Le soir venu, Jenny passe me chercher chez moi. Elle est vêtue d’une sublime robe noire moulante dos nu très courte et je peux voir ses tétons pointer à travers le tissu. Je ne résiste pas à l’envie de passer ma main sous sa robe pour constater qu’elle n’a pas mis de culotte. Je crève d’envie de la baiser, là, maintenant, mais elle coupe court à mes idées salaces et me pousse à patienter encore un petit moment. Elle n’a pas tort, je vais avoir besoin de toute mon énergie ce soir. Malgré tout, je ne me gêne pas pour aller la caresser pendant qu’elle conduit (je sais, c’est pas prudent !!), commençant à visiter tranquillement son petit minou, déjà assez humide pour y accueillir sans coup férir tout pieu bien raide qui voudrait y pénétrer.
Nous arrivons devant chez Shama et celle-ci est à l’heure, elle attend à côté de l’entrée de son immeuble. Impossible de voir comment elle est habillée vu qu’elle porte un long manteau. Elle s’approche de la voiture et avant qu’elle ne monte, j’exige qu’elle nous montre sa tenue.
— Mais… On risque de me voir…, balbutie-t-elle ;
— Je m’en bats les couilles, enlève ce manteau que je vois si tes fringues correspondent à ce qu’on attend !
— Bien Maître…
Lentement, elle ouvre son vêtement et le retire entièrement. Elle porte un mini short rouge pétant déchiré sur les côtés, moulant parfaitement sa belle chatte dodue dont on devine les contours au travers du tissu. En haut, elle porte un crop top blanc, épaules nues, enserrant sa voluptueuse poitrine qui semble sur le point de déchirer le tissu et dont on peut distinguer en transparence les aréoles et les tétons sombres. Je lui fais signe de se tourner ; son short peine à couvrir ses grosses fesses dont le bas déborde allègrement. On peut aussi voir que son meilleur ami le plug est bien en place, le bout de ce dernier se dessinant aussi au travers du vêtement. Elle porte des bottes jambières noires vernies, ce qui achève parfaitement cet ensemble que ne renierait pas une péripatéticienne confirmée, chose que ne manque pas de relever Jenny.
— Wahou, là tu ressembles vraiment à une putain prête à aller faire le trottoir !! dit Jenny, bavant tout comme moi devant le portrait qui nous fait face ;
— Merci Maîtresse, répond Shama avec un petit sourire en coin;
— Allez, grimpe pétasse !! Lui dis-je.
Je descends pour aller me placer derrière, à côté d’elle.
— Pffff, c’est pas du jeu !! râle Jenny, obligée de rester derrière son volant.
Rapidement, je ne résiste pas à l’envie d’enfin sortir ma queue qui est péniblement engoncée dans mon boxer depuis que j’ai eu envie de sauter Jenny tout à l’heure, et d’admirer Shama dans sa tenue n’a pas du tout arrangé les choses, bien au contraire !! Je l’attrape par le cou et la ramène vers ma bite afin qu’elle s’occupe de moi, me gobant d’une traite, sans se faire prier.
— Eeeeeeh, je t’avais dit d’attendre d’être au salon pour ça !! s’écrie Jenny ;
— Oh ça va hein, c’est un avant-goût, j’en pouvais plus de bander comme ça et d’être serré dans mon futal !!
— T’abuse sérieux !! Tu vas voir qu’arrivé au salon, tu vas limer deux coups et tu vas jouir direct !!
Je ne relève pas sa réflexion et me concentre sur la pipe que me prodigue ma grosse suceuse avec beaucoup d’enthousiasme, gémissant en lançant de temps à autre des mots de contentement. Jenny jette de nombreux regards dans le rétroviseur, se mordillant et se léchant les lèvres.
— Regarde la route toi, tu vas finir par nous planter ! Lui dis-je entre deux gémissements ;
— Ben tant pis pour toi si ça arrive, ça sera de ta faute !! T’aurais l’air malin devant les pompiers avec la bite à l’air !!
— Tu parles, avec le morceau qu’il y a à côté de moi, ils ne me verront même pas !!
— T’as pas tort… T’aimerais te faire baiser par tout un bataillon de pompiers, hein salope ? Demande Jenny à Shama ;
— Oui Maîtresse, j’en rêve, répond-elle en s’occupant toujours de moi.
Shama continue à me sucer pendant que je passe ma main sur son mini short pour arriver à son plug que je commence à remuer vigoureusement, ce qui lui arrache des gémissements d’approbation, mon gland coincé entre ses lèvres.
— Hmmmmm, oui, c’est trop bon, continuez Maître !!! me dit-elle entre deux gorges profondes.
Au bout d’un moment que je trouve bien trop court, Jenny me lance :
— Allez, range ta queue toi, on arrive !!
À contrecur, je m’exécute et me rebraille en galérant pour remettre mon sexe raide à souhait dans la position la moins inconfortable possible pendant que Shama se redresse, passant ses doigts sur ses lèvres pour se les lécher.
Jenny se gare juste en face du salon et nous descendons tous les trois de voiture. Nous parcourons le même chemin que d’habitude jusqu’à arriver à l’accueil dans lequel Denise et un homme nous attendent.
Denise est vêtue d’une robe tout aussi moulante que Jenny, à ceci près qu’elle porte des sous-vêtements dont le soutif d’un beau bleu déborde allègrement. Voilà pas mal de temps que je ne l’avais pas vu aussi sexy et ça ne manque pas de me rappeler les bons moments que j’ai pu passer avec. Elle vient me saluer en me serrant chaudement dans ses bras, n’hésitant pas à appuyer avec insistance sa poitrine sur moi.
— Alors mon beau, comment tu vas ? Ça faisait longtemps !
— Beaucoup trop longtemps oui !! Ça va super merci, et toi ?
— Très bien !! Tiens Florian, laisse-moi te présenter Max, un habitué de nos petites soirées.
Je salue Max d’une poignée de main. C’est un homme d’une trentaine d’années un peu plus petit que moi, cheveux courts et noirs, rasé de près, plutôt beau gosse, genre métrosexuel. Il est habillé très simplement, tout comme moi, sauf que son pantalon et sa chemise sont très moulants, son haut ayant un aspect brillant plutôt classe.
— Aaaaaah, alors voilà donc la fameuse Shama !! Dit Denise en s’approchant de cette dernière ;
— Oui, mais inutile de l’appeler par son prénom, tu peux te contenter de « salope », elle adore ça ! Dit Jenny ;
— Dis-moi, c’est vrai que tu aimes te faire traiter de salope ma belle ? Lance Denise à Shama ;
— Oui Madame, j’aime beaucoup, mais vous pouvez m’appeler comme il vous plaira ;
— Eh bien, elle est très docile je vois !! Dis donc, elle est sacrément bien gaulée en plus de ça, regardez-moi ces nichons et ce cul… Dit Denise tout en allant faire courir ses doigts sur les formes voluptueuses de Shama ;
— Tu sais Denise, tu n’as pas à rougir de ton côté, je te rassure, lui dis-je tout en commençant, moi aussi, à passer ma main sur sa croupe ;
— Grand charmeur que tu es !! Dit-elle avant de venir m’embrasser, son souffle chaud envahissant ma bouche aussi vite que sa langue.
Jenny, de son côté, est aussi en train d’embrasser Max avec passion, ce dernier relevant en même temps la robe de la miss jusqu’à dévoiler une partie de ses fesses.
Les esprits, déjà très chauds avant ça, commencent à bouillir tant la tension sexuelle ambiante remplit la pièce, et il faut une Denise très persuasive pour nous pousser à bouger avant que l’on ne commence tous à se vautrer dans le stupre. Elle nous amène dans un grand box, bien plus grand que ceux que j’ai pu visiter jusqu’à présent, celui-ci accueillant une table de massage ainsi qu’un large fauteuil de relaxation et une sorte de tapis de yoga étalé au sol, le tout éclairé par une lumière tamisée légèrement orangée. Sur un meuble situé contre le mur trône une multitude de sextoys dont les deux godes ceintures dont m’avait parlé Jenny. On trouve aussi une paire de menottes, une cravache ainsi qu’un pot de ce que je devine être du lubrifiant.
— Dis donc, t’es bien équipée !! Lançai-je à Denise ;
— Et encore, j’ai fait un tri, avant j’en avais bien plus !!
À peine ai-je le temps de parcourir des yeux les différents jouets que déjà, Denise fond vers Shama pour l’embrasser à pleine bouche, cette dernière l’accueillant avec un gémissement lascif venant des profondeurs de sa gorge. Les deux femmes s’enlacent avec éréthisme, faisant courir leurs mains chacune sur le corps de l’autre, Shama empoignant le cul de Denise, passant sous sa robe pour dévoiler un sublime string en dentelle bleu royal. Denise agrippe tout aussi fermement la croupe de Shama, lançant des claques dessus qui ont le don de satisfaire sa propriétaire. Leurs langues se mélangent, s’enroulent, glissent l’une contre l’autre dans une délicieuse danse incroyablement sexy à regarder. Au bout d’un moment, elles finissent par se tourner vers moi pour s’atteler à me déshabiller, Shama s’occupant de déboutonner ma chemise en m’embrassant pendant que Denise fait glisser mon pantalon et mon boxer à mes pieds. En quelques secondes, je me retrouve nu, enlacé par mes deux croqueuses dont les mains prennent simultanément la direction de mon entrejambe à la seconde où celui-ci est à l’air libre, empoignant ma queue qui n’a pas eu loisir de redescendre depuis que l’on était dans la voiture de Jenny.
Tout en les embrassant chacune leur tour, je me fais guider vers le fauteuil sur lequel je finis par m’asseoir. Shama fait tomber la robe de Denise au sol, dévoilant son beau petit ensemble assorti, pendant que Denise s’acharne à faire descendre le mini short rouge ultra moulant de Shama. Pour le haut, elle se contente de le tirer vers le bas, faisant bondir les obus de l’Indienne qui semblent doubler de volume tant ils étaient serrés dans le tissu. Denise ouvre de grands yeux en découvrant la poitrine majestueuse qui lui fait face et elle ne résiste pas longtemps avant de plonger son visage dans ses deux belles et grosses mamelles, les tétant et les malaxant avec acharnement. J’attrape ma queue et commence à me branler en regardant ce sublime tableau se dérouler devant mes yeux. Je tourne le regard et je peux voir à quelques pas de moi Max qui est appuyé contre la table de massage avec Jenny à genoux devant lui en train de déguster sa queue. Elle gobe le membre de son partenaire avec un plaisir que je ne connais que trop bien, son cul à l’air et le bas de sa robe remontée autour de sa taille, elle se caresse la chatte rapidement, se glissant quelques doigts de temps à autre.
Max a les parties parfaitement épilées et sa queue est d’une taille qui doit s’approcher de la mienne à vue d’il. Par contre, son gland est étonnamment gros et dépasse amplement la largeur du reste de sa bite, Jenny gémissant avec insistance en l’enrobant de ses lèvres pour en suivre les contours. Max est aux anges, il admire le travail soigné de Jenny en lui caressant doucement les cheveux, celle-ci le gratifiant de regards que je devine être d’un degré de coquinerie vertigineux.
Je suis tiré de ma contemplation par deux bouches prenant le relais de ma main sur ma queue, Denise et Shama se mettant à me sucer avec gourmandise. Je les regarde faire tout en attrapant la cravache du bout des doigts pour commencer à les fouetter, mettant bien plus d’ardeur à martyriser Shama dont mes coups semblent décupler son envie tant elle gobe toujours plus goulûment ma bite à mesure que je colore de rouge sa peau matte. Les seuls bruits qui planent dans l’air sont ceux des soupirs de satisfaction de Max et moi ainsi que les succions des trois bouches qui s’affairent à transformer les queues présentent en une tige bien baveuse, chose très facile et rapide vu la vigueur avec laquelle toutes ces demoiselles insistent pour prendre le maximum de matière dans leur bouche.
Puis, un gémissement plus intense s’envole, celui de Jenny se faisant prendre en levrette par Max qui ne loupe pas une miette de sa queue qui visite l’intimité de sa maîtresse d’un soir, retirant son sexe pour l’y remettre rapidement. Jenny gémit avec insistance en sentant le gland proéminent de son assaillant la dilater.
Cette scène me donne furieusement envie, moi aussi, de mettre ma queue bien au chaud.
— Alors Mesdames, laquelle d’entre vous veut commencer à se faire baiser ?
— Honneur à la doyenne !! dit Denise tout en se relevant pour enlever ses pièces de lingerie.
Elle actionne ensuite une petite manette sur le côté du fauteuil pour permettre au dossier de s’incliner légèrement, puis vient se placer à califourchon sur moi. Elle caresse sa chatte à l’aide de mon gland, ses lèvres charnues sont déjà bien humides, et elle finit par faire disparaître ma queue en elle dans un long soupir, se mettant à faire délicieusement onduler ses hanches. Je m’occupe de déguster ses seins bien lourds, je kiffe littéralement sa belle poitrine mature.
Les gémissements se font de plus en plus sonores, Jenny augmentant le volume à mesure que Max la pilonne avec force. Shama, de son côté, caresse le cul de Denise ainsi que mes couilles qu’elle vient se mettre à sucer avant que Denise ne lui donne l’ordre de lui lécher l’anus, chose que n’hésite pas une seconde à faire Shama qui plonge bien vite sa langue dans le fondement parfaitement lisse de la quinqua, cette dernière accueillant cette visite à grands renforts de petits cris qui se font de plus en plus sonores et rapprochés alors que je me mets, à l’instar de Max avec Jenny, à la pénétrer plus franchement. Les gémissements et les bruits de claquements de peau emplissent de plus en plus la pièce, accentuant encore l’excitation qui baignent l’endroit.
— J’ai envie d’enculer ta copine, dit Max à Jenny ;
— Vas-y, fais-toi plaisir, elle a le cul pris, hésite pas à faire de la place !!
Max s’approche de Shama qui est toujours occupée à lécher l’anus de Denise, elle-même sautant inlassablement sur ma queue. Max tire sur le plug et le retire.
— Eh bien, elle a l’air accueillante !!
— Oh oui, j’ai fait en sorte qu’elle le soit, pas vrai petite salope, tu veux te faire enculer ?
— Mmmmmm, oui Maîtresse, j’ai envie qu’on me fourre bien profond !! répond Shama entre deux coups de langue.
Jenny suce quelques secondes le sexe de Max puis il présente son gland champignonesque devant l’anus ouvert de Shama et se met à l’enculer, la pénétrant avec une grande facilité, sa queue coulissant en elle sans accroc, provoquant de vifs geignements de Shama. Jenny enfile alors son costume de Maîtresse sadique et se met à malmener le derrière de l’Indienne, la giflant et la griffant sans retenue en même temps que le pieu de Max prend soin d’écarteler cette belle rosette.
Denise finit par se lever de moi, laissant ma queue orpheline, mais pas pour longtemps, Shama me suçant quelques instants avant de prendre la place qu’avait Denise pour se servir de sa chatte comme d’un fourreau pour ma bite. Max se précipite pour remettre la sienne dans le fignard qu’il ramone depuis tout à l’heure, et voilà Shama se faisant prendre en double, Denise, Jenny et Max s’occupant de maltraiter ses fesses et ses cuisses, trois paires de mains s’abattant sans relâche sur cette peau déjà écarlate. De mon côté, je lèche les mamelles à ma disposition, n’hésitant pas à venir presque mordre les tétons gonflés d’excitation. Shama, fidèle à elle-même, hurle sans retenue, se faisant baiser et rudoyer comme elle l’adore.
Après un petit moment à la ramoner, la réalité se rappelle à moi et je sens ma jouissance monter de plus en plus. Difficile de garder l’esprit serein avec le déluge de sensations et de stimulations qui m’inondent depuis que Jenny est arrivée chez moi ce soir. Je retire mon sexe de la chatte brûlante de Shama, laissant tout loisir à Max de continuer à l’enculer. Il est très vigoureux et ne semble pas pour le moins du monde sur le point de jouir. Je me mets à stimuler le clito de Shama, celle-ci, comme à son habitude en pareil cas, hurlant de plus en plus jusqu’à finir par jouir violemment, m’écrasant de tout son poids et inondant mon pubis de sa mouille. Son corps est secoué de tremblements dus à sa jouissance ainsi qu’à la sodomie dont ne cesse de la gratifier Max avec une belle ardeur. Il finit malgré tout par se retirer, Shama se relevant péniblement et libérant ma queue qui, coincée entre ma peau et la sienne, continuait à se faire stimuler, ce qui n’a pas aidé à faire descendre mon niveau d’excitation.
Ma bite est tendue à bloc, parfaitement droite, mon gland regardant le ciel, et pendant que Jenny jette Shama au sol, sur le tapis de yoga, afin de continuer à s’occuper d’elle avec l’aide de Max, Denise vient s’activer sur ma queue, la prenant en bouche délicatement. Elle n’utilise pas ses mains, juste ses lèvres dont elle effleure à peine mon sexe veiné. Je la regarde en soupirant de plus en plus à mesure que l’étreinte de sa bouche se resserre autour de mon dard, puis elle se met à faire des va-et-vient rapides juste sur mon gland, me donnant le coup de grâce et me faisant cracher avec force, remplissant sa bouche de mon offrande liquide. Elle essore bien ma queue, retirant jusqu’à la dernière goutte de sperme de mon gland avant d’avaler le tout d’un trait. Je la regarde avec un air mélangeant satisfaction et embarras d’avoir déjà craqué alors que la soirée ne fait que commencer. Peut-être que Jenny avait raison, j’aurais dû rester tranquille au lieu de me faire pomper par Shama dans la voiture.
Comme si Denise sentait mon léger malaise, elle me dit :
— T’inquiète pas Flo, t’as largement le temps de recharger les batteries, la soirée est loin d’être finie et on a de quoi s’occuper avec les jouets qu’on a à disposition !!
Denise n’a pas tort, la multitude de sextoys est là pour en attester, et comme pour servir d’écho à ce qu’elle a dit, Max finit lui aussi par jouir abondamment sur le cul de Shama qu’il s’était remis à bombarder alors que Denise s’occupait à me faire cracher. Jenny se rue pour lécher le sperme dégoulinant sur le derrière meurtri, allant chercher jusqu’à la moindre goutte pour finir par prendre Max en bouche en guise de cerise sur le gâteau.
La suite des événements prend alors une tout autre tournure. Si jusqu’à présent, c’était une baise somme toute très classique, Shama se met soudain à devenir le centre de l’attention perverse de tout le monde, à commencer par Denise et Jenny qui entourent Shama, toujours au sol en train de se trémousser, appuyée sur son opulente poitrine et son cul rouge en l’air, attendant la suite. Max et moi reprenons nos esprits après ce premier acte et nous sommes aux premières loges pour assister aux préparatifs. Jenny attrape le pot de lubrifiant pour s’en enduire généreusement les mains, puis elle s’agenouille devant Shama et commence à lui enfiler, d’abord quelques doigts dans la chatte, puis rapidement sa main entière, cette dernière coulissant en disloquant l’intimité qu’elle visite. Au même moment, Denise se place, jambes écartées, devant Shama qui s’est mis à hurler et lui agrippe les cheveux pour lui imposer de lui bouffer le clito pendant qu’elle se gode avec un jouet de sa collection. Elle enserre sa tête de ses cuisses, l’empêchant de bouger, coinçant sa bouche contre elle.
Shama a beau pousser des hurlements étouffés, elle semble malgré tout contenter Denise qui est aux anges, gémissant en ondulant ses hanches sous les coups de langue de sa prisonnière. Jenny continue à faire aller et venir sa main, la chatte de Shama se détendant de plus en plus, elle finit par venir lui titiller l’anus, commençant par lui enfiler quelques doigts. L’anus de Shama ayant été plus que préparé, ces doigts y prennent place sans aucune difficulté, et c’est donc tout naturellement que Jenny met en uvre le fantasme qui l’a poussé à obliger Shama à se trimbaler avec un plug dans le cul une semaine durant, à savoir lui caler ses mains à la fois dans la chatte et dans le cul. Et voilà que Jenny a les mains entièrement introduites en Shama, celle-ci accueillant ces intrusions simultanées en gueulant comme un goret. Jenny a un sourire carnassier affiché sur son visage, elle est hypnotisée par ses mains allant et venant à tour de rôle dans les cavités étirées de Shama, de petits bruits de succion humide accompagnant chaque mouvement.
— Ouaiiiiis, putain de salope, tu aimes te faire fister, pas vrai ??
— OUIIIII, OUIIIII, C’EST TROP BON, OUIIIIII, hurle Shama, la tête toujours coincée entre les cuisses de Denise.
Max et moi admirons cette scène, savourant de voir ces trois beautés s’en donner à cur joie.
— La vache, elle encaisse bien votre copine !! me dit Max ;
— C’est pas notre copine, c’est notre salope, lui dis-je avec un petit sourire en coin, les yeux toujours fixés sur le trio.
Max ricane.
— Eh les gars, vous endormez pas, occupez-vous de son cul et de ses nichons à cette chienne !! nous dit Jenny.
Max va s’occuper de martyriser le derrière qu’il enculait avec fougue quelques instants auparavant pendant que de mon côté, je m’attelle à aller pincer les tétons durs à souhait des nichons qui ballottent sous Shama.
La voilà entourée de quatre personnes qui n’ont de cesse de la souiller, de la torturer, de lui faire subir des traitements qui seraient intolérables pour le commun des mortels, mais pas pour elle. Elle ne cesse de hurler, en redemandant, encore et encore, son corps prit de tremblements, bloqué entre nos mains. Shama est telle un clitoris géant, chacun de nos gestes, même de simples effleurements, déclenche chez elle une avalanche de sensations qui la rendent folle. Un torrent de sécrétions s’échappent d’entre ses cuisses, coulant sur le tapis et les avant-bras de Jenny qui ne cesse de faire entrer et sortir ses mains, provoquant à chaque fois qu’elle y pénètre à nouveau, des cris chez une Shama totalement effondrée au sol, seul son cul, maintenu par les mains de Jenny, reste haut perché. Cette dernière finit par arrêter son invasion et retire d’une traite ses mains lustrées de cyprine, les hanches de Shama retombant lourdement au sol. Ses trous sont copieusement dilatés, ils semblent respirer, se serrant et se desserrant, son anus et les lèvres de sa chatte sont trempés et rougeoyants.
Jenny vient gifler le cul tremblant devant elle, éclaboussant la peau du résultat de sa visite avant de venir se lécher les doigts avec gourmandise.
— Bordel c’est trop bon !! T’as aimé petite putain ? Dit Jenny.
Shama ne répond pas, son corps perclus de convulsions, étalé au sol, elle respire bruyamment, lançant encore de petits cris alors que plus personne ne la touche. Jenny lui lance une volée de gifles aussi soudaine que violente sur les fesses, la faisant hurler de nouveau.
— Tu me réponds salope ??? T’as aimé ??
— Oui… Oui… Oui… Encore… J’en veux encore !! prononce difficilement Shama ;
— J’en ai croisé des chiennes lubriques, moi-même j’en suis une, mais alors toi, t’es vraiment la reine des putes !! s’exclame Jenny en continuant de maltraiter Shama.
Jenny se relève et me surprend en venant m’embrasser à pleine bouche tout en allant malaxer mon sexe encore mou.
— Réveille-moi ça toi, j’ai envie que tu me baises !! me dit-elle.
Denise interpelle alors Jenny.
— Tiens chérie, mets ça, on va lui faire sa fête à coups de queues maintenant !! lui dit Denise ;
— Oh oui, bonne idée !! T’as le plus gros, prends-lui le cul avec, vu comme il baille, il a au moins besoin de ça pour qu’elle sente quelque chose !!
Les deux cochonnes enfilent leurs godes ceintures et c’est une vision un peu bizarre que de voir ses deux nanas ultra sexy ornées de chibres veinés en plastique noir bien droit. Denise attrape ensuite l’Indienne par les cheveux et soulève son buste pour permettre à Jenny de venir se faufiler dessous. Une fois en place, elle attrape le gode, le positionne devant sa chatte et la pénètre d’une traite, déclenchant de nouveau de vifs gémissements de la part de Shama qui se réveille soudain d’une forme de léthargie dans laquelle elle semblait être plongées après les assauts des mains de Jenny. Denise fait de même et n’a aucun mal à introduire, dans le cul béant qui lui fait face, son imposant jouet. Denise et Jenny se mettent à pilonner Shama avec la délicatesse d’un bulldozer en pilotage automatique, Jenny s’occupant des nichons et des tétons qui tremblent devant son nez avec ses mains libres. Shama se met de nouveau à hurler, semblant déjà sur le point de jouir à nouveau alors que la double pénétration ne fait que commencer.
De voir Denise et Jenny faire ce que normalement la nature leur interdit à quelque chose de diablement excitant. Certes, les bites factices qu’elles utilisent pour ramoner Shama ne leur provoquent aucune des sensations qu’un homme ressentirait en étant à leurs places, mais les vibrations, les chocs, le fait d’entendre Shama hurler, tout ça provoque chez elle une délectation bien réelle qui se voit sur les traits de leurs visages se déformant de plaisir à chaque va-et-vient, comme si c’est elles qui subissaient cette pénétration.
Cette scène a le don de m’exciter, et à nouveau, je sens ma queue prendre forme, Max à mes côtés étant déjà en train de se branler, son énorme gland luisant bondissant de son prépuce à chacun de ses mouvements. Je l’imite, attrapant mon sexe et finissant rapidement par le faire durcir. Denise et Jenny continuent leur chevauchée rapide et violente, et n’étant pas sujettes au risque d’éjaculation qui finirait bien vite à faire ralentir n’importe quel mâle, elles ne semblent pas décidées à donner une seule seconde de répit à Shama qui se fait secouer dans tous les sens. Un autre détail, et pas des moindres, finit par attirer mon attention et parvient à me faire oublier tout le reste : le cul de Denise dont les fesses tremblent à chaque va-et-vient. Je me décale pour me mettre bien derrière elle. Le harnais du gode est maintenu par une ceinture faisant le tour de ses hanches ainsi que par deux lanières entourant ses cuisses, ce qui fait qu’elle a le cul totalement libre. Je ne résiste pas à l’envie d’aller le lui prendre et je viens alors me positionner derrière elle.
J’immobilise son cul, ce qui lui fait pousser un petit cri de surprise. Je promène mon gland gonflé dans la raie de ses fesses et descends jusqu’à arriver à son anus que je me mets doucement à dilater pour finir par la sodomiser entièrement.
— Oh !!! Oui Florian, c’est bon, vas-y, encule-moi !!!
Son gode ceinture toujours dans le cul de Shama, je me mets à la pilonner, mes mains fermement agrippées à son derrière, ses grosses fesses s’écrasant contre mon pubis à chacune de mes charges. Je finis par reculer Denise, la faisant sortir de Shama, et elle pose ses deux mains au sol.
— AH, AH, OUI, OUI, C’EST TROP BON, CONTINUE !! me hurle-t-elle.
Max prend le relais de Denise et se met à venir enculer Shama. Leurs hurlements retentissent dans tout le salon, je n’ose imaginer la réaction de mes voisins si tout ça se passait chez moi !!
Soudain, je vois Max qui, après un moment à sodomiser Shama, la repousse sur le côté. Je m’attends à ce qu’il se mette à baiser Jenny mais, au contraire, il se positionne au-dessus d’elle et vient insérer dans son cul le gode ceinture, se mettant à sautiller dessus. Max est bi, voilà pourquoi Jenny m’a demandé si je nétais pas intéressé d’essayer avec un autre homme, elle savait que Max se serait fait un plaisir de s’occuper de moi !! Jenny semble prendre du plaisir à sodomiser Max, le branlant rapidement en parallèle. Je me concentre sur Denise que je continue à ramoner pour son plus grand plaisir si j’en juge par les gémissements incessants qu’elle lance. Au bout d’un moment, elle se retourne et vient m’aspirer la queue avec une rare intensité, me bouffant littéralement le sexe comme une vorace, et, pour mon plus grand plaisir, Jenny débarque et partage ma bite avec Denise. Je jette un il derrière moi, histoire d’être sûr que Max, sous le coup de l’excitation, n’ait pas le projet de venir s’occuper de mon cul.
Ce n’est pas le cas, celui-ci honorant de nouveau Shama, lui baisant la chatte couché sur le côté. Je repose mon regard sur les deux boulimiques occupées à bouffer ma queue. J’attrape Jenny par le bras pour la relever et l’attirer à moi.
— Tu veux toujours que je te baise chérie ?
— Hmmmmmm, t’imagines même pas à quel point…
Je vais m’allonger sur la table de massage et ni une ni deux, Jenny me rejoint et vient empaler sa chatte sur ma queue, se mettant à rouler du cul en plongeant ses yeux dans les miens. Je ne la lâche pas du regard tout en caressant ses seins et en pinçant doucement ses tétons bien durs et enflés. C’est un regard très intense que l’on s’échange, un regard empli d’une passion et d’un désir que je retrouve à chaque fois que l’on baise. Puis, ses yeux s’écarquillent alors qu’elle pousse un cri de surprise. Elle tourne la tête pour voir Denise qui est en train de lui insérer un gode dans le cul.
— Han… Han putain Denise, c’est bon, oui, vas-y !! dit Jenny en dégustant l’entrée de ce gode jusqu’au tréfonds de son cul.
Jenny s’effondre sur moi et je me mets alors à accélérer ma pénétration, la faisant gémir intensément, sa bouche collée à mon cou. Denise continue à l’enculer à l’aide du gode, accélérant elle aussi ses mouvements, et nous finissons par la faire jouir, ma queue sortant de sa chatte et Denise prenant le relais avec sa bouche. Jenny me lèche délicieusement le lobe de l’oreille pendant que je déguste la fellation que me prodigue Denise. De nouveaux hurlements s’élèvent, ceux de Shama se faisant lourdement baiser par Max qui l’encule tout en lui agaçant le clito et, du coup, c’est le jackpot pour Shama qui finit bien rapidement par jouir à son tour.
Une fois Jenny calmée, Denise remet ma queue au chaud et je reprends de plus belle mes assauts dans la chatte bouillante de ma patronne, Denise reprenant aussi les mouvements de son jouet toujours coincés dans le cul de Jenny. De nouveau, elle se fait durement baiser et de nouveau, elle finit par jouir, m’éclaboussant ce coup-ci de sa mouille que Denise ne se gêne pas d’aller lécher à la source avant de venir prendre une fois de plus ma queue en bouche. Après un petit moment à se calmer en m’embrassant fiévreusement, Jenny pivote au-dessus de moi et vient me présenter sa chatte pendant qu’elle va, avec Denise s’occuper de ma bite. Je plonge ma bouche sur la chatte trempée qui me fait face avec un plaisir intense, visitant cet antre brûlant de ma langue. La saveur de Jenny est délicieuse, je ne me lasse pas de tirer les lèvres de sa chatte entre les miennes pour en essorer tout le jus que je peux, ouvrant bien son abricot de mes doigts pour lécher les moindres recoins de son joli minou rosé.
Les deux gourmandes s’acharnent à me branler, me sucer et me lécher, si bien que je finis par cracher une dose de sperme encore conséquente malgré le fait que j’ai joui il n’y a pas longtemps. Mon éjaculation est accueillie avec joie par les deux déesses contentes de recueillir le fruit de leur labeur !!
Cette soirée se continua longtemps, très longtemps, tant l’imagination et la perversité débordantes de chacun associées au masochisme insondable de Shama étaient intarissables. Ils étaient impossibles de ne pas en vouloir toujours plus avec trois folles du cul qui vous tournent autour, maintenant un degré d’excitation élevé et constant en vous. Après chaque éjaculation, je me disais que c’était bon, que je ne pourrais pas recommencer, mais au final, si, Denise et Jenny sachant pertinemment quoi faire et quoi dire pour me faire repartir au quart de tour. Inutile de dire que le pot de lubrifiant a pris une sacrée claque !!
Malgré tout, nous avons fini par arrêter cette orgie. Attrapant mon téléphone, je constate qu’il est plus de deux heures du matin, d’où le sentiment de fatigue et les traits tirés qui prédominent chez chacun d’entre nous. Max prend rapidement congé non sans m’avoir salué d’une poignée de main bien trop appuyée à mon goût avant de me lancer un petit clin d’il. Il faudra que je dise à Jenny qu’elle rajoute une couche pour le convaincre que non, définitivement non, je n’ai pas envie de faire quoi que ce soit avec lui ou avec n’importe quel autre homme !!
Pendant que tout le monde se rhabille et range le bordel accumulé, je m’approche de Denise, occupée à nettoyer la table de massage de la multitude de sécrétions qui la souille.
— Dis Denise, Marion va bien ? Je suis étonné de ne pas l’avoir vu ce soir ;
— Oui oui, elle va très bien, c’est juste que je ne lui ai pas dit pour ce soir, même si je suis quasi certaine qu’elle serait venue ;
— Pourquoi ne pas lui avoir dit alors ?
— Je pense qu’elle est encore un peu… tendre pour ce genre de choses, je ne voulais pas qu’elle prenne peur et qu’elle se sente un peu perdue ;
— Ah, d’accord ;
— Tu sais, sous ses airs de petite coquine, c’est une jeune femme plutôt timide et en plus de ça, elle n’a pas non plus une grande expérience, donc je préfère attendre un peu de voir si elle aime ce genre de délire avant de le lui imposer !
— Oui, je comprends ;
— À propos de délire, toujours OK pour ce dont on avait parlé par rapport à elle ?
— L’initiation à la sodomie tu veux dire ? Oui oui, bien sûr, mais elle est d’accord au moins ?
— Et comment !! Elle était aux anges quand je le lui ai proposé !!
— Ahahah, d’accord alors !
— Tu permets que je lui donne ton numéro de téléphone ? Je lui dirais de t’appeler quand elle le voudra, comme ça au moins, c’est elle qui décide du moment ;
— Oui, c’est mieux comme ça. Donne-lui mon numéro, pas de soucis !
— Je le ferais !! Je lui donnerais aussi quelques accessoires dont tu pourras te servir si tu veux, histoire de faciliter son apprentissage et de le rendre plus agréable et ludique ;
— D’accord Denise, c’est sympa.
Denise s’adresse alors à Jenny.
— Dis-moi ma chérie, est-ce que tu peux me prêter ta salope pour le week-end ? J’aimerais beaucoup m’occuper d’elle en privé !!
— Mais avec plaisir Denise !!
Jenny se tourne ensuite vers Shama, toujours nue, et lui balance une belle gifle sur les fesses.
— T’as entendu pétasse ? Tu vas rester avec Denise ce week-end, c’est compris ?
— Oui Maîtresse, avec plaisir ;
— Et t’as pas intérêt à ce qu’elle me dise que t’as pas fait ce qu’elle voulait, sinon ça va être ta fête !!
— Oh je suis certaine qu’on va très bien s’entendre elle et moi, dit Denise en passant sa main sur le cul de Shama couvert de marques en tout genre.
Après avoir, à notre tour, pris congé d’une Denise ravie d’avoir un nouveau sextoy dans sa collection pour le week-end, nous partons, Jenny m’invitant à dormir chez elle, ce que je ne me voyais refuser sous aucun prétexte. Le trajet me paraît exceptionnellement long, l’excitation extrême ressentie toute la soirée ayant cédé la place à une fatigue tout aussi profonde. Je lutte pour ne pas fermer les yeux et j’en profite pour surveiller aussi que Jenny ne s’assoupisse pas au volant. Afin de l’aider à rester éveillée, je me décide à lancer une conversation.
— T’aurais pu me le dire pour Max ;
— Te dire quoi ?
— Ben qu’il est bi !!
— Il t’a touché ?
— Non mais…
— Mais quoi ? Qu’est-ce que ça fout qu’il soit bi à partir du moment où il t’a laissé tranquille ;
— Oui d’accord, il m’a laissé tranquille en effet, mais le clin d’il qu’il m’a lancé en partant ne m’incite pas à l’optimisme si d’aventure un jour il devait se repasser ce genre de soirées avec lui dans les parages !!
Jenny rigole franchement.
— T’es con mon pauvre !! T’inquiète pas va, je lui ai bien dit que tu étais pur hétéro, mais tu sais, les homos aiment convertir les hétéros, paraît que ça donne de sacrées sensations de prendre un cul de mec tout neuf !!
Sa remarque me fait penser à Marion et à son cul tout aussi neuf que le mien, du moins pour le moment…
— Et je compte bien qu’il le reste, neuf !! Donc si jamais il devait participer à nouveau, je compte sur toi pour lui faire passer le message, sinon ça risque de finir en main courante cette histoire !
— Mais c’est qu’il mordrait le toutou !!
— J’t’emmerde sale chienne !!
— Wouaf wouaf !!
Jenny et moi rigolons à l’unisson.
On finit par arriver chez elle et avant d’aller se coucher, nous nous imposons une douche bienvenue tant nos corps sont moites de tout ce qu’on a pu leur faire subir. Nous allons nous coucher et Jenny vient se coller à moi, sa tête posée sur mon épaule et une de ses mains sur mon torse. Je l’enlace, en prenant une grande inspiration, mon nez collé à ses cheveux encore humides. L’arôme qui envahit mes poumons me fait frissonner et je la serre un peu plus contre moi, déposant un baiser sur le haut de son crâne. Elle ronronne doucement, se trémoussant en collant tout son corps contre moi, elle relève ensuite son visage et m’embrasse tendrement avant de reposer sa tête au creux de mon épaule.
Le sexe immodéré a laissé place à une belle tendresse, et c’est enveloppé de la chaleur de Jenny et de la douce odeur de sa peau que je m’endors très vite.