Tu te retrouves là, dans cette chambre qui n’est pas la tienne… La lumière s’éteint…
Tout d’un coup, profitant de l’obscurité, tu sens une belle queue chaude bien dressée se promener contre ton visage. Tu cherches à l’attraper, mais il te retient les bras. Tu ne peux qu’ouvrir grand la bouche dans l’espoir de lui lécher les couilles, ou qu’il vienne y fourrer ce membre gonflé de désir.
C’est ce qu’il semble se dire, car, toujours sans rien dire, il finit par libérer tes bras. Il prends sa queue, et commence alors à te caresser le visage avec son gland, que le désir gonfle au maximum, le rendant aussi doux que la soie.
Tes mains finissent par aller à sa rencontre dans la pénombre. Il est entièrement nu, le membre fièrement dressé dont tu t’empresses de t’en emparer. Tout cela ne te laisse pas indifférente, tu commences à ressentir des petits picotements qui te font dire que tu aimerais bien que les rôles soient inversés… D’autant plus que ton partenaire se montre assez réceptif aux soins que tu lui prodigues au moyen de ta bouche et de tes mains…
’Suce-moi !’, finit-il par t’ordonner. Il n’en fallait pas plus pour te prier, car te voilà déjà à l’ouvrage, avec ta langue qui enroule ce gland pendant qu’une de tes mains est engagée dans un mouvement de va-et-vient destiné à intensifier l’excitation, l’autre étant occupée à découvrir le corps de cet appolon…
Du côté de ta chatte, ça commence à devenir critique : partagée entre la mission qui t’es assignée et ce feu qui couve dans ta culotte, tu ne sais plus où donner de la tête, et tu laisses échapper quelques soupirs lancinants tout en écartant tes cuisses. ’Mais quelle idée j’ai eu de me mettre en pantalon aujourd’hui’ te dis-tu en découvrant qu’écarter les cuisses n’arrange rien, bien au contraire, cela ne fait que resserrer la pression autour de cette région en feu, sans possibilité d’intervention directe dans l’immédiat.
Te voilà donc condamnée à prendre ton mal en patience, et sentir le désir t’envahir. Ca tombe bien, le mec que tu pompes depuis 5 minutes, sans toujours savoir qui se cache réellement derrière cette queue, se montre de plus en plus réceptif, d’autant plus qu’une de tes mains alterne incursion dans sa petite rondelle dilattée et malaxage de ses couilles. Ses soupirs de plaisir laissent alors place à une respiration de plus en plus intense, et son bassin commence à imprimer de petits mouvements destinés à te suivre dans tes mouvements de va-et-vien. Si bien que cette queue coulisse d’elle-même dans ta bouche et ta main, comme s’il voulait te signifier de donner le coup de grâce.
C’est alors qu’il se retire brusquement de ta bouche. Tout en exprimant sa jouissance, il finit par décharger sa semence sur ton visage, par jets qui te surprennent dans cette pénombre. En effet, comme il fait noir, tu ne vois toujours rien : tu restes la bouche grande ouverte, la langue pendue dans l’espoir de récupérer la queue, pour la finition. Il promène alors son gland encore baveux sur ton visage, étalant son foutre sur ta petite frimousse qu’il lui tarde de mettre au grand jour. Ne pouvant ignorer l’appel de cette bouche encore grande ouverte, il y fourre alors ce gland qui, phase de latence oblige, commence à se faire plus modeste. Qu’importe, tu termines comme tu avais commencé, avec ta langue enroulé autour, ce qui a pour effet de lui arracher des soupirs de plaisirs non dissimulés…
C’est alors qu’il s’éloigne, toujours sans dire un mot. Tu le sens autour de toi, rôdant autour du lit, prêt à fondre sur sa proie. Tes craintes étaient fondées, car à l’instant où tu t’alongeait sur le lit, ses deux mains prenaient possession de ta taille, à la recherche du bouton de ton pantalon. Juste le temps de l’ouvrir, de faire coulisser la braguette, d’enlever tes chaussures et chaussettes, et te voilà en petite culotte, déjà toute trempée. Tu te cambres, t’écartes les jambes, mais rien n’y fait, il ne semble pas décidé à te l’enlever.
Bien au contraire, il laisse ta chatte, dont les lèvres se dilattent de plus en plus, cuire encore plus dans cette étuve. En effet, il te relève, et te voilà assise sur le lit. Il te lève les bras, comme pour te faire comprendre qu’il te faut oter ce haut. Tu t’executes, et le voilà qui te projète aussitôt contre le lit, mais sur le ventre cette fois-ci. Tu sens sa bouche qui survole ta nuque, tes épaules, ton dos, le creu de tes reins, ton petit cul bien rebondi, ta croupe qui dégage un petit fumet bien appétissant, tes cuisses, tes jambes, tes pieds qu’il se met à mordiller, avant de reprendre alors le chemin inverse. Sa respiration te chatouille même par endroits.
Il est maintenat à hauteur de ta nuque, tu le sens passer sa main dans tes cheveux, dans ton cou… C’est alors qu’il reprend les mêmes caresses que tout à l’heure, mais avec sa langue, tantôt pointue, tantôt large et souple. Mais il s’arrête à hauteur de ta croupe, où il hume le fumet qui s’y dégage, et, comme pour mieux en profiter, il pose se mains sur tes fesses, et d’un mouvement sec, les écarte pour mieux y goutter au travers de ta culotte détrempée…
A croire qu’elle ne le dérange pas plus que ça dans ses manoeuvres, car il se contente juste de l’écarter, libérant ainsi les territoires convoités. Sa langue redouble d’ardeur et de curiosité, car le voilà en train de lécher maintenant la raie de ces fesses qu’il ne peut toujours pas admirer, l’obscurité étant toujours presque totale… Comme pour lui faciliter la tâche, tu te cambres alors, libérant le passage, et ses mains. Pendant qu’une écarte toujours tes fesses, l’autre s’en va s’enquérir de l’état de ta chatte, vu comme tu ondules depuis un petit bout de temps. Pendant que son index fouille à la recherche de ton clitoris, qui sera vite trouvé, étant quasimment dans le même état que son gland de tout à l’heure, son pouce commence à te pénétrer, à imprimer des petits mouvements de va-et-vient rotatifs dans ton vagin, ce qui ne te laisse pas sans effet. De la raie des fesses, sa langue s’en vient butter contre son pouce, avant de remonter juste au dessus, au niveau de ta rondelle, qui sous l’effet de surprise, se contracte. La langue devient alors plus fine, plus dure, comme pour forcer le passage. Il ne lache pas prise, et bientôt, ta rondelle cherche à avaler cette langue si pressante… Ta respiration s’accélère, et ton corps ondule de plus en plus pendant que tu mors avec insistance cet oreiller, comme pour mieux profiter égoïstement de cette jouissance qui commence à te submerger. Du côté de ta chatte, le pouce à cédé la place au majeur, vite rejoint par l’index et l’annulaire qui te defoncent pendant que le pouce trempé par cette incursion dans ton vagin carresse avec vigueur ton clitoris. Tu finis par lâcher l’oreiller, ne pouvant t’empêcher de lacher des gémissements de plaisir de plus en plus rapprochés. De son côté, l’excitation le gagne car il se remet à bander.
C’est alors qu’il se décide enfin à se débarrasser de cette dernière barrière, ta culotte réduite à l’état de string car enroulée sur elle-même. Tu sens alors son nez, et sa respiration, buter sur ta petite rondelle, sa bouche épousant les formes de ta chatte, sa langue fouillant le début de ton vagin, pendant qu’une de tes mains cherche sa queue, pour le branler. C’est alors que la jouissance atteint son comble, et qu’un orgasme t’envahit…
Il se retire, le temps de passer un préservatif… et d’allumer enfin la lumière. Vous voilà alors l’un en face de l’autre, radieux et souriants, toi rouge de plaisir, lui en nage avant même d’avoir commencé à te limer. Il s’assoit à côté de toi, et commence à promener une main sur ton corps, juste effleuré par les doigts, à la limite des chatouilles…
Toujours sans dire un mot, il te fait signer de t’allonger sur le ventre. Puis il prend tes hanches à pleines mains, pour te signifier de te mettre à quattre pattes. Tu obéis sans hésitations, en cambrant le plus possible ton petit cul, lui laissant aucune alternative : oui, il va te prendre en levrette, mais il fait preuve de quelque hésitation, avant de choisir finalement de venir planter sa queue dans ta chatte béante et trempée. Ses va-et-vient, de doux et presques insignifiants au départ, accélèrent et gagnent en vigueur, pour devenir presque violents, comme s’il avait décidé de défoncer ta chatte.
Pendant ce temps-là, ses mains ne cessent de caresser ton corps : ta croupe, ta petite rondelle dans laquelle plonge de temps à autre un pouce afin de la garder bien ouverte, tes hanches généreuses, ton dos bien cambré, et ton cou qu’il ne peut qu’effleurer. Il en a profité pour dégraffer ton soutien-gorge, libérant tes seins qui se retrouvent objets de beaucoup d’attention. Tu lui rend la pareille, en caressant d’une main ses couilles qui viennent frapper avec insistance sur tes lèvres béantes, pendant que ton autre main se balade, tantôt sur ses fesses qu’ils contracte au rythme des coups de butoir, tantôt sur tes seins de plus en plus sensibles, dont les tétons sont délicatement pincées par sa main restée sur place; l’autre étant retournée vers ta chatte où elle s’occupe avec vigueur de ton clitoris gonflé à bloc.
C’est alors qu’il se retire de ta chatte et tu sens alors sa queue se poser sur ta petite rondelle qui tente de résister à la pression de son gland. Lequel finit par pénétrer doucement, suivi du reste du membre.
Comme pour ta chatte tout à l’heure, les va-et-vien se font alors de plus en profonds, pendant qu’une de ses mains malaxe ton clitoris. Là aussi, le plaisir fini par laisser place à un bel orgasme.
Juste le temps de se retirer, de faire le tour du lit pour se mettre face à toi, et d’enlever la capote, et de commencer la branle, que déjà les premières gouttes de foutre s’échappent de son gland. Comme tout à l’heure, mais cette fois-ci au grand jour, il veut jouir sur ton visage. C’est alors qu’il te prend la main : tu crois qu’il veut te dire de la placer sous ses couilles, mais non, il va plus loin, c’est bien de sa rondelle qu’il te faut t’occuper. Tu y plonge l’index, vite rejoint par le majeur, et tu lui branles l’anus pendant qu’il branle sa queue. Dans des cris de plaisir, le voilà qui jouit à son tour, éjaculant sur ton visage, ta langue, ton nez. Il décalotte au maximum sa queue pour libérer son gland, qu’il vient te placer immédiatement dans ta bouche, tout en imprimant des petits mouvements de va-et-vient.
Comme pour te remercier, il se met à te caresser le corps, t’ayant demandé de t’allonger sur le dos. Il prend tes seins à pleine bouche, il les avaleraient presque… Sa main carresse ton bas-ventre, et c’est tout naturellement qu’elle vient fouiller ta toison et descendre dans ta chatte, ce qui te laisse échapper un soupir de plaisir…
Il n’en fallait pas plus : le voilà qui redescent, et qui vient dévorer ta chatte, sa langue pénétrant ton vagin pendant qu’il mordille ton clitoris et que ses mains malaxent tes seins, pinçant juste ce qu’il faut tes mamelons…