Il est 20h30, je m’appelle Léo et j’ai rendez vous avec- mon maître pour la première fois. Je l’avais rencontré sur un site après avoir posté une annonce décrivant mon désir de devenir soumis. Je n’avais alors aucune expérience avec un homme, j’avais déjà eu des relations avec des femmes mais, je sentais un désir en moi de "m’essayer" avec un homme. Je m’étais alors transformé petit à petit en "chienne ou salope" au dire de certain via des webcams. Mon cul n’avait alors goûté qu’à différent légumes, fruits, objets, godes et boules de geisha. Après avoir discuté avec un mec de mes envies, de ses attentes et des limites que nous avions fixé, nous décidons de nous voir .
Après m’être rasé le cul et fait un lavement, je pars chez mon maître sans vraiment savoir ce qui m’attend. J’avais mis un jean et un slip blanc, avec un pull très échancré pour l’occasion, pensants plaire à mon maître.
J’arrive chez lui à 20h20, je sonne l’interphone.
-C’est au deuxième, dépêche toi.
Je prends l’ascenseur et une fois arrivé devant la porte et sonne à l’appartement.
La porte s’ouvre et je le vois alors : grand, brun assez bien bâtis, il me dit d’entrer. Il me fait passer dans le salon d’un geste de la main. Mon cur s’emballe, un mélange de peur et d’excitation, mon cur et ma tête me disent de partir, mes jambes sont incapables de faire quoi que ce soit. Je m’assois sur son canapé. Nous discutons un peu, surement pour me mettre à l’aise, il pose alors sa main sur ma cuisse.
— Bien, tu sais pourquoi tu es là ? Me dit il…
— Oui, je pense.
— Tu penses ? rétorqua t-il d’une voie un peu plus sévère.
Je me surpris alors à lui répondre : Je suis là… parce que vous êtes mon maître…
— C’est bien tu as compris
Ses mots ne me laissaient pas indifférent et l’excitation montait, mon érection aussi ce qui ne passait pas inaperçu.
— Mais c’est que tu est excité ma petite, je crois qu’on va pouvoir commencer ton initiation.
Sur ses mots il enlève sa ceinture.
— Fait le reste esclave me dit-il.
Je pose alors fébrilement les mains sur son pantalon, défait son bouton et ouvre sa braguette. Je trouve alors un boxer blanc avec une grosse bosse que je palpe avec hésitation.
— Et bien Léo tu hésites ? Et sur ses mots enlève son boxer.
Je suis face à cette queue, pas immense mais, tout de même impressionnante, après tout c’est la première que j’ai en face du nez, belle, environ 16 cm à vue d’il. Je commence par là toucher avec hésitation… ça m’excite et je bande, très dur ! Je commence donc par branler mon maître en accélérant progressivement.
— Ho mais dit donc tu branles bien petite chienne, t’aimes ça ?
— oui maître !
— Qu’est-ce que tu aimes ?
— J’aime les bites, j’aime les toucher, je…
je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’il mit ses mains sur ma tête et la fit avancer vers sa queue.
— Tu vas me sucer maintenant ma petite.
J’ouvre alors la bouche, c’est chaud, un liquide visqueux s’écoule du bout de son gland, je commence des vas et viens et joues avec ma langue sur son gland.
— oh, je me doutai que tu allais être une vraie petite chienne, c’est bien tu as tout d’une petite pute.
Je m’activais à le sucer le mieux possible, de plus en plus rapidement. Il faisait des mouvements de bassin pour accompagner ma bouche et sa queue buttait parfois contre ma gorge :
-tiens salope avale là bien! T’aimes ça on dirai hein ?
— Oui maître, j’aime la bite, c’est trop bon…
Et sur ses mots, il commence à faire des vas et viens de plus en plus rapides, il me prend alors la tête et me dit d’ouvrir la bouche en grand. Dans un grand râle il accélère et me baise littéralement la bouche en m’insultant. Il pousse sa queue tellement loin dans ma bouche que j’en ai des hauts le cur.
— Oh ouai ma soumise, t’aimes ça hein, c’est trop bon. T’es une bonne bouche à bite !
Lorsqu’il arrête après 4 bonnes minutes je ne sens plus mes joues et ma langue, mon visage est plein de bave.
-Oh mais c’est une bonne petite chienne ça, tu suces comme une traînée.
Je n’ai pas le temps de répondre tellement je suis sonné par les assauts violents dont j’ai été la victime qu’il me donne une claque et reprend d’un ton plus sévère.
— Tu vas me répondre petite putain oui ?!!
— Oui maître, désolé maître, je suis ta pute !
— Tu commences enfin à comprendre qui tu es et où est ta place soumise.
Il me relève et commence à toucher ma bosse, apparemment ça lui plait de me voir bander.
— Mais elle aime ça en plus! Tu vas voir tu vas aimer encore plus ce qui va suivre.
Il m’ordonne alors de baisser mon pantalon, ce que je fais, je me retrouve donc en slip blanc devant lui…
— A poil salope je t’ai dit!
fébrilement je descends mon slip, visiblement pas assez vite pour lui puisque je reçois une claque, mes mains tremblent quand je finis par l’enlever.
— Met ton slip dans ta bouche et tourne toi.
Mon cur bat à 100 à l’heure, quand je reçois une claque sur les fesses, puis deux, puis trois, tout cela jusqu’à dix. Il m’attrape le bras et me tourne à nouveau, j’ai les larmes aux yeux. J’ouvre la bouche à sa demande et retire le slip plein de bave.
— Tu baves autant quand on te maltraite que quand tu suces petite pute, mets toi à quatre pattes, c’est l’heure de passer aux choses sérieuses me dit-il.
J’obéis, ma queue toujours raide, je m’imagine déjà la suite en bandant comme un âne, mais l’angoisse est toujours présente.
Il commence alors à me malaxer les fesses en m’insultant de tous les noms : putes, salope, chienne, catin, suceuse, salope, traînée, soumise… Puis sans me prévenir me rentre un doigt dans le cul à sec.
Je lâche un cri de surprise et aussi de douleur. Mon cul me brûle, il le ressort et le rentre à nouveau, mais cette fois plein de bave. Un second doigt rejoint alors le premier et il commence à me fouiller le cul petit à petit, de plus en plus rapidement.
La douleur commence à disparaitre et une sensation bizarre apparait.
— Alors ma chienne tu aimes ?
— Oui maitre…
— Je n’ai pas l’impression, je ne t’entends pas !
— Oui maître j’aime ça continuer pitié !
Je commence à gémir et pousser de petits cris aigus.
— Mais tu couines comme une femelle dit moi, je crois que tu es prêt.
Ses mots s’entrechoquent dans ma tête, mon cur s’emballe, il retire ses doigts, jentends un bruit d’emballage de capote qui se déchire, puis quelques secondes après se présente à l’entrée de mon cul son gland. La capote est recouverte de lubrifiant froid et il commence à pousser petit à petit. Il passe son gland sans difficulté après m’avoir préparé le cul, son pieu passe par contre plus difficilement, mais il arrive au fond. Il commence alors un long ramonage de mon cul, accompagné d’insultes et de fessées.
— Oh ouai c’est bon, t’as un cul de pute, une vraie pucelle, tu es toute serrée petite salope.
Honteux je réponds que j’aime ça et je commence à gémir de plus en plus, je deviens moi-même, mon état bestiale fait surface et je commence à hurler.
— Oh oui continuez maître, j’aime ça, encore encore encoooore!!!
— Calme toi petite pute…
Mais il y va de plus en plus vite.
— Salope tu vas voir…
Il accélère encore, je pousse des hurlements de femelle.
— Tu es trop bonne, salope, tu cries comme une vraie chienne en manque. Tiens prend ça au fond de ton cul !
-Merci maître de me baiser, merci de me dépuceler, je suis à vous, votre chienne, votre esclave.
— Tu apprends vite petite salope !
Il me laboure ainsi le cul pendant plus de 15 minutes.
— je vais te gicler à la gueule petite chienne tu vas prendre cher.
Il sort de mon cul rapidement et arrache sa capote, me place face à sa verge et jouit abondamment sur mon visage, j’ai les joues et les cheveux couverts de sperme chaud qui dégouline le long de mon front.
— tu es magnifique, à ta place de chienne, une vraie petite pute !
Sur ses mots je ne peux m’empêcher de lui répondre sur une voie d’allumeuse :
— oh une petite pute seulement ? je pensais avoir été une grosse chienne pourtant.
Il me gifla et me répondit que pour une fois j’avais raison !
Cette histoire est un de mes nombreux fantasmes que je souhaite réaliser, si vous êtes un homme sur la région parisienne (je suis dans le 91) et que vous êtes à la recherche d’une soumise, contactez-moi… [email protected]