L’anniversaire.
Je ferme le mitigeur, je sors de la douche, et j’attrape mon drap de bain pour me sécher et me pomponner. Avant d’enfiler mon peignoir, je surprends mon reflet dans la grande glace.
Je m’arrête et je m’examine.
Objectivement, je suis plutôt bien foutue, même si ma balance essaie de me faire croire que j’ai pris un kilo. A mon avis, je l’ai réparti entre ma poitrine et mon cul, deux cent cinquante grammes par fesse et par sein.
Et puis si ça se trouve, tout est passé dans les cheveux.
Depuis que je connais Pierre, fini le carré sage et coincé du début de notre relation. Maintenant mes boucles tombent sur mes épaules et même descendent dans mon dos. Et puis, j’adore faire varier mes coiffures : la queue de cheval sage pour le magasin, le chignon BCBG pour les sorties, la chevelure lâchée pour nos soirées en amoureux, et puis il y a la natte, réservée pour mes sessions de soumission.
Je m’observe avec complaisance. Mes mollets sont bien galbés, mes cuisses charnues, sans marque de cellulite, tendues par les talons de mes mules. J’adore mon glorieux et opulent popotin rond, plein, ferme. Un cul de jument qui attire comme un aimant la main de mon aimé.
Et puis, j’ai gardé une taille serrée que je mets en valeur par des ceintures larges, imitant des corsets.
J’ai une belle poitrine, un peu tombante, mais qui remplit largement la main d’un honnête homme, et surtout celle de mon pervers chéri. Finalement entre mon derche, et mes poupoutes, j’ai plutôt un ensemble bien équilibré.
Ce soir, c’est un anniversaire. Pas l’anniversaire de notre première rencontre, mais celle de la deuxième, quand j’ai compris que Pierre était sincère, et que je n’étais pas une passade d’un soir.
C’est aussi le début de mon initiation, un chemin à la fois sombre et éblouissant, qui a fait de moi une femme épanouie, une soumise heureuse, et une amante adorée
Uniquement vêtue d’un turban en tissu éponge, je traverse la chambre pour aller dans le dressing.
Je farfouille dans ma commode, et j’extrais mon ensemble rouge, ainsi que mes bas.
Comme un rite, je vais revêtir les premiers sousvêtements qu’il m’ait offerts.
Je ne les mets plus qu’à cette occasion
Devant le miroir, j’agrafe sur mon ventre les dix crochets du serre-taille, puis je le fais tourner autour de ma taille pour le positionner. Un pied sur le tabouret, j’enfile mon premier Cervinho puis le deuxième. J’ajuste les coutures sur le milieu de mon mollet, et je les fixe sur les attaches du porte-jarretelles. Fidèle aux premiers conseils de mon amant, je chausse mes talons, puis je passe mon soutien-gorge.
Je vérifie mon allure dans la glace, je replace mes seins dans les bonnets pour bien les faire pigeonner. Je me regarde à nouveau, il y a quelque chose qui cloche. Je pivote sur moi-même.
Puis un éclair, J’envoie valser mes chaussures, puis j’attrape une paire de Stilletos, avec des aiguilles de douze centimètres, je les passe. L’effet est immédiat, je suis cambrée, mes mollets sont étirés et mes fesses sont remontées. J’ai un cul d’enfer.
Culotte ? Oui ! Pourquoi, me direz-vous ?
D’abord, mon amour m’offert l’ensemble complet, puis ensuite j’adore quand il me l’enlève en la faisant glisser, et qu’il dépose un baiser fugitif sur mon croupion de belle poule.
Pour le reste, jupe plissée aux chevilles ou tailleur ?
Allez, tailleur, avec un chemisier blanc diaphane qui laisse deviner la dentelle rouge de mon balconnet.
Un dernier coup d’il au miroir, c’est bon, ma jupe droite moule jusque comme il faut mon pétard incendiaire, mon décolleté dévoile le haut de ma poitrine. Bref un beau look de quinqua BCBG.
Je commençais à m’impatienter. Fait Pierre en m’accueillant dans le salon.
Je te plais ? Réponds-je en pivotant sur mes pointes.
Tu es superbe. Tiens, j’ai un peu pensé à toi. Ajoute-t-il en me présentant deux petites boites.
C’est quoi ?
Une surprise, ou plutôt deux.
Je prends la boite carrée et je l’ouvre. Sur un tout petit coussin de satin, repose une jolie bague, ornée d’un rubis d’une taille tout à fait honorable, accompagnée de quelques petits brillants.
Donne ta main. Et il la fait passer sur mon annulaire.
Je fais jouer le bijou dans la lumière pour en apprécier l’éclat et les reflets.
Ouvre l’autre !
J’enlève le couvercle, et je déplie le petit papier. J’y trouve un petit objet brillant, en argent, formé de deux U, l’un dans l’autre dont les branches interne et externes se rejoignent à leurs extrémités, deux à deux, autour d’un petit pivot. Le plus grand des deux U porte au sommet de la boucle une excroissance ornée d’un petit swaroski.
Chéri qu’est-ce que c’est.
Un Byzantin
Un Byzantin ?
C’est un bijou pour tes lèvres. Trousse-toi, je vais te le poser.
Je vais plutôt enlever ma jupe, elle est assez ajustée. Fais-je en ouvrant la fermeture éclair.
Mon vêtement tombe, et dans le mouvement, ma parure suit le même chemin.
Assis toi dans le fauteuil, ouvre tes jambes et pose les sur les accoudoirs. M’ordonne mon seigneur.
Il s’agenouille devant moi.
Récit de Pierre
Le compas de ses jambes est grand ouvert, je pose mes mains sur ses genoux, puis je remonte sur ses cuisses gainées de nylon. Quand je dépasse la lisière des bas, pour caresser la peau blanche, un petit gémissement d’aise me répond. Je lève mon regard. Par un curieux geste de pudeur, ma sultane a posé son avant-bras sur ses yeux et s’est aveuglée.
L’écartement des cuisses de ma belle présente son sexe légèrement entrebâillé. Ses nymphes dépassent à peine de ses grandes lèvres.
Je m’aide de ses anneaux pour ouvrir son minou, dévoilant son bouton et son Néfertiti.
Sa respiration s’amplifie. J’ouvre le bijou en faisant basculer vers l’avant la grande fourche.
Je positionne le petit U au-dessus de son clitoris, je maintiens doucement les petites lèvres l’une contre l’autre, et je fais glisser les deux branches vers le bas.
Le bourgeon et les deux lamelles de chair sont serrés dans le bijou. Je décalotte le petit organe, et je déploie les petites lèvres sur les deux branches de métal.
Je rabats le grand U sur le petit. Le résultat est saisissant. Les deux nymphes nacrées sont serrées l’une contre l’autre mais le capuchon du clitoris est repoussé en arrière, laissant le petit bouton décalotté et exposé.
C’est déjà fini ?
Oui ma beauté, je viens de le poser.
Je peux voir.
Bien sûr.
Elle se redresse,
Je ne vois rien, mon gros ventre me cache tout.
Tu n’es pas grosse, tu es seulement épanouie.
Tu n’es qu’un vil menteur. Passe-moi le miroir de poche, dans mon sac, s’il te plait.
Aussitôt dit, aussitôt fait, ma chérie examine sa minette. Un soupçon de rouge lui monte aux joues.
Passe-moi ma culotte, mon chaton.
Je lui tends, elle se retourne.
Comme dans un strip-tease à l’envers, elle fait remonter son linge sur ses cuisses et sur ses fesses. Et juste avant de couvrir sa croupe, elle donne un petit coup de valseur à gauche puis à droite, tout en laissant échapper un curieux petit soupir.
Puis elle se penche en avant pour attraper sa jupe. Toujours en ondulant, pour emballer sa croupe, elle tourne son visage vers moi et m’envoie un baiser muet.
Ca y est, je suis prête, on y va, fait-elle en m’attrapant par le bras.
Le début du repas est très gai, et Hélène se montre aussi pétillante que le champagne que nous avons commandé. Mais parfois son souffle s’accélère, son regard se fige, et son visage rougit. Elle fait sauter le deuxième bouton de son corsage, m’offrant un intéressant panorama sur son plantureux décolleté
Ça ne va pas ma chérie.
Mon bouton, il est à nu, et parfois il frotte sur la dentelle de ma culotte. Je suis à la limite de la jouissance.
Tu n’as qu’à l’enlever.
Ma compagne se lève.
Mais où vas-tu ?
Aux toilettes, pour me changer !
Pas question.
Tu veux que je le fasse ici, dans la salle ?
Oui, tu l’as bien fait la première fois.
Mais ma jupe est terriblement serrée.
Tant mieux, une fois ta culotte envolée, il n’y aura plus de marques.
Je réfléchis quelques instants. Le serveur vient d’enlever les assiettes des entrées.
La grande nappe me cache. Je suis assise sur la banquette, et je vois toute la salle.
Allez, je me décide, je glisse mes mains sous la table et je saisis l’ourlet de la jupe et je la remonte. Je dois un peu gigoter des hanches au niveau du passage du haut des cuisses, mais mon vêtement est maintenant roulé autour de ma taille.
Le serveur revient avec nos assiettes. Il dépose le dos de saumon devant Pierre, puis ma sole devant moi.
Madame, désirez-vous que le vous la prépare.
En moi-même, je pense, « Toi, mon petit vieux, tu t’es déjà rincé l’il en me servant le vin, et tu veux un deuxième service ». Puis, une fois les filets levés, il s’éloigne Je peux passer à la deuxième partie de l’opération, qui n’est pas facile, car je porte la culotte italienne qui monte au-dessus de la taille. Je me trémousse en tirant le tissu, tout en me soulevant légèrement pour la faire glisser.
Enfin mon linge est sur mes cuisses, j’ai le cul nu à même la banquette. Je vais pour me relever et me rajuster quand mon chéri m’arrête.
Non, je veux tes fesses à même le cuir.
Mais ma jupe.
Tu te rajusteras en te levant.
Je me rassois, et je fais passer mes genoux à ma lingerie. Je vais me baisser pour la récupérer quand le garçon revient vers nous pour resservir du vin. Il doit avoir un point de vue imprenable sur ma poitrine, ce qui n’est pas étranger à sa sollicitude.
Pendant qu’il remplit nos verres à nouveau, je sens ma culotte glisser sur mes genoux et mes mollets.
Je lève ma jambe gauche pour l’empêcher d’aller plus loin, mais mon geste est trop brusque, je ne sens plus le tissu sur ma cheville.
Le serveur repart vers d’autres tables. Je chuchote à mon compagnon
Chéri, je l’ai perdue.
Perdue quoi ?
Ma culotte, elle a glissé.
On la laisse, ça fera un souvenir.
Ah non, pas à ce mateur obsédé. Et puis cet ensemble est le premier cadeau que tu m’ais offert. S’il te plait, ramasse-la.
Mon sultan se penche, puis disparait sous la nappe. Je ne peux laisser passer l’occasion, j’ouvre mon compas en grand. Au fond, il mérite une petite récompense. Je resserre mes cuisses, puis je les écarte à nouveau. Mon chéri, je vais te chauffer un peu.
Il réapparait, un peu de rouge aux joues.
Tu l’as ?
Madame, Monsieur, je peux desservir ? Demande le maitre d’hôtel qui apparait pile au mauvais moment
Tout à fait.
Vous prenez un dessert,
Un café gourmand, et toi Pierre ?
Pareil !
Notre garçon enlève mon assiette, puis celle de mon coquin.
Et tranquillement, mon aimé pose la pièce de tissu rouge sur la table, et la lisse de la paume de la main, puis posément la replie, et la glisse dans la pochette de sa veste.
Le serveur est au bord de l’apoplexie, sa mâchoire tombe de stupéfaction. Quant à moi je dois être pivoine.
Sans compter que mon pervers préféré nous adresse son plus beau sourire ironique.
Vous nous donnerez l’addition avec les desserts, nous sommes pressés
Nous expédions la fin du repas, sous les regards allumés du personnel. Nous regagnons notre voiture et en route pour notre foyer.
Je me tortille sur le siège, en me frottant les cuisses l’une contre l’autre. Puis je me soulève légèrement pour remonter ma jupe.
Qu’est-ce que tu fais, ma Chérie.
Je m’en peux plus, il faut que je me caresse.
Je te l’interdit.
Mais, mon chat.
Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de toi.
Et au lieu de tourner à gauche pour rentrer à la maison, il continue tout droit dans la forêt. Puis il s’engage dans un chemin dans le sous-bois. Une barrière nous arrête, et il gare l’Evoque dans un petit parking.
Il contourne le quatre-quatre , fouille dans le coffre et vient m’ouvrir la porte.
Hélène, descend, va dans le faisceau des phares et enlève ta robe.
Je me place dans la lumière et je me déshabille en roulant du cul, comme une strip-teaseuse. Je dépose mon vêtement sur le capot, et je ne peux m’empêcher de diriger mon index sur mon sexe. J’ai l’impression que mon clitoris a doublé de volume. Même pendant mes séances de caresses solitaires, avant de rencontrer mon prince charmant, je ne l’avais jamais senti aussi congestionné, et d’une telle sensibilité.
Je vais commencer à me branler quand la main mon seigneur m’arrête.
Viens
Nous marchons côte à côte, mon cul roulant en liberté.
Le sol est dur, mes talons ne s’enfoncent pas, j’ai pris mon sultan par la hanche, il a posé sa main sur mon royal popotin, un doigt se glisse entre mes deux fesses.
Je sens la caresse de l’air frais du soir sur mon bouton. Cette exposition intime me donne l’impression d’être plus nue que nue.
Voilà ce que je cherchais, fait-il en désignant un jeune plant, d’environ vingt centimètres de diamètre à l’écorce lisse, et légèrement incliné.
Il s’est muni de ce que j’appelle la trousse d’urgence, il en sort un paquet de cordes, je lui tends mes mains.
Une fois liée, il ouvre ma veste, puis déboutonne mon chemisier. Avec son mouchoir, il époussette le tronc, puis tendrement, il me pousse tout contre.
Il lance un regard circulaire autour de lui, sort son canif, et coupe une belle branche, souple, et la débarrasse de ses rameaux.
Devant moi, il l’essaye en la frappant dans sa paume, avec un sourire froid.
J’appréhende et je souhaite en même temps le début de mon supplice.
Il me plaque sur le tronc, et m’attache face à l’arbre. Il tend mes bras vers le haut et noue la corde, en m’étirant sur le fut, mon clitoris exposé touche le bois, je me retiens de me frotter.
Il s’agenouille, et attache mes chevilles de part et d’autre de la souche. Il se redresse, et extrait ma poitrine de mon soutien-gorge. Mes pointes sont déjà érigées, il sort de sa poche, une paire de pinces finement dentées. Il en crochète une sur mon mamelon gauche, il serre lentement les deux mâchoires. Les dents ne percent pas ma peau mais s’y incrustent. Cette sensation est à peine douloureuse.
Il les serre progressivement, puis il soulève la chaine qui les relie. Mes seins sont ainsi pendus par mes mamelons.
Je plante mon regard dans le sien, et j’articule
Chéri, et le bâillon.
Ici, mon amour, il n’y a que les cerfs qui t’entendront crier.
Tu ne vas pas me faire du mal.
Non, je vais seulement être très cruel, ma caille
Je ferme les yeux, attendant le premier coup de badine.
Rien.
Pour marquer mon impatience, je fais rouler mon cul.
Puis une douce caresse, sur mes fesses, comme un plumeau, suivie d’une sensation de picotement de plus en plus intense. D’un coup, je comprends. Des orties. Pierre est en train de me peindre le croupion avec des orties.
Puis je sens comme plumeau sur ma poitrine. Je vois les petites feuilles au contact de mes mamelons étirés.
La démangeaison s’étend à mes aréoles, je distingue les petites cloques qui se forment.
Les parties les plus sensibles de mon corps s’enflamment.
J’essaie de me débattre, mais je ne peux que me cambrer contre l’écorce, frottant mon bouton congestionné. D’un côté, les ondes de plaisir, de l’autre cette douleur urticante
Je n’en peux plus, il faut que je me gratte.
Je me recule de quelques pas. Ma belle agite son croupion, il doit lui cuire.
Son agitation désordonnée la jette contre le tronc sur lequel son bouton doit frotter.
Sous son excitation, elle se rejette en arrière, étirant ses pointes enchainées.
Elle ondule entre plaisir et douleur. Puis probablement épuisée, ses mouvements se calment. Je me rapproche.
Dans un souffle, elle chuchote.
Chéri, fouette-moi ! Mon cul me brule Dit-elle en espérant que la flagellation soulagera sa démangeaison.
Je n’en peux plus. Mon clitoris et mes pointes me lancent.
La première cinglée arrive comme une délivrance. Là où la branche a frappé, je ne sens plus l’irritation du poison sur ma peau.
Encore !
Mon seigneur répond à ma demande, je me cabre sous la fouettée, étirant mes tétons. Mais, l’effet irritant cesse. Je quémande un autre coup.
Méthodiquement, mon bourreau traite mon cul pour le recouvrir d’une résille rouge.
A chaque cinglée, mon bourgeon frotte sur l’écorce.
Tout se mélange, l’excitation de mon bourgeon, la démangeaison de mes seins, la cuisson de mon cul. Je m’épuise en me débattant.
Les mouvements désordonnés de ma belle se ralentissent, elle doit être épuisée.
Je glisse ma main entre ses cuisses, elle est trempée. J’efflore son clito. Elle sursaute, tirant sur la chaine reliant ses deux pointes. Son hurlement résonne dans la forêt.
Pierre ! Je n’en peux plus, prends moi vite. Par derrière !
Ses deux pouces écartent mes fesses. Il me lubrifie avec ma liqueur intime. Puis son gland se présente à la porte de service. Il pousse, mais surprise, mon illet ne s’ouvre pas.
Il ne montre pas sa disponibilité habituelle. Je me sens frustrée, mon trou du cul va-t-il me priver de ma jouissance. Pierre, sentant sa résistance, et toujours respectueux de mon plaisir, se retire, légèrement.
Mon amour, force-moi, je te veux.
Je sens une langue étaler la salive sur mon oignon, puis la pression du priape de mon homme. Je me jette en arrière au moment où il s’élance.
Ma rosette cède sous ce double effort, une brève brulure accompagne ce passage en force. J’ai mal, mais mon seigneur est en moi, jusqu’au fond. Nous marquons un arrêt. Pendant que sa main gauche me tient la hanche, sa droite fouille dans mon chemisier, passe sous mon sein droit. Il pose l’index et le majeur légèrement à gauche de mon sternum. Je sens la légère pression de ses doigts et je lui renvoie le battement de mon cur. Mes pulsations s’apaisent, je suis si bien.
Bouge, mon chat, encule-moi !
Il entame mon pistonnage, doucement puis de plus en plus énergiquement. Mon muscle circulaire est refoulé dans mon boyau culier, puis étiré vers l’extérieur. Je retrouve le bonheur d’être envahie, dilatée par le beau membre de mon seigneur.
Les images mentales de ma sodomie, mêlées à celles de mon supplice se mélangent à la chaleur qui monte de mes fesses fouettées.
Mon clitoris à nu percute en cadence le tronc qui me supporte. A chaque coup, une décharge électrique me parcoure
Mon plaisir et ma douleur se percutent. J’explose. Mes jambes me lâchent.
Plus rien !
Pierre me soutient. Je ne suis plus liée à l’arbre, ma poitrine est libérée des pinces, elle me titille doucement. Il me porte à la voiture. Il m’assoit et laisse la portière ouverte. Il s’agenouille devant ma minette, et libère mes lèvres et mon bouton. Je le relève, l’attire contre moi, et l’enlace. Ma bouche dans son cou, je lui murmure.
Rentrons à la maison, et dans notre lit, tu me feras l’amour à la papa
Epilogue.
La réunion budget vient de finir. J’en ai plein le dos, encore deux de discussion pour rien.
Je rentre dans mon bureau, et je repose mon PC portable sur la station de travail.
Je consulte mécaniquement ma messagerie. Tiens un courriel de la messagerie professionnelle d’Hélène. Pas de sujet, pas de texte, juste une pièce jointe. Je clique.
C’est une vidéo.
Elle commence par un plan fixe du bureau de la mercerie de ma belle.
Puis elle entre dans le champ, et sourit à la caméra.
Bonjour mon chéri. Je pense très fort à toi…
Elle est vêtue d’une jolie robe en mousseline jaune, descendant à mi mollet. Elle se retourne, se penche en avant, tourne son visage vers moi et me fait un clin d’il. Elle attrape sa jupe et la remonte doucement, dévoilant ses jambes gainées de nylon, puis ses cuisses charnues, elle continue au-dessus de la lisière des bas, découvrant sa peau blanche et enfin ses fesses opulentes, moulées dans une culotte de dentelle. Elle glisse ses pouces dans l’élastique de sa parure et la fait descendre.
Malheureusement pour moi, le tissu de son vêtement accompagne le mouvement, et me cache son fessier en liberté. Une fois arrivée sous le genou, elle laisse tomber sa lingerie sur ses chevilles et s’en débarrasse en l’envoyant valser dans la pièce.
Je cours fermer la porte de mon bureau au verrou.
Quand je reviens, elle est assise dans son fauteuil. Elle se soulève légèrement et remonte la corolle de sa jupe jusqu’à la taille. Je distingue clairement son ticket de métro.
Elle avance son bassin vers le rebord du siège, et pose ses mollets sur les accoudoirs, dévoilant son sexe annelé.
J’ai une vue imprenable sur son orchidée, mais aussi sur son bijou anal. Elle se saisit de ses anneaux et les écarte, ouvrant sa chatte.
Sa main droite quitte le cadre de la caméra, puis revient, tenant le byzantin.
Elle pince ses nymphes et guide le petit U autour de son bouton de plaisir et de ses petites lèvres, elle les replie sur les branches de métal, en décalottant son petit organe.
Elle rabat la grande fourche, et la verrouille.
Une petite caresse du bout du doigt, un soupir et sa droite disparait de ma vision.
Elle revient, tenant une petite feuille verte, elle effleure son bourgeon exposé puis la dépose dessus.
Ecran noir, la vidéo est finie.
J’attrape mon portable, je pianote frénétiquement
– Orties.
La réponse apparait presque instantanément.
– Non, feuille de menthe. Les orties t’attendent, ne les laisse pas se faner