J’aborde les jours qui suivent avec un tout autre état d’esprit, mon souhait de me contenter d’un célibat fait d’abstinence a volé en éclat sous les coups de butoir ou plutôt de poitrine devrais-je dire de Shama. Je me remets de nouveau à avoir mon regard irrésistiblement attiré par toutes les formes féminines que je peux croiser, que ce soit dans la rue ou au boulot, me surprenant à mater des collègues auxquelles je n’avais jusqu’à présent pas prêté attention, même à l’époque où je baisais à tire-larigot. Je me suis en quelque sorte retrouvé et je me remets à envisager Jenny sous un tout autre angle que celui auquel je m’étais habitué jusqu’à présent. Je détaille de nouveau ses courbes en me souvenant de l’époque pas si lointaine que ça où je la sautais si souvent et je gratifie mes sous-vêtements d’érections particulièrement violentes et régulières.
Cependant, je n’arrive toujours pas à me décider à lui parler plus personnellement, pourtant, c’est pas les occasions qui manquent, mais je bloque. J’ai envie d’elle mais impossible de dépasser le stade de mes pensées. Au lieu de ça, c’est Shama qui s’occupe de me faire rattraper le temps perdu, à son plus grand bonheur, et au mien, bien entendu. Cette semaine où elle est seule tombe à point nommé et nous sommes tellement excités tous les deux que nous faisons carburer notre imagination à plein tube pour trouver des moyens de s’amuser à n’importe quel moment. Un jour où je suis dans mon bureau, je reçois un SMS de Shama.
[SMS]
> Ton vide couille personnel t’attend avec impatience !
Je souris et immédiatement, mon imagination se met en branle alors qu’une érection commence à prendre forme. Je supprime le message histoire d’éviter les accidents et je sors de mon bureau pour me diriger le plus calmement du monde vers les toilettes des hommes. J’y rentre en veillant bien à ce que personne ne me suive ou n’y soit déjà, puis je me dirige vers le cabinet le plus éloigné de l’entrée car c’est là que Shama et moi avons l’habitude de nous retrouver le plus souvent. J’ouvre la porte et y trouve ma belle Indienne qui patiente, assise sur la cuvette, et qui me lance un sourire accompagné d’un regard lubrique. Je rentre et verrouille la porte alors qu’elle est en train de baisser ma braguette pour en sortir ma queue déjà à moitié formée.
— Alors, t’as fait des réserves depuis hier ? Me demande-t-elle avant de me gober la bite ;
— Autant que j’ai pu, mais à me faire cracher deux fois par jour, faut pas t’attendre à te recevoir un cubitainer de sperme !
— Hmmm, hmmm, peu importe, c’est toujours bon à prendre !!
Ma queue devient bien vite raide comme du bois et je déboutonne complètement mon pantalon pour le laisser tomber à mes pieds. Shama me suce avec une belle ardeur, de délicieux bruits de succion accompagnés de gémissements de contentement résonnent dans les toilettes. Mon sexe est très vite enduit d’une bave bien visqueuse dont des filaments relient mon gland aux lèvres de Shama lorsqu’elle en sort ma queue pour la branler rapidement avant de se remettre à me pomper. On entend soudain deux personnes rentrer dans les w.c. et du coup, Shama s’arrête de me sucer mais tout en gardant ma bite dans sa bouche, sa langue continuant à tourner autour de mon gland.
— Oh Flo, t’es là ? Me demande un de mes collègues en essayant d’ouvrir la porte du cabinet où je suis ;
— Ouais je suis là, qu’est-ce tu veux ?
— Tu passes ta vie aux chiottes ma parole, t’as des problèmes gastriques ou quoi ??
— Ouais, voir ta sale gueule tous les jours me facilite grandement le transit intestinal.
Mes deux collègues rigolent en chur alors que Shama reprend sa fellation lentement.
— Dis, t’as pas vu Shama ? J’ai un truc à lui demander mais impossible de la trouver, c’est un vrai courant d’air cette nana !!
— Elle est avec moi là, elle est en train de me sucer.
Ils rigolent de nouveau alors que Shama me fait les gros yeux en sortant ma queue de sa bouche pour me mimer « ça va pas non » avec ses lèvres. Je lui lance un clin d’il avec un petit sourire en coin alors qu’ils se mettent à se lâcher sur elle.
— Ben ouvre la porte et partage alors !!
— C’est clair que j’aimerais bien qu’elle me suce, avec la bouche qu’elle a, ça doit être un sacré aspirateur à nuds !!
Shama se met à sourire en écoutant attentivement cette savoureuse description de sa personne tout en continuant à me branler.
— Ouais, carrément ! Je me verrais bien lui bombarder son bon gros cul aussi ;
— Putain t’as raison !! Je suis certain qu’elle aime la bite cette grosse cochonne !!
Ils rigolent alors que Shama me fait une moue satisfaite avant de se remettre à me sucer silencieusement.
— Ben allez le lui proposer, si ça se trouve elle sera d’accord, leur dis-je ;
— Le dis pas en rigolant !! C’est pas l’envie qui m’en manque, surtout qu’elle est en jupe aujourd’hui et je suis sûr qu’elle porte pas de sous-vêtements cette salope !!
Shama esquisse un sourire avant de relever sa jupe pour donner raison à notre collègue.
— Ben moi je suis sûr que les trois quarts du temps, elle nen porte pas ! Elle s’habille avec des fringues tellement moulantes qu’on voit quasiment son utérus à travers ;
— Son utérus, je sais pas, mais c’est clair qu’on voit les contours de sa chatte ! Elle a l’air d’avoir des lèvres bien charnues.
Une nouvelle fois, elle confirme les dires du collègue en jouant de ses doigts avec ses nymphes épaisses.
— Nan, en fait je suis mauvaise langue, la dernière fois elle en avait et son string dépassait un peu de son pantalon, même Cathy l’a maté, elle en était offusquée !!
— Pffff, elle a un balai dans le cul elle de toute manière, et c’est une planche à pain !
— Je taperai bien dedans quand même !
— Dans la petite nouvelle aussi, comment elle s’appelle déjà…
— Émilie, dis-je en ne lâchant pas du regard Shama qui continue à me sucer religieusement en se caressant le minou ;
— Ouais voilà, Émilie ! Elle a un peu une sale gueule mais elle a un sacré pétard ;
— Ben si tu la niques en levrette, tu la verras pas sa tronche !
Mes collègues continuent de passer en revue tout le personnel féminin de l’entreprise à coups de propos bien graveleux.
— Celle que j’enfilerai bien aussi, c’est Jenny ;
— Ah ouais nan mais elle, laisse tomber comme je la déglingue !! Quand elle se met à gueuler, j’ai qu’une envie, c’est d’aller lui fourrer ma queue dans la bouche pour qu’elle la ferme !
— Elle est sacrément bonne quand même cette salope, dommage que ce soit une putain de sale garce !!
Shama me jette un coup d’il en haussant les sourcils.
— Mais bon, Shama reste en haut de ma liste quand même. Je ferais du sale avec elle, je serais sans pitié !!
— Toute façon, c’est pas compliqué, y a tous les mecs de la boîte qui aimerait lui passer dessus !
— Putain ouais, je te dis pas les gaules d’enfer que je me frappe quand je la mate !! Mais je suis sûr que tu l’as baisé toi Flo, avoue, elle est de longue dans ton bureau !!
— Mais non, lui il se tape la patronne !
Je ricane intérieurement. S’ils savaient…
— Je me tape les deux, leur dis-je, Bon, vous avez fini votre classement des plus grosses salopes de la boîte ? J’aimerais bien chier tranquille si c’est pas trop demandé !
— Ouais, bon, si tu vois Shama, pense à me l’envoyer hein !
— Dès qu’elle m’a fait cracher, je te l’envoie, promis !!
Ils partent en s’esclaffant de rire. Une fois seuls, Shama se remet à me sucer plus franchement.
— Alors, ça te fait quoi de savoir que tous les mecs d’ici aimeraient te baiser salement ?
— Hmmm, hmmm, bof, je m’en doutais de ça, ils sont discrets comme le nez au milieu de la figure quand ils me matent ces cons-là ! C’est pas pour rien que des fois je fais dépasser mon string, quand j’en mets tout du moins…
— Ahahah, ça a pas l’air de plaire à tout le monde ça ;
— Cathy est une conne, pour ça, ils ont pas tort ! Elle aurait bien besoin d’un bon coup de bite, ça la dériderait. Tu veux pas t’en charger ?
— Non, ils ont raison aussi quand ils disent qu’elle a pas de formes, la dernière fois, elle s’est complètement penchée devant moi et son cul avait la même forme que quand elle est debout ;
— Peut-être que c’était un message et qu’elle voulait que tu la baises ;
— Il aurait déjà fallu que je bande ! Et puis je préfère mon vide couille personnel ;
— Tant mieux pour moi mais dommage pour elle. J’aimerais bien voir sa tête si tu débarquais dans son bureau avec la queue dans cet état ! Dit-elle en regardant ma verge fièrement dressée ;
— Ouais ben en attendant, suce-moi parce qu’à me parler de Cathy, je vais finir par débander.
Shama rigole avant de reprendre ma bite en bouche.
— Et sinon, maintenant que tu sais officiellement que tout le monde aimerait te passer dessus, t’as pas envie de t’en taper quelques-uns ?
— Hmmmm, hmmmm, Gillou ouais, je me le taperais bien, juste histoire de voir si ses actes sont au niveau de ses paroles. Par contre JP, même pas en rêve, il pue trop la transpiration ce mec, c’est une infection !
— Ouais, c’est vrai que quand on bosse ensemble, j’essaie d’éviter de me mettre à côté de lui ;
— Tu m’étonnes !! Il doit croire que les gens laissent un périmètre de sécurité autour de lui parce qu’il les impressionne. J’imagine même pas l’odeur que doit avoir sa queue, brrrrrr…
— Il paraît que ça excite les nanas les petites odeurs musquées ;
— Une petite odeur, OK, mais là à mon avis, ça se rapproche plus d’une odeur de sconse que de celle d’une bite normale ! Ça doit être horrible, je sais pas comment elle fait sa femme ;
— Il est marié depuis plus de 20 ans, elle doit plus rien sentir maintenant ;
— Ouais ben qu’il pense aux autres un peu, on na pas tous une déficience olfactive !
— Ahahah ! Et le frère de Jenny, il te tenterait pas ?
Shama se met à faire des va-et-vient rapides et amples avant de retirer ma queue de sa bouche brusquement.
— Ouais, pourquoi pas, par gourmandise, faut avouer qu’il est beau gosse ; dit-elle en reprenant sa respiration ;
— D’accord. D’autres personnes ?
Elle se remet à me sucer.
— Hmmmmm, hmmmmm, le stagiaire aussi me plaît bien, il est mignon et coquin ;
— Thomas ? Il a eu 18 ans la semaine dernière, puis il a l’air hyper timide en plus de ça, je suis sûr qu’il est encore puceau ;
— Tu crois ?? J’ai toujours voulu me taper un puceau et être la première nana à mettre sa queue toute neuve dans ma chatte !! Je le chauffe gentiment des fois, j’adore le voir rougir quand je lui mets mon décolleté sous le nez quand je me penche, et il détourne même pas le regard ce petit cochon en plus !! Il est trop discret pour être honnête, je suis certaine que c’est un gros pervers en fait ;
— C’est vrai que t’en connais un rayon en matière de perversité ;
— Je veux oui ! Je suis entourée de pervers tous les jours, que ce soit ici comme chez moi, et je te parle pas quand je fais les courses ! Thomas fait pas exception à la règle, c’est pour ça que j’aime le taquiner ;
— Peuchère, t’es vraiment une sale allumeuse !
— Pourquoi allumeuse ? Qui te dit que je le chauffe pas pour qu’il soit à point quand j’aurais décidé de m’occuper de lui ?
— Tu oseras jamais ;
— Euuuuh, tu sais à qui tu t’adresses là ? T’as entendu ce qu’ont dit les autres tout à l’heure, je suis la plus grosse salope de la boîte !
— Oui mais Thomas est un gamin, ça se fait pas ;
— Et pourquoi pas ? Dis donc, t’es gonflé de me dire ça en plus, je te rappelle qu’il y a plus d’années d’écart entre toi et ton ex qu’entre Thomas et moi !
— C’est pas faux ;
— Ah !! Tant qu’il est majeur hein, et puis je t’ai dit, j’ai jamais dépucelé un mec ;
— Attends, c’est moi qui dis qu’il est puceau mais j’en sais rien, si ça se trouve, c’est pas le cas ;
— Certes, mais y a plus de chance de tomber sur un puceau de 18 ans que sur un de 30 ;
— C’est un fantasme que tu viens de pondre à l’instant ou quoi ?
— Non, ça fait longtemps que j’en ai envie, et ce que tu viens de me dire m’a fait y repenser, c’est tout ;
— Et ça te vient d’où cette belle idée ?
— Ben ça a quand même un côté sacrément jouissif de se dire que c’est dans sa chatte qu’une queue est allée pour la première fois, non ?
— Je sais pas, j’ai pas de chatte ;
— T’as jamais dépucelé une nana ?
— Non.
Je repense à Marion et au fait que je suis le premier à l’avoir sodomisé, mais je préfère le garder sous silence.
— T’aimerais pas décapsuler une petite chatte toute neuve et bien serrée ?
— Bon, suce-moi au lieu de raconter des conneries !! lui dis-je en remettant ma queue dans sa bouche.
Shama crève d’envie de se taper le jeune Thomas, ça se voit qu’elle n’attend qu’une bonne raison pour ça, et je m’en vais la lui donner.
— Je te parie que tu oseras pas te le faire ;
— Hmmmmm, hmmmm, hmmmmm, de quoi ? Dit-elle en reprenant sa respiration après m’avoir gobé entièrement la bite pendant de longues secondes en me massant les couilles ;
— Thomas, tu oseras jamais ;
— T’es sûr de vouloir parier ? Ça t’a pas réussi la dernière fois que tu l’as fait ;
— Merci de me le rappeler, sauf que là, y aura pas de gage, un simple pari entre amis, sans enjeu ;
— Y a toujours un enjeu dans un pari ;
— OK, tu veux parier quoi ?
— Hum… Laisse-moi réfléchir le temps qu’on finisse ce qu’on est en train de faire, d’accord ?
— D’accord. Donc j’en conclus que tu acceptes ?
Shama me regarde avec un petit sourire tout en me branlant.
— Et comment ! dit-elle après quelques secondes, Mais va falloir que je fasse ça vite car mon mec revient après demain, ça me laisse pas beaucoup de temps ;
— J’ai bien une idée pour t’aider ;
— Dis toujours ;
— Tu te souviens quand je t’avais baisé dans le garage au sous-sol ?
— Oh que oui !! Impossible d’oublier le plug monstrueux que tu m’as calé dans le cul ce jour-là…
— Ben voilà, t’as qu’à l’entraîner là-bas pour être tranquille ;
— Ouais, pas con ça…
— Tu lui dis que t’as besoin de lui pour t’aider à porter un truc lourd et puis voilà ;
— T’as de bonnes idées toi dis donc !
— Je sais, j’ai été formé par Jenny ;
— Ahah ! Ça marche, je vais faire ça demain tiens ! Bon, c’est pas tout ça mais apparemment, on a besoin de moi, donc au boulot, c’est le moment de faire ta part !
Shama se relève et se met dos à moi en plaçant ses pieds de part et d’autre de la cuvette des chiottes tout en relevant sa jupe. Elle se penche en s’agrippant à une canalisation d’arrivée d’eau.
— Tiens, profite de mon cul tant que tu es encore la seule personne ici à l’avoir visité car je sens que ça va pas durer ! Me dit-elle.
J’attrape mon chibre et promène mon gland dans sa raie fessière, puis j’écarte une de ses miches et le cale au bord de son anus. Ce dernier s’ouvre sans sourciller et accueille ma queue avec une extrême facilité.
— Putain, ton anus est de plus en plus ouvert, bientôt, tu vas plus rien sentir quand on va t’enculer !! dis-je en commençant mes va-et-vient ;
— Han… han… han… T’inquiète pas, je sens tout ce qui rentre dans mon cul, hmmm, c’est trop bon…
Je la sodomise franchement en ne faisant pas trop claquer ma peau contre son cul pour éviter de faire trop de bruit, Shama faisant de même de son côté, essayant de limiter ses complaintes à de petits gémissements soupirés.
Une personne fait son entrée dans les toilettes et je m’immobilise en venant mettre ma main sur la bouche de Shama. On l’entend se mettre à pisser dans un urinoir tout en sifflotant et je reprends lentement ma pénétration en faisant rouler mes hanches. Shama déguste ma sodomie avec les yeux à moitié fermés tout en me léchant la paume de la main. Je sens qu’elle enserre de plus en plus ma bite de son sphincter, hmmmm, c’est si bon de la sentir m’étreindre de la sorte… L’intrus se lave les mains et finit par sortir des toilettes. Immédiatement, j’accentue ma levrette anale.
— T’enserre bien ma queue, hein salope ? Tu veux me faire jouir, pas vrai ?? dis-je en lui mettant deux doigts dans la bouche qu’elle se met à sucer avec frénésie ;
— Hmmmm, hmmmm, oui, vas-y, remplis-moi, fais-moi bien déborder le cul !!
J’accélère encore plus mes mouvements, Shama continue à sucer mes doigts en tentant tant bien que mal de rester silencieuse, et alors que je suis sur le point de jouir, encore une fois, quelqu’un entre dans les toilettes. Putain mais c’est pas vrai, ils se sont tous donné le mot ou quoi ?!? Je m’immobilise à nouveau mais c’est trop tard et je me sens jouir. Je mords doucement l’épaule de Shama en donnant de brefs coups de reins silencieux pour continuer à me faire gicler. Nous retenons tous deux nos gémissements et luttons pour contrôler notre respiration afin de ne pas attirer l’attention de ce pisseur fou. La vache, jamais il s’arrête ?!?
Il finit, enfin, par sortir, et nous nous relâchons un peu plus, respirant de manière plus sonore.
— Fais chier, c’est le défilé des glandus ma parole !! Il a gâché mon éjaculation cet enfoiré !!
— Moi je l’ai bien senti en tout cas, me dit Shama en faisant onduler ses hanches, Hmmmmm, cette chaleur en moi, j’adore ça !!
Je me retire lentement de son cul avant d’essuyer mon gland sur ses fesses. Shama se retourne en laissant retomber sa jupe.
— Merci de m’avoir fait le plein Flo !!
— Hep hep hep, tu fais quoi là ?
— Ben je vais voir Gilles sinon il va déclencher une alerte enlèvement ;
— Non, attends, tourne-toi, faut pas que tu perdes les bonnes habitudes que ton mec t’a données, dis-je en lui relevant la jupe ;
— Ah, mais non, je veux tout garder en moi pour le sentir couler sur mes cuisses ;
— Rien à foutre de ce que tu veux, allez, penche-toi, écarte tes grosses fesses et fais bien tout ressortir ;
— Putain, t’es lourd !!
— Ferme là et bouge-toi un peu !!
Shama soupire mais s’exécute. Elle écarte largement ses fesses et je place ma main juste en dessous de son anus autour duquel un peu de sperme est déjà présent. Elle commence à le dilater tout doucement, puis ma semence finit par me couler dans la main, de petites bulles d’air s’échappant en même temps.
— Voilà c’est bien, allez, continue petite salope ;
— Laisse-moi en garder un peu s’il te plaît ;
— Même pas en rêve !! Allez, pousse ! Dis-je en lui mettant une gifle sur les fesses ;
— Pffff, t’es pas drôle !!
Elle pousse encore et une nouvelle salve de foutre me coule dans la main.
— Putain, je t’ai mis une belle dose mine de rien ! Dis-je en regardant la paume de ma main remplit de mon liquide séminal ;
— Oui je l’ai bien senti, c’est pour ça que je voulais tout garder en moi, j’aurais eu des réserves pour toute la journée avec ça ;
— Ouais, c’est ça. Bon, ça y est, y a plus rien ?
— Non, c’est bon, j’ai tout fait ressortir ;
— T’es sûre ? Si jamais je viens te mettre la main au cul dans la journée et que je sens du sperme, ça va mal aller pour ton matricule !!
— Oui, promis, je te jure qu’il y a plus rien !! Si je continue à pousser, tu risques d’avoir une drôle de surprise !!
— Bon OK. Allez, viens t’abreuver, je suis sûr que tu dois être assoiffée !
Shama se retourne et pose le bout de ses lèvres sur la petite nappe de sperme au creux de ma main, puis elle aspire le tout en plusieurs fois avant de venir lécher le peu qu’il reste tout en roucoulant de satisfaction.
— Alors, verdict ? Lui demandai-je ;
— Hmmmm, toujours aussi délicieux, surtout après avoir baigné dans mon cul !! Tu veux goûter ?
Sans attendre ma réponse, Shama vient me rouler une belle pelle. Sa langue encore imprégnée de sperme s’enroule autour de la mienne, je peux ressentir un petit arrière-goût salé et je me mets alors à visiter chaque recoin de sa bouche avec ma langue.
— Eh bien, t’as l’air d’apprécier ton sperme on dirait !! me dit-elle après que j’ai fini mon inspection buccale ;
— Ouais, ça va, j’ai connu pire comme goût ;
— T’as jamais goûté une de tes éjacs ?
— Y a très longtemps, après m’être branlé, j’y ai trempé le bout de la langue mais c’est tout ;
— Et t’as pas eu l’idée de venir bouffer une chatte que tu venais de remplir ?
— Non, mais j’en ai déjà léché une après avoir joui sur le bas-ventre d’une nana, mais y en avait pas beaucoup sur la vulve. Ben tiens, c’était Jenny d’ailleurs ;
— Mon mec adore venir m’embrasser quand j’ai la bouche remplit de foutre pour qu’on se le partage. Bon, par contre il fait ça uniquement quand c’est le sien hein, il le fait pas avec celui des autres ;
— C’est bien normal ;
— Ça te dirait de tester un de ces jours avec une belle dose ?
— On verra ;
— Ah, ça, ça veut dire oui !! me dit-elle en me faisant un grand sourire ;
— Nan, ça veut dire « on verra », rien de plus !!
— Ben voilà, j’ai trouvé ce qu’on va parier ! Si j’arrive à me taper Thomas, la prochaine fois qu’on baisera, tu gicleras tout dans ma bouche et ensuite, on se roulera une belle pelle pour se partager ton foutre, OK ?
Bon, au moins là, pour le coup, c’est pas un pari dangereux. Je vais accepter même si je sais que je vais perdre ce pari vu que je ne doute pas un seul instant qu’elle va arriver à ses fins avec Thomas. Je me suis toujours dit qu’un jour faudrait que je goûte mon sperme pour de bon, voilà l’occasion de le faire d’une manière… disons plus ludique.
— Allez ça marche, et si c’est toi qui perds, faudra que tu te tapes JP !!
— Putain, t’es cruel toi !
— Alors ? Tu acceptes ou tu recules ? Dis-je en lui tendant la main ;
— Ben bien sûr que j’accepte, jamais de la vie il me repoussera Thomas !!
— Croise les doigts pour ton nez !! Bon, j’y vais et si y a personne dans le couloir, je frappe trois coups, comme d’hab’, OK ?
— Ça roule.
Je sors des toilettes et une fois que je me suis assuré que la voie est libre, je frappe à la porte. Quelques secondes après, Shama en sort et nous nous faisons un clin d’il avant qu’elle ne prenne la direction du bureau de Gilles qui doit désespérer de ne pas la trouver.
Je surkiffe vraiment de m’amuser avec Shama car outre le fait que sa perversion soit diablement excitante, il y a une liberté de parole entre nous que je n’ai avec personne d’autre. On a un peu la complicité d’un frère et d’une sur, l’aspect hard en plus. Ça me fait un peu penser à la relation que j’avais avec Jenny, le côté ambigu en moins.
J’aimerais la retrouver, et peut-être que grâce à ça, je vais finir par oser aller lui parler pour de bon.
