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Inceste à la ferme – Chapitre 1

Inceste à la ferme - Chapitre 1



Aujourdhui, à la ferme, cest les battages.

Une centaine de personnes des fermes avoisinantes, sont venus aidés à battre le blé.

Les hommes dès le début du jour commencent dans la chaleur et la poussière à donner les gerbes de blé à la machine, pour en récolter un joli grain.

Les femmes elles, soccupent de préparer le repas pour tout ce monde.

Nous sommes aux environ de quinze heures, le grain est rentré, la table est dressée, et tous sinstallent pour déjeuner.

Après le travail, cest la fête, les chants, la musique, les femmes ont revêtues leurs longues robes.

Les jeunes filles dont mes cousines, font le service, elles aussi sont en beauté, elles sont habillées avec des jupes assez courtes qui laissent entrevoir leur petite culotte, tout cela excite les mâles, qui nhésitent pas à y passer la main, pour le plus grand plaisir de ces demoiselles en chaleur.

Bien souvent cest dans ce genre de fête que les filles prennent leur premier coup de queue, ou trouvent leur fiancé et futur mari.

Le vin et lalcool sont de la partie, tout ce beau monde se trouve très vite dans un état euphorique.

Quand elles ne servent pas, mes cousines sont assises à mes cotés.

Alors que le café est apporté, le voisin de mon oncle, un homme assez grand passe la main aux fesses dIsabelle, la petite se met à rire, elle se rapproche de cet homme qui doit être du même âge que mon oncle, il en profite pour lui passer sa large main sur son entre cuisses quil masse, en passant un doigt dans sa petite culotte.

La fille regagne sa place, les joues rouges, mais heureuse, de ce quil vient de se passer.

Quelques instants plus tard, Isabelle nest plus là, je demande à sa jeune sur ou elle est, elle me sourit sans répondre.

Ne la voyant pas revenir, je repose la question, la petite me regarde avec son petit sourire malicieux, et me dit de la suivre, en direction de létable du voisin.

Nous y rentrons, elle me fait signe dêtre silencieux, nos pas sont couvert par le bruit des vaches qui sont dans les box.

Nous contournons la meule de paille, ainsi positionné, nous pouvons voir sans être vu.

Ma cousine est bien là, agenouillée sur la paille, ses petit seins sont libérés et pointent en direction du voisin qui est adossé à la murette et qui lui présente son sexe, après lavoir branlé à la main, il lui tire sa tête pour quelle le suce, en lui introduisant sa bitte au fond de la gorge de la mignonne qui hoquette.

La jeunette ne se fait pas priée, elle engloutit cette belle queue et se met à le pomper avec ardeur, lhomme râle et souffle en se faisant branler.

Quelle salope pensais-je.

Couché dans la paille, entre les cuisses de la petite, le valet du voisin, un homme dune trentaine dannée, est lui aussi occupé à manger la moulette de ma cousine, elle est toute rouge et transpire sous le traitement que lui infligent les deux mâles.

Après un bon moment, ils la font coucher dans la paille, ses cuisses sont bien écartées, Paul le voisin, se positionne, dans cette fourche, il frotte son gland, sur la fente, positionne les jambes de la femelle sur ses épaules, et insère son gourdin dans le ventre de la gamine qui gesticule.

Je peux voir ce long est gros cylindre de chair aller et venir dans lintimité, en percutant le fond de lutérus, de celle qui hier était mienne.

Pendant quelle se fait prendre, le valet, lui enfourne son long sexe dans la bouche, la prenant derrière la tête pour aller encore plus au fond dans sa gorge, la faisant cracher en sétouffant.

Il la positionne en levrette, son petit cul est bien cambré, la prenant aux hanches, il lui emmanche son fondement, lui arrachant quelques cris, très vite remplacé par des oh et des ha ce qui prouve quelle apprécie.

Ma petite cousine, Léa, à coté de moi, ne perd rien du spectacle, mieux, elle se caresse la minette en regardant sa sur sen prendre plein les fesses.

Pour conclure, Paul se couche sur la paille, il demande à sa partenaire de venir sempaler sur sa tige bien raide.

Elle descend lentement, en écartant ses lèvres vaginales avec ses mains, je vois cette tige brunâtre disparaître toute entiere dans le ventre de la belle qui ouvre grand la bouche, comme pour chercher de lair.

Il la fait se coucher sur lui, pour quelle cambre son joli petit cul, ainsi positionné, il dit à lautre type de lenculer, Isabelle ne veut pas trop, elle dit que çà va lui faire mal. Malgré ses réprobations, il embroche sa longue pine dans létroit canal de ma cousine, qui sous les assauts conjugués des deux mâles, pousse des cris de plaisir.

Elle écarte ses fesses avec ses mains, et incite les deux mâles à la fourrager encore plus profondément.

Je me délecte du spectacle, ma queue à létroit dans mon slip me fait mal, je fais signe à Léa de me suivre derrière la meule de foin, je lui demande de se coucher, elle ne se fait pas prier, car elle aussi, a envie de se faire mettre.

Ainsi positionné, jécarte ses cuisses bien pleine, sa petite culotte a disparue, son abricot bien juteux de mouille mattire, je fais coulisser un doigt dans sa grotte, très vite remplacé par ma bouche, ny tenant plus, je la pénètre, après quelques coups de buttoir, jéjacule rapidement dans son ventre.

Bien planté au plus profond de sa chatte, je ne bouge plus, et me vide en longs jets au plus profond de son intimité.

En regagnant la sortie, il commence à faire sombre, nous manquons de marcher sur des couples enlacés dans la paille qui eux aussi se font du bien.

Il ny a presque plus personne dehors, tous sont dans les granges, ou hangars, je fais signe à ma compagne de me suivre dans ma chambre, car jai encore envie de me faire cette jeune salope en chaleur.

En passant prés du silo ou est entreposé le grain, il y a une femme qui crie son plaisir, en sapprochant, je reconnais ma tante, couchée sur le sol, les cuisses ouvertes, trois hommes sont entrain de lembrocher, un dans chaque orifice, elle gueule de plaisir sous les assauts de ses amants qui la tringle vigoureusement

La mignonne nest pas surprise de voir sa mère dans cette position.

Nous regagnons ma chambre et le lit qui nous tend les bras.

Bien plus confortable que la paille, nous baisons toute la nuit, Léa est insatiable, elle me quitte, au petit matin pour rejoindre sa chambre, rassasiée et heureuse.

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