Je reprends le travail, fatigué mais la tête pleine de souvenirs merveilleux de cette semaine martiniquaise. En rentrant chez moi, je me pose dans mon canapé, une bière à la main et j’essaye, un peu perdu, de faire le point. J’ai rencontré en Cathy une femme incroyable et il ne fait aucun doute que j’ai envie de la revoir. Mais Jessica est si attachante et si excitante que je ne peux donner trop d’importances à quelques prises de tête estivales. Surtout que notre relation est meilleure depuis la rentrée. Je décide de ne rien décider et de me laisser vivre un moment.
J’appelle ensuite Jessica puis Cathy. Elle me dit qu’elle a envie de me voir, mais qu’elle a beaucoup à faire et ses enfants l’accaparent beaucoup. Néanmoins, elle me dit de passer chez elle jeudi car les enfants sont chez leur père ce soir-là.
A 19h le jeudi, je sonne à la porte de Cathy. Elle porte une jolie robe noire, tout simple, mais adorable. Nous nous embrassons à pleine bouche dès que la porte se referme. Cathy m’offre à boire et nous nous installons sur le canapé. Nous parlons du retour difficile à la vie quotidienne après cette magnifique parenthèse en Martinique. Rapidement, nous nous embrassons à nouveau et nos caresses se font plus coquines. Je retire alors sa robe par le haut et découvre un luxueux ensemble de lingerie. Cathy ôte mon pull, mon t-shirt et mon pantalon avant de me faire allonger sur le canapé. Elle descend mon boxer et me prend dans sa bouche. Courte, sa fellation me laisse sur ma faim, mais Cathy, écartant son string, vient ensuite à califourchon sur moi et s’empale sur ma queue. Son sexe est détrempé. Je mesure rapidement à qui j’ai affaire. Cathy commence de courts va-et-vient et accélère vite la pénétration, modifiant régulièrement la façon de glisser sur mon sexe. En quasi transe, elle jouit à deux reprises tandis que je la pelotte et lui lèche les seins, sortis de leurs coques.
J’explose en elle peu après son second orgasme. Cathy me sourit, nous nous embrassons avec passion.
Je la découvre nue, en pleine lumière, et ses tétons sont plus gros que je ne l’imaginais, de la taille de sucre en morceaux, tant par la longueur que la largeur. Je les lèche et les aspire encore puis lui dis :
— Je comprends mieux pourquoi ça pointait sous tes hauts.
Elle rit.
— Ils se devinent même avec certains soutien-gorge alors quand je n’en porte pas…
Elle m’embrasse. Puis elle me dit :
— Je ne suis pas à l’aise d’être avec toi ici, mais je ne regrette pas.
— Pourquoi ?
— J’ai réfléchi et je ne suis pas sûre de ce qui est bon de faire ou non. Je suis très indécise. J’essaye de peser le pour et le contre. Je ne sais pas encore si on doit continuer ou pas.
Je la regarde, elle me sourit.
— Ce serait plus simple pour moi si tu ne me plaisais pas. Je souris mais ça n’est pas drôle. Tu me plais, Florent, et… et cela implique beaucoup de choses dans ma situation.
— Je comprends. Je réfléchis également, Cathy.
— Et ?
— Et j’ai décidé de ne rien décider.
— C’est ce que je me dis aussi pour l’instant. Pas envie de hâter et envie de prendre du bon temps avec toi, même si je risque de souffrir dans quelque temps.
Au fil de notre discussion, Cathy m’avoue avoir trompé son mari à deux reprises ces dernières années, mais cela est visiblement loin du nombre de maîtresses qu’a eues celui-ci. Elle dit avoir beaucoup souffert depuis la naissance de leur second enfant et qu’elle a retrouvé un certain équilibre grâce au yoga. Elle me confie également que le rapport que nous venons d’avoir est son premier depuis trois ans.
Après avoir grignoté, nous revenons au salon et continuons à discuter. Je n’ai jamais connu de femme avec laquelle mes échanges semblent aussi riches et prenants. Nous faisons une nouvelle fois l’amour au coucher et je remarque à nouveau à quel point Cathy est intense durant l’ébat et combien elle adore être à califourchon sur moi, position dans laquelle elle contrôle et fait sans cesse varier la profondeur, l’angle, la vitesse et l’amplitude de la pénétration. Je passe la nuit avec elle et la quitte à regret le matin.
Jessica passe le week-end chez moi. Cependant, je sens que je ne suis pas complètement avec elle et elle me demande à plusieurs reprises si tout va bien ou à quoi je pense lorsque j’ai la tête ailleurs. Je lui dis que je suis encore fatigué du voyage (ce qui n’est pas entièrement faux). Jess se montre douce et attentionnée durant ces deux jours. Elle s’en va le dimanche soir. Nous avons fait l’amour à trois reprises durant le week-end.
Je reviens chez Cathy le jeudi suivant, le 27 novembre, mais exceptionnellement, son mari n’a pas pu prendre les enfants qui dorment à l’étage à mon arrivée. J’arrive à 21h et nous passons la soirée à discuter au salon. A un moment, son fils cadet descend et vient demander à boire à sa maman. Il me salue poliment et remonte se coucher. Cathy me dit qu’elle n’aura pas les enfants ce week-end et dit que nous pourrions nous voir, mais je me vois mal poser un lapin à la dernière minute à Jessica. De plus, j’ai envie de la voir. Cathy n’insiste pas. Je pars à minuit. Elle m’accompagne sur le pas de la porte. Nous nous embrassons et nous caressons. Elle est brûlante. Je lui dis en souriant :
— Tu veux toujours savoir ce que c’est qu’un quicky ?
Elle me regarde et répond :
— Je ne sais pas si l’endroit est…
Je l’embrasse et déboutonne son jeans. Elle tire la porte pour la fermer. Nous sommes sur le palier. Je descends son pantalon. Son regard lorsque je me redresse n’est qu’excitation. Je la tourne, écarte son string et glisse en elle. Cathy est toujours aussi trempée lorsqu’elle est excitée. Je la prends avec vivacité et vigueur. Mes hanches claquent contre ses fesses et Cathy gémit. A peine une minute de cette active pénétration et je jouis dans son vagin. Je me retire, range mon sexe . Cathy remet son string en place et remonte son pantalon. Elle m’embrasse.
— Je crois que j’ai aimé.
— Tu crois ?
— Je le dis comme ça. C’est plus élégant que dire que j’ai adoré être "quickée"
— Pas très joli, effectivement.
Elle m’embrasse. Je m’en vais.
Durant le week-end, j’ai droit aux mêmes remarques que durant le précédent de la part de Jessica. Je lui dis que ça va, mais je me pose des questions et je dois parfois faire des efforts pour rester dans certaines conversations. Nous allons au cinéma, mais je ne "vois" pas le film. Jessica me suce pendant la séance. Nous couchons ensemble quatre fois et elle met un porte-jarretelles pour sortir samedi soir.
Je mange avec Cathy le mardi 2 décembre à midi et elle est en tailleur. Elle m’explique que si elle met beaucoup de robes et de jupes en vacances, c’est rarement le cas dans le quotidien. Je lui dis que j’apprécie énormément qu’elle en ait mis une pour manger avec moi. Nous regrettons de devoir être "sages". En partant, Cathy me dit :
— Je remets une jupe ou bien une robe si jeudi, tu me promets d’être chez moi quand je rentre du travail à 17h30.
— J’y serai. Même avant. Je t’attendrais devant l’entrée.
Deux jours après, j’arrive effectivement à 17h25 et Cathy dix minutes plus tard. Je monte dans sa voiture et nous descendons au parking souterrain. Elle porte un tailleur robe très chic et elle me dit :
— Tu me fais faire des folies, tu sais.
Chez elle, je découvre que Cathy a mis un porte-jarretelles. Je lèche son minou noir et tondu. Il est trempé, mais je n’aime ni le goût, ni l’odeur de son sexe. Je l’emmène tout de même à l’orgasme avant que Cathy ne vienne à califourchon sur moi. Alors qu’elle se déhanche sur mon sexe, elle dit :
— J’ai pensé à toi toute la journée, à ce moment, à ta grosse bite.
Elle fait durer l’ébat, je la sens monter deux fois, trois fois, puis redescendre. Elle explose d’un orgasme fabuleux qui précède le mien de quelques secondes. Sa jouissance dure, descend, remonte. Cathy gémit bruyamment avant de s’affaler son mon torse. Exténuée. Il lui faut plusieurs minutes pour reprendre complètement ses esprits. Je vais chercher à boire. Échevelée, rouge et en sueur, Cathy rit désormais :
— C’était parfait, Florent.
— Tu m’as presque fait peur.
— Tu m’excites. Je pense à toi, je pense à nouveau au sexe et je prends beaucoup de plaisir à le pratiquer avec toi. Il y a longtemps, tu n’imagines même pas.
Je l’embrasse.
— Ravi de découvrir ce porte-jarretelles.
Elle rit.
— Le seul que j’ai ! Je ne suis pas fan mais j’ai pensé que ça te ferait plaisir. Tu restes avec moi cette nuit ?
— Je peux, oui, si tu en as envie aussi.
— Et comment…
Elle m’embrasse puis se lève et va se doucher. Je fais de même après elle. Dans sa chambre ensuite, je la regarde mettre de la crème sur son corps. Elle est nue et je la trouve magnifique. Je le lui dis. Elle rougit. Elle passe un magnifique ensemble soutien-gorge et string sous un peignoir en soie. Elle a faim et nous grignotons, debout autour plan de travail.
Sur le canapé, Cathy se blottit ensuite dans mes bras pendant que nous discutons. Plus tard, nos baisers nous électrisent et elle me suce. J’aime qu’elle le fasse, mais j’avoue que Jessica suce incontestablement mieux que Cathy. Elle vient ensuite à cheval sur moi et pendant qu’elle ondule sur mon sexe, je commence à lui caresser l’anus du bout du doigt. Comme elle semble y prendre plaisir, je continue à caresser son petit trou de mon doigt humide, pénétrant une phalange. Cathy jouit puis elle me lance un coup d’il bien coquin et sourit. Le plus naturellement du monde, elle se redresse, sort mon sexe de son vagin et "change de trou" : doucement, elle s’assied sur ma bite, enfonçant petit à petit mon sexe dans son cul. Par de petits mouvements, elle l’introduit entièrement puis elle va et vient ainsi pendant plusieurs minutes. Je suis halluciné qu’elle puisse faire cela ainsi, sans la moindre préparation. Cathy semble prendre un pied d’enfer et à un moment, je me demande même si elle ne jouit pas.
En tous les cas, j’éjacule abondamment au fond de son cul. Elle se couche ensuite à mes côtés, visiblement comblée. J’en reste sans voix.
Nous allons nous coucher peu après, discutons encore, enlacés dans le lit avant de nous endormir. Au réveil, nous faisons l’amour et prenons notre petit-déjeuner ensemble. Cathy est aux anges.