Maintenant nous faisons ménage à trois avec Ja et mon frère Jules. Notre petite vie s’est organisée tranquillement et nos parties de jambes en l’air sont toujours aussi intenses que cela soit à deux ou à trois avec ou sans moi!
Enfin aussi intense plus trop depuis 4 mois en tout cas pour moi. Car les deux amours de ma vie ont décidé de monter leur affaire et ils ont ouverts un restaurant qui sert de la cuisine coréenne. Donc pour que leur resto soit rentable ils partent tôt le matin et reviennent tard le soir. Au début je les aidais un peu mais j’ai également un travail qui me prend du temps et qui est assez fatigant je suis infirmière !
Alors depuis quatre mois le sexe est passé au dernier plan de leurs projets, enfin pour leur part. Nous avons une grande maison avec quatre chambres chacun la notre qui nous sert la plus part du temps de bureaux. La quatrième chambre a un lit très grande taille où nous dormons généralement tous les trois ensemble. Mais depuis quatre mois à mon grand désespoir elle reste inexorablement vide. Ils nous arrive d’y passer quelques nuits mais après quelques caresses je me retrouve souvent au milieu de deux dormeurs. On ne peut pas me définir comme une nymphomane mais quand même j’ai besoin d’un minimum. Et n’étant pas satisfaite, comme beaucoup je pense, je suis devenue un peu grognon et de mauvais poil.
Aujourd’hui nous sommes samedi et bien sur je suis seule à la maison, encore un soir de déprime sexuelle. Je décide de m’installer dans notre chambre commune. J’y ai quelques petits instruments qui me permettront d’améliorer mon humeur. Je me créée une ambiance chaleureuse. J’ai allumé des bougies un peu partout dans la pièce, j’ai ouvert une bouteille de vin et j’ai une petite nuisette un peu transparente. Même si personne n’est là pour regarder je le fais pour mon plaisir. Je m’allonge dans le lit, et commence à me caresser doucement. Je me caresse les seins, à l’aide de mes doigts je me pince les tétons. J’applique de l’huile de massage sur les pointes. Je l’étale et descend lentement ma main droite vers mon vagin. J’effleure mes lèvres et caresse mon clitoris. Doucement je rentre deux doigts dans ma chatte. Je suis trempée. Je m’empare de mon « ami » vibrant, le lubrifie un peu et le rentre délicatement en augmentant l’intensité. Je fais des va et vient de plus en plus rapide et j’atteins la jouissance assez vite. Je m’endors assez rapidement ayant un peu diminué ma frustration.
Dans mon sommeil mon subconscient me fait faire des rêves très érotiques. J’arrive même à penser que les caresses dont je rêve sont vraies. Elles deviennent plus insistantes, je comprends alors que ce n’est peut-être pas une hallucination. J’ouvre un il et je vois mon frère caresser lentement mes jambes. J’écarte une jambe pour lui montrer que je ne suis pas indifférente à ses gestes. Il se lève, s’allonge à coté de moi et remonte délicatement sa main de mon sexe jusqu’à mon cou et me tourne la tête pour m’embrasser.
« Ja est sous la douche, il nous rejoint dès qu’il a fini. Apparemment tu t’es amusée toute seule.
– Je fais avec les moyens du bord, puisque vous êtes trop fatigué. Je lui rétorque un peu amer.
– Oui mais tu sais avec le boulot on est vraiment claqués car c’est normal on démarre juste!
– Je sais cela mais quand même, nous n’avons pas fait l’amour correctement depuis au moins quatre mois et moi je n’en peux plus.
– Alors comme ça tu es en manque! Me dit-il un sourire aux lèvres. »
C’est à ce moment là que Ja est rentré dans notre chambre, il était seulement vêtu de sa serviette de bain nouée à la taille, ce qui faisait ressortir ses abdos comme mon frère. Et c’est vrai que depuis qu’ils travaillaient tous les deux, le peu de graisse qu’ils avaient, avait été remplacé par du muscle. Contrairement à moi qui calmais mon manque par du chocolat (mais ça c’est une autre histoire ! ).
Ja s’allonge de l’autre côté et je me retrouve avec mes deux apollons dans notre lit.
« Notre chère femme (oui même si nous ne sommes pas marié, nous nous considérons comme l’étant) vient de me dire qu’elle n’a pas pris son pied depuis quatre mois et que c’est de notre faute. Nous sommes donc des maris incompétents. Déclare Jules.
– Et bien puisque c’est comme cela nous devrions nous faire pardonner. Répond Ja.
– Si c’est pour vous endormis après vous êtes soulagés. Vous n’avez pas besoin de moi. Dis-je
– Cela serai dommage car demain nous avons décidé de prendre une journée de repos donc pas besoin de se lever tôt, nous avons la nuit devant nous. Mais tu fais comme tu veux! » Ironise Jules
Je les regarde l’un après l’autre pour avoir confirmation de leurs dires et après approbation, mon visage s’illumine et un large sourire apparaît. Je me colle à Jules et l’embrasse langoureusement, je me retourne et fais pareil à Ja. Nos mains s’entrelacent et caressent nos corps, nos langues se mêlent dans long baiser voluptueux à trois. Ja prend l’huile de massage et m’en verse sur le ventre. Leurs mains s’unissent et étalent lentement le liquide de mon abdomen à mes seins. Ils les caressent, les pétrissent et s’attardent sur mes tétons. Je sens une douce chaleur m’envahir des pieds à la tête, mon corps réagit et ondule sous leurs caresses. Ils passent alors des mains aux langues et lèchent mes mamelons, les titilles. Ils les tètent, les aspirent, dans la pièces on entend plus que les bruits de succions et mes halètements.
Leurs corps se pressent contre moi et je sens l’odeur du gel douche que j’aime sur leurs peaux. J’essaye d’atteindre les serviettes mais elles sont trop basses. Ils doivent lire dans mes pensées car au même moment ils se lèvent tous les deux quittent leurs bouts de tissus et viennent présenter leurs queues érigées devant ma bouche. Je les attrape de mes mains et commence un long va et vient. De mon point de vue, je peux les voir se caresser, s’embrasser et s’enlacer. Je rapproche alors ma bouche de ses deux tiges de plaisir et leur donne des coups de langue sur les glands chacune leur tour. Ils se réunissent et je peux alors mettre dans ma bouche leurs sexes durcis. Je les suces, les avalent le plus loin que je peux. J’ai un besoin vital de les sentir dans ma bouche, au fond de ma gorge. Je passe de l’une à l’autre avec frénésie, j’aime sentir les amours de ma vie proche du point de rupture.
Ja s’écarte et se rapproche de ma chatte. Je suis totalement humide, il passe sa tête entre mes jambes, sépare mes grandes lèvres avec ses doigts et d’un coup de langue remonte de mon anus à mon clitoris , je cris sous ce bonheur. Jules se met alors à califourchon sur moi et nous nous retrouvons en position du 69. J’ai deux langues que me fouillent, me titillent, me lèchent et m’aspirent, je suis au bord de la jouissance. J’essaye tant bien que mal de continuer ma fellation malgré mon manque d’air dû au plaisir qu’ils me procurent. Je sens alors deux doigts (je ne pourrais pas vous dire de qui) me pénétrer lentement. Cette intrusion rempli mon corps de spasmes. Les doigts s’agitent d’abord lentement dans un va et vient puis il se tourne et je sens chaque phalange bouger en moi. Les va et vient s’accélèrent et je n’entend plus que le bruit que ma mouille fait dû aux frottements. Je n’en plus, j’essaye de me libérer de cette étreinte mais Jules qui est sur moi me bloque. Les deux doigts accélèrent alors à un rythme effréné, mon vagin se contracte et je sens alors mon bas ventre parcouru de spasmes et un grand jet de mouille sort ma chatte. Je hurle sous le plaisir. Ils s’empressent de coller leur bouche sur mon con pour boire le jus de leurs efforts et de ma jouissance. Mon corps est hors de contrôle, j’ai des spasmes pendant quelques minutes. J’ai peut-être atteint ce que l’on peut appeler le 7ième ciel.
Le temps que je me calme et que je revienne parmi eux, ils se sont remis de part et d’autre de moi, me prenant dans leurs bras.
« Eh bien je ne t’ai jamais vu comme ça mon cur!
– Moi non plus! Confirme Jules
– Quand je vous dis que je suis en manque vous n’y aller pas de main morte ! C’est également pour moi une première d’avoir une éjaculation féminine si importante.
– Je pense que ton manque est maintenant comblé. Me demande Ja
– C’est pas sûr, je ne vais quand même pas vous laissez sur votre fin. A moins que je sois de trop!
– Bien sur que non ce soir, on est là pour toi, pour nous faire pardonner de t’avoir délaissé. Me dis mon frère.
– Eh bien dans ce cas là vous avez du temps à rattraper ! Je réponds avec un regard coquin.
Ja s’allonge alors sur moi et me passe sa queue sur ma fente humide. Il joue avec moi rentrant à peine le gland et ressortant immédiatement. En même temps il s’occupe d’un de mes seins et Jules de l’autre. Quand je m’y attend le moins, Ja rentre sa tige entièrement très lentement et jusqu’au fond de mon vagin. Un courant électrique me parcours tout le dos. J’arrive à atteindre avec ma main, la queue de mon frère et l’attire vers moi. Je le veux dans ma bouche. Nous nous remettons en 69 et pendant que Ja me pistonne, Jules me lèche et me masse le clitoris. De temps en temps, Ja sors sa queue et se la fait sucer par mon frère. A chaque fois qu’il re-rentre en moi, des frissons me parcourent. Jules se relève en enfonce sa queue un peu plus profondément dans ma bouche, ils se mettent à s’embrasser.
Puis je les entend murmurer mais je n’arrive pas à entendre ce qu’ils se disent. Ja répond d’accord. Mon frère sors sa queue de ma bouche, Ja me prend dans ses bras, me bascule et je me retrouve allongé sur lui, les fesses offertes à mon frère. Je me dis que si c’est une sodomie qu’il veut me faire, je ne suis pas très pour. Nous en avons déjà fait mais je ne suis pas une grande fan. Ja m’écarte alors légèrement les jambes, il arrête ses va et vient et tout en restant en moi je sens mon frère qui essaye de s’introduire mais pas là où je pensais. Il rentre sa queue dans mon vagin. Ils veulent me faire une double vaginale. Un peu affolée au début car vu la taille de leurs engins j’ai un peu peur de me faire écarteler. Mais ils me rassurent. Jules prend du gel, l’étale sur sa queue et sur mon vagin. Il réessaie de rentrer. Je me couche sur Ja et essaye de me détendre. Il me caresse et me couvre de baiser pour apaiser la douleur. Jules est rentré, ils restent en moi sans bouger, le temps que je m’habitue à cette intrusion. Après quelques minutes, je leur fais un signe de tête en guise d’approbation. Il commence alors lentement en même temps et à la même cadence des va et vient. Je sens que je vais me déchirer mais la douleur fait vite place au plaisir. Et je me retrouve, moi même, à essayer de m’empaler sur eux. Ils restent immobiles et je bouge mon bassin, ondule, accélère et fais pénétrer leurs queues au plus profond de moi. Je sens qu’il ne vont pas tarder à jouir. J’arrête alors de bouger pour qu’il puisse prendre la cadence qu’ils désirent. Ils se mettent à me pistonner je dirai même me pilonner très très vite et en décalage. J’ai l’impression d’être transpercé. Quand j’entends leurs souffles s’accélérer, je passe mes bras derrière moi et attrape mon frère et je m’allonge sur Ja. J’essaye tant bien que mal de contracter mon vagin afin de les faire venir plus vite. Et quelques secondes après, ils éjaculent tous les deux en moi. Je sens deux jets de foutre chaud m’inonder, j’en jouis de plaisir. Nous nous écroulons les uns sur les autres, les queues alors se libèrent de leur fourreau et je sens le sperme s’échapper de ma chatte.
« Quel pied ! S’exclame Ja
– Oui c’est clair, c’était génial ! Continue mon frère
– Oui c’était pas trop mal ! Dis-je. Je sentis deux regards perplexe me fusiller.
– Parce qu’il t’en faut encore ! S’étonne mes 2 maris en même temps. J’explose alors de rire. Non c ’était génial mais par contre la prochaine fois vous pourriez demander avant de faire de nouvelle chose !
– Plains-toi ! Comme si tu n’avais pas apprécié !
– Surtout que je ne t’ai jamais vu en mode furie. Rétorque Ja.
– Je ne me plains pas mais la prochaine fois prévenez au lieu de me prendre en traitre par derrière! »
Nous explosons tous les trois de rire, peu de temps après nous nous sommes endormis collés les uns aux autres avec nos sexes encore chaud de spermes.