A Sept heures j’arrive sur le lieu de rendez-vous, un café en périphérie, il y a un gros semi-remorque garé juste à côté.
Dès que je rentre, je vois qu’un homme à une table me fait signe.
Ils ont dû me décrire ; qu’ont-ils pu raconter d’autre, je l’ignore ?
En tout cas il a l’air sympa, un grand type brun, un peu dégarni avec un petit bouc bien taillé, large d’épaules, dans les 45 ans à peu près.
On discute un moment sans aucune allusion à la séance chez ses copains, il est assez viril, jean, polo basket et je me sens à l’aise avec lui.
Il m’explique qu’on va d’abord charger avant de prendre la route et qu’on fera une étape ce soir dans un petit hôtel sympa qu’il connaît et où il retrouve des potes routiers comme lui, pas cher et on mange bien.
A mon air, il me rassure tout de suite, ne t’inquiète pas, la chambre est payée et je t’offre le repas, on sait ce que c’est ; il ne me laisse même pas payer les cafés.
Les opérations de chargement effectuées, où j’ai aidé comme j’ai pu, ce qu’il a eu l’air d’apprécier, nous prenons la route, la cabine est confortable et nous discutons beaucoup, de tout et de rien avec juste une pause pour un déjeuner succinct de quelques sandwiches.
Aucune allusion à caractère sexuel, juste il me demande si j’ai déjà eu beaucoup de filles et je réponds bien sûr que non, pas encore.
Parfois, de temps en temps il ponctue la discussion en me posant la main sur la cuisse mais pas plus.
Vers 18 h nous sortons de l’autoroute et r après quelques kilomètres, nous nous arrêtons sur un grand parking devant une grande maison affichant routiers et motel.
A la réception je vois qu’il est connu car on le salue et l’homme lui tend une clé :
« Tiens Alain, le 12 comme d’habitude lui dit-il en souriant. »
En effet, derrière se trouve des petits bâtiments et le 12 est un peu isolé des autres,
« J’y ai mes habitudes me dit-il. »
Grande chambre propre, il y a juste un grand lit et un cabinet de toilettes attenant, rideaux tirés.
« Allez pose ton sac, on mange tôt avec les potes, on se couche tôt car demain il y a de la route. »
La salle de restaurant est sympa, il y a juste trois hommes dans son style, on dîne a la même table joyeusement, juste je ne me méfie pas, je suis un peu pompette à la fin du repas et je titube un peu jusqu’à la chambre ce qui le fait sourire.
« Allez, couche-toi, je prends une douche et dodo. »
Je me mets en slip et m’allonge sur le ventre, toujours un peu pompette, j’entends la douche s’arrêter et je n’ose regarder.
Le matelas bouge et je sens son corps massif qui s’allonge, à côté de moi.
Une main se pose sur mes reins et descend sur mes fesses, je ne bouge pas mais ma respiration s’accélère, il doit s’en rendre compte car sa main s’insinue entre mes fesses qu’elle écarte doucement, tétanisé je ne bouge pas.
Doucement il me retire mon slip, je me soulève légèrement pour lui faciliter la tâche, il comprend alors que je ne vais pas résister.
Du mouvement et ses doigts se posent sur mon petit trou, ils sont enduits de gel et il le fait pénétrer avec deux doigts…
Il bouge et s’allonge sur moi, le poids de son corps et son sexe raide entre mes fesses, c’est excitant et je ne bouge pas, il était donc déjà nu.
Ses mains s’insinuent entre le lit et mon torse et en même temps que son gland force le passage, mes tétons sont pincés, plutôt fort.
Je gémis et il me dit :
« Je vais bien te baiser ma puce, j’ai envie de ton cul depuis ce matin et on m’avait bien prévenu que tu te laisserais faire. »
Dans cette position je suis pratiquement immobilisé et il commence des va-et-vient qui me font gémir de plus belle.
Il ricane :
« Tu peux gueuler, le bâtiment est bien isolé et tu vas voir, ils ont l’habitude ici. »
Son pieu rigide est entièrement en moi et je me sens baisé comme une femelle, sentir ce mâle qui me prend tout en me travaillant les tétons m’excite au plus haut point, j’ose même un :
« Oh oui vas-y baise moi »
Qui le fait ricaner et me limer de plus belle.
Il se retire d’un coup et me prenant la tête, il me retourne et il pousse sa queue dans ma bouche, elle est courte mais assez large et je le pompe comme j’ai appris, il me bloque la nuque et dans un grand cri se vide dans ma gorge à m’étouffer, c’est tellement brutal que je jouis aussi presque en même temps rien que par ce traitement…
Il se retire et reste allongé à côté de moi, une main sur mes fesses labourées puis il me dit :
« Allez viens on va se doucher, la soirée n’est pas finie »
Je ne relève pas l’allusion et je le suis sous la douche où il me frotte doucement jusqu’à introduire ses doigts savonneux dans mon petit trou qui ne s’est pas encore refermé, il en profite pour m’embrasser et je me laisse faire, sa grosse langue envahissant ma bouche.
On ressort et il me dit en me tripotant le sexe :
« Mais dis-moi, c’est que tu es déjà bien poilu ma petite pute, allez allonges toi on va arranger ça, je vais te raser, tu seras plus présentable »
Je me laisse manipuler avec un certain plaisir d’être un objet d’attention de l’homme que j’ai fait jouir et qui m’a dominé.
Il a vite fait de m’enduire de crème à raser tout en me caressant et comme je commence à bander il me dit que c’est bien et que ça va être plus facile.
Il a des gestes doux et précis et m’envoie me rincer, je me vois dans la glace, complètement glabre pubis et sexe lisse, ça me plaît.
Quand je reviens j’ai mis un peignoir de bain, il l’ouvre et regarde d’un air satisfait :
« Tu es très excitant comme ça ma petite salope, tiens ouvre le sac et habille-toi »
Il a posé un petit sac de voyage sur le lit, j’en sors des bas fumés, un porte-jarretelle rouge et une culotte en dentelles de même couleur.
Je le regarde sans comprendre.
« Ne discute pas, enfiles tout ça, ce soir tu vas être un peu plus fille, mes amis adorent ça et je ne veux pas les décevoir, j’ai perdu beaucoup au poker et c’est toi qui va les rembourser »
Je lui dis que ça me fait peur et que je n’en peux plus ce soir mais il me gifle avec force :
« Ta gueule, tu obéis salope, ce soir tu es à moi et tu vas voir tu vas adorer tout ça ».
Je comprends que je suis piégé et je revêts ces atours sexy, ça me fait drôle mais ce n’est pas désagréable d’être en sous-vêtements de pute, il me regarde et semble apprécier.
Il me demande de m’allonger sur le ventre et trousse le peignoir, je me demande s’il veut encore me baiser mais non :
« Tu es encore étroite ma salope, je vais te mettre un petit Plug, tu supporteras mieux la suite, détends-toi et laisse-moi faire ».
Il me travaille un peu avec ses doigts et du gel puis je sens un objet dur me pénétrer, je gémis un peu puis, fatigué par cette séance je somnole sa main toujours posée sur mes fesses…