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Inondations à Cracovie – Chapitre 1

Inondations à Cracovie - Chapitre 1



Si nous avons beaucoup vécu de soirée échangistes, mélangistes, candaulistes et autres sortes, celle vécue à Cracovie en 2010 restera gravée dans nos mémoires à tout jamais.

Ma femme, ayant de lointaines origines polonaises, désirait depuis un certain temps se rendre sur la terre de ses ancêtres.

C’est ainsi que par l’entremise d’une agence de voyage je nous avais réservé une chambre dans un hôtel situé à Cracovie.

( entre nous, quelle magnifique ville ! D’une architecture incroyable ! )

Nous sommes arrivés un samedi fin d’après-midi et avons pris possession d’une chambre de grande classe malgré un prix plus que raisonnable.

Dans cet hôtel régnait une ambiance feutrée, tapis plain partout et douce musique d’ambiance dans le salon principal.

La clientèle était fort hétéroclite, des américains, des russes, des asiatiques, des français, …

Après nous être douchés et nous avoir sustenté, nous sommes sortis pour une première visite de la ville. Des petites rues pittoresques nous ont mené jusqu’à la Place du Marché et la Halle aux draps. Il faisait doux mais très couvert, un grand nombre de touristes s’y baladait et certains se faisaient photographier les bras en croix où les pigeons venaient se poser.

Et pour couronner le tout, une multitude de jolies jeunes femmes pour la plupart habillées de tenues légères et courtes. Je ne savais où donner du regard et ma femme s’en amusait.

Le soir venu, la fatigue du voyage nous obligea à nous coucher tôt vu notre état et la journée du lendemain où nous avions prévu de nombreuses visites dont celle de la mine de sel de Wieliczka.

Le dimanche, après avoir pris un copieux petit déjeuner, nous sommes montés dans un taxi qui nous conduisit à ladite mine.

Là, si mes souvenirs sont exacts, c’est environ 400 marches en bois que nous avons descendues avant de parcourir un très long chemin dans les boyaux de la mine puis d’arriver dans une cathédrale intérieure où toutes les statues étaient sculptées dans le sel.

C’est magnifique, on se croirait dans un autre monde, je vous conseille d’aller la visiter si vous vous rendez à Cracovie.

Ce qui fut spécial, c’est la petite jupe que portait ma femme ce jour-là. Le tissu s’accrochait sur le nylon de ses bas et, à chaque marche, la lui faisait remonter. Déjà qu’elle était courte, elle finissait constamment par frôler sa petite culotte. Quelques hommes se trouvant plusieurs marches plus bas que nous se sont rincé l’oeil durant les longues minutes de la descente.

Quand nous sommes sortis de la mine il pleuvait comme je n’avais jamais vu ! Un vrai déluge que même Noé n’aurait osé imaginer.

Le reste de la journée se déroula de la même manière, pluie torrentielle sans discontinuer. Nous fûmes contraints de supprimer nos autres visites prévues et sommes rentrés à l’hôtel. La nuit et la journée du lundi se passèrent également sous des trombes d’eau.

Le mardi, malgré cette pluie qui ne cessait, nous prîmes notre courage et allâmes faire un peu de lèche-vitrine et du shopping.

Malheureusement, les inondations firent leurs apparitions et bientôt il fut impossible de circuler en voiture dans une bonne partie de la ville. Plusieurs ponts furent même interdits de passage !

Le soir, à l’hôtel, des ouvriers des ponts et chaussées venus en renfort occupèrent toutes les chambres encore disponibles.

Je peux vous dire que ces gens-là ne sont pas des gringalets, quasi tous faisaient au moins 1m90 et que des corps comme des bahuts.

Pendant que nous prenions notre repas du soir, eux mangeaient peu mais buvaient énormément.

2 sont venus à notre table et ont essayé d’engager la conversation, mais nous ne comprenions rien.

Je voyais bien qu’ils étaient plus intéressés par ma femme que par moi, c’était bien normal car elle était resplendissante dans sa petite robe noire au décolleté profond.

Vers 23h00 nous avons décidé de nous rendre dans notre chambre. Dans le même couloir, plusieurs de ces hommes allaient et venaient d’une chambre à l’autre. Ils étaient dans un état que je qualifierais de "joyeux", presque tous tenaient une bouteille ou un verre en main.

Nous avons discuté un petit moment puis ma chérie s’est rendue compte qu’elle n’avait plus de cigarette. J’ai téléphoné à la réception où on m’a répondu qu’ils en avaient mais, surchargés de travail à cause de l’afflux de clients, ne pouvaient nous les amener.

J’étais sous la douche quand j’entendis ma chérie me dire qu’elle descendait elle-même en acheter.

20 minutes plus tard elle n’était toujours pas revenue et j’ai commencé à m’inquiéter. J’ai voulu joindre la réception, mais personne ne décrochait. J’ai enfilé un pantalon, une chemise et mes chaussures puis j’ai ouvert la porte afin de m’y rendre (à la réception).

La porte ouverte, un bruit de conversation et de rires se fit entendre. Je suis sorti dans le couloir et là … là je vis plusieurs hommes autour de ma femme qui discutaient et rigolaient avec elle qui semblait s’amuser.

Je rejoignis le groupe et cela ne les perturba pas le moins du monde. Bien au contraire, l’un d’eux me parla (et je ne comprenais toujours rien) et me montra ma femme en levant le pouce.

Je les voyais qui arrivaient à peine à se dominer, j’avais l’impression qu’ils étaient prêts à la violer dans le couloir.

Elle me prit par la main et m’amena à elle. Elle m’en montra un qui balbutiait quelques mots en anglais et en français.

Il lui faisait des avances non déguisées, lui demandait de venir dans la chambre qu’il occupait avec un autre.

Dans le même temps il parlait avec ses compagnons et je voyais le ton monter, ne plus être aussi amicale.

Tout à coup, un des hommes mit un bras sur les épaules de ma femme et une main sur sa poitrine.

Là je dis stop !

Je pris ma femme et nous allâmes dans notre chambre. Quelques minutes plus tard le silence se rétablit dans le couloir.

Après avoir grillé une cigarette et alors que nous nous apprêtions à nous coucher, on frappa à notre porte. Je suis allé ouvrir et celui qui bredouillait français se tenait devant moi.

Il avait 3 verres, ainsi qu’une bouteille, en main et me fit comprendre qu’il souhaitait boire un verre en notre compagnie.

Personnellement je n’étais pas intéressé, la journée ratée ne m’avait pas spécialement mis d’humeur gaie.

Mais c’était sans compter avec ma coquine !! Elle, la situation dans le couloir l’avait échauffée !! Elle cria " yes, come". Son anglais est assez limité, mais le gars avait compris et entra.

Il déposa les verres sur la petites table et les remplit. Je ne sais qui avait fabriqué cet alcool, mais c’était du corsé !!! Même moi qui ne rechigne pas sur un bon cognac, ou tout autre tord-boyaux, j’en eu la gorge en feu.

Je regardais ma femme qui devenait rouge vif mais vida son verre. Le gars nous en servit un second, puis un troisième.

Finalement j’y prenais goût et le buvait avec grand plaisir.

Ma chérie, quand à elle, commençait à devenir très joyeuse et riait à gorge déployée de tout ce que le type disait, alors qu’elle ne comprenait rien.

Elle allait et venait dans la chambre, s’écroulant assise sur le lit à plusieurs occasions. Mais à chaque fois, c’était une cuisse ou les deux qu’elle dévoilait innocemment. Une vue sur son string fut même de la partie. Le gars ne la quittait plus des yeux, je suis sûr que son slip était déjà devenu trop étroit pour son contenu.

Son regard à elle devenait gourmand, j’ai vite pigé qu’elle n’avait pas envie de dormir mais que ce polonais la tentait.

Je le lui ai demandé et ce qu’elle m’a répondu m’a scotché ! Elle m’a dit que ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii et qu’elle voulait également tous les autres !!!

Je me suis mis à rire et lui ai répondu qu’il ne fallait pas exagérer, qu’ils étaient une douzaine au moins.

Elle est devenue sérieuse et m’a annoncé qu’elle ne serait contente que si au moins cinq venaient dans notre chambre.

Cinq dans le lit, je jugeais que c’était bien trop et le lui dis. Mais elle campa sur son désir et me répéta que elle en voulait cinq.

Alors j’ai négocié. Je lui ai proposé de voir avec celui qui était là si il voulait bien aller chercher quatre de ses camarades, que (et je lui fis comprendre plus par gestes que par des mots) ma femme les sucerait puis qu’elle se donnerait à lui sous mes yeux.

" yes yes yes " dit-il, et il s’en fut les chercher.

Quand le groupe arriva, ma femme n’avait plus que son string sur elle.

Elle en prit un par la main et se dirigea dans la salle de bain où elle lui lava elle-même sa queue. Ensuite elle le fit s’asseoir sur le lit et le suça.

Tour à tour, elle fit de même avec trois autres et eut donc droit à quatre rasades de sperme chaud. Et pendant qu’elle suçait l’un, les autres la caressaient de partout, allant jusqu’à jouer avec son abricot et doigter son anus.

Quand ils partirent elle s’allongea et fit signe au seul restant de venir la rejoindre. Le gars se déshabilla, me regarda, puis se coucha avec elle.

J’avoue que ma fierté était restée intacte, j’avais vu tous ces molosses nus et je n’avais rien à leur envier question zigounette.

Par contre, j’étais réellement en rut. D’avoir vu ma salope sucer ce quatuor puis maintenant entre les mains du cinquième finissait par exacerber ma libido.

Alors, ce qui est rare, je me suis foutu à poil et les ai rejoint.

Quand je suis arrivé sur le lit, ma chérie était allongée en train de sucer le gars qui était assis sur sa poitrine. Je me suis couché à coté d’elle et elle a commencé à me masturber.

Nous l’avons prise dans toutes les positions, même en sandwich. Moi j’ai envoyé la sauce dans son petit cul tandis que le polonais lui a inondé la bouche. J’ai même l’impression qu’elle a eu un orgasme en avalant le foutre (alcoolisé ?) du type.

Faut dire qu’elle raffole de ça, peut-être trop même car bien souvent c’est ainsi qu’elle veut que je termine alors que j’adore éjaculer entre ses fesses, la queue bien enserrée.

Le lendemain ce fut rebelote, la pluie diminuait mais ne cessait pas. Nous sommes allés visiter un château d’un prince dont je ne me rappelle plus le nom.

Le soir, alors que nous étions à table, son amant du jour précédent est venu nous parler.

Comme nous avons pu comprendre, le reste du groupe était au courant de la nuit précédente et aurait aimé pouvoir venir également dans notre chambre. Ils étaient encore six.

Après concertation, ma femme et moi avons accepté en précisant qu’elle se limiterait à des fellations.

Dix minutes après avoir réintégré notre chambre on frappa à notre porte. Les six étaient là, avec l’amant d’hier.

Je lui fis comprendre que non, que seuls les six nouveaux pouvaient entrer. Il râla et insista mais je ne cédai pas.

Quand j’eus fermé la porte, les six mecs étaient debout et immobiles. Ils faisaient moins les braves, étaient à la limite d’être timides. Pour sûr, ils n’avaient pas ingurgité les mêmes quantités d’alcool que la veille.

Ma coquine se déshabilla et leur fit comprendre de faire de même. Je me suis donc retrouvé avec une file indienne de mecs à poil à moins d’un mètre de moi.

Cette fois, ma coquine leur indiqua la salle de bain et ils allèrent eux-même laver leur engin. Elle attendit qu’ils furent tous lavés puis elle s’allongea sur le lit et écarta les jambes. Elle se masturba tout en se caressant la poitrine. Je les regardais, ou plutôt je regardais leur bite. Tous étaient au garde à vous, certains se branlant doucement.

Quelques instants ainsi puis ma coquine les invita tour à tour à se présenter devant elle. Même jeu que le jour d’avant et les pipes s’enchaînèrent. De un, de deux, de trois, de quatre. Quand elle eu terminer d’avaler le miel du quatrième, elle me demanda de les prier de partir. Ils se rhabillèrent et s’en allèrent.

Je venais à peine de fermer la porte derrière eux que déjà elle avait invité les 2 restants à venir la rejoindre.

Cette fois, je dois reconnaître que je fus envieux sur l’un d’eux. Mazette, quelle quéquette !! Certainement de la famille à Rocco celui-là.

C’est vers lui que les lèvres de ma femme se sont dirigées en premier. Elle l’a flatté quelque peu de sa langue puis l’a englouti à pleine bouche.

Elle n’a su le garder longtemps, il était vraiment trop énorme. Pareil pour son petit cul, n’ayant pas de lubrifiant nous avons utilisé du savon mais jamais il n’a su l’entrer entièrement.

Ma salope à joui comme rarement.

Le "big" la ramonant et l’autre gars la prenant par derrière.

Ils l’ont satisfaite durant près de deux heures. Le super-membré était un étalon de course digne des plus grandes écuries.

Par après, elle fut trop épuisée pour m’accorder ses faveurs et c’est d’une agréable fellation qu’elle me souhaita bonne nuit.

Les jours suivants furent plus calmes, que ce soit au niveau du temps que par rapport aux soirées. Les polonais étaient partis et je fus le seul à profiter de ma chérie.

Mais quelle aventure !!! On y retournera, même si on sait que il y a peu de chance de revivre cela.

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