Chapitre 7
Christine, 43 ans, la mère de Marc.
Marc, 18 ans, le fils de Christine.
Jeanne, 51 ans, amie de Christine et mère de François, 21 ans et l’épouse de Jean.
Grégory, 18 ans, un copain de Marc.
Rose Martin, 71 ans, ancienne voisine de Christine.
Léon Martin, 72 ans, mari de Rose.
Jeudi matin Christine a prévu de faire une lessive. Il fait beau dehors, une superbe journée sannonce. Elle a prévu, une fois que la machine aura cessé de tourner, détendre le linge dehors.
Avant ça, elle prépare rapidement son repas pour midi. Dun coup elle entend un bruit étrange provenant de la buanderie.
Lorsquelle arrive sur les lieux, il y a de la mousse partout.
« Oh merde, mais qu’est-ce qui s’est passé ? »
Christine se tient la tête, se demande comment elle va pouvoir faire. Aussitôt, elle prend son fixe pour appeler un spécialiste dans l’électroménager. Christine arrive à avoir quelqu’un.
Elle lui explique ce qui s’est passé. On lui répond qu’on lui envoie quelqu’un qui arrivera dans la journée. Christine, bien embêtée, aurait voulu partir faire ses courses durant la journée, mais avec la venue de ce réparateur, il lui est impossible de quitter son domicile. Surtout qu’ils prennent le temps pour venir généralement !
Christine s’attend à le voir arriver dans l’après midi.
À 10h30, la sonnette retentit dans la maison. Christine, surprise quil soit déjà là, se rend en vitesse pour accueillir la personne attendue.
Lorsquelle ouvre la porte, elle tombe des nues. Cest Grégory qui tient une caisse à outils dans la main.
« Bonjour Christine !!
‒ Grégory ? Mais, tu travailles là-dedans, toi ?
‒ Hé oui…, je finis mon apprentissage cette année ! Alors, que se passe-t-il ? »
Christine se sent toute bizarre, elle n’a pas prévu la visite de Grégory. Tout de suite, les souvenirs de dimanche dernier lui reviennent à la tête.
En lui montrant son cul, une partie de l’après-midi, seulement munie du string, elle a dû lui faire une drôle d’impression.
Elle se dirige, les jambes toutes flageolantes, devant Grégory à l’endroit où se tient le lave-linge.
« Voilà, regarde… !
‒ OK, ben, je vais regarder ça ! »
Christine reste derrière, le jeune homme lui parle, mais celle-ci n’est pas concentrée à ce qu’il lui dit. Elle ne peut s’empêcher de se repasser la scène où elle se retrouve en sandwich entre Grégory et son fils, en bandant tous les deux comme des ânes. Elle essaye de se ressaisir.
« Ça me fait plaisir que tu sois venu aussi rapidement, dis-moi, veux-tu que je te serve un rafraîchissement ou un apéro ?
‒ Oh ben, si vous insistez !
‒ Que veux-tu ?
‒ Oh ben, si vous avez un Ricard, ça sera parfait ! »
Christine laisse un instant Grégory ausculter la machine.
Elle part dans le salon et sert un verre de Ricard et un Orangina pour elle.
« Grégory, c’est prêt, viens boire au salon, ça sera plus confortable !
‒ OK, merci, j’arrive ! »
Grégory arrive dans la pièce et s’installe sur le canapé. Christine part chercher les biscuits apéritifs.
Elle revient avec le plat et s’installe sur un pouf qui se situe en face de Grégory, de l’autre côté de la table basse.
Grégory ne peut s’empêcher de la regarder de haut en bas. Elle est restée habillée comme elle l’était ce matin, avant que la machine n’ait un problème. Une chemise rouge qu’il lui serre ses énormes seins. Une jupe tailleur, noire, arrivant à mi cuisse. Les jambes galbées d’un collant blanc et aux pieds, ses escarpins noirs. Christine ne fait pas attention à ses regards.
« Alors, tu crois qu’elle a du mal ?
‒ Non, ne craignez rien, ça vient seulement de la porte de la machine. Elle ferme mal, donc l’eau est sortie, c’est tout !
‒ Oh ben, ce n’est pas si grave, finalement ?
‒ Non… ! »
Grégory finit son verre et le pose sur la table basse.
« Tu en veux un autre ?
‒ Un dernier, alors ! »
Christine se penche en avant pour attraper la bouteille de Ricard, dans l’action, elle écarte un peu les cuisses. Grégory fixe tout de suite son entrejambe. Il a la joie de voir la lisière des bas blancs et le tissu noir de son string en dentelle.
Christine veut lever la tête, tout en le servant, pour lui demander si la dose lui convient.
Elle constate que le regard pervers du jeune fixe son entrejambe.
Les mains de Christine tremblent et la bouteille baisse d’un coup pour venir au contact du verre.
Celui-ci se renverse du côté de Grégory et tout le Ricard est projeté sur le pantalon du jeune homme.
« Oh, Grégory, pardon, que je suis gauche !
‒ Oh mais, ce n’est pas grave !
‒ Je suis désolée, attends, je vais essuyer ça ! »
Christine court dans la cuisine pour revenir avec une serviette.
Elle s’installe à côté de lui et commence à lui frotter le pantalon, au niveau de la cuisse.
« Franchement, Christine, ne vous embêtez pas, ce n’est rien, vous savez !
‒ Oh si, quand même, tu en as partout ! »
Grégory la laisse finalement faire. Il la regarde frotter, puis il tourne son regard vers ses cuisses. Dans le feu de l’action, certainement en s’asseyant rapidement en voulant le sécher, la jupe de Christine remonte au-dessus des lisières des bas.
Grégory en a la gorge qui sèche. Il fixe les bas de Christine en trouvant ça hyper sexy.
Christine décide de lui frotter le bas de son pantalon. Elle descend son cul du canapé pour s’accroupir à coté jeune homme. Dans la position dans laquelle est la quadragénaire, Grégory a, maintenant, la presque totalité de l’entrejambe de la femme à sa vue.
Ne pouvant plus se contrôler, il se met à bander. Christine continue à frotter. Puis, elle remonte vers le haut et son regard s’arrête net devant la partie du bleu de travail déformé.
Christine faisant mine de rien, elle reprend ses mouvements. Grégory est gêné, rouge de honte.
« Voi…, voilà, c’est bon, tu es moins mouillé, Grégory !
‒ Non…, non, c’est bon, merci Christine ! »
Grégory se lève et repart auprès de la machine pour terminer son travail.
Christine en est toute retournée. Elle finit de ranger la table basse. Elle s’arrête dans la cuisine, il est 11h30. Elle passe voir Grégory :
« Grégory, dis-moi, tu en as encore pour longtemps ?
‒ Euh, à peu près jusqu’à midi, pourquoi ?
‒ Ça te dérange, si je te laisse tout seul dans la maison, je vais au village chercher la viande chez le boucher ?
‒ Non, non, c’est bon, vous pouvez y aller ! »
Christine prend son manteau et son sac à main et part au village en voiture. Cinq minutes après, le jeune homme a terminé la réparation. Voulant tester la machine, il prend les affaires qu’il y a dans la caisse à linge sale qui se trouve à ses côtés. Mais en mettant le linge, il fait maladroitement tomber un des strings au sol. Grégory s’arrête net, il le prend avec sa main, oubliant totalement son devoir. Il palpe ce string en dentelle rose avec ses mains. Grégory en prend soin, comme si sa vie en dépendait. Il le met au nez pour le sentir :
« Hummm, oh le parfum de Christine et dire que sa chatte était collée à ce tissu quelques jours plutôt ! »
Sachant que Christine est partie au village, Grégory n’hésite pas à sortir sa verge par la braguette du bleu de travail. Il commence une magnifique branlette.
Collé au mur avec le string de Christine dans la main, il se branle avec le tissu, appréciant le contact de sa queue avec celui-ci.
Les yeux fermés, la tête dans les étoile, il se remémore les scènes de dimanche et celle dil y a moins d’une heure.
Emporté par ses émotions, Grégory ne peut plus s’empêcher d’imaginer à voie haute.
« Ooooooh, Christine, salope, oui montrez-moi vos gros seins, ouiiiiii !!! »
Au même moment, Christine revient précipitamment, elle a oublié son portefeuille.
Voulant payer la réparation de la machine à laver, elle l’avait posé sur le buffet de la salle à manger.
Christine rentre dans la maison et stoppe net, restant sur place. Elle entend des cris venant de la buanderie.
Croyant que Grégory sest fait mal, elle marche vers lui.
Mais Christine s’arrête encore et écoute les râles qui sortent de la pièce.
« Oooooh, comme vous êtes belle ! »
Christine fait de gros yeux. Joignant ses mains au-dessus de ses seins, la gorge sèche, elle marche sur la pointe des pieds pour ne pas faire claquer les tallons au sol. Arrivée à côté de la porte entrouverte, elle n’arrive pas à croire ce qu’elle voit :
Grégory se masturbe avec l’un de ses strings.
Elle ne peut pas détacher son regard de sa queue en pleine action !
« Ooooooh, Christine, comme vous êtes bonne, ohhhhh, sucez-moi, salooooooooope ! »
Christine se plaque, dos au mur du couloir. La main devant la bouche comme pour s’interdire de vouloir dire quelque chose.
« Oooooh, montrez-moi vos gros seins que je les tète ! Montrez-moi votre cul pour que je puisse le bouffer. Ooh, je suis sûr que ça vous excite de me voir bander devant vous ! »
Christine n’en croit pas ses oreilles. Tous ces mots lui sont destinés. Son entrejambe se remet à lui jouer des tours et à couler comme une fontaine.
Le string noir qu’elle porte sur elle est dorénavant tout mouillé.
Elle y colle sa main dessus à travers la jupe comme si elle avait une envie de pisser.
« Oooooooh oui, oui, je jouis, je jouis, regardez salope, je jouis pour vous ! »
Comme par réflexe, elle se retourne pour voir le sperme du jeune réparateur souiller son string. Ce sont de longues giclées qui se déversent dans le tissu. Grégory donne des coups de reins en avant. Il nettoie bien sa queue ramollie avec.
Elle le regarde faire, rouge de honte. Grégory le met dans la machine et la fait tourner pour tester sa réparation.
Christine part sans faire de bruit. La chatte en feu, le corps tremblant, elle récupère son portefeuille et repart au village. Dans la voiture, elle se pose mille questions :
« Oh mon dieu, mais que m’arrive-t-il ? Pourquoi je mouille comme ça, moi ? Il pourrait être mon fils… !! »
Grégory finit de tout ranger et lorsqu’il arrive dans le hall, Christine fait son retour, en jouant la comédie de celle qui n’a rien vu.
« Alors, ça y est, c’est réparé ?
‒ Oui, c’est bon, j’ai réparé la porte ! »
Christine le paie et Grégory part en lui faisant la bise. Elle est toujours dans le même état.
Son corps ne s’est pas encore remis. Elle s’assied sur le canapé afin de reprendre ses esprits.
Dix minutes plus tard, le bip de la machine à laver se fait entendre. Christine se dirige vers elle et récupère le linge lavé pour pouvoir l’étendre. Ses mains tremblent, car elle sait très bien qu’elle va tomber sur le fameux string où, il y a une heure à peine, Grégory s’est frénétiquement masturbé dedans. Et pas manqué, elle tombe nez à nez avec.
Bien-sûr, la machine a fait disparaître toute trace de sperme, mais quand-même, pour la pauvre Christine, elle ne peut pas ne pas y penser. Elle imagine la bite de ce jeune homme audacieux, se frotter contre ce tissu et elle se remet à mouiller.
« Oh mais, tu es folle, ma pauvre Christine, mais qu’est-ce qui te prend ? Il a l’âge de ton fils, voyons ! Même si il s’est donné du plaisir en pensant à toi, tu ne peux pas penser à ça ! Il a joui…, a joui…, pour moi ! »
Christine fixe à nouveau le tissu. Sa tête est bouillante, son entrejambe hurle un "à l’aide aux caresses" ! Elle tombe à genoux. Lune de ses mains soulève la jupe, son souffle devient plus fort, mais plus court. Sa main progresse jusqu’au tissu du string. Elle qui n’a plus fait ça depuis longtemps, voilà qu’elle se surprend à ne plus pouvoir s’en empêcher.
Puis brusquement elle jette le string loin devant elle.
« Nooon…, non, je ne peux pas penser ça… ! Je suis folle…, même sil a joui pour moi, je ne peux pas penser à ça ! Il a joui…, oooh, mais son membre et si petit comparé à celui de mon fils ! »
Christine se met à faire de gros yeux et plaque ses deux mains devant la bouche comme sil y avait du monde dans la pièce.
« Mais, je ne vais pas bien du tout…, comment je peux penser au sexe de mon fils dans un moment pareil ? Je ne peux pas…, je peux… ! »
Christine se rapproche du string, se mentant à elle-même de le mettre dans la corbeille.
Rouge de honte, elle le fixe une nouvelle fois.
Ce n’est plus la queue de Grégory qu’elle imagine contre ce string, maintenant, mais celle de Marc, son propre fils !
« Nooon…, je ne dois pas… ! Ooooh Marc, ta verge…, elle…, elle est tellement grosse… ! »
Dans sa folie, elle ne s’est pas rendue compte que sa main droite est dans son string et quelle est en train de caresser sa chatte.
« Oooh, Maaarc, noooon… ! »
Ne pouvant plus rien contrôler, elle est maintenant couchée sur le dos, les jambes écartées, le string bombé par sa main droite, à l’intérieur, qui caresse son entrejambe qui hurle de désir. Christine n’est plus maîtresse d’elle-même !
« Oh Marc, pardonne à ta maman, mo…, mon chériii…, pardonne-lui d’être une garce, mais ta queue, mmm, ta queue est tellement…, grosse ! Oohhh, comme je m’en veux…, comme j’aimerais la toucheeeer ! »
Christine donne des coups des reins comme si elle faisait l’amour.
Un de ses doigts remue son clitoris dans tous les sens.
« Oh Marc, je jouis, ooooh, mon chéri, je jouis pour toi…, ooh que j’ai honte…, regarde ta mère comme elle jouit…, ouiiiiiii ! »
Essoufflée, les mains sur le ventre, elle regarde le plafond. Christine a honte de son égarement. Elle se lève, prend le string et le pose dans la corbeille.
Après avoir étendu le linge, elle part prendre un bain.
Dans la salle de bain, couchée dans la baignoire, elle s’en veut énormément de son laisser-aller. Dun seul coup, le téléphone sonne.
Juste le temps de se mettre une serviette et elle part dans le salon pour répondre.
Cest le lycée de Marc. Il s’est fait mal en sport !
Apparemment, il se serait brûlé la main en voulant se hisser à une corde.
Christine part chercher son fils qui se trouve à deux heures de la maison.