Je la goûte, sa chatte est délicieuse, épilée entièrement, de très belles lèvres, un clito qui gonfle sous ma langue. Marina gémit, se cambre, tend les bras derrière elle. J’enfonce ma langue en elle et la baise avec.
— Ahhhhhhhh, je sens plus sa langue que ton petit sexe mon petit cocu chéri.
Je la fais jouir, elle mouille sur mon visage, plaque ma tête contre elle. Son corps tout entier tremble. Je la lèche encore et la caresse.
Elle se redresse et m’embrasse puis regarde son mari :
— Tu ne m’as jamais donné un seul orgasme, il lui a fallu quelques minutes et sa langue a suffi…
Il ne dit rien.
— Tu ne le remercies pas ?
— Oh si, bien sûr, merci Maître. Merci de faire jouir ma femme.
Je me glisse sur elle et l’embrasse puis me couche derrière elle sur le côté. Je soulève une de ses jambes et place mon gland entre ses lèvres, je m’enfonce en elle doucement, et commence à la baiser en cuillère. Je la lime d’abord doucement, puis j’accélère. D’une main je tiens sa jambe, de l’autre je lui caresse le clito, puis les seins.
— Ah putain que tu es serré Marina.
— Ouiiiiii, je te sens trop bien mon amour.
Elle commence à crier de plaisir, je tourne tout au fond d’elle, puis d’un coup, tout en restant en elle, je la fais basculer sur moi en m’allongeant sur le dos. Elle me chevauche en reverse cow-girl. Elle ma baise la queue, me masse les couilles en même temps. Moi je lui masse ses gros seins.
Puis je soulève ses jambes, les réunis et les tiens serrées, et je la lime à fond. Je donne des mouvements de plus en plus rapides, et quand je sens qu’elle vient, je me fige tout au fond d’elle. Elle hurle de plaisir. Et l’orgasme est tellement puissant, qu’elle s’effondre sur moi. Toute tremblante ; elle crie de longues secondes et je la sens dégouliner sur moi. Je la tiens dans mes bras, fermement et tendrement en même temps, je la caresse doucement, le temps qu’elle redescende.
Elle se redresse finalement, et vient sur moi, face à moi, on s’embrasse, puis je glisse ma queue en elle, mes mains sur ses fesses, je lèche ses seins au-dessus de moi. Je la prends doucement, la faisant aller et venir sur mon pieu. Quand je sens qu’elle a repris tous ses esprits, j’accélère le mouvement, et je lui mets un doigt dans le cul. Assez vite elle me chevauche de nouveau comme une furie, elle me baise, elle s’empale sur ma bite. Elle jouit encore une fois. Et se plaque contre moi pour m’embrasser.
Nous restons de longues minutes dans les bras l’un de l’autre, ma queue en elle puis contre elle, on s’embrasse, elle me dit que c’est trop bon. Je la caresse. Puis elle se lève et vient se mettre à quatre pattes au bord du lit. Je me lève à mon tour, passe derrière elle, lui mets quelques fessées.
Je prends le cocu et le fais s’asseoir contre le lit, dos au lit et à sa femme, je lui fais pencher la tête en arrière sous la chatte de sa femme, entre ses cuisses. Puis je viens au-dessus de lui, mes pieds de part et d’autre de son cul posé par terre.
Marina tourne la tête et voit ça.
— Oh dis donc, tu en as de la chance mon petit cocu, tu vas être aux premières loges.
— Oui, merci Maîtresse, merci Mon Roi.
— Lèche sa chatte larbin.
Il le fait.
— Elle a bon goût ?
— Oh oui Maître.
— C’est le goût de ma grosse queue de black.
— Merci Monsieur.
Je me penche pour embrasser Marina, ma queue cogne le visage du cocu. Puis je me place bien et m’enfile en elle. J’empoigne ses fesses dans mes grandes mains et la baise en levrette. Mes couilles ballottent juste au-dessus du visage de benoît, qui n’arrête pas de lécher le clito de sa femme. Je la baise comme une bête, sa mouille coule sur le visage de son mari, je lui doigte le cul en même temps. Alors que je suis plus loin encore que tout à l’heure, elle jouit de nouveau, et s’écroule sur le visage de son cocu, écrasé par la chatte trempée et pleine de ma bite ; et ma queue sur son menton. Je continue à aller et venir, puis je me mets sur son cul. Je plaque bien mes mains sur ses fesses et appuie bien et m’enfonce dans son cul. Son cocu est complètement étouffé sous Marina. Elle hurle alors que je m’enfonce et que je commence à limer sa rondelle. Je la ramone à fond, elle me supplie de continuer. Je monte sur le lit, et lui martèle le cul, mes jambes heurtent le cocu sous elle à chaque va-et-vient.
Elle jouit comme une folle.
À peine cet orgasme l’a envahie que je lui reprends la chatte, dans la même position. J’entends le cocu gémir et se tortiller.
— Qu’est-ce qui t’arrive larbin ?
— Je… je me suis joui dessus Maître.
Marina et moi éclatons de rire alors que je pilonne sa chatte à présent.
— Vas-y défonce moi, défonce-moi mon amour, remplis-moi.
J’accélère encore, et la prends encore quelques longues minutes. Je sens son corps qui se fige, je percute tout au fond d’elle, et me bloque en elle. Un nouvel orgasme la secoue, alors que les premiers jets puissants la frappent. Mes râles bestiaux couvrent à peine ses cris de jouissance. Je me déverse en elle, la remplis comme elle le désire. Et alors qu’elle pense que c’est fini, je tourne en elle, puis donne encore quelques coups de reins ; elle jouit encore une fois, encore plus fort.
Quand je me retire un flot de mouille coule le long de ma queue sur le visage de Benoît. Marina se retourne et s’allonge sur le dos. Elle attrape le visage de Benoît et lui fait la lécher. Mon sperme commence à déborder de sa chatte. Elle appuie la bouche de son mari sur sa chatte. Il lèche comme il peut. Je m’allonge à côté de Marina, ma queue à hauteur de son visage, elle me suce.
— Mmmm mon Dieu, je suis en train de tomber amoureuse de ta queue Isaiah.
— Considère cette nuit comme ta nuit de noces ma belle.
— Tu veux dire qu’on va effectivement baiser ?
— Ah ah oui !
Alors qu’elle me suce, je me tourne vers Benoît.
— Tu épouses une bombe, et tu l’as même pas baisée pendant la nuit de noces ?
— Si si.
— Pardon ?
— Ça n’a pas duré longtemps, mais on a fait l’amour.
— Pas longtemps ? Tu as joui à peine ton gland a frôlé mes lèvres.
— Et tu penses pouvoir la mettre enceinte comme ça ?!
— Pardon ?
— Il m’a dit que tu voulais un enfant.
— Oui, ça c’est vrai. Mais pas de lui.
— Ah ah, je te comprends ma belle.
Je m’allonge de tout mon long sur le lit. Marina me pompe.
— Mmmmmm, oui ma belle, suce-moi bien, suce bien cette grosse queue de black.
— Je l’aime trop.
— Je sais ma belle.
On baise toute la nuit. Sans absolument se préoccuper du cocu. Je lui demande juste de faire des photos et vidéos à un moment. Marina est déchaînée. Je la fais jouir une dizaine de fois de plus et elle ne me laisse aucun moment de répit : elle me fait jouir huit fois dans la nuit. On baise dans absolument toutes les pièces de la maison. Après une douche crapuleuse, nous sommes au lit, elle tout contre moi. On se roule de grosses pelles.
— Tu veux un café mon chéri ?
— Volontiers.
— Cocu ?
Elle l’appelle et il accourt. Il est lavé et habillé.
— Oui Maîtresse ?
— Fais-nous deux cafés s’il plaît.
— À vos ordres.
Il s’éclipse.
— Tu sais que je suis sérieuse sur le fait de vouloir un enfant.
— Oui j’ai compris. Tu voudrais un petit métis.
— Ouiiiiiiiiii. Et je n’imagine aucune autre semence que la tienne mon chéri.
— On verra ça.
— Merci.
Le cocu revient avec nos cafés, il nous les apporte au lit.
— Tu as repassé mes fringues ?
— Oui Mon Roi, comme vous me l’avez demandé.
— Parfait.
Je les laisse. J’ai besoin de repos. Je rentre chez moi, dans l’appart. Tout est emménagé. Carl a fait du bon boulot. Je lui envoie un message pour le féliciter et le remercier. Il me répond qu’il est content que je sois heureux. Je prends une douche, je ne me souvenais pas mais il y a une douche, et une grande baignoire spa. Je me pose dans le salon avec un café. Je reçois un message de Benoît, qui a créé un groupe whatsapp avec Marina et moi :
— Merci mon Prince, merci d’avoir fait autant jouir mon épouse. Elle semble tellement heureuse ce matin, ça me rend heureux moi aussi. Elle me parle d’avoir un enfant de vous. J’espère que vous accepterez. Suis à votre disposition.
— On verra ça, mais avant, j’ai envie que Marina et moi, on profite un peu.
Elle répond dans la seconde :
— Oh moi aussi mon chéri. On se voit quand ?
— Je passe vous voir dimanche aprèm.
— OK;-)
Je fais le tour de mes messages.
Charlotte :
— J’ai rêvé de toi toute la nuit… à ce soir mon chéri…
Puis Sophie sur le groupe avec les filles :
— Isaiah, on se voit toujours après les cours ? Manon ?
— Je pense oui, mais tu sais ma chérie, moi je n’ai pas mon mot à dire;-)
Je réponds :
— Oui, je passe te prendre, je ne viens pas au lycée aujourd’hui.
J’écris ensuite à Anne-Sophie :
— Je ne suis pas en cours aujourd’hui.
— Bien noté mon chéri. As-tu besoin de quoi que ce soit ?
Je vais répondre, mais je reçois un message de Jessica. Je souris :
— Isaiah… je n’arrête pas de penser à toi, depuis hier… depuis l’autre jour en fait… je ne sais pas quoi faire… je veux dire, comment font les autres ?
— Qu’est-ce qui te fait dire qu’il y en a d’autres ?
— Ah ah… j’ai pris un café avec Manon hier soir.
— Cachottières… Elle ne m’a pas dit.
— Je lui ai demandé de ne rien te dire.
J’écris direct à Manon :
— Jessica ???
— Désolée, mon amour, je voulais te faire la surprise.
— Tu es bien sûre de toi…
— Elle t’a écrit non ?
— A l’instant oui.
— ;-)
— Merci ma belle.
— De rien mon chéri.
Puis à Jessica :
— On déjeune ensemble ?
— Avec plaisir.
— Je passe te prendre à 12h30.
— OK Isaiah.
Je m’endors. Suis réveillé vers 11h par un message de Claire :
"- Mon chéri voici une conversation matinale avec mon petit mari, qui je pense (j’espère) va te plaire :
Bertrand : il ne peut pas être en terminale c’est pas possible
Moi : de qui parles-tu mon chéri ?
Bertrand : De ton élève, Isaiah
Moi : tu le dis toi-même, c’est mon élève. Et pourquoi tu dis ça ?
Bertrand : tu l’as vu, je veux dire il fait beaucoup plus, il a dû redoubler plein de fois
Moi : ah non, au contraire il est brillant ; j’ai vérifié son dossier, c’est un excellent élève ; un des meilleurs que j’ai jamais eu
Bertrand : il est tellement…
Moi : imposant ?
Bertrand : il fait bien plus que son âge
Moi : ah ? Oui c’est possible, en tout cas il fait parler
Bertrand : comment ça ?
Moi : des bruits de couloir, tu sais comment c’est, apparemment il fait fantasmer toute la gent féminine du lycée.
Bertrand : les élèves, tu veux dire ?
Moi : les élèves oui. Mais pas que…
Bertrand : ah bon ?
Moi : ça t’étonne ?
Bertrand : mais c’est un élève ce n’est pas…
Moi : quoi ? Correct ?
Bertrand : Oui…
Moi : fantasmer ce n’est pas interdit. Et une prof de sport l’a vu en maillot de bain à la piscine, et il paraît qu’il est imposant de partout.
Bertrand : oh le cliché !
Moi : vu son air quand elle en parlait, je pense que c’était vrai !
Bertrand : je ne l’ai pas trouvé si bien que ça moi
Moi (j’ai ri) : ah bon ? Tu regarderas mieux la prochaine fois !
Bertrand : la prochaine fois ?
Moi : je te l’ai dit il m’aide, donc oui la prochaine fois, sans doute jeudi prochain. Peut-être avant. Si tu veux je te dirai quand il vient, pour que tu sois là et que tu puisses bien regarder !
Alors ? C’est bien non ?"
Je lui réponds :
— Parfait ma belle. Ça mériterait qu’on avance le cours en effet ! Je vais voir ça et te redis.
— Oh merci mon chéri.
Je me repose, puis me prépare et file chez Jessica. Quand je suis en bas, je lui écris :
— Suis en bas ma belle.
— J’arrive !
Quelques minutes plus tard, je la vois sortir de l’immeuble. Elle est ravissante : mini en cuir, bottes à talons, top et veste courte. Elle me sourit, je sors, lui fais la bise, en la serrant un peu contre moi et vais lui ouvrir la portière. On file, je l’emmène un peu en dehors de la ville dans un restaurant super, où il y a une terrasse fermée juste au-dessus de l’eau. Dans la voiture on discute, je la sens nerveuse, je la fais rire, essaie de la détendre un peu. Quand on arrive au resto, ça va mieux.
— Wouahhh c’est superbe, je ne le crois pas, je ne connaissais pas cet endroit.
— C’est petit et pas très connu, et il faut laisser ça comme ça.
— Ah ah, parce que c’est là que tu amènes tes conquêtes.
— Uniquement les plus jolies.
Durant tout le repas, on parle de tout et de rien, on fait connaissance, on rit beaucoup. Elle est très sympa. À la fin du repas, nous prenons tous les deux un café gourmand. Quand le serveur nous les apporte, Jessica sourit.
— Tu penses à quoi ?
— Au fait que toutes ces gourmandises me donnent envie d’aborder un sujet… enfin, LE sujet
— Oulah, ça a l’air important.
— Ah ah ! Donc, j’ai vu Manon hier.