CORRECTION : SYSTEME PILEUX
N’hésitez à me faire part de vos impressions, idées, souhaits dans les commentaires.
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N’en pouvant plus, j’ouvris la porte…
Le spectacle qui s’offrit à mes yeux était magnifique. Ma sur était allongée sur son lit, ne portant qu’un t-shirt mauve et des chaussettes roses. Elle avait un casque de réalité virtuelle sur la tête et sa main droite était posée sur sa vulve, en train de la caresser. Elle semblait être en train de regarder un film érotique vu la façon dont elle se dandinait. De petits cris aigus sortaient de sa bouche à intervalles irréguliers. Ma sur était en train de se masturber !
Voyant cela, ma bite se dressa de toute sa longueur. Mon pantalon peinait à retenir le monstre enragé. Pris d’une impulsion, j’appelai ma sur :
— Euh… Miléna !
Mais c’était sans compter les écouteurs qui se trouvaient sur ses oreilles. Le casque de réalité virtuelle sur les yeux, elle était donc sourde et aveugle aux éléments extérieurs. Une idée germa alors dans mon esprit.
Je filai dans ma chambre et pris mon téléphone. Quand je revins, ma soeur n’avait pas bougé. Elle avait juste accéléré la cadence de sa main. Elle était rouge d’excitation, au bord de la jouissance.
Je m’approchai alors du lit, brandis lentement mon téléphone et pris plusieurs clichés : une photo d’ensemble, une photo de sa main sur son clitoris et un gros plan de son vagin.
Je posai ensuite mon téléphone sur une étagère, l’objectif en direction de la scène. Je lançai ensuite une application de webcam et commençai l’enregistrement. De retour dans ma chambre, j’allumai mon ordinateur, rejoignis un site internet de webcam privée et tapai mon adresse IP et mon code. Quelques secondes plus tard, je voyais ma sur en pleine action.
Je me félicitai d’avoir choisi un téléphone pourvu d’un appareil photo très haute qualité car je ne manquai ainsi aucun détail.
Ma sur avait maintenant introduit deux doigts dans son vagin et commençait les va-et-vient. Son clitoris était tout gonflé et sa cyprine coulait sur la couette formant une flaque en dessous d’elle. J’entendais ses cris à travers le mur de ma chambre et en décalé par mes écouteurs à cause de la latence du réseau Internet.
Soudain, elle s’arrêta. Elle se leva, enleva son casque de réalité virtuelle et s’approcha de son ordinateur. Apparemment, la vidéo qu’elle regardait s’était terminée. Je zoomai et pus ainsi le voir nettement l’écran de son ordinateur.
Elle se trouvait sur le site « Porn360 ». Elle alla dans « catégorie » et à ma grande surprise, sélectionna « Inceste ». Je fus ensuite encore plus surpris lorsqu’elle cliqua sur la sous-catégorie « Entre frère et sur ».
Ainsi, ma sur avait des penchants incestueux. Elle devait penser à moi lorsqu’elle se faisait plaisir. J’attendis alors qu’elle eut sélectionné une vidéo (« Son frère la surprend dans la douche et la sodomise ») puis qu’elle eut remit son casque de réalité virtuelle, pour me lever de mon siège.
Ma sur étant de nouveau dans son monde virtuel et sexuel, je me dirigeai ensuite vers sa chambre et ouvris discrètement la porte. Je m’approchai du lit. Je déboutonnai mon pantalon et descendis mon boxer. Je pris ma bite en main, qui apparut enfin dans toute sa splendeur et sa hauteur.
Je commençai à me masturber au-dessus de ma sur en la regardant attentivement. Les petits cris et l’odeur de la cyprine mêlés m’excitaient beaucoup. De plus, ne m’étant carressé depuis plusieurs jours, je savais que j’aurais du mal à me retenir.
Je tins tout de même cinq minutes et des brouettes avant de sentir la jouissance arriver. Ma sur semblait elle aussi sur le point de jouir. Mon esprit étant embrumé par le plaisir, je ne prévus pas mon éjaculation à temps. Je comptais jouir dans un verre mais je n’eus pas le temps de l’approcher de mon sexe que déjà une giclée partit. Ma sur poussa alors un cri. Je partis en courant.
Le problème était que j’étais toujours en train de jouir. En me tournant pour partir de la chambre, une giclée atterrit directement sur les seins de ma sur. Une trainée de sperme s’étala alors sur tout le chemin jusqu’à ma chambre. Au passage, un jet toucha involontairement une photo de ma sur avec ses copines.
Je regagnai enfin ma chambre. Sur la webcam, je voyais ma sur qui avait enlevé son casque et regardait partout autour d’elle, sans doute cherchant le fautif qui avait balancé sa crème sur elle.
« C’est pas possible d’être aussi stupide » pensai-je.
Elle sortit de la chambre et pista les traces de semence à terre. Elle menait bien sûr devant ma chambre. Elle fit un faux pas et glissa sur une flaque de sperme. Elle s’étala de tout son long. Je me rhabillai rapidement et sortis nonchalamment de ma chambre. En me voyant, ma sur tenta de cacher ses magnifiques mamelles. Son coude glissa une nouvelle fois dans le sperme et elle retomba à terre. Je fis semblant d’être choqué et m’exclamai :
— Qu’est-ce que tu fous ?
Elle prit un air colérique et tenta de se relever une nouvelle fois. Une fois debout, elle cria :
— Qu’est-ce que je fous ? Tu me demandes ça ? T’as vu ce que tu viens de me faire ? Ne le nie pas, les preuves sont là ! Tu m’as éjaculé dessus ! Espèce de gros pervers !
Je ne pus m’empêcher de prendre un air fautif. Elle leva les bras de colère.
— Tu croyais quoi ? Que j’allais te sauter dans les bras et te faire une fellation ?
— Euh… Non, non ! répondis-je d’une minuscule voix.
— T’es un gros pervers ! Et nettoies tes saloperies, maintenant ! fit-elle en désignant les flaques de sperme sur le sol
Elle retourna dans sa chambre en claquant la porte. Le temps de reprendre mes esprits, j’entendis la porte d’entrée de la maison qui s’ouvrait. Les parents revenaient ! Je devais rapidement nettoyer le couloir.
Je pris un rouleau de sopalin et essuyai rapidement le sol. Pour la chambre de ma sur, j’espérais qu’elle n’oublierait pas de la faire. J’éteignis mon ordinateur et descendis dans le salon. Mes parents étaient assis dans le canapé et se reposaient. Je leur dis bonjour et ma mère me pria de faire à manger. La raison : mes parents allaient être occupés toute la soirée par leur boulot (ils sont avocats associés).
Ils montèrent donc dans leur bureau, me laissant seul. Je me dirigeai vers la cuisine et mis rapidement une pizza dans le four. J’escaladai ensuite les marches quatre à quatre. L’attitude de ma sur m’avais choqué. Je ne pensais pas qu’elle réagirait comme ça. J’avais lu et vu tellement d’histoires incestueuses qui finissaient toujours par de la baise que je ne m’étais pas posé la question de sa réaction.
Je toquai donc à sa la porte de ma soeur pour m’excuser. Personne ne répondit. J’entrai. Ma sur était sous sa couverture en train de lire un livre. Je m’approchai d’elle et lui dis :
— Je suis sincèrement désolé ! Je ne voulais pas…
Ma sur leva les yeux de son livre et me sourit.
— Tu as vraiment cru à mon cinéma ? me dit-elle. Je fantasme sur toi depuis longtemps ! Et toi ? Toi, tu m’éjacules dessus ! Mon rêve se réalise !
Je restai bouche bée.
— Et puis, tu sais, pour le cours de sexe au lycée, j’ai envoyé mon inscription. Tu pourras venir me voir autant que tu voudras !
Ma surprise avait maintenant atteint sa phase maximale. Enfin, c’est ce que je pensai.
Elle jeta alors son livre et sortit de la couverture. Elle était nue de la tête aux pieds.
— Qu’est-ce que tu attends ? Ma chatte est tout à toi ! On a tout notre temps, les parents travaillent, ils se sont enfermés à double tour dans leur bureau.
J’hallucinais complètement. Suivant l’ordre de ma sur, je descendis mon pantalon et ma bite prit rapidement de l’ampleur. Je m’approchai de ma sur et lui empoignai les fesses. Elle s’approcha de mon visage et m’embrassa. Je lui rendis son baiser et une fois que nos bouches se furent décollées, je lui souris.
Je crois que je vais également m’inscrire au cours. Je pourrais alors être au premier plan pour te regarder.
En fait, tu es déjà inscrit ! J’ai envoyé ton incription en même temps que la mienne. On commence demain à 10h30.
A SUIVRE…