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Histoire très courte – Chapitre 1

Histoire très courte - Chapitre 1



Histoire courte, quoi que…

Beaucoup on lut cette histoire à plus de 70% vraie : Notre institutrice, la suite, le dernier chapitre sera publié sous peu ou déjà mis en ligne. Cela étant, j’étais depuis mes dix ans, à l’école dans une institution religieuse celle dirigée par le Vatican, c’est dire. Les coups de règle et autres sévices corporels étaient monnaies courantes pendant la classe. J’en ai eu ma part de coups de règles sur mon cul ou mon dos à en être dégoûté, enfin, pas totalement. En classe, on pouvait entendre les mouches voler. Cela étant, pour beaucoup de ma classe et bien d’autre, je suppose, cela a ouvert nos yeux sur quelque chose dont on ne parlait pas, ou sous le couvert de discussion intime, secrète et encore. Je me souviens d’un de mes camarades de classe, le jour de son mariage, j’étais son témoin. Avant de pénétrer dans l’église, il m’avait confié être devenu bi et l’esclave de sa future épouse et il n’était pas le seul de mon âge, loin sans faut. Confidence pour confidence, j’étais devenu un pervers, bi, parfois particulièrement sadique, mais toujours avec le but de faire prendre son pied à mon ou ma soumise. Je suis bi mais…quand cela m’arrange. Du reste, c’est ami, avec la permission de sa Maîtresse en fit l’expérience, ce fut très amusant, du reste. 

Bon, restons sérieux. Il ne faut pas oublier que nous étions tous pré-pubère, des ados en devenir, filles ou garçons. Je pourrais en raconter des histoires de cette époque aussi douloureuse que bénie de plaisirs inavouables. Mais voilà, si je dois le faire, je ne vais pas pouvoir donner nos âges que nous avions. Aujourd’hui, c’est encore plus mal vu que ce ne l’était à l’époque, les années soixante, septante. C’est pourquoi, je modifie, je triche. C’est con à dire, mais cela me gâche mon plaisir, celui de mes contemporains, de mes camarades de classes, filles et garçons. Oh, on n’est pas tous devenu des pervers, mais cela étant, avec mon copain, ma petite amie et d’autres, cela nous a ouvert les yeux sur le sexe et, mais surtout sur ses jouissantes déviances orgasmique. 

J’aurais aimé retracer notre vie scolaire et extra-scolaire de l’époque, nos moments coquins, vicieux ou pervers. Là encore, je me bute à un mur, celui de la censure, celui de cette morale des années 2000, cette morale devenue encore plus obstinée, encore moins ouverte des biens pensants. Faut dire qu’on peut tout faire, tout dire sauf qu’il ne faut jamais dire qu’on a aimé un corps avant l’âge légale ça fait tâche dans le paysage. Donc, un livre est exclu, censuré d’office. Alors, je me retrouve à écrire des histoires en trichant sur les âges, les lieux et autres détails. Ceux de mon âge, qui étaient en classe avec moi, ou dans la classe parallèle, ils ont tous lu ce que vous lisez sur ce site et ce que j’ai encore dans mon ordinateur. Je peux dire que ces lectures ont réveillé des souvenirs, des envies, des fantasmes, mais pas que ! Ils nous en restent tellement à assouvir.

En faire une histoire qui démarrerait en 1976 jusqu’à nos jours, en y mettant tout, sans nous voiler la face, sans nous préoccupé du quand dira-t-on, c’est juste impossible. Pourquoi 1976, j’étais devenu un ado, donc mineur, donc je découvrais et cela ne peut s’écrire même si cela se raconte. Je n’aime pas tricher, je n’aime pas mentir, c’est peut-être ça mon problème après tout. 

Encore une info sur ma personne, j’étais loin, très loin d’être le plus beau garçon de ma classe de ma génération. Je crois même pouvoir dire que j’étais même le plus moche de mes camarades. Et pourtant, les filles, je ne sais pourquoi, m’aiment bien, trop bien peut-être. En tout cas, mieux peut-être que certain de nos camarades qui cela jouaient sur en se donnant une invraisemblable ressemblance avec des vedettes de la chanson et du cinéma de l’époque. Mais ça, ça n’a pas beaucoup changé depuis. 

Ce qui a tout bouleversé, c’est l’arrivée de l’informatique, d’internet, de la téléphonie mobile. Aujourd’hui, un gosse de dix ans peut voir sur son ordi, son mobile ce que nous nous découvrions à travers le cinéma, les revues ou les boites de strip-tease à l’ancienne, pas avec ceux de nos jours, beurk, parfois même à travers des romans qui se vendaient sous le manteau, passaient de main en main en cachette. Pensez à l’histoire d’O, l’année de son édition, le film, interdit aux mineurs que nous étions. Pourtant, Histoire d’O, quand je l’ai lu, j’étais à quatre ans d’avoir l’âge de voter et je ne parle pas de ces autres récits tout aussi sulfureux et il y en avait déjà des collections entières pour qui savait où les acheter. Perso, je les collectionnais, et encore à l’heure d’écrire ces quelques lignes. 

Mais bon, passons. J’ai longtemps distribué le courrier. J’étais remplaçant de titulaire. Et, chose vraie, j’avais 18 ans. C’est dans un village, dans le Chablais, je sais, c’est vaste et coincé entre la Suisse et la France, perdu dans un coin de montagne que cette courte aventure commence. L’époque qui se voulait encore puritaine, mais les années quatre-vingt devait mettre à mal cette moral : « Faites ce que je vous dis, pas ce que je fais dans votre dos. Allez en paix mes frères et mes surs. » 

Donc, je faisais ma tournée, une de celles qu’on aime à faire. Pas comme de nos jours où le facteur n’a même plus le temps de vous dire bonjour qu’il est déjà loin. Pour faire court, j’ai crevé avec mon cyclomoteur et en pleine montée. De plus, j’étais chargé comme une bourrique. Un tracteur arrivait derrière moi, je lui fis signe. Il s’arrêta, une fille de mon âge en descendit. Je restais sans voix devant cette jeune femme. En plus d’être jolie, elle ne portait qu’un simple petit short de sport et un t-shirt un poil trop court qui me dévoilait son mignon nombril sur son ventre parfaitement plat. Vu mon souci et comme elle ne pouvait me ramener dans le village, elle décida de m’aider à distribuer mon courrier. Mon boguet chargé à l’arrière, elle m’installe avec mon courrier sur le côté, juste au-dessus d’une des roues arrière. Elle prit le volant et en avant la musique. En roulant, je lui montrais la prochaine maison. Mais en me penchant pour lui donner la direction, c’est ses jolis seins que je voyais. Elle ne portait pas de soutien. On en était à la moitié, l’heure de ma courte pause. On s’arrêta sur le bord de ce chemin de terre pour s’asseoir sur l’herbe. Elle était allongée, en appui sur ses coudes, je contrôlais la suite de ma tournée quand je me tournais dans sa direction. Elle avait les jambes légèrement écartées, entre ses cuisses, je voyais quelques poils de sa chatte dépasser de son short. On s’est longuement regarder, elle s’est levée, on s’est embrassé et on a baisé. Ce ne fut pas long, le temps que chacun prenne son pied. Cela étant, je ne repris plus ma place sur le côté, mais derrière ma conductrice, mes mains sur ses seins bien ferme et si joliment rond. Maison après ferme, on arriva à mon point de départ avec une petite heure de retard. Ce soir-là, après mon boulot, je restais dans le village. Du reste, je n’en suis redescendu qu’au dernier jour de mon remplacement. Je ne suis redescendu qu’une fois, le lendemain, pour prendre de quoi me changé.

Ce soir-là, elle me rejoint dans un restaurant où je mangeais. Droit après le dessert, on disparaissait dans un recoin qu’elle connaissait et on baisa comme des malades. Plus on baisait, plus on avait envie de plus, elle comme moi. Et là, j’ai eu cette vision d’une fille de ma classe cruellement fessée par cette religieuse d’une autre temps, cul nu, devant la classe, à coup de règle pour avoir mangé un bonbon durant le cours. J’ai couché cette jeune femme sur le ventre avant de claquer ses superbes fesses. Doucement au début, la force augmentait en même temps que mes caresses devenaient plus insidieuses, vulgaires, sales même. La belle semblait littéralement enivrée, saoulée par ce qu’elle ressentait et ce fut mon premier gros feu d’artifice que je vis, elle explosa sans comme une mesure, je venais de trouver ma voie, une révélation, ma révélation. On se revit durant tout mon séjour, dormant dans sa chambre en pénétrant par sa fenêtre et partant par le même chemin chaque matin. 

À chaque fois qu’on avait un moment, et ils ne manquaient pas, on baisait, je la fessais, je l’attachais aussi et elle aimait se sentir démunie quand je l’aimais ou la baisais. On avait rien pour fouetter, pas de cravache, pas de martinet, rien pour l’attacher que de vieilles cordes ou de la ficelle. Pourtant, cela nous suffisait pour qu’elle jouisse, qu’elle en veuille davantage. Pour ça, elle me conforta dans mes envies de perversité. Au fil des jours, elle en vint à délaisser son travail dans sa ferme pour m’accompagner. Si on savait rester discret, jamais ensemble que pour boire un verre. Dans nos coins, soigneusement à l’abri des regards ou d’une vilaine rencontre, on prenait notre pied et quel pied. Plus cela avançait dans le temps, plus elle se montrait désireuse d’aller plus loin encore. 

Un soir, dans un chalet d’alpage, il y avait des pinces à linge. Je n’en posais aucune de ma main, mais lui demandais, vicieux pervers, de se les mettre sur tout son corps en dansant devant moi. Putain, non seulement elle commença par les parties les plus sensibles de son corps magnifique, mais elle en jouit en sachant que je bandais devant elle. Je la pris, son corps recouvert de pinces linge. En la baisant, je tirais sur les pinces, allant jusqu’à les tordre pour certaines. Elle hurla, de douleur, mais aussi de bonheur et plusieurs fois. Cette fille était ma seconde petite soumise. De l’autre, le site m’interdirait d’en dire un mot. Ma divine, comme j’aime appeler mes amies, mes amours. Ma divine, donc, jouissait, réclamant que je me montre encore plus pervers. Trouvant de la corde, je la ligotais, ses avant-bras bien appuyé contre cette poutre, l’obligeant à se pencher, creusant ses reins pour mieux me mettre son cul, son sexe à ma disposition. Je l’ai baisée, elle prit son pied. Elle hurla de douleur quand je retirais les pinces sur ses lèvres intimes. Puis, je la léchais, avant de la prendre entièrement, de partout, même sa bouche pour le final. 

Un jour, ce fut sur son tracteur. Son sexe posé sur le levier de vitesse, les vibrations firent le reste, magnifique orgasme qu’elle obtint. Parfois, je conduisais moi-même. Sur le support, à l’arrière du tracteur, il avait une longue caisse de bois pour y mettre des outils. Ses chevilles attachées à ses cuisses, ses bras attaché dans son dos, elle fit toute la tournée dans la caisse. Parfois, je mettais ma queue devant sa bouche, elle ne me refusa jamais une pipe, jamais. Parfois, muselée, je l’enculais sèchement. Parfois, je la baisais par un trou placé juste à la bonne place sur la caisse. J’avais beau ne pas être le plus beau, mais je savais m’y prendre pour emballer. Ce qui, tout à fait entre nous, fit quelques jaloux parmi mes proches au fil des années. 

Le meilleur était à venir avec cette divine jeune femme. C’était un soir, pour changer, courte vêtue, elle m’avait demandé de la retrouver dans sa chambre plus tôt que prévu. Je la retrouvais, ses poignets attachés à sa tête de lit, nue, à genou et muselée par un de mes slips utilisé enfoncé dans sa bouche. Autant dire qu’elle dégusta ma queue sous toutes ses formes. Cul sexe, cul, sexe, fessée, cul sexe, sexe cul fessée et ainsi de suite. Parfois, mes mains étaient douloureuses, c’est avec ma ceinture que je la fessais, mais moins durement que manuellement. Pour le final, comme je ne pouvais pisser que dehors, c’est dans son cul que je me soulageais avant de le boucher de mon slip. Elle prit gout à ça, elle prit si bien gout qu’elle voulut me boire et elle me but. Cela étant, elle me buvait à chaque envie de pisser. Mon séjour était de rêve, avec une femme de mon âge, tout aussi dévergondée que moi, soumise merveilleuse. Plus elle en voulait, plus j’en voulais, c’est aussi simple que ça. 

Un autre soir, c’était une semaine avant que je ne change de région, on se retrouva dans une petite grange. Elle m’y avait fixé rendez-vous. Elle m’attendait dans une courte robe d’été boutonnée sur le devant. Autant dire que les boutons se sont vite retrouvé aux quatre coins de la dite grange. Elle ne portait rien en dessous, fidèle à ses habitudes. Je l’ai retournée, penchée, lubrifié son cul avec sa cyprine et me suis enfoncé dans son cul presque brutalement. La belle poussa un cri avant de me dire de le lui déchirer. Ce fut plus sauvage et brutal que les fois précédentes. Non seulement je l’enculais, mais je la fessais avec ma ceinture de facteur. Pliée en deux, elle fait très mal. Plus je la sodomisais fort, plus je la fessais durement, plus elle en voulait. Pour moi, pendant un court instant, très court l’instant, je ne compris pas que l’on pouvait aimer se faire battre ainsi. Mais le plaisir, c’est ce que nous voulions, recherchions, lui, il était là, pur elle comme pour moi. Aussi, que je me suis amusé à fouetter ses seins, elle s’agrippa à ma nuque, me laissant ses seins sans aucun obstacle. Cette nuit, je la revis comme si j’en sortais à chaque fois que j’y pense. Elle jouit avec une telle puissance que s’en fut un moment à jamais gravé dans ma vie. Sa bouche se fit encore plus soumise quand elle se dégagea de ma queue pour venir la prendre avec ses lèvres, sa langue. Une nymphomane, peut-être ? Pour moi, c’était une femme, une vraie qui aimait vivre ce qu’elle désirait vivre. Je me fis encore plus pervers, fustigeant son dos de ma ceinture, sans trop forcer, je ne voulais pas être un bourreau, un tortionnaire. Mais cela l’aidait à me sucer avec encore plus de dévotion. 

On resta ensemble, on baisa plus calmement une bonne partie de la nuit, sans un mot, sans un je t’aime. Ce mot ne fut jamais dit autrement que pour dire si nous avions aimé une position, une manière de fesser. Entre nous, il n’y avait qu’un amour, le sexe et c’est tout. Cette dernière semaine, on la passa ensemble. Autant dire que ses parents ne la virent guère que quand on passait avec son tracteur devant la ferme. Maintenant, juste après avoir disparu de la ferme, elle était nue. Devant la prochaine maison, je la recouvrais d’un sac de jute, ça gratte méchant. Et puis, il y avait ma pause. Je voulus la pousser plus loin, repousser ses limites déjà bien repoussées. C’est une clôture qui me donnait cette putain d’idée sadique. On était près d’un de ces petits transformateur qui envoie le courant dans les fils de la dite clôture. Je pris les deux câbles que je présentais devant les seins de ma divine. Elle croisa ses mains dans son dos, la suite ne fut un cri de douleur et un encore. Oui, elle avait dit encore. Je lui donnais encore une ou deux secousses, elle urina de douleur, déféqua aussi, là, debout devant moi, ses yeux fermés, la bouche grande ouverte. Je posais ma main sur son sexe, il était chaud, trempe d’e son mélange d’urine et de cyprine. Elle hurla encore, mais de bonheur. Je l’enculais, son cul encore sale. Cette jeune femme ne tarda pas à jouir. Ce fut encore pire quand elle me nettoya ma queue avec sa bouche. Elle jouit sans même se toucher, sans que je ne lui fasse rien. 

On reprit la tournée, plus loin, je la forçais à se laver dans un bassin en bois remplit d’une eau aussi froide que cristalline. Elle y plongea entièrement. Je lui donnais ma queue à sucer, elle me fit une fellation d’enfer. Puis, je la séchais de ce sac de jute, enflammant son corps tout entier. 

Sur le chemin du retour, nous avions encore un peu d’avance. Elle guida son tracteur dans un coin perdu et se donna à moi. Ce fut tendre, lascif, presque amoureux. On ne baisa pas, on fit l’Amour.

La semaine s’est écoulée, j’ai quitté ce village, cette région alpine pour regagner la plaine, le bruit et la pollution. J’ai gardé son adresse, on ne sait jamais. On s’est aussi revu bien des fois avant que ces rencontres ne s’espace, jusqu’au jour de son mariage, bien des années plus tard. 

Son mariage, parlons-en. Elle était sublime dans sa robe immaculée. Après la cérémonie, son mari vint me trouver. On but un verre, un autre avant qu’elle me demande si j’avais encore des vue sur sa femme. Des vues amoureuses, non, mais pervers, plus que jamais. Cela étant, bien plus tard, pour ne pas dire tôt le matin. On se retrouva les trois, seuls autour d’une bonne bouteille. Je fixais ma divine, exigeais qu’elle retire sa robe, qu’elle se dénude. Son mari voulut intervenir, je le muselais d’une main. Nue, sublime, je lui tendis ma main, elle me la donna. Je la glissais dans la main de son mari en lui disant que sa femme aimait l’amour vache, l’amour qui fait mal. Il ne me crut pas, ce qui était assez normal. Je lui fis retirer sa ceinture, la belle épouse se mordait déjà ses lèvres, devinant la suite. Sèchement, j’ordonnais à l’époux de fouetter sa femme avec comme faute d’avoir couché avec moi. Il fouetta le cul de son épouse. Plus il fustigeait, plus elle gémissait de bonheur. Je retrouvais ma divine. Cependant, je calmais l’époux. Il ne fallait pas qu’il la frappe trop durement. En fait, je lui donnais une leçon de domination. On baisa l’épouse tous les deux et en même temps pour le plus grand bonheur de ce couple qui venait de se découvrir sexuellement. Cette leçon dura deux jours entiers avec très peu de sommeil. Deux jours durant, l’épouse nous subira sans qu’elle ne puisse nous refuser quoi que ce soit. Du reste, je ne pense pas qu’elle aurait refusé ce qui la fit jouir. Avant que je ne parte, on ligota l’épouse entre des poutres. Le mari m’accompagna à ma voiture. Ce qu’il me dit fut merveilleux. En gros, il m’avoua que sans moi, sa vie de couple sera plus heureuse qu’il ne l’avait imaginé. 

Quelques années plus tard, je recevais une très longue lettre du couple. Dans la missive, écrite par ma divine, sous la dictée de son époux, ils me racontaient leur vie, les supplices, les orgasmes, tout y était détaillé avec une précision diabolique. Je bandais en lisant cette lettre plusieurs fois. Entre mes jambes, je fis venir ma chienne du moment pour me sucer. Cette chienne bandait comme une salope, sa Maîtresse lui caressait le dos à coup de martinet. Oui, je suis bi. Puis, regardant l’enveloppe, je découvrais un chausson rose avec une courte phrase qui me demandait si je ne voulais pas le parrain de ce futur bébé, cette future fille. Entre mes cuisse, dans la gueule de ce mâle esclave de ma copine, je jouis si fort que j’en perdis mes forces un long moment. Sur l’insistance de ma copine, j’acceptais. Depuis, je suis le parrain d’une belle petite fille répondant au doux prénom d’une déesse grec. 

Deux fois l’an, je remonte dans ce village, rejoindre ma divine et son époux ainsi que ma nièce. À tous les coups, elle deviendra comme sa mère, une femme sublime. Pour le reste, je ne veux rien en savoir. Aujourd’hui encore, je garde un contact avec ma divine et son époux. J’ai vu grandir cette fillette, devenir une belle jeune femme et c’est une femme maintenant, belle et qui sait jouer de ses avantages. Je plains ses mecs. 

Contenu de mon enfance, de mon adolescence. Je sais que certains y verront encore un fantasme, s’il savait les pauvres. Quoi que, c’est vrai après tout, cela pourrait n’être qu’un fantasme tout droit sortit de mon esprit aussi tordu que pervers. Mais ça, vous voyez, c’est vous seul qui pouvez en juger, moi, j’ai déjà eu ma vie et elle continue. 

J’ai distribué le courrier pendant 18 ans avant de distribuer des palettes avec mon 40 tonnes. Mais cela ne m’a jamais empêché de soumettre, de pervertir, de faire prendre son pied et de prendre le mien au passage. 

À bientôt ! Je crois que la suivante, et j’avais vingt piges et quelques vous…hum, non, il vous faudra la lire.

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