Le lendemain Alain, Patrice et Michel se tenaient autour de l’ordinateur de Sylvain ; la bite bandée de désir ils regardaient leur copain se faire Martine .
Ils se branlaient vigoureusement en visionnant les images lubriques qui défilaient sur l’écran de l’ordinateur.
Ils enviaient tous Sylvain en le voyant, mains posées sur les hanches de la somptueuse quinqua, baiser la mère de leur copain Bruno comme une salope, la traitant de pute et lui répétant qu’il la baisait comme une truie.
Ils s’imaginaient tous à la place de Sylvain alors qu’ils le voyaient peloter énergiquement les grosses mamelles et la croupe opulente de la ravissante et chaude quinquagénaire.
— "Bordel c’est vraiment un coup extraordinaire! …." s’esclaffa Alain admiratif.
Madame Bertier grimaçait sous l’emprise de la jouissance sexuelle alors que son jeune "amant" s’enfonçait de plus en plus profondément dans son intimité accueillante.
La pièce résonnait de ses grognements et de ses vagissements, son opulente poitrine se soulevait au rythme effréné des coups de boutoir de son suborneur, des clapotis vocatifs émanaient de sa grotte embrasée.
— "Aaaaaaaaaargh….. "miaulait-elle suavement alors que Sylvain continuait imperturbablement à l’embrocher.
Ses grands yeux verts étaient écarquillés bien que légèrement vitreux, seul témoignage visible de son état de sidération.
Sa jouissance était imminente elle haletait sous les coups de boutoir désordonnés de son amant.
— "Vous adorez vous faire sauter par de grosses bites , n’est ce pas madame Bertier? …." souffla Sylvain ironiquement.
Martine vagit sourdement, sous l’emprise de l’imminence d’un orgasme dévastateur.
— "Tu serais ravie d’avoir quatre ou cinq grosses bites à ta disposition n’est ce pas ma salope? …" ajoutait-il en jubilant, adoptant un tutoiement traduisant bien son emprise sur sa proie vaincue.
— "Ohhhhhh… " gémissait sa victime éperdue de plaisir.
— "Et tu n’en peux plus d’attendre de jouir n’est ce pas ma petite pute! …."
Ils avaient les yeux rivés sur leur pote et la savoureuse quinqua qui jouissaient sur l’écran en grognant des sons inarticulés :
— "Ohhhhhhhhhhh….." gémissait la somptueuse femme alors que leurs deux corps enlacés se tortillaient sur le lit.
Patrice sentait son plaisir monter à la vue de ces deux amants jouissant de concerts.
Ils les virent reprendre leurs esprits alors qu’ils continuaient à grogner et gémir le temps que reflue l’orgasme qui venait de les terrasser.
Lorsqu’il sortit sa bite amollie de la chatte les clapotis émanant de sa chatte démontraient clairement sa satisfaction de s’être fait baiser de si vigoureuse façon.
Michel, le directeur du restaurant demanda alors à Sylvain :
— "Quand viendra notre tour de baiser cette salope? …… Elle parait vraiment chaude! … Un sacré coup! …."
— "Bientôt mon ami, bientôt….." répondit Sylvain souriant " Il me reste encore quelques détails à régler, avant de vous la repasser! …. Mais crois moi elle savourera toutes les bites qui vont l’enfiler! ….."
De retour dans sa suite, Martine se tourna et se retourna dans son lit toute la nuit, se refusant à croire ce qui venait de se passer avec Sylvain.
Fort heureusement Philippe dormait profondément lorsqu’elle se coucha et elle prit toutes les précautions pour ne pas le réveiller ce qui lui évitait toute explication foireuse.
Elle s’était glissée silencieusement dans la salle de bain et s’était débarrassée de ses vêtements tout en se regardant dans le miroir, son corps était rouge ce qui suggérait qu’elle s’était fait baiser longuement.
Elle soupçonnait que le jeune homme l’avait droguée, mais elle ne comprenait pas comment il s’y était pris.
Une chose était certaine, la meurtrissure entre ses cuisses et le flot de foutre qui s’écoulait de sa chatte lui confirmait que ce jeune homme de l’âge de son fils l’avait copieusement baisée.
Martine, incrédule secoua sa tête cherchant à remettre de l’ordre dans ses pensées.
Martine s’habilla en debut d’après-midi, elle se fit coiffer, manucurer et maquiller.
En revenant à sa chambre, elle sentit le regard appréciateur de certains hommes explorer ses charmes, ils avaient tous entre 40 et 50 ans, ils la reluquaient sans aucune gêne.
Elle ferma les yeux et les croisa en feignant une certaine indifférence, se disant que sa situation serait bien plus légitime avec un homme de cet âge qu’avec un jeune trou du cul de l’âge de son fils!
Philippe, qui avait une bonne gueule de bois due à l’absorption simultanée de sédatif et d’alcool la veille, ne remarqua pas la gêne de son épouse alors qu’ils se promenaient
Sylvain attendait l’arrivée de madame Bertier
Lorsqu’elle se pointa enfin, il remarqua avec une énorme satisfaction qu’elle détournait son regard à sa vue.
Il afficha alors un large sourire – Martine était honteuse et craignait visiblement ce qui allait arriver – Cela ne pouvait que faciliter ses plans.
Le jeune homme se dirigea vers Philippe et Martine et les salua.
— "Bonjour monsieur et madame Bertier…" puis les yeux braqués sur la sensuelle madame Bertier vêtue d’une très élégante robe bleue qui la moulait étroitement mettant ainsi en valeur ses appâts, il poursuivit :
— "Vous semblez si radieuse que vous allez éclipser la jeune mariée madame Bertier! …."
— "Merci… " balbutia Martine détournant son regard.
Son mari secoua allégrement la main de sylvain en commentant :
— "Ma vieille femme est ravissante aujourd’hui! ….. Lorsqu’on est descendu, c’est incroyable le nombre d’hommes de tous âges qui lui jetaient des coups d’il concupiscents! …."
— "Je n’en doute pas monsieur Bertier…" sourit Sylvain aimablement.
Martine se sentait de plus en plus gênée alors qu’il parcourait d’un regard lascif ses formes avantageuses. Monsieur Bertier ne remarquait rien, il donnait des tapes amicales dans le dos de Sylvain ravi de sentir qu’un jeune puisse trouver sa femme désirable.
— "Venez monsieur Bertier, on va se prendre un verre ……" l’invita le jeune gaillard.
— "Non Philippe… " souffla sourdement Martine alors qu’il cherchait à entraîner son mari vers le bar.
Elle était sûre qu’ils avaient tous deux été drogués la veille au soir.
— "Laisse moi chérie….. Peut-être bien que cela va maider à faire passer cette satanée gueule de bois! …." et avant qu’elle puisse prostester, il saisit le bras de Sylvain et l’entraîna vers le bar.
Le jeune bâtard jeta un oeil railleur sur Martine qui frémissait sous son regard concupiscent, elle se demandait déjà comment allait se dérouler la soirée.
Comme la soirée dansante commençait, Sylvain se posta à coté de Martine.
— "Comment te sens-tu Martine …." la tutoya-t-il brutalement.
— "Et comment devrai-je me sentir? …." soupira Martine.
— "Comment pouvez-vous me faire cela? …."
— Jettes un oeil ma chérie! …" poursuivit-il suavement en lui tendant son téléphone portable.
— "Comment-pouvez vous me faire cela? …" répéta-t-elle encore en prenant machinalement le mobile en main.
Elle avala sa salive et haleta en voyant des images d’elle s’afficher clairement sur l’écran du téléphone, des images la représentant en train de se faire baiser dans diverses positions! …..
Même si elle ne se rappelait pas avoir baisé avec Sylvain, la vidéo la montrait clairement se faisant tringler par lui.
Et, de plus, à la vue du sourire qui illuminait son visage, elle semblait y prendre grand plaisir.
Outrée, Martine regardait Sylvain avec haine.
— "Espece de salaud!"
— "tu ne disais pas ça cette nuit! …." rigola-t-il ironiquement.
— "J’étais droguée….. Sinon jamais je n’aurai… "
— "Je m’en fous…" rétorqua vivement Sylvain
— "Tu tiens la preuve que tu te démenais avec énergie sur ma grosse bite hier soir et que tu aimais cela ma chérie! …."
Martine sentait son estomac se soulever.
— "Que voulez-vous de moi? …." soupira-t-elle défaite.
— "Toi ma chérie… Juste toi! …."
— "Je suis marié, et je suis fidèle à mon époux….." répliqua Martine d’une voix tremblante de fureur.
— "J’entends bien ne jamais devenir le jouet sexuel de qui que ce soit! ….."
Sylvain jeta un oeil sur l’écran du téléphone que Martine avait toujours en main, puis il prit lentement sa main dans la sienne.
Soudain il serra brutalement sa main, elle grogna de douleur.
Lorsqu’elle leva le regard sur lui elle ne vit que de la froideur et de la détermination dans son regard.
— "Ecoutes-moi bien " lui chuchota-t-il à l’oreille
— "Le reste du temps que tu dois passer ici tu feras exactement ce que je veux…… Sinon, je mets ces photos sur un site Internet ; tout le monde pourra te voir baiser avec un jeune de l’âge de ton fils! …."
Martine se mit à trembler de peur.
— "Vous ne feriez pas ça Sylvain… "
— "Tu paries ?" lui dit-il doucement en se tournant vers Philippe qui se trouvait au bar.
Martine agrippa son bras.
— "Non…" murmura-t-elle affolée
— "Je vous en prie ne faites pas ça….. Mon mari… Mes enfants…"
— " Tu ne veux pas quils sachent." compléta ironiquement Sylvain avec jubilation.
— "J’ai des responsabilités de femme mariée et de mère, et mon mari se trouve ici, avec moi! ….." tenta-t-elle de le freiner en retenant ses larmes.
— "Ce soir, à l’issue de la réception, lorsque tout le monde aura rejoint son lit ou la salle de danse, je te veux dans ma chambre! …. Ton mari sera saoul et ne réalisera même pas à quelle heure tu le rejoindras dans votre lit! …."
Martine était impuissante, et elle le savait.
Cette saloperie de bande vidéo ne devait jamais voir la lumière du jour.
Elle avait lutté, mais ce jeune salaud lui souriait triomphalement, et elle savait qu’elle devrait se plier à toutes ses perversions.
— "Me promettez-vous que personne d’autre ne verra cette bande vidéo si je fais ce que vous voulez? …" pleurnicha-t-elle.
— "Absolument…" rétorqua Sylvain souriant à pleines dents.
Pendant toute la soirée, Martine avait senti les yeux de Sylvain ramper sur ses charmes, et, quand elle croisait son regard, il lui souriait diaboliquement.
Elle connaissait ce regard – c’était celui d’un prédateur qui tenait sa proie sous son emprise! …..
et elle savait très bien ce qui l’attendait par la suite.
Pour l’instant elle se démenait pour tenir son rôle de mère de la mariée, faisant le tour des tables, veillant à ce que ses hôtes soient pleinement satisfaits, les remerciant d’être venus…….
Sylvain l’observait attentivement alors que de nombreux invités la complimentaient pour sa tenue et son élégance.
Sa robe la moulait parfaitement mettant en valeur sa taille mince et ses fesses bien rondes, accentuant toutes ses voluptueuses courbes à vrai dire.
La profondeur de son décolleté permettait de constater la fermeté de sa poitrine.
Elle portait de très élégants hauts talons qui allongeaient ses jambes, comme si besoin en était, et sa longue chevelure blonde cascadait sur ses épaules alors qu’une épaisse frange lui mangeait le front.
Le son d’un slow retentit soudain, les invités se pressèrent alors vers la piste de danse, Sylvain s’approcha alors de Martine et lui susurra :
— "Me ferez-vous l’honneur de cette danse madame Bertier? ……"
Sylvain le regarda droit dans les yeux et comprit qu’elle n’avait pas le choix, ce n’était pas une faveur qu’il quémandait mais un ordre qu’il lui adressait.
Abasourdie, elle se laissa entraîner sur la piste où ils commencèrent à danser, elle sentait clairement la grosse bosse que faisait son membre viril pressée contre son intimité, elle savait que le jeune homme était fortement excité et qu’il avait planifié la soirée de façon à satisfaire ses appétits lubriques cette nuit même.
— "Je voulais juste te prévenir ma salope…… On va ramener ton époux dans votre chambre! ….. Il va dormir jusqu’à demain matin, il ne se réveillera que vers midi, aussi te serai-je reconnaissante de prévenir vos hôtes qu’il est parti se reposer! …."
Martine jeta un oeil vers le bar et y vit Alain aidant son mari qui chancelait à quitter la salle, vraisemblablement il l’escortait jusqu’aux étages.
Elle fixa Sylvain et commenta d’une voix sourde :
— "Vous avez demandé à Alain de l’enivrer, vous n’êtes qu’une ordure! …."
Il était évident qu’elle était furieuse.
— "Non, chère madame Bertier… " précisa railleusement Sylvain "Je lui ai juste demandé de garder un oeil sur ton mari parce qu’il avait tendance à s’enivrer… J’ai pris soin d’épicer ses verres alors que tu te préoccupais de tes hôtes….. On va pouvoir disposer de la nuit entière! …."
Alors que sa bite continuait à se déployer, il se pencha à son oreille et lui murmura :
— "Bientôt ma petite chérie, on va bientôt baiser! …."
La danse se terminant, il la libéra gentiment et rejoignit la foule des fêtards, laissant une femme ahurie, totalement désarmée par ses exigences.
La réception prit fin vers 23 heures, les invités commencèrent à regagner leurs chambres. Martine avait évité de regarder en direction de Sylvain pendant toute la soirée, elle le cherchait maintenant des yeux.
Lorsqu’elle tourna la tête elle le vit soudain assis sur une chaise à une dizaine de mètres d’elle, il avait les yeux braqués sur elle.
Il lui fit un signe de la tête. Elle savait pertinemment ce que ce signe de la tête entendait, elle devait gagner l’étage.
Prétextant la fatigue, Martine s’excusa auprès de ses hôtes et, le cur lourd elle gagna l’étage se dirigeant vers la chambre de Sylvain.
Arrivée devant la porte elle rassembla son courage et toqua légèrement.
— "C’est ouvert! …" dit une grosse voix provenant de l’intérieur.
Elle pénétra dans la chambre en hésitant, sa robe bruissant à chaque pas alors qu’elle glissait silencieusement sur la moquette.
Jetant un coup d’il circulaire, elle vit Sylvain assis sur un confortable fauteuil face à elle, il ne portait plus que son caleçon.
— "Assieds-toi…" lui dit le petit salaud tapotant le lit.
Alors qu’elle s’asseyait, il saisit la caméra posée sur la table et lui intima :
— "Croise les jambes ma chérie! …."
— "Non… Sylvain, je ne veux pas! …. "
— "Je ne te demande pas ton avis salope, allez croise les jambes et grouille-toi! …." rétorqua-t-il d’une voix menaçante.
Elle s’exécuta lentement, il prit rapidement quelques clichés.
— "Et maintenant remonte ta jupe… "
— "Sylvain… " voulut-elle le supplier, mais il la coupa lui enjoignant rudement :
— "Obéis! …"
Lentement elle retroussa sa jupe exposant ses cuisses gainées de bas clairs auto-fixant.
Sylvain claqua des doigts
— "Un peu plus encore! …. Comme ça, t’es une bonne fille" admit-il en contemplant les délicieuses cuisses de la savoureuse quinqua.
Martine observait avec anxiété la grosse bosse qui tendait le devant du caleçon de son tourmenteur.
La pensée de devoir coucher avec un jeune de l’âge de son fils la choquait! ….
Toujours assis, jambes grandes écartées il examinait Martine .
— "A poil ma chérie! ….." lui intima-t-il rudement.
— "S’il te plait Sylvain….. Ne….." commença Martine.
— "A poil! …. Je ne me répéterais pas! ….." la coupa-t-il autoritairement.
Elle détourna les yeux, elle était piégée dans une situation des plus dégradantes.
Elle était en pleine confusion, la voix autoritaire de son maître-chanteur ne lui laissait guère de choix, la menace était sous-jacente.
Dans l’intérêt de son mari…
Dans l’intérêt de ses enfants……
Ils ne devaient jamais apprendre ce qui s’était passé pendant le mariage! …..
— "A poil! …" répéta à nouveau Sylvain d’une voix de plus en plus sèche.
Elle resta figée un instant, la tête traversée de pensées contradictoires, cherchant vainement une solution pour sortir indemne de ce traquenard, tout en sachant qu’en fait, elle n’avait plus vraiment le choix.
Tremblant comme une feuille elle tendit la main dans son dos et trouva l’agrafe de sa robe, elle descendit lentement la fermeture éclair dorsale, sa robe glissa sur ses chevilles.
Sylvain contemplait le corps de la quinqua qui lui faisait face vêtue de son soutien-gorge et de son string, sa bite était maintenant totalement déployée, épaisse et bien raide.
Il la regarda fixement et lui dit :
— "Mets-toi à genoux et suce!"
Elle hésita
Il lui jeta un oeil coléreux et répéta d’une voix rude :
— "Je t’ai dit de te mettre à genoux et de me pomper la bite, salope !
Le cur lourd elle s’agenouilla face à lui.
Elle tendit la main et saisissant la ceinture de son caleçon elle le descendit lentement, elle avala sa salive alors que le gaillard se reculait au fond de siège libérant son épaisse colonne de chair.
Sa bite mesurait 20 bons centimètres et pendait lourdement entre ses cuisses musclées, le large gland le surmontant vibrant certainement par anticipation.
Martine n’avait jamais vu un membre masculin aussi gros, le pénis de son mari lui paraissait bien petit en comparaison.
Sylvain comprit que la taille de sa bite fascinait sa proie.
— "Allez ma chérie……. Au boulot !" lui commanda le jeune pervers.
hilare
Elle tendit lentement sa main droite enveloppant la bite dressée entre ses doigts si délicats, sa petite main ne faisait pas le tour de l’épaisse hampe, loin s’en faut.
Yeux fermés, elle inséra le gland épais entre ses lèvres entrouvertes puis elle l’aspira dans la chaleur de sa bouche.
Il grogna à l’instant même ou sa bite frotta contre les lèvres pulpeuses de la mère de Bruno
— "Bordel, t’as l’air d’être une bonne suceuse ma chérie! ….."
La ravissante quinqua ne parvenait pas à absorber en totalité l’épaisse queue, elle n’avait aucune expérience des grosses bites, celle de son mari était de taille modeste et elle n’avait pas sucé d’autre homme depuis 30 ans.
Yeux toujours fermés, elle écoutait les gémissements du jeune homme, elle intensifia ses caresses adoptant un rythme soutenu des va et vient, crispant et décrispant habilement ses lèvres sur l’énorme membre.
Sa bite devenait de plus en plus ferme dans la bouche de sa fellatrice.
"Bordel, chérie grogna Sylvain "on dirait que t’as fait ça toute ta vie! …. On ne m’a jamais sucé aussi bien! …
Martine sentit que sa bite prenait encore de l’ampleur, elle comprit alors qu’il ne tarderait plus à exploser, elle écoutait s’amplifier ses grognements et ses gémissements.
Soudain sa bite se mit à tressauter furieusement entre ses lèvres, il était sur le point d’éjaculer.
Elle voulut reculer sa tête, mais il agrippa une poignée de cheveux et la força à le garder en bouche.
— "Bordel ce que t’es bonne à baiser ma salope!" grogna le pervers , alors qu’il ejaculait, liberant des trainées de foutre dans la bouche de sa fellatrice.
Obligée de choisir, soit avaler son foutre, soit étouffer, elle avala à contre cur le sperme.
Il vivait des instants enivrants. Petit à petit sa grosse bite s’amollissait entre les lèvres de Martine, il se retira de sa bouche , un filet de foutre reliant son méat aux lèvres pulpeuses de sa proie.
Martine avait les yeux rivés au grand champignon qui lui faisait face, elle n’en croyait pas ses yeux, son mari ne parvenait qu’à jouir qu’une fois par nuit et ce jeune homme, dont elle venait de vider les couilles, était déjà prêt à la sauter à nouveau! …….
A sa grande horreur elle réalisait parallèlement que de l’avoir sucé avait provoqué un certain échauffement de sa chatte, en un mot sa foufoune était trempée de cyprine.
Elle était honteuse de constater qu’une fellation forcée l’émeuve à tel point.
Sylvain voulait profiter de sa nature hautement sensuelle pour en faire sa petite pute personnelle. Il se redressa et emmena son esclave vers le lit la positionnant à quatre patte.
Il se saisit de la caméra et prit plusieurs clichés de la mère de son meilleur ami dans cette posture de soumission.
Sa bite reprit rapidement de la vigueur à la vue du spectacle hautement érotique qui se déroulait sous ses yeux, il sut tout de suite qu’il voulait aller bien plus loin.
Se branlant vigoureusement il pointa son gland turgescent sur la fente et se préparant à la fourrer en levrette, il promena son gland entre les levres gonflées lubrifiant son gland avant de s’engouffrer dans sa chatte suffisamment élargie pour l’accueillir aisément.
Un grognement sourd le récompensa de son initiative, la chaude quinqua savait déjà que son corps ne tarderait pas à exulter une nouvelle fois.
Il se mit alors à la pilonner comme un fou, ses nibards se balançaient au gré de ses coups de boutoir. Les mains sur ses hanches grasses, il donnait de violents coups de reins, son ventre claquant contre ses fesses.
Martine si prise par cette nouvelle séance de jambes en l’air avec son jeune "amant" qu’elle ne remarqua pas que Michel, Alain et Patrice se glissaient discrètement dans la chambre.
Leurs queues se déployèrent instantanément à la vue de la somptueuse quinqua se faisant baiser avec passion par leur pote, se comportant comme une fieffée salope! …..
Sylvain alerté par le bruit de la porte qui se refermait, leva les yeux sur eux et leur sourit à pleines dents.
— "Merci de venir m’assister les gars! ….. C’est une véritable machine à baiser! ….. Elle est en train de me vider les couilles, elle aura besoin d’autres paires de couilles pour la satisfaire pleinement! …."
Ouvrant ses yeux Martine vit les trois jeunes hommes postés devant elle, ils se branlaient avec fièvre.
Elle ouvrit la bouche pour se plaindre, mais un orgasme inattendu la terrassa à cet instant même et elle hurla sa jouissance, elle savait que ce n’était que la première vague de la marée d’orgasmes qui allait la submerger.
A suivre