Une sensation bizarre me réveille, mais pas complètement, petit à petit, la conscience me revient et j’ouvre les yeux.
J’aperçois des poils pubiens, en fait, ma bouche est envahie par la queue d’Alain, il voit que je suis réveillé et me salue d’un :
Bonjour petite salope, j’avais juste envie de me vider dans ta gorge ce matin.
Je pompe maintenant avec application sa grosse queue et il arrive vite à l’orgasme, me bloquant la nuque et envoyant de puissants jets au fond de ma gorge que j’avale vite pour ne pas m’étouffer.
Il me repousse, allez prépare-toi vite, on a encore de la route et je dois impérativement livrer ce soir, ne t’inquiète pas, je te déposerai avant ma petite pute et, si tu veux, tu me diras et je te remonterai à la fin des vacances puisque tu sembles apprécier ma compagnie.
On est vite sur la route, je suis encore un peu fourbue de la veille et je sens encore les traces du passage de toutes ces queues qui m’ont tant fait jouir.
Je somnole et il me dit de me reposer sur la couchette, aujourd’hui, c’est route, c’est tout.
Je m’installe confortablement et m’endors avec des visions de queues et de mâles en chaleur.
En fin d’après-midi Alain me dépose au bout du chemin de la ferme de mes oncles où je dois passer mes vacances avec mes cousins.
J’ai toujours été plus proche de Jean, mon ainé d’un an qui travaille déjà à la ferme et est bien plus costaud que moi.
C’est un grand gars blond, aux muscles saillants d’une tête de plus que moi et je me suis toujours senti protégé quand il est avec moi, et ce, depuis notre enfance.
On est content de se retrouver et, après une journée, où j’aide comme je peux, on part se balader sur sa petite moto, moi derrière, mes mains accrochées à ses hanches.
L’air est doux, on roule doucement et je sens son corps musclé entre mes mains, drôle de sensation, j’avance mes mains à la limite de ses cuisses, mais sans réaction de sa part, je n’ose aller plus loin.
On rentre à la nuit et on va se coucher, on se lève tôt à la ferme et depuis tout petit, on partage le même lit dans la chambre la plus éloignée du bâtiment.
Je suis allongé sur le ventre, et je sens la présence de Jean depuis mon initiation, sentir ce corps fort et ami à côté de moi ne me laisse pas indifférent, est ce que la situation déteint sur mon cousin ?
Je suis presque endormi quand une pression sur mes reins, la main de Jean ; est-ce juste un mouvement comme ça ?
Mais la main reste posée sur mes reins, j’ondule un peu du bassin, comprenant qu’il teste mes réactions, je lui montre que je n’y vois pas d’inconvénient.
Je pense qu’il comprend, car doucement, la main descend sur mes fesses et se fait plus caressante.
Et pour lui prouver, ma main se déplace doucement et vient délicatement se poser sur la grosse bosse qui gonfle son pyjama.
Je n’y avais jamais prêté attention et vu ce que je tâte, le cousin doit être bien équipé…
Ma main s’insinue dans la braguette du pyjama et je sors un très beau membre bien tendu et plein de vigueur.
Je sens à ses caresses maladroites que ça doit être une première pour lui et je l’aide en écartant bien les cuisses et en ondulant du bassin qu’il comprenne que je suis consentant.
Je m’aperçois vite qu’il faut que je le guide un peu et je m’enfouis sous les draps, atteignant vite sa grosse queue que je commence à lécher puis à pomper tout en lui malaxant les couilles que je sens bien pleines.
Il semble surpris, mais comprend vite ce qu’il faut faire et m’attrape la tête pour s’enfoncer à fond et buter sur la gorge tout en donnant des coups de reins. Il faut que je calme sa fougue, car j’ai trop envie qu’il me prenne…
Je pousse et je sors sa queue tendue à l’extrême de ma bouche et lui lèche les couilles, il apprécie, je le sens à ses gémissements et à ses petits coups de reins.
Je me demande s’il a déjà eu une expérience.
Je suis très excité et je prends sa main pour la placer sur mes tétons durcis par le désir, il comprend vite et me les pince, ce qui me met au comble de l’excitation, j’ai maintenant très envie de me faire baiser par sa grosse queue.
Je m’aperçois qu’il comprend vite et que ses instincts de mâle dominant le guident, il a compris qu’il avait dans son lit une salope dont il allait tirer du plaisir.
Il me travaille maladroitement, mais efficacement les tétons et se rend compte de mon excitation et ma docilité.
Il me retourne lui-même sur le ventre et d’un geste déjà dominateur, me retire mon pantalon de pyjama, je me soulève pour lui faciliter la tâche et lui montrer que je n’attends que ça.
Je sens le poids de son corps quand il s’allonge sur moi et pose son gros gland sur mon petit trou prêt à être distendu.
Le gland bien enduit de ma salive s’enfonce presque sans effort, me tirant un long gémissement qu’il étouffe en me bâillonnant avec une main tandis que l’autre serre avec force ma queue qui bande à fond.
Maintenant, c’est toute sa queue qui m’a envahie et ses coups de reins lents, mais puissants m’amènent à un orgasme dévastateur, juste quand je jouis dans ses doigts, je sens sa queue durcir encore et de longs jets brulants qui me remplissent, ça n’en finit pas.
Il apprend vite le salaud, car il se retire, me retourne et m’ordonne d’une voix dure :
Suce-moi salope.
Encore sous le choc de ma jouissance, je m’exécute et lui lèche sa grosse queue, satisfait, il me repousse et je sombre dans un sommeil réparateur.
Quelle journée et quelle découverte, le séjour ne sera pas de tout repos…..