Jean-Jacques navait jamais sodomisé personne car il navait jamais osé demander çà à sa femme, nous en avions parlé et je lui avais proposé de linitier, puisque moi je pratiquais cette variante sexuelle depuis déjà longtemps, aussi bien en tant quactif que passif, en fréquentant périodiquement certains parcs boisés où se rencontrent les gars pratiquant ce genre dexercice.
Dénudés complètement dans une chambre dhôtel, je suis très agréablement surpris par la taille de son sexe (18cm) et par sa belle paire de couilles bien rasées, pendantes et bien pleines, jai hâte de le sentir dans mon cul, je prends donc sa queue dans ma main, je commence à le branler mais comme il bande immédiatement, je commence une longue fellation pour le mettre en bonne condition :
je suce bien son gland et le lèche avec ma langue, introduisant légèrement la pointe de celle-ci dans la fente de son urètre, puis je gobe entièrement sa bite jusquau fond de ma gorge et la promène dans ma bouche, le pompant vigoureusement avec beaucoup de salive, en la frottant à lintérieur de mes joues, tout en lui palpant ses couilles avec une main et en lui introduisant un doigt dans le cul avec lautre, ce qui le fait frémir de plaisir, et, lorsque je le sens prêt à éjaculer, je cesse de le sucer et je me mets à quatre pattes sur le bord du canapé en lui disant de venir menculer.
Jécartes bien mes fesses avec mes deux mains pour lui offrir ma rosette, Jean-Jacques présente alors son gros gland bien mouillé sur ma rondelle humide et senfonce lentement dans mon trou, étroit mais déjà détrempé, ce qui me fait bander instantanément, il s’arrête un moment au fond de mon cul, savourant la sensation dêtre en moi pour la première fois.
— "Je peux continuer Denis?" jy crois pas, je tencule, cest super, et cest bon, cest encore mieux quune chatte, cest plus serré
— "Vas-y nique moi Jean-Jacques, tu vas aimer çà mon vieux, tu me fais bander comme un âne et je sens bien ta grosse pine senfiler dans mon cul, tu ne peux pas savoir comme cest bon de se faire sodomiser, on a limpression dêtre violé, tu devrais essayer car cest une sensation extrême de se sentir soumis et possédé et de se rendre compte quon aime çà"
Nos deux corps se remettent en mouvement, fusionnant dans le plaisir, mon meilleur ami mattrape les hanches et me baise plus sauvagement, son gros zob rabote allègrement mon tunnel, ses couilles bien pendantes cognent sur les miennes à chaque aller retour, il commence à y prendre goût le voyou et il se déchaine, pendant que je me branle très lentement pour ne pas cracher mon jus trop tôt.
— "Oh, oui, mon Denis, cest super de te fourrer le fion, tu aimes ma queue, hein dis le !"
— "oui, oui c’est bon, cest trop bon de se faire mettre une bite dans le cul… pour une première fois, tu encules déjà comme un pro, cest super bon, bourre bien mon cul Jean-Jacques Vas-y… Baise-moi à fond… viole moi, nique moi "
Mes paroles lexcitent davantage et il me pilonne furieusement, labourant ma gaine déjà trempée en grognant comme un animal en rut, puis lentement et longuement, en me claquant ou en écartant les fesses.
— "oui, oui, Jean-Jacques, défonce-moi, encule moi, ramone moi, Je te veux tout au fond de mon ventre, tringle moi encore, encore et encore, ne tarrêtes pas, je suis tout à toi" Je veux que tu jouisses dans mon cul
Il me plante le cul en martelant fortement mes fesses et se promène dans mon conduit en alternant des mouvements lents avec dautres beaucoup plus rapides. Je trouve ça très excitant comme situation, pour quelquun qui encule pour la première fois, il est doué et manifestement il adore çà.
Je me retire de sa queue et lui demande de se coucher sur le dos, je me présente accroupi face à lui et mempale doucement sur son pieu bien tendu.
Je commence alors à le pomper avec mon cul en montant et en descendant en appui sur mes jambes, je lui titille le bout des seins en même temps, ce quil semble apprécier tout particulièrement vu son regard.
— "Tu aimes çà hein, mon Jean-Jacques, je me doutais que tu avais envie de foutre ton nud dans un petit trou bien serré, bien mouillé et bien chaud"
au bout dun moment, je me retire à nouveau, lui tourne le dos, je prends son pieu bien raide, et je lenfonce dans mon cul trempé de mouille, mon trou le gobe complètement et le suce par des va et vient lents et réguliers.
Putain, Denis, je vois bien ma bite rentrer et sortir de ton trou, cest extra, cest bon comme çà, vas y pompe moi le nud, vas y à fond çà glisse bien, écrase moi les burnes.
Oh Denis, tu as un beau cul et tes fesses sont bien fermes, cest bon, cest bon ! Putain, Je vais jouir comme jamais. Ouvre-toi, oh oui, je sens que je vais gicler ohhh
Vas y prends ton pied. Vide tes couilles dans ma chatte de salope, elle est toute à toi mon Jean-Jacques, je veux sentir ta semence me couler dans le cul.
Mes sphincters se contractent alors pour bien serrer sa queue dans mon étroit fourreau, pendant que jaccélère ma branlette pour parvenir à gicler en même temps que lui, Il me démonte alors le trou avec une accélération inouïe en me tenant bien les hanches et, après quelques ultimes coups de reins, il propulse par à coups une quantité phénoménale de sperme chaud que je sens gicler dans mon ventre, et couler le long de mon tuyau puis de ma raie, nen pouvant plus de me retenir, jexplose alors moi aussi en crachant de longs jets de foutre par saccades ce qui a pour effet de comprimer à nouveau mes sphincters sur son sexe encore bien dur qui continue lentement de me limer.
Il est super excité et il me dit quil veut essayer de se faire sodomiser à son tour…
