Ils sont tous les deux enlacés, les jambes entremêlées et leurs mains s’attardant délicatement sur leurs peaux ; Jenny a la tête calée au creux de l’épaule de Florian et joue tranquillement avec un téton de ce dernier.
— Ah, tiens, tant que j’y pense, fallait que je te parle d’un truc, lance-t-il soudainement.
— Hmmmm, grogne Jenny, complètement hypnotisée par le téton qu’elle titille du bout des doigts.
— Euh, tu m’écoutes ?
— Hein ? Oui oui, vas-y ! dit-elle en relevant le visage vers lui.
— Tu t’amuses bien avec mon téton ?
Elle ricane.
— Bon, qu’est-ce que tu voulais me dire ? demande-t-elle en continuant son petit jeu.
— Marion m’a demandé de lui rendre un service.
— Lequel ?
— Elle veut que je la baise.
Jenny stoppe immédiatement ses mouvements et reste immobile quelques secondes avant de regarder Florian.
— Elle veut que tu la baises ? J’ai bien entendu ?
— Oui, mais c’est pas juste un caprice en fait, elle m’a donné une raison.
— Une bonne raison ?
— Moi je dirais que oui, après, à toi de juger.
— Ben vas-y, donne-moi sa bonne raison alors, dit Jenny en s’appuyant sur son coude pour regarder son homme avec curiosité.
Il lui explique alors le projet de Marion.
— Donc, si j’ai bien compris ce que tu viens de me dire, elle veut que tu la baises pour que son mec regarde comment tu t’y prends pour la faire jouir, c’est ça ?
— En résumé, oui.
— D’accord, lâche-t-elle, le regard dans le vague.
Jenny est en pleine réflexion.
— D’accord, répète-t-elle en regardant, cette fois, Florian.
— D’accord, tu as compris ou d’accord, d’accord ?
— D’accord d’accord ! répond-elle en souriant.
— Ça ne te dérange pas ?
— Non, à partir du moment où tu m’en parles, pourquoi ça me dérangerait ?
— Ben c’est quand même mon ex.
— Tant que tu me tiens au courant, ça me va.
— OK, je lui dirai demain.
Il se penche alors vers Jenny pour l’embrasser puis elle reprend sa place initiale au creux des bras de son petit ami.
— Et vous allez faire ça quand ? demande-t-elle.
— Je sais pas, je vais voir avec elle demain.
— OK.
Jenny reste silencieuse, ce qui interpelle Florian qui est en train de se demander si réellement, elle est d’accord avec ce projet ou si elle n’a pas dit oui uniquement pour lui faire plaisir.
— Ça va Jenny ?
— Oui oui.
— Tu sais, si ça te gêne, je peux lui dire non, elle comprendra tout à fait.
— Non mais t’inquiète, si j’ai dit oui, c’est que ça ne me gêne pas. Je réfléchissais juste à un truc.
— À quoi ?
— Je pourrais être là quand tu lui diras que c’est bon ?
— Ben, euh, je comptais le lui dire au téléphone en fait.
— Tu voudrais pas le faire de vive voix ?
— Oui, bien sûr. Tu préfères ?
— J’avoue que oui. Comme la dernière fois que je l’ai vu, c’est à l’époque où j’ai foutu la merde dans votre couple, je me dis que ça serait peut-être une bonne chose de profiter de ça pour repartir sur des bases plus saines toutes les deux.
— Ah, si tu veux alors.
— On pourrait aller manger au resto avec elle demain midi, qu’est-ce que tu en penses ?
— Oui, pourquoi pas. Je l’appellerai demain matin pour voir si elle peut.
Le lendemain, Florian appelle Marion et celle-ci accepte l’invitation à déjeuner pour le midi ; il a pu déceler, dans la voix de la jeune femme, une pointe d’inquiétude lorsqu’il lui a dit qu’il ne viendrait pas seul.
Il connaît bien Jenny et il sait qu’elle ne sera pas gratuitement méchante envers elle, mais néanmoins, il décide de lui parler de cette rencontre dans la voiture, au moment de s’y rendre.
— Dis Jen’, tu vas être cool avec Marion, hein ?
Jenny regarde Florian d’un air étonné.
— Pourquoi tu ne veux pas que je sois cool ? J’ai aucune raison de ne pas l’être !
— Certes, mais Marion est un peu réservée comme nana et tu peux être assez intimidante, même si tu ne t’en aperçois pas forcément.
— Ah bon ? Je t’intimide ?
— Plus maintenant parce que je te connais, mais à une époque, oui.
— T’avais pas l’air d’être très intimidé quand tu as sorti ta queue devant mon nez la première fois qu’on a baisé !
— C’était différent.
— Bah tiens !
— Marion ne te connaît pas comme moi je te connais et il y a longtemps de ça, elle m’avait dit qu’elle te trouvait déstabilisante, c’est pour ça que je t’en parle.
— Je ne vois pas comment elle aurait pu me trouver déstabilisante vu qu’on ne s’est parlé qu’une seule fois.
— Elle t’avait déjà croisée au salon.
— Oui, peut-être en effet. Et ben, elle n’a pas besoin de grand-chose pour être déstabilisée !
— Je sais, et c’est pour ça que je te demande d’être gentille.
— Mais oui, ça va, je vais pas la mordre, pas besoin de me mettre une muselière !
Ils arrivent au restaurant où Marion les attend déjà devant la porte. Après s’être salués, ils entrent et les deux femmes vont s’installer à une table pendant que Florian va au bar pour commander les apéritifs. Elles s’asseyent l’une en face de l’autre.
— Et ben, il fait un peu frais aujourd’hui ! dit Marion, histoire de lancer la conversation.
Jenny la regarde sans rien dire avec un air quelque peu austère ; Marion lui sourit timidement et déjà, elle commence à se sentir oppressée par l’attitude de son interlocutrice.
— Alors comme ça, tu veux te taper mon mec ? finit par lâcher Jenny sans se départir de son masque de sévérité.
— Euuuuh, ben euuuuuh, jeeeee c’est-à-dire que, commence à bafouiller Marion.
Jenny se penche un peu plus vers elle en s’appuyant sur ses bras, renforçant encore l’intensité de son regard qui ne laisse aucun répit à la jeune femme qui semble pétrifiée ; elle n’ose pas bouger et ne parle plus.
— Avoue que tu as dans l’idée de me le piquer, lance Jenny.
La bouche entrouverte, Marion remue ses lèvres sans qu’aucun mot ne sorte et sa peau pâlit à vue d’il.
— Mais, mais, mais, non, non Enfin, non voyons, je, je c’est pas du tout ça, pas du tout, finit-elle par balbutier comme elle peut tant elle est terrifiée.
Soudain, le visage de Jenny s’éclaircit et elle se met à rire.
— Mais je rigole Marion, t’en fais pas ! dit-elle en arborant, cette fois-ci, un grand sourire.
Marion ne bouge toujours pas, comme si elle avait complètement bugué.
— Marion, je plaisantai, répète Jenny en posant sa main sur le bras de la statue qui lui fait face.
Marion regarde son bras avant de relever le visage vers Jenny qui continue de lui sourire.
— Ah, oh, euh, d’accord, dit-elle en esquissant, à son tour, un léger sourire suivi d’un soupir de soulagement.
— Désolé si j’ai un humour de merde, c’est sans doute Florian qui m’a contaminée avec le sien ! s’exclame Jenny avant de partir à rire.
— Ah ah, oui, dit Marion en commençant à se détendre.
Florian rejoint alors les deux femmes.
— Voilà, c’est commandé ! dit-il en s’asseyant à côté de Jenny.
— Euh, désolé, mais je dois aller aux toilettes ! dit Marion avant de se lever d’un bond.
Florian la regarde s’éloigner en fronçant les sourcils.
— Qu’est-ce qu’elle a ? demande-t-il en se tournant vers Jenny.
— Ben elle va aux toilettes, c’est tout.
Il observe sa petite amie d’un air suspicieux.
— Qu’est-ce que tu lui as dit ?
— Rien, dit-elle innocemment.
— Arrête un peu, elle était blême, on aurait dit qu’elle avait vu un fantôme ! Tu lui as dit quoi ?
— Mais rien, je l’ai juste un peu taquinée, c’est tout.
— Putain Jenny, tu abuses, t’avais promis d’être sympa !
— Ça va, t’inquiète pas, j’ai pas été méchante, il va bien ton petit sucre d’orge !
De dépit, Florian lève les yeux au ciel.
Si, en effet, Jenny ne voulait pas être inutilement méchante, cette « blague » lui a néanmoins permis d’envoyer un petit message à Marion en lui faisant bien comprendre que si elle avait, dans un coin de la tête, le dessein de se rapprocher de Florian plus que ne l’exige une relation sexuelle, elle se risquerait à subir des représailles piquantes.
En fait, Jenny n’avait, à la base, nullement l’intention de faire ça, mais quand Florian lui a avoué que Marion la trouvait intimidante, elle s’est alors dit qu’elle pourrait se servir de ça pour marquer son territoire et vu la réaction de Marion, il semble qu’elle soit arrivée à ses fins. Dans son boulot, Jenny a l’habitude de tenir tête et de mettre la pression à des personnes bien plus fortes et tenaces que ne le sera sans doute jamais la jeune femme, donc inutile de dire qu’elle n’a pas eu à forcer son talent pour la déstabiliser !
Marion revient des toilettes avec une attitude plus décontractée et un visage qui a enfin repris des couleurs. Jenny a bel et bien fini de la torturer et à présent, elle se comporte de manière tout à fait charmante avec elle.
Le repas se passe bien, les trois amis discutent de tout et de rien puis la discussion finit par dévier vers le sujet qui les a amenés ici.
— Alors Marion, comme ça, ton petit ami n’arrive pas à te faire grimper aux rideaux ? lui demande Jenny.
— Et bien oui, il a du mal en effet.
— Il a l’air assez ouvert pour en être arrivé à te pousser dans les bras de ton ex.
— Je pense que le fait que je sois sa première petite amie, et qu’il n’ait donc jamais eu de mauvaises expériences, doit jouer.
— Peut-être. Et toi, ça ne te gêne pas de coucher avec un autre mec devant lui ?
— Vu que c’est avec Florian, non, ça va. Je le connais et j’ai confiance en lui.
— D’accord, dit Jenny en continuant à sourire.
— Maintenant, si tu préfères refuser, je comprendrais.
— Refuser ? Mais non voyons, quelle idée ! Flo sait comment te faire jouir et il est donc le mieux placé pour cette mission. Non, en fait, je réfléchissais à autre chose.
— Euh, quoi ? demande Marion, un peu inquiète de ce que va dire Jenny.
— Et bien voilà, est-ce que ça te dérangerait si je participais à votre petite sauterie, moi aussi ?
— Ben euuuuuh, jeeeeee, bafouille Marion.
— Je te rassure hein, je laisserai Florian s’occuper de toi, mais moi, pendant ce temps, je pourrais peut-être m’occuper de ton mec. Il va sûrement être très excité par ce qu’il va voir et si je suis là, je pourrais rendre son observation plus ludique !
Florian écoute la discussion sans rien laisser transparaître, et ce même si Jenny ne l’avait pas mis dans la confidence.
— Comment il s’appelle ? relance Jenny.
— Nathan.
— Et il a quel âge ?
— 19 ans, bientôt 20.
— C’est mignon comme tout ! Donc voilà ce que je te propose : je te prête Florian et toi, tu me prêtes Nathan, c’est honnête non ? Comme ça, j’en profiterai aussi pour lui donner quelques conseils de mon côté.
— Ben, euh, je sais pas, il n’a pas trop d’expérience, tu risques d’être déçue.
— On est déçu uniquement si on attend quelque chose, mais là, je n’attends rien du tout.
— Je sais pas trop non plus si lui sera d’accord aussi.
Jenny part d’un rire franc.
— Ne t’en fais pas pour ça, c’est un homme et sans me vanter, aucun homme ne m’a jamais dit non pour du sexe et je compte bien que ça continue ! Et puis ça vous fera à tous les deux une première expérience d’échangisme, qui sait, peut-être que ça vous plaira !
Sur ces mots, le téléphone de Jenny se met à sonner.
— Oh, c’est Fred. Désolé mais je dois répondre !
Jenny se lève de table et s’éloigne pour parler à son frère. Marion pose alors ses yeux sur Florian qui ressent son embarras.
— Tu peux refuser, tu sais, lui dit-il.
— Ben c’est surtout que je ne m’attendais pas à ce qu’elle me demande ça, c’est tout.
— Si ça peut te rassurer, je ne le savais pas non plus.
— Ah.
— Il n’empêche que si tu ne veux pas, tu peux lui dire non, ça ne remettra pas en cause ce qu’on doit faire tous les deux.
— Je veux me taper son mec, j’imagine que je lui dois bien ça.
— Tu ne lui dois rien du tout, Marion, c’est un jeu pour elle, rien de plus.
— Alors je vais jouer selon ses règles. Et puis si elle peut conseiller Nathan de son côté, ça ne serait que mieux, non ?
— C’est sûr que Jenny a de l’expérience et ça ne pourra que lui être profitable. Reste à voir si toi, tu supporteras de le voir dans les bras d’une autre femme.
— Ça n’aurait pas été Jenny, j’aurais sans doute dit non, mais là, je la connais et je sais que son but n’est pas de me le piquer. Et puis surtout, je te connais toi et je te fais confiance donc si tu me dis qu’il n’y a aucun risque alors je te crois.
— Ben disons que si jamais Jenny me larguait pour un mec de 19 ans sans expérience, j’avoue que je l’aurai mauvaise, mais sincèrement, et avec tout le respect que j’ai pour lui, il n’y a aucune chance que ça arrive, tu peux être rassurée !
Jenny revient.
— Voilà, désolé ! dit-elle en se rasseyant à table. On en était où ? Ah oui ! Alors Marion, tu en dis quoi de ma petite proposition ?
Marion regarde Florian qui lui sourit discrètement en lui faisant un petit clin d’il. Elle repose ensuite ses yeux sur Jenny.
— Et bien je suis d’accord ! lance-t-elle avec aplomb.
— Aaaaaah, génial ! Allez, parle-moi un peu plus de ton Nathan ! Il est à quel goût, ce jeune homme ?
— Euuuuh
— Vanille ? Caramel ? Chocolat ?
Il faut quelques secondes à Marion pour comprendre ce que Jenny veut dire.
— Ah ! Chocolat !
— Ooooh chic, un beau black ! se réjouit Jenny en tapotant dans ses mains. Et il en a une grosse ?
— Jenny, dit Florian en se tournant vers elle d’un air désabusé.
— Quoi ! J’ai envie de savoir à quoi m’attendre, c’est normal non ? Alors Marion ?
— Ben non, elle est pas spécialement grosse, enfin elle est normale quoi.
— C’est à dire ? Tiens, par rapport à celle de Florian vu qu’on la connaît toutes les deux.
— Euh, je dirais à peu près pareil.
— Bon, ça va alors.
Florian lève les yeux en soupirant.
— Mais quoi ?!? s’exclame Jenny, je préfère être au courant pour me préparer si je dois m’enfiler un buf, je peux pas l’encaisser comme un doigt au cul hein, je m’appelle pas Shama !
— Non, mais c’est pas un buf, c’est bon, la rassure Marion, vu comme je suis taillée de toute manière, si ça avait été le cas, je pense que j’aurais eu bien plus de mal que toi à l’encaisser, même avec une bonne préparation !
— T’es serrée ? lui demande Jenny.
— Euuuh
— Elle est serrée ? demande-t-elle à nouveau, à Florian cette fois-ci.
Ce dernier est étonné par cette question.
— Ben, euh, pffff
— Tu l’as baisé pendant des semaines, me dis pas que t’as déjà oublié !
— Non bien sûr. Ben… oui, c’était un peu serré au début, mais je pense que c’était peut-être plus dû au stress, non ? dit-il en se tournant vers Marion.
— Oui, peut-être un peu, mais j’ai quand même un petit sexe. Après, quand je suis à l’aise, ça va.
— Oui voilà, confirme Florian.
— OK, dit Jenny. Et ton anus ? Je suppose que c’est pareil, non ?
— Mais Jenny, qu’est-ce que ça peut bien foutre qu’elle soit serrée ou pas ? C’est pas toi qui vas la baiser, c’est moi ! s’exclame Florian.
— Alors déjà, que tu sois le seul à la baiser, ça, c’est pas dit ! dit-elle en lançant un clin d’il à Marion, et puis je suis curieuse, voilà !
— Non, mais y a pas de soucis ! lance Marion en rigolant. Oui, j’ai un petit anus aussi, mais comme j’adore la sodomie, je n’ai aucun mal à me détendre quand il faut passer par là !
— Aaaaah, ben c’est cool ça ! Il n’a pas trop de mal à se retenir avec tout ça ?
— Pour ça non, ça va, il est assez endurant.
— C’est une bonne chose déjà ! Pour le reste, tu verras qu’après une petite soirée avec nous, ça se passera bien mieux ! dit Jenny avec un grand sourire.
— Ben on verra, j’espère en tout cas !
Ils conviennent que la rencontre entre les deux couples se déroulera chez Jenny lors d’un petit dîner. Marion commence à se dire qu’au final, la proposition de Jenny n’est pas une si mauvaise chose, mieux, elle se sent très excitée, et à l’idée de se faire prendre par Florian dont elle sait qu’il arrivera sans peine à la faire jouir, et de profiter de Jenny.
Il faut dire que cette dernière est aussi intimidante qu’attirante, Marion le sait et comme elle aime aussi, à l’occasion, profiter des charmes féminins, de s’imaginer s’amuser avec elle lui met l’eau à la bouche.
Il y en a un autre qui en a l’eau à la bouche, et c’est Florian. La discussion qui a tourné autour des orifices de son ex petite amie n’a pas manqué de l’exciter, ce que s’empresse de constater Jenny qui, une fois dans la voiture avec lui, lance sa main vers l’entrejambe de son homme.
— Hmmmmm, j’en étais sûr que de parler des petits trous de Marion allait te faire bander ! dit-elle en constatant la raideur de la queue qu’elle touche au travers du vêtement.
— Je me disais bien que c’était pas innocent que tu te mettes à parler de ça d’un coup, avoue que tu l’as fait exprès !
— Ben quand j’ai vu que ça t’a gêné au moment où je t’ai demandé si elle était serrée, je me suis dit que j’allais insister ! dit-elle en commençant à déboutonner le pantalon pour libérer le sexe turgescent qu’il cache encore.
Florian la laisse faire tout en regardant autour de la voiture afin de voir s’il n’y a pas trop de monde. Jenny se moque de ça comme d’une guigne et, minutieusement, elle continue son effeuillage en ne s’occupant de rien d’autre. Elle finit par sortir une belle bite bien dure, dont le bout est déjà humide d’excitation.
— Voilà un de mes digestifs préférés ! s’exclame Jenny avant de passer sa langue sur le gland gonflé.
S’ensuit alors une fellation gourmande comme Jenny sait parfaitement les faire. Elle enduit soigneusement la tige de salive, alternant suçages rapides et plus lents en l’aspirant bien comme il faut à chaque fois, jusqu’à creuser de belles fossettes dans ses joues. Elle va ensuite lécher soigneusement chacune des bourses pendant qu’elle continue sa masturbation.
Florian soupire de plaisir en lançant, de temps à autre, des grognements et des onomatopées marquant son contentement tout en faisant naviguer ses yeux entre l’extérieur de la voiture et ce qu’il se passe entre ses jambes. Sa main caresse délicatement la chevelure de Jenny et il n’hésite pas à appuyer sur son crâne pour lui faire comprendre qu’il veut sentir sa queue bien profondément dans sa bouche.
Elle lui donne ce qu’elle veut et l’emprisonne alors jusqu’à la sentir appuyer fermement au fond de sa gorge ; elle maintient cette position de longues secondes en déglutissant de temps en temps puis elle se retire en poussant un long soupir, de la salive imbibant ses lèvres et coulant aussi sur son menton.
Elle lance à Florian un regard licencieux tout en se léchant les lèvres et il n’attend même pas une demi-seconde pour aller plonger sa langue dans la bouche où sa queue se trouvait quelques instants auparavant. Ils s’embrassent fougueusement pendant que Jenny branle de plus en plus vite le sexe qu’elle tient fermement et qui glisse parfaitement entre ses doigts, tout comme le gland qu’elle finit par emprisonner dans la paume de sa main pour le masser soigneusement.
Florian interrompt le baiser pour exprimer tout le bien-être que lui inflige sa belle.
— Hmmmm, oui chérie… continue comme ça, dit-il en basculant sa tête en arrière.
Jenny reprend sa fellation avec vigueur, à grand renfort de gémissements, elle branle et suce sans arrêt, accentuant de plus en plus l’excitation de Florian dont le point de rupture se rapproche de plus en plus.
Il ne s’occupe maintenant plus de ce qu’il se passe dehors, quand bien même on les observerait, il ne s’en apercevrait même pas. Jenny se contente à présent de le masturber rapidement en donnant, de temps en temps, de petits coups de langue sur le gland en attendant avec impatience qu’il jouisse.
Les soupirs de Florian se rapprochent, s’intensifient et il finit par jouir dans un râle profond avec lequel s’entremêlent les gémissements de Jenny qui accueille son cadeau avec un plaisir non dissimulé.
Elle lèche la délicieuse semence que crachote le gland congestionné qu’elle maintient fermement en prenant bien soin de ne rien laisser s’échapper.
— Hoooooo bordel, c’est trop bon, fredonne Florian, crispé de plaisir grâce à cette puissante jouissance.
Il passe sa main sur le dos de Jenny pour la caresser pendant qu’elle continue sa dégustation ; elle finit par se redresser en se léchant les lèvres avant de faire de même avec ses doigts. Florian la regarde en souriant et c’est alors qu’il la voit sourire à son tour, mais c’est un sourire qui ne lui est pas destiné.
Elle l’agrémente d’un petit rire tout en faisant un coucou de la main ; Florian tourne la tête et regarde dehors où il peut voir un couple qui se trouve non loin de la voiture. Ils ont sans aucun doute deviné ce qu’il vient de se passer et ils répondent au salut de Jenny par de grands sourires suivis du pouce levé de monsieur. Florian fait de même en souriant à son tour, puis le couple reprend sa route.
— Tu crois qu’on aurait dû les faire payer pour le spectacle ? demande Florian en remettant sa queue en place dans son pantalon.
— Ouais, peut-être, mais vu qu’ils étaient plutôt mignons, j’aurais demandé un paiement en nature ! répond Jenny en se regardant dans le rétro pour bien enlever toute trace de sperme.
— Grosse gourmande !
— Présente !
Après s’être tous deux remis d’équerre, ils reprennent la direction du bureau.