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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 17

Histoires d'un mâle alpha - Chapitre 17



J’entre. Anne-Sophie Loiret est debout, les fesses appuyées sur le bord de son bureau, elle me fait face, elle a une jambe croisée devant l’autre. Je referme la porte derrière moi. Je la détaille de la tête aux pieds : elle porte un tailleur noir, veste cintrée et courte, jupe courte et moulante, sur la jambe qui est devant on devine la lisière d’un bas. Sous la veste elle porte un chemisier rouge qui lui va ravir. Elle a ouvert un bouton « de trop » me laissant deviner un soutien-gorge en dentelle noir. Aux pieds, elle porte les Pigalle de Louboutin. Je me lèche les babines (au sens propre).

— Bonjour Isaiah.

— Bonjour Anne-Sophie, vous allez bien ?

— Très bien, et toi ?

— Pas mal.

— Juste pas mal ?

Je durcis le ton :

— Approche.

Elle sourit, en baissant les yeux, passe une main dans ses cheveux et s’approche. Elle roule du cul. Elle est juste devant moi. Je pose ma main sous son menton.

— Ma tenue te plaît ?

— C’est pas mal oui… Tourne-toi.

Elle tourne lentement sur elle-même. Je mate son cul, je constate avec plaisir qu’elle a un cul ferme. Je le palpe, elle frémit, et se cambre. Elle gémit. Elle revient face à moi.

— Tu t’es déjà tapé un de tes élèves ?

— Non, jamais.

— Ne me mens pas.

— Ça ne m’est jamais arrivé, et je n’en ai franchement jamais eu envie.

— Et là ?

— Là, j’en ai très envie. Une envie presque irrésistible.

— Parfait. Tu as déjà trompé ton mari ? Et ne me mens pas.

— Une fois.

— Une fois ? Juste un coup ? Ou tu as eu une fois un amant régulier ?

— Une fois juste un coup.

— En combien d’années ?

— 21.

Je souris.

— Embrasse-moi.

Elle se colle à moi et m’embrasse, du bout des lèvres d’abord, puis elle ouvre la bouche, cherche ma langue. Je passe mon bras dans son dos et la serre, elle pousse un petit cri de surprise.

— Ça te fait quoi d’être dans les bras d’un vrai mâle ?

— Ça m’excite.

Je la lâche, elle pose ses mains sur mon torse puissant, elle semble apprécier la sensation.

— Tu as envie de moi ?

— Oui.

— Et tu n’as pas peur ?

— De ?

— Des répercussions ? Que cela se sache ?

— Je suppose que l’on peut faire en sorte que ça ne se sache pas.

— Tu as raison. On va faire en sorte que mais…

— Mais ?

— Mais je ne cherche pas juste à tirer mon coup. Pour ça j’ai ce qu’il faut.

— C’est-à-dire ? Que cherches-tu ?

— Je veux que tu sois mienne.

— Comment ?

— Tu m’as dit que tu as envie de moi.

— Oh oui.

— A quel point ?

— Je suis prête à tout.

— Vraiment ?

— Vraiment Isaiah, je ne sais pas pourquoi mais c’est le cas.

— C’est très bien.

— Oui ?

— Oui… Tourne-toi.

Elle se tourne. Je lui masse le cul, lui mets des petites fessées, puis lui remonte sa jupe. Je découvre les bas et le string assorti au soutien-gorge. Maintenant qu’elle est cul nu, je lui remets deux petites fessées.

— Retourne-toi.

— Tu es à qui ?

— A toi Isaiah.

— Suce-moi.

Elle s’est accroupie, a sorti ma queue, a eu un mouvement de recul en la découvrant, m’a regardé avec gourmandise et m’a pris en bouche. Elle me branlait dans sa bouche. Elle savait y faire la garce.

— Oublie pas mes couilles Anne-Sophie.

— Oui mon chéri.

Elle se les est collées sur le visage avant de les lécher, de les gober.

— Tu as envie que je te baise ?

— Ouiiiiiii.

— Je ne suis pas ta petite bite de mari précoce, on n’a pas le temps là. Tu vas me sucer à fond, et on verra plus tard pour que je te fasse jouir comme tu le mérites.

— Bien.

— Allez, fais-moi jouir dans ta bouche. Tu aimes le sperme ?

— Oui.

— Parfait, tu avaleras tout.

Elle m’a pompé à fond, elle se caressait la chatte à travers le string ; j’ai fini par jouir dans sa bouche. Elle a tout bien avalé, bien que surprise par la puissance des jets et la quantité de semence.

— Mmmmm, c’est bien ma belle.

— Tu as aimé ?

— Oui.

— Je mouille comme jamais.

— Je sais. Tu étais prof de quoi avant ?

— De maths.

— Tu donnes des cours particuliers ou pas ?

— Cela fait longtemps.

— Tu vas m’en donner. Chez toi.

— Vraiment ?

— Oui !

— Bien. D’accord Isaiah.

— Parfait. Madame Bertin ne va pas tarder à arriver, remets-toi en état.

Elle s’est remise d’aplomb et en tenue présentable, n’oubliant pas de reboutonner son chemisier. Je l’ai embrassée. Elle m’a dit qu’elle avait envie de moi. Je lui ai dit d’être patiente. Elle m’a supplié de venir la baiser le midi. J’ai refusé.

— Tu as compris que j’avais des vues sur Madame Bertin aussi ?

— Oui j’avais compris Isaiah.

— Bien, tu vas donc m’aider.

— Oui bien sûr.

— Parfait. Et nous sommes d’accord : dorénavant, l’autorité a changé de main entre nous.

— Je suis à toi Isaiah.

Je lui ai souri et l’ai embrassée. Quelques minutes plus tard, Madame Bertin frappait au bureau, j’étais assis, Anne-Sophie aussi. Elle lui a dit d’entrer. Claire Bertin est entrée, a semblé un peu surprise que je sois déjà là, étant elle-même un peu en avance. Anne-Sophie lui a dit de s’asseoir, dans le fauteuil à côté du mien.

— Bonjour Madame Bertin.

— Bonjour Isaiah.

— Vous allez bien ?

— Euh… oui oui très bien. Merci.

Elle portait une robe au-dessus du genou, des mules à talons compensées, la robe était fluide, à peine décolletée, mais mettait vraiment en valeur son incroyable poitrine. Elle portait une veste par-dessus.

— Isaiah a sollicité cet entretien, Claire.

— Oui, mais je ne comprends pas bien pourquoi.

— Eh bien, il a le sentiment que tu le délaisses un peu en cours, que tu l’ignores, alors qu’il fait preuve d’initiatives, souhaite participer en cours.

— Mais je ne comprends pas, je n’ai pas le sentiment de t’ignorer Isaiah.

— Je suis désolé Madame, j’ai même parfois l’impression que je vous fais peur.

— Euh, non non, bien sûr que tu ne me fais pas peur voyons Isaiah.

— Tant mieux, car ce n’est évidemment pas mon intention.

— Oui, mais alors pourquoi ignorer Isaiah, Claire ?

— Mais, je ne l’ignore pas, je veux dire, je… je traite tous les élèves de la même manière.

— Ce n’est pas tout à fait vrai cela.

— Pardon ?

— Vous ne m’interrogez jamais, vous ne me regardez jamais dans les yeux. Quand nos regards se croisent vous détournez le vôtre. A contrario vous interrogez tout le temps certains élèves parmi lesquels en plus, un ou deux sont vraiment de gros nuls.

— Isaiah, mesure tes propos quand même.

— Pardon Madame Loiret, mais c’est vrai. Par exemple, le Greg là, c’est un nul ça se voit, ça se sent, et il est nul en français, n’est-ce pas Claire ?

Elle me regarde mais ne réagit pas au fait que je l’appelle par son prénom.

— C’est vrai qu’il n’est pas doué mais j’essaie de l’encourager c’est tout.

— Donc vous préférez encourager la médiocrité, que le talent c’est ça ?

— Non non pas du tout Isaiah. Excuse-moi, je vais tâcher de plus t’interroger.

— Ça ne suffit pas ça.

— Mais…

— Mais ?

Elle me regarde, ne sait pas quoi dire.

— Claire, tu n’oses pas le dire, et sans doute n’oses-tu pas te le dire à toi-même, mais tu me…

— Mais…

— Laisse-le finir Claire, vraiment.

Je souris.

— Merci Anne-Sophie. Donc, je te disais, tu me désires Claire, je le sais, et tu le sais, au fond de toi.

— Mais ça ne va pas. Ecoute, je ne sais pas ce qu’il se passe là, mais…

— Claire, calme-toi, on discute c’est tout. Entre adultes.

— Mais Isaiah est un élève.

— Oui, mais crois-moi il est d’une grande maturité, d’une très très grande maturité.

— Comment ça ?

— Tu devrais l’écouter.

— Ah ?

— Oui.

Elle me regarde, je lui souris, tendrement. Elle me rend le sourire.

— Je suis désolée Isaiah.

— Désolée de quoi Claire ? De me désirer et de lutter contre ça et que ton seul moyen de résister est de m’ignorer ? Mais tu n’as pas à t’excuser, tout ça est naturel.

— … Je… oui sans doute.

— Mais il faut être honnête maintenant, et avec toi-même en premier lieu. L’année est encore longue, ça ne peut pas durer comme ça.

— Oui… je comprends… tu as rai…

— Oui ! J’ai raison. Je le sais.

— Oui Isaiah.

— Alors ?

Elle me regarde, interrogative.

— Dis le Claire, n’aie pas peur.

Elle regarde vers Anne-Sophie. On comprend elle et moi qu’elle ne sait que faire devant la proviseure. Cette dernière se lève et passe derrière moi. Elle pose ses mains sur mes épaules et les glisse sur mon torse, collée à moi dans le dos.

— J’ai moi-même accepté la réalité des choses Claire. Tu peux toi aussi le faire.

— Vraiment ? Mais… On ne peut pas… Ce n’est pas…

— Ce n’est pas quoi ? Correct ? Autorisé ?

— Oui tout ça.

Je pose la main sous son menton et le relève, la regarde, et lui souris. Elle me rend le sourire timide.

— Claire…

— Oui… ?

— Je meurs d’envie de t’embrasser là.

— Mais…

— Je m’approche lentement d’elle, elle frémit.

— Viens…

— Non… je ne peux pas… on ne peut…

— Offre-toi à moi.

— Isaiah.

— Oui…

— Je suis mariée…

— Je suis en couple.

— Ce n’est pas pa…

— Embrasse-moi Claire.

Anne-Sophie est passée à côté de Claire.

— Ne t’en fais pas Claire, tout va bien, et crois-moi tu ne le regretteras pas.

— Mais tu as…

— Oui…

Anne-Sophie se penche vers moi et me roule une grosse pelle. Elle se tourne vers Claire et lui sourit.

— À ton tour.

— Je…

Je durcis le ton de ma voix :

— Embrasse-moi !

Elle se penche et colle ses lèvres aux miennes. Je bande comme un âne.

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