Tu es chez toi, seule ; la sonnette retentit ; tu regardes ta montre : pile à l’heure ; tu ouvres la porte, le cur palpitant. Nos premiers mots sont hésitants, nos premiers gestes maladroits. On se fait la bise et tu m’invites à rentrer. On s’installe dans le salon, tu me proposes un café, mais je refuse poliment, un verre d’eau ou de jus de fruit me suffit. Tu disparais dans la cuisine, j’avoue en profiter pour regarder tes fesses. Tu reviens rapidement, les bras chargés de boissons et biscuits. Tu t’assois juste à côté de moi ; on trinque à notre première rencontre. On discute de plus en plus facilement, de plus en plus ouvertement, comme des amis de 30 ans. Tellement familier, car parfois, on surprend la main de l’autre nous toucher ; on dirait un réflexe, mais c’est certainement plus une envie… que nous contrôlons de moins en moins, jusqu’à ce que … nos voix se taisent, nos yeux se fixent, nos lèvres se rapprochent.
Sur ce contact, tout s’enchaîne : nos paupières se ferment, nos langues se caressent, nos mains parcourent notre dos. Une danse parfaitement symétrique comme si nous avions répété avant. Nos respirations s’accélèrent, nos gestes s’accélèrent, tout s’accélère. Je caresse ta poitrine par-dessus ton chemisier, je m’éloigne de ta bouche pour m’emparer de ton cou tel un vampire sauf que mes morsures ne sont que des baisers. Je fais glisser mes lèvres vers ton décolleté, je sens le galbe de ta poitrine sous mes lèvres, hmmm c’est doux jusqu’à ce que je heurte ton chemisier. Ni une ni deux, je retire les boutons de ton chemisier, tu m’aides à le faire disparaître. Je suis subjugué par la beauté de ta poitrine soutenue par un joli soutien-gorge qui tombe à son tour sous tes ordres. Tes jolis tétons pointent vers moi, je ne résiste pas à leurs appels.
Je me jette sur celui de droite, je l’aspire, le mordille gentiment, hmmm délicieux… pendant ce temps, je tente de m’emparer de ton autre sein à pleine main. Je m’amuse à pincer doucement ton téton entre mes doigts. Puis je change de sein pour ne pas faire de jaloux.
De ton côté tu tentes de déboutonner ma chemise, ce n’est pas évident quand on est excité. Sans lâcher tes seins, je t’aide et me voilà torse nu. Tu deviens plus entreprenante, m’obligeant à me séparer de ta poitrine, les rôles s’échangent, je me retrouve sous toi. Tu me déposes des baisers sur mon torse, puis descends encore et encore. Tu déboucles ma ceinture, ouvres mon jean et ma braguette, sors mon sexe dur et l’engloutis rapidement dans ta bouche. Tout s’est passé très rapidement, mais qu’importe, qu’est-ce que tu suces bien. Je t’offre une légère pause, le temps de retirer complètement mon pantalon et mes chaussettes. Tu reprends ma queue très rapidement, très envieusement. Oh oui, continue, c’est bon. Tu la lèches de bas en haut tout en me regardant. « Hmmm coquine, tu aimes ça… vas-y, elle est à toi » Tu la remets bien au chaud dans ta bouche, je sens ta langue parcourir mon gland. Je suis sûr que tu as dû déjà goûter à des petites gouttes de sperme.
Mes mains s’emparent de ta tête, je suis ton mouvement, j’adore le bruit de ta salive, oh bordel quelle pipe, je ne résiste pas longtemps. Mes mains bloquent ta tête, de longs jets de sperme chaud tapissent ta bouche. Tu avales tout et me lèches à nouveau la queue à la recherche de la moindre petite goutte.
Tu me souris, tu t’allonges sur le canapé, je retire ton pantalon… à mon tour. Je reviens vers toi entre tes jambes. J’embrasse l’intérieur de ton mollet, de ta cuisse, puis je me heurte à ton string, mais je continue. Tu sens alors un souffle chaud sur ton sexe, puis ma bouche essayant d’attraper tes lèvres. Je me retire, attrape le tissu de chaque côté de tes hanches et le retire. Je me replonge immédiatement dans ton entrejambe. Ta petite chatte nue luit déjà. Je l’embrasse à pleine bouche, puis cherche ton clito avec ma langue. Une fois trouvé, je joue avec, le tapotant avec ma langue. Tu sens à nouveau des baisers sur ta cuisse. Tu as à peine le temps de réaliser que ma bouche vient de quitter ton sexe que tu sens quelque chose te pénétrer. Mon doigt est rentré en toi, rapidement suivi d’un deuxième. Une fouille de fond en comble ton vagin. Je te regarde fermer les yeux et gémir bruyamment. Ils s’agitent, énergétiquement. « oh oui, mouille ma belle » Tu écartes fortement tes jambes.
Un troisième doigt s’invite de temps en temps. Que c’est bon de te voir gémir ainsi ! Je me remets à bander. Je m’amuse à faire des va-et-vient avec mes doigts. Il arrive que parfois, mon doigt glisse en sortant à cause de ton excitation.
Sur un mouvement, sans faire exprès, mon doigt touche ton petit trou. Je fais comme si rien ne s’était passé et le remet dans ta chatte chaude pour réentendre ta mélodie. Mais le manque de réaction de ta part me pousse à retenter l’expérience, mais de façon consciente. Je fais juste le tour puis remonte m’enfouir en toi. Toujours pas de réaction, une fois, deux fois, trois fois… à force de tourner autour, ton petit trou s’ouvre légèrement, laissant entrer mon doigt. Toujours pas de réaction, alors je me mets à doigter ton anus. Je bande très fort par cette vision. Je me retire, mets un préservatif. Le temps que je le déroule, tu te places sur moi et une fois prête, tu t’empales, faisant disparaître lentement ma queue en toi. Tes seins se baladent sous mes yeux, j’en attrape un par la bouche. Je m’agrippe à tes fesses. Tes mouvements de hanches te font hurler de plaisir. Fort de cette dernière expérience, je pars à la recherche ton petit trou et y enfonce à nouveau mon doigt.
Te voilà prise partout. Ta chatte me pompe divinement bien. Ça fait longtemps que je n’ai pas baisé ainsi, tu m’excites terriblement. Tu jouis rapidement, je te rejoins juste après en remplissant le réservoir. On reste ainsi l’un contre l’autre quelques minutes sans rien dire…
