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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 50

Histoires d'un mâle alpha - Chapitre 50



Je me lève, embrasse Manon et viens m’asseoir à côté d’Isabelle. Je me glisse tout contre elle, passe mon bras autour d’elle, et l’attire à moi. Je l’embrasse, ma langue s’enroule sur la sienne. On se roule de grosses pelles. Elle gémit, moi aussi. Je sens sa main qui se pose sur mon torse. Je la prends par le cou, la regarde, joue avec sa langue. Je vois Manon qui commence à se caresser.

— Suce-moi Isabelle.

— Oui Isaiah.

Elle sort ma queue de mes pantalon et boxer.

— Putain, elle est énorme.

Elle me regarde et me sourit. Elle me branle lentement et pose ses lèvres sur mon pieu, l’embrasse sur toute sa longueur. Elle lèche mes couilles, les embrasse aussi. Je regarde Manon. Elle me sourit. Mon bras passe autour d’Isabelle qui est à genoux sur le canapé à côté de moi. Je soulève le bas de sa robe et dévoile ses fesses. Je lui mets deux petites claques. Elle sursaute. Elle enfourne ma queue en bouche et me pompe. Je bande comme un âne. Elle me masse les couilles et me suce comme une affamée. Je lui caresse les fesses puis glisse un doigt sur son string entre ses fesses, elle se cambre et gémit, avec ma queue en bouche. Puis, je passe sous elle lui caresse les seins à travers la robe. Je les dégage du bustier, elle ne porte pas de soutien-gorge, ils pendent sous elle, je les masse. Ses tétons durcissent. Je donne des coups de reins pour lui baiser la bouche. Elle bave sur ma queue. Je vais au fond de sa gorge. Puis je lui fais glisser ma queue entre ses mamelles. Elle frotte mon gland sur ses tétons, puis joue avec ses mamelles sur mon gourdin.

Ma main est passée dessous et je la caresse à travers le string. Elle tortille du cul. Puis je lui mets une fessée :

— Déshabille-toi.

Elle se redresse, m’embrasse et ôte sa robe. Elle est en bas, bottes et string. Elle retire son string. Je l’attire sur moi, face à moi. Mes mains sur ses fesses, je l’embrasse, lèche ses seins, elle me branle sous elle. Je passe mes bras sous ses cuisses et la soulève pour porter sa chatte à hauteur de ma bouche. Elle ne peut retenir un petit cri de surprise, qui se transforme en gémissements de plaisir quand ma langue commence à la lécher. Je lui fais un long cunni, jouant avec son clito, m’attardant sur ses lèvres, la fouillant autant que je peux, et elle jouit sur mon visage. Prise de tremblement, je la tiens fermement et la fais redescendre pour la serrer dans mes bras, je l’embrasse. Je lui dis doucement :

— Ça va ?

— Ouiii, ouiii très très bien…

Je regarde Manon qui se caresse, et me sourit. Je prends ma queue et glisse mon gland entre ses lèvres, doucement, je le frotte tout contre elle. Elle m’embrasse et se redresse et descend lentement sur ma queue. Elle gémit, remonte, redescend un peu plus loin, se cambre, remonte et descend encore, je suis au fond d’elle, je reste, on ne bouge pas. Elle s’habitue à ma grosseur. Elle me chevauche de plus en plus vite et à fond, elle gémit, passe ses mains dans les cheveux, se cambre. Je caresse ses seins, les pétris puis je claque mes mains sur ses fesses, lui empoigne et commence à la limer. En quelques secondes, elle est secouée par un nouvel orgasme. Je reste tout au fond d’elle et tourne, je l’embrasse. J’appuie tout au fond d’elle avec mon gland. Elle se tend encore.

— Ahhhhhhhh mais nooooonnnnnnnn, ahhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Elle jouit une deuxième fois dans la foulée, s’écroule contre moi. Mon énorme bite en elle. Elle m’embrasse, me sourit :

— Wouaaaahhhhhh.

Elle se tourne vers Manon :

— Merci Manon.

— De quoi ? Il faut bien que j’en fasse profiter non ?

Je me lève toujours en elle, et la fais sauter sur ma queue. Elle hurle de plaisir, puis je la pose sur la table, écarte ses jambes et la lime. Je donne de grands coups de reins. Je la fais se mettre debout ensuite et pencher sur la table ; je la prends debout par-derrière. Je lui mets quelques fessées et la fais jouir encore une fois quand tout au fond d’elle, je prends ses cheveux et la fais se cambrer à fond. Je reste en elle, passe mes bras sous ses cuisses et la soulève. Je la baise debout, la portant sur ma queue, elle qui me tourne le dos.

— Ahhhhh putain, ahhhhhhhhhh, encore……

Elle jouit une dernière fois. Je la repose sur le canapé, je reste debout devant elle. Elle me reprend en bouche. Ma queue est couverte de sa mouille. Je masse ses seins pendant qu’elle me suce. Je finis par jouir dans sa bouche. Je pousse un gros râle. Elle avale les deux premières giclées, les suivantes s’écrasent sur ses seins.

Je m’assieds sur le canapé à côté d’elle. Je lui roule une grosse pelle, puis la gardant tout contre moi, je regarde Manon :

— Viens me nettoyer la queue ma chérie.

Manon me sourit et obéit et vient à quatre pattes entre mes cuisses et sans les mains prend ma queue en bouche et commence à bien la lécher. Isabelle nous regarde, fascinée. Je l’embrasse. Nos langues jouent l’une avec l’autre, elle se love contre moi.

— Mmmmm trop bon…

— Tu es bien là ?

— Oh ouiiiiiiiii

Si tu allais aider un peu ta sur.

— Oui mon chéri.

Elle se glisse à mes pieds, aux côtés de Manon et la bouche de la grande sur vient rejoindre celle de Manon sur ma queue. Je sens leurs lèvres aller et venir le long de mon gourdin. Mon sexe se raidit de nouveau. Manon s’active sur ma couille tandis qu’Isabelle me pompe.

— Oui, continuez les filles, sucez-moi. Je veux jouir sur vos visages.

Elles me regardent en souriant et après 15 minutes d’une double fellation inoubliable, je me lève et couvre leur visage de sperme. Je fais battre ma queue sur leurs langues.

— Mmmmmm excellent mesdemoiselles.

— Ça t’a plu ?

— Beaucoup. Allez vous nettoyer.

Elles vont dans la salle de bain, me laissant nu dans mon canapé. Je regarde l’heure, j’ai le temps avant d’aller chez Anne-Sophie. Je regarde les actualités. Il y a un match psg-marseille le soir. Je décide de changer mon programme. J’écris à Marina, lui dis que je vais venir chez eux à 14h. Et j’écris ensuite à Anne-Sophie pour lui dire que je passerai finalement vers 17h chez elle. Les deux me confirment qu’il n’y a évidemment pas de problème.

Manon et Isabelle se rhabillent, je prends une douche et me change et on sort pour déjeuner. On passe un moment sympa tous les trois puis je les ramène chez leurs parents. Je roule une pelle à Isabelle puis à Manon. Quel pied !

Puis, je me mets en route pour chez Marina et Benoit. Je me gare devant chez eux. J’envoie un message à Anne-Lise, mon agent immobilier :

— Salut ma belle. Deux choses : quand est-ce que je te vois ? Connaîtrais-tu une soubrette disponible ?

Puis, je sonne chez Marina. C’est Benoit qui m’ouvre. Quand il me voit il ouvre grand la porte, s’écarte du chemin et se met à genoux, comme je le lui ai demandé la dernière fois. J’entre. Je lui tapote sur la tête :

— C’est bien, bon toutou.

Il referme la porte derrière moi. Je le regarde de haut :

— Où est ma femelle ?

— Au salon Maître, elle vous attend.

— Bien. Va me faire un café.

— A vos ordres mon Roi.

Je vais dans le salon, Marina m’attend effectivement, dans le canapé. Déshabillée en soie et dentelle noir court, guêpière porte-jarretelles en dentelle noire et rouge, string assorti, bas noirs, et escarpins Louboutin aux pieds. Sur la table basse, il y a deux flutes et une bouteille de champagne dans un seau à glaçons. Elle me sourit. Je m’avance.

— Bonjour mon chéri.

— Salut ma belle. Et je dois dire que là, le compliment n’est pas usurpé.

— Merci;-)

— Lève-toi !

Elle se lève. Elle est incroyable.

— Approche !

Elle vient vers moi, lentement, ne me quitte pas des yeux. Je lui tends une main qu’elle saisit, je l’attire vers moi, la fais tourner sur elle-même. Doucement.

— Mmmmmmm

— Je te plais mon amour ?

— Oui.

Elle vient se coller contre moi et me roule une grosse pelle. Benoit arrive avec mon café. Il reste derrière nous, sans rien dire, un plateau à la main avec ma tasse. On va s’installer elle et moi dans le canapé, l’un contre l’autre, on s’embrasse. Puis, elle regarde son mari :

— Et bien ? Le café de mon amour va venir tout seul ??

Il baisse les yeux :

— Euh, non, non bien sûr, pardon Maîtresse.

— Ce n’est pas à moi qu’il faut demander pardon.

Il avance vers moi, prend la tasse et me la tend.

— Pardon Maître.

Je ne dis rien, le laisse dans cette position et embrasse Marina. On s’embrasse et on se caresse durant de longues minutes. Je me tourne enfin vers lui, la tasse toujours à la main.

— Il doit être froid maintenant. Je vais plutôt prendre du champagne.

— Ah oui bonne idée mon chéri, moi aussi.

— D’ailleurs, c’est pour une occasion en particulier ?

Pendant que son mari nous sert, elle se love contre moi :

— Et bien figure toi que oui, on a une excellente nouvelle.

— Ah oui ?

— Oui mon amour. Que fais-tu mercredi ?

— Je ne sais pas encore.

— Tu veux savoir ce que moi je fais mercredi ?

— Dis-moi.

— J’ovule !

— Mmmmm intéressant.

Je l’embrasse. Elle me caresse.

— Mets-toi à genoux larbin.

Il obéit, il est à nos pieds.

— Et donc, tu cherches un mâle pour t’enfanter ?

— Ouiiiiii

— Il ne peut pas te faire un enfant lui.

— Non, avec son tout petit zizi.

— Son petit escargot.

— Ouiiiiii

— Tu as besoin d’une grosse bonne queue de black ?

— Oui mon amour. Une vraie queue de mâle, de taureau.

— Tu veux que je te remplisse de tous mes petits taureaux blacks.

— Oh ouiiiiiii.

— Tu veux un petit métis ?

— Oui mon chéri.

— Eh eh. Bon, ça change tout.

— Comment ça ?

— Je pensais te baiser cet après-midi, mais je vais te faire patienter jusqu’à mercredi alors.

— Oh noooooon

— Si ! Je te veux en chaleur comme jamais, la saillie n’en sera que meilleure !

— Bien mon amour. Je mouille déjà tellement pour toi.

— Je sais. En revanche, rien ne t’empêche de me sucer.

— Mmmmm avec plaisir Isaiah.

Elle s’agenouille à mes côtés et sort ma queue. Elle me suce comme une furie. Je suis vautré dans le canapé, très confortablement installé, ma queue dans la bouche de cette femme superbe, qui mercredi va me supplier de la féconder. Je regarde son cocu à mes pieds.

— Viens là !

Je tapote de la main sur le canapé. Il grimpe à quatre pattes dessus, en parfaite symétrie de sa femme.

— Regarde comme elle me suce bien.

— Oh oui Maître.

— Tu vas bientôt être un bon petit papa.

— Merci Mon Roi.

— Si c’est une fille elle sera forte, comme sa maman, tu seras à ses pieds, à ses ordres. Si c’est un garçon, il sera monté comme un âne et puissant comme son géniteur.

— Oui merci mon Maître.

— Tu comprends pourquoi tu ne peux pas être le père ?

— Oui bien sûr Maître, je ne suis pas un mâle alpha, ce n’est pas à moi d’assurer la survie de l’humanité.

— Oui. Heureusement que ton épouse a trouvé un vrai mâle pour ça.

— Oui mon Roi.

— Tu vas voir, tu vas élever un enfant beau comme un dieu, intelligent, puissant.

— Merci Maître.

Je doigte Marina pendant ce temps. Elle me suce, me branle entre ses seins qu’elle a dégagés de sa guêpière. Je maintiens de l’autre main le visage de son cocu juste devant ma queue. Elle est excitée comme une folle et ma main se retrouve vite couverte de mouille. Je l’essuie sur le visage du cocu et lui étale bien la mouille de son épouse. Marina prend mes couilles dans sa bouche.

— Durant les trois jours qui viennent, il faut que tu prennes grand soin de ton épouse compris ?

— Oui Maître, bien sûr.

— D’autre part, je vais évidemment me libérer toute la journée de mercredi. Tu feras en sorte que la journée soit placée sous le signe du romantisme, comme une saint-valentin.

— À vos ordres mon Prince.

— Et bien sûr vous allez acheter de la lingerie spécialement pour l’occasion.

— Bien mon Roi.

— Tu as bien compris ? Tu mets les petits plats dans les grands, tu fais comme si tu organisais la soirée romantique de ta vie.

— Oui Maître.

Marina me regarde en souriant. Elle reprend mon gland en bouche. Puis se redresse jusqu’à moi et m’embrasse langoureusement. Elle me sourit, regarde son cocu, le visage couvert de sa mouille. Puis me regarde :

— Je t’aime Isaiah.

Je pose ma main sur son cou et la regarde. Joue de ma langue sur la sienne :

— Je sais ma belle.

On se roule de grosses pelles. Puis, elle me reprend en bouche.

— Mmmm oui, pompe-moi bien ma belle. Et comme je ne vais pas te prendre aujourd’hui, je te laisse choisir où tu veux que je jouisse.

Elle me regarde en me branlant contre son visage.

— Dans ma bouche bébé.

Je me lève et place Marina et son cocu à mes pieds, je me branle au-dessus d’eux ; elle me reprend en bouche et finit par me faire jouir. Elle avale les premières salves, mais le reste déborde. Je prends ma queue et me finis sur son visage et ses seins, et je réserve une ou deux giclées qui viennent s’écraser sur le visage du cocu. Marina éclate de rire tout en gémissant de plaisir.

— Embrassez-vous, pour sceller votre mariage dans ma semence bénite ah ah.

Marina l’embrasse sur la bouche.

Ils vont se nettoyer, moi aussi, je me lave le sexe. Je vais partir. J’embrasse langoureusement Marina qui est tout contre moi. Mes mains sont sur son cul. Le cocu à genoux à nos pieds.

— Ah, au fait, cocu, il me semble normal que tu prévois de nous faire à chacun des amants un cadeau. De ton choix, et de la valeur que tu jugeras à la hauteur. Pas d’autres consignes, à toi de nous faire la surprise, et de nous faire plaisir !

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