A force de discussion autour du monde du cheval, que la soumise appréciait bien ; ayant elle-même deux chevaux. Le maître fini par demander à la soumise, si elle serait cap de faire comme dans les vidéos de zoophilie, à savoir sucer le gros membre d’un cheval. La soumise au départ émit quelques réserves, finalement à force de visionner ces vidéos, elle s’imagina à la place des femmes. Elle accepta donc le défi.
Le plus difficile fut de trouver l’étalon. En effet la soumise ne possédait qu’un hongre et une jument, chevaux non propices à ce nouveau défi.
Enfin au bout de quelque temps de recherche, elle trouva un étalon de couleur baie dans un pré, non loin de son domicile. Le plus embêtant, était que le pré où se trouvait l’étalon, était en bordure de route, heureusement très peu passante.
Elle rendit plusieurs visites à ce bel étalon, pour pouvoir l’approcher sans encombre. A chaque fois qu’elle rendit visite à l’étalon, la soumise ne put s’empêcher de penser à la fellation qu’elle fera à l’étalon, elle en mouillait de plaisir. L’étalon devait le sentir car celui-ci, dès qu’elle s’approchait, sortait son vit de son fourreau, il bandait. La soumise ne fit pas de fellation tout de suite à l’étalon, elle prit le temps de le caresser, de l’amadouer.
Un jour où la soumise était plus excitée que d’habitude, l’étalon s’approcha rapidement en bandant. La soumise, se mit la chatte à l’air, commença par caresser la croupe, de l’étalon, puis descendit sur la queue bandante. Elle commença par lui masturber son gros vit, ce qui sembla plaire à l’étalon, qui souffla dans la chatte de la soumise. Celle-ci déjà bien excitée, sentit sa cyprine mouillait de plus en plus son minou. Elle prit le vit de l’étalon en bouche, qui fut très rapidement rempli, elle fit des va et viens sur la grosse pine tout en triturant son clito, au bout d’un petit moment elle sentit un orgasme monter, elle réprima son cri de jouissance. Contente d’avoir accompli cette première fellation, la soumise envoya une photo, du vit de l’étalon dans sa bouche, à son maître.
[SMS]
<Gage presque réussi. Tu as aimé ?
>Oui maître
<Raconte-moi comment cela s’est passé.
La soumise raconta par le menu son expérience avec l’étalon, sans omettre le fait qu’elle avait joui.
[SMS]
<Tu es une vraie chienne, tu mouilles et jouis à tout va !!
>Oui maître, ta chienne
<La prochaine fois que tu vas le voir, je veux qu’il jouisse dans ta bouche ! Tu as compris ?
>Oui Maître, l’étalon jouira dans ma bouche la prochaine fois.
La prochaine visite fut la bonne. La soumise caressa le ventre chaud du cheval, pendant plusieurs minutes, en allant de plus en plus vers ce sexe tendu, jusqu’à ce que le dos de sa main effleure le sexe du cheval. Doucement, sa main se tourna et caressa le pénis tendu de l’animal. Une des oreilles du cheval changea de position, montrant qu’il hésitait sur la conduite à tenir. La soumise caressa, avec beaucoup de douceur, le pénis du cheval. Ses oreilles se remirent vers l’avant, montrant qu’il était confiant.
La soumise avait maintes fois rêvé d’un moment pareil. La bite de l’animal était presque aussi longue que son bras ! L’étalon semblait aimer ça. La soumise commença à branler l’étalon, avec douceur mais fermeté. Le présperme, très liquide, commença à couler du bout du sexe du cheval, mouillant la main et l’avant-bras de la soumise. La chaleur et la moiteur de l’excitation commencèrent à mouiller de cyprine la chatte de la soumise. Elle accéléra le mouvement de ses mains, et après quelques minutes le cheval sembla s’ébrouer, ou haleter ? Et un sperme blanc, abondant, s’échappa en jets du pénis de cheval, formant une flaque laiteuse au sol.
La soumise non satisfaite, recommença à caresser l’étalon, allant de l’encolure au dos, puis de la croupe au flanc, pour finir par descendre vers le membre de l’étalon. Elle mit son téléphone en mode vidéo. Même dans ces moments d’excitation, elle n’oubliait jamais son maître.
Elle commença à prendre une couille en main, elle y tenait à peine. L’étalon eut une nouvelle érection, plus petite, moins forte que la précédente. Le bout de son pénis sortait à peine de sa cachette. Accroupie la soumise approcha la main et caressa avec beaucoup de douceur le bout du pénis du cheval. Petit à petit, au fur et à mesure des caresses de la soumise, le pénis se durcit, s’allongea, sortant de plus en plus de sa cachette, grandissant et durcissant à vue d’il.
La soumise aimait la puissance, la bestialité que dégageait le fier animal. L’odeur forte du présperme l’enivrait. Doucement, elle approcha sa tête du pénis de l’animal. Elle était terriblement excitée. Sa chatte mouillait terriblement, et ses tétons durcissaient si fort qu’on commençait à les voir à travers son chemisier. Elle était irrémédiablement attirée par ce sexe puissant. Sa bouche s’en approcha, et sa langue commença timidement à lécher le présperme sur le bout du sexe de l’animal. Il était très liquide, et goûtait fortement le fer. Elle commença à lécher avec passion le pénis de l’étalon, léchant tout le pourtour du bout du sexe du cheval avec gourmandise. La soumise retira son tee-shirt, elle se retrouva seins nus, de peur de mouiller ses vêtements. Elle sentit la cyprine mouiller sa chatte et couler le long de sa cuisse.
La soumise commença à lécher avec passion le pénis de l’étalon, léchant tout le pourtour du bout du sexe du cheval avec gourmandise. Les seins de la soumise commencèrent à être mouillés par le présperme du cheval, qui dégoulinait de plus en plus abondamment. Puis l’étalon s’ébroua, la soumise sentit le pénis du cheval tressauter, et un flot de sperme jaillit dans sa bouche. Il avait un goût très fort, et était tellement abondant qu’elle ne put le boire, et il dégoulina sur son menton, ses seins, son ventre. Elle était trempée de sperme blanc et laiteux.
La soumise non satisfaite de cette première expérience n’envoya pas la vidéo à son maître. Elle rendit souvent visite à l’étalon. La soumise apprit à contrôler ses fellations et put bientôt boire avec gourmandise le sperme de l’étalon, et ainsi envoyer la vidéo à son maître. Excitée par la fellation faite à l’étalon, la soumise se mit nue, prit le sexe de l’étalon, qui avait à peine débandé, et se le frotta sur sa chatte. Elle titilla son clito avec la bite de l’étalon, tout en mettant deux doigts dans son con, l’orgasme monta très vite. La soumise réprima son cri de jouissance, de peur d’affoler l’animal, et s’effondra entre les jambes de l’étalon.