bien même, elle peut te caresser, me sucer, ou faire ce qu’elle veut, c’est à toi de faire et lentement sinon je sévis encore.
Docile, elle fait glisser un préservatif sur mon pied en me présentant son cul, sa chatte largement ouverte et baveuse. Elle sait qu’elle va prendre son pied, seule la présence de cette tierce personne n’était pas prévue. Ma main s’enfonce encore dans son sexe, je ferme mon poing, le poussant encore plus loin, le faisant même tourner et retourner, de droite à gauche et de gauche à droite avec des mouvement de va et vient. Son corps n’est plus qu’une tempête de plaisir qui se déchaîne sans fin. Il ne manque que le tsunami qui va la ravager. Mon pied prisonnier de cette capote, la croupe de ma belle se présente au-dessus, me faisant face.
Se mordillant sa lèvre inférieur, c’est, comme pour moi, une première dans notre vie sexuelle. Déjà mon gros orteil est en elle. Le dernier disparait lentement et minuit sonne à un clocher. La femme, l’inconnue est derrière ma belle, penchée pour mieux voir. Je l’invite à s’assoir près de moi. je ne lui laisse aucune chance d’échapper à mon baiser goulu.
— Regardez là, n’est-elle pas magnifique ?
— Cela doit faire mal.
— Bien moins qu’un accouchement, pour tout dire, que du plaisir.
Ce n’est pas le visage de ma belle qui nous dit le contraire. Il respire le bonheur. Je ne fais plus rien, c’est à elle de s’achever avec mon pied qu’elle veut en elle jusqu’à ne plus voir mon talon. Ma queue en érection, je me branle sous le regarde de notre inconnue. Je la vois désireuse de me sucer. Je ne l’en prive pas, l’invitant d’une main sur sa nuque. Elle se penche et me pompe lentement, délicieusement. Devant moi, sur mon pied, ma belle s’active lentement, centimètre après centimètre, mon pied disparaît dans son vagin entièrement distendu. Cette inconnue, je la veux sur ma queue. Je la relève, en glissant ma main dans sa culotte détrempée. Un baiser, je soulève sa jambe en écartant le tissu de coton. Je me guide en elle, elle m’embrasse en m’aidant. Nous nous dédirons autant l’un que l’autre. Je la place dos contre ma poitrine pour qu’elle ne manque rien de ma belle sur mon pied. Elle qui se masse ses seins, montant et descendant sur mon pied. Elle gémit toujours plus fort, je sens une violente déferlante de plaisir vouloir s’extirper de son corps. et puis, d’un coup violent, elle s’enfonce mon pied en entier et hurle son orgasme à la face du monde, de l’univers tout entier. Mon inconnue fait de même, émoustillée par la sublime femme empalée sur mon pied et qui prend Son pied.
Cela me ravit de ne pas être qu’un acteur distant. Sentir ces corps jouir avec l’aide de mon corps me porte aux portes de l’éjaculation. Je préviens mon inconnue qui me crie de tout lâcher en elle, se traitant de salope. Elle s’insulte, je l’insulte, insulte ma belle qui va et vient toujours sur mon pied. Il ne lui reste que mon talon à prendre. Je sens son corps craqueler, ses muscles intimes se distendre à l’infini. Décidément le corps humain est capable de bien des prouesses parfois insoupçonnées.
Elle retient mon pied en elle, se dresse sur ses jambes écartées, folle de joie de sa performance. Je ne peux l’embrasser, mon inconnue si et les deux femmes s’enlacent tendrement. Je ne suis plus que le spectateur que ces femmes usent et abusent pour leur seul plaisir, celui de jouir encore et encore. sur mon pied coule autant son plaisir que son urine. Sa pisse qui, odorante ne nous rebute pas, bien au contraire, elle excite même notre inconnue qui la goûte, se délecte de se mélange qu’elle partage avec nous en nous laissant lécher sa main imprégnée.
Ma belle repart encore et de plus belle. Mon pied gauche pousse mon gros orteil à l’orée de son anus. Si nous étions deux, je suis certain qu’un second pied dans son anus la ferait perdre la raison dans ce que je nomme l’orgasme ultime. Pourtant, ce dernier orgasme qu’elle subit, il la ravage entièrement, la dévaste d’un bout à l’autre de son corps. Tout autour, des curieux se sont agglutinés. Certains se branlent ouvertement. Des hommes, des femmes, une majorité de femmes qui se trémoussent de leur main cachée sous leur robe de chambre et se caresse tout autour de nous. Je ne les pas vues venir. Ma belle est couchée sur ma jambe, me fixe. Je n’attends d’elle que le moment où elle se retire pour l’embrasser et même lui faire l’amour en prenant son cul, seul lieu encore vierge de ma présence.
La messe est dite. Elle est épuisée, tout comme mon inconnue et ma modeste personne. Ma belle se relève péniblement, quatre coups sonnent dans un clocher. Je l’aise à s’assoir près de moi, l’enlace.
— Donne-moi ton cul maintenant.
Je la regarde péniblement se mettre en position sur ce banc. Je fais un bref passage par son vagin encore si distendu que ma queue ne semble pas pouvoir toucher ses parois. Je me glisse dans son anus. Mon inconnue nous embrasse, ravie de ce moment avec nous. Elle rentre chez elle, heureuse en esquissant quelques pas de danse. Ma belle remue son postérieur, je la traite de salope, de vicieuse autant de mot qui la chauffe, active ce feu de l’enfer qui brûle en elle et explose encore. Même moi je ne peux pas résister, me retenir devant ses orgasmes, je jouis dans ce cul fort beau. Autour, une femme jouit de notre spectacle. Mais des gyrophares bleus nous arrêtent dans nos élans pervers. Je prends ses vêtements, l’entraîne vers la gare, dans les toilettes. À peine la porte fermée, elle se jette sur moi, sort ma bite, me la suce merveilleusement.
Je l’emporte ensuite dans ce petit hôtel, la couche, la borde, m’allonge près de son corps fantastique. Il me tarde déjà de recommencer, ici ou ailleurs.
à ma muse et ses mails, encore un grand merci. je te dois bien ça!