Récemment j’ai été invitée à un week end dans la maison de campagne d’une copine. Je n’ignorais pas que les autres allaient sans doute se livrer aux bacchanales les plus endiablées, mais je n’avais envie que de tranquillité ce soir là, et je les ai tous abandonnés sans remord pour aller me réfugier dans ma chambre, qui par chance comprenait sa propre salle de bain.
Cette dernière était pourvue d’une baignoire spacieuse qui semblait me lancer un appel des plus hypnotiques: me servant sans vergogne des sels de bain griffés de l’occupante régulière des lieux, à base d’Estée Lauder et de Lancôme, je me suis confectionné un bon petit bouillon dans lequel je me suis confortablmement installée, oublieuse de tout, à peine consciente des cris de joie et de la musique qui parvenaient à mes oreilles.
Au bout de quelques minutes, la chaleur et la vapeur aidant, je me suis sentie complêtement délassée, et bientôt mes doigts ont commencé à se balader partout sur mon corps, passant sur mes seins, mon ventre, avant de s’arrêter sur ma chatte déjà très avide de caresses.
Doucement j’ai écarté mes grandes lêvres pour mettre à nu la chair délicate de mon clitoris et de ma vulve hypersensibles, et j’ai remué dans la baignoire pour sentir le flux et le reflux de l’eau sur ma peau.
J’ai continué ainsi pendant plusieurs minutes, sans intensifier mon mouvement, et au bout de vingt minutes, passablement échauffée, j’ai préféré sortir de l’eau pour aller m’étendre confortablement sur mon lit, enveloppée dans un peignoir Vuitton que j’avais chippé dans la penderie.
C’est à ce moment que, prise d’une inspiration subite, j’ai pensé à ouvrir une boite que j’avais trouvée sous le peignoir, une longue boite de cuir noir.
J’ai donc soulevé le couvercle, et là, quelle n’a pas été ma surprise de découvrir une ahurissante collection de de jouets érotiques!
L’étonnement m’a laissée muette tandis que j’examinais avec plus d’attention le contenu de cette étrange boite. La cousine devait être une sacrée coquine! Ou alors une collectionneuse des plus pointues, car parmi les objets que j’avais devant les yeux, certains semblaient des plus vénérables, comme ce gode de pierre blanche et nacrée qui, une fois redressé, tenait sur son socle comme une sculpture antique, barbare et magnifique.
Je l’ai pris dans mes mains, il était froid, lourd et dense comme du bronze; puis je l’ai posé sur ma table de nuit pour le regarder à ma guise.
A ce moment j’ai entendu un bruit léger à ma fenêtre, comme une branche qui gratte la vitre. Etonnée, je me suis arrachée à la contemplation de mon sexe d’ivoire, et je me suis approchée de la fenêtre, le peignoir à peine resserré sur ma poitrine, afin de voir ce qui se passait.
Ecartant le rideau, j’ai vu dans la nuit une silhouette pâle qui se tenait juste derrière mes vitres. Ca semblait être quelque chose comme un jeune homme, sans doute l’un des invités, mais je ne distinguais pas grand chose dans la purée de poix environnante.
J’ai laissé le rideau ouvert et je suis retournée m’installer sur mon lit, comme si de rien n’était.
je me suis installée sur le ventre, et j’ai glissé la main entre mes cuisses. La sensation de se laisser aller ainsi dans un endroit strictement inconnu a quelque chose de grisant, je l’ai toujours pensé, et l’idée d’être cette fois observée par ce regard inconnu m’excitait encore plus. La plaque de verre qui nous séparait me garantissait à la fois une transparence totale et une sécurité absolue.
L’idée me plaisait.
Tellement même, que ma chatte était déjà bien mouillée, bien plus encore que quand j’avais découvert le gode. Fiévreuse, j’ai creusé les reins et relevé les fesses, prenant appui sur mes genoux, la poitrine toujours collée au lit. Mes cuisses étaient largement écartées, je les ouvrais pour l’inconnu à la fenêtre, j’avais envie de m’ouvrir encore davantage pour lui montrer combien j’étais luisante de désir.
Soudain j’ai eu envie de sentir contre ma langue la pierre froide de mon gode d’ivoire… J’ai sorti ma petite langue rose et j’ai lappé le gland minéral, qui imitait à la perfection la forme d’un véritable organe. Ma main droite s’activait follement sur mon clito, j’enfonçais mon index et mon majeur dans les deux sillons de chair tendre et humide qui séparent les grandes lèvres des petites, je les caressais d’avant en arrière puis d’arrière en avant, je revenais sur mon clito de plus en plus gonflé de désir …
Levant la tête, j’ai observé l’inconnu. Il se tenait toujours là, immobile, si ce n’est qu’il avait sorti sa queue de son pantalon et qu’il la touchait d’un geste lent, tranquille.
Sans cesser de le regarder dans ce que je pensais être les yeux, j’ai avalé le sexe de pierre d’un mouvement lascif, savourant l’étrange contact de cette matière froide sur ma langue, appréciant au passage le diamètre honorable de l’engin.
Je suis restée ainsi quelques minutes, puis j’ai décidé de retourner voir dans la boite de cuir. J’en ai profité pour me débarrasser de mon peignoir, que j’ai laissé tomber à terre, révèlant mes courbes à l’inconnu qui se branlait devant ma fenêtre.
Mes têtons se sont rapidement durcis, et je les ai massés avec mon gode de pierre, dégustant encore la sensation de fraicheur lisse que m’occasionnait ce contact.
J’ai sorti de la boite un autre gode, de taille unpeu moins remarquable, fait d’un tout autre matériau, une pierre sombre et brillante qui ressemblait fort à de la jade noire.
Un gode dans chaque main, je me suis lentement approchée de la fenêtre, et je suis tombée à genoux juste devant, à 30 cm à peine de mon espion mystérieux.
Il commençait à se caresser plus énergiquement maintenant, je regardais sa main courir sur sa bite qu’il avait fort belle, ni trop grosse ni pas assez, et assez étrangement, complêtement épilée. Ses doigts semblaient savoir exactement que faire pour l’emmener au point d’excitation ultime, ils se déplaçaient du gland aux couilles en un mouvement ample et sur de lui, tandis que son autre main était remontée vers sa poitrine.
Voir ce parfait inconnu se caresser devant moi m’excitait de plus en plus, ainsi que l’idée que son excitation venait sans doute de ce que je faisais de même; ma fente était devenue brulante, chaque contact de mes doigts m’envoyait comme une décharge éléctrique qui remontait le long de mon ventre jusqu’à ma gorge.
Lentement, je me suis tournée, ayant décidé de me priver d’un spectacle étourdissant pour le plaisir de lui en offrir un autre encore plus torride, et je lui ai présenté mes fesses, ma chatte, mes cuisses, mon intimité toute entière; je voulais qu’il me voit bien, et de bien près, car c’était autant pour lui que pour moi que j’allais jouir.
Doucement j’ai commencé à prommener mon gode de marbre le long de ma chatte, m’arrêtant paresseusement sur mon clito, le massant jusqu’à me faire presque crier de plaisir avant de diriger à nouveau vers mon vagin avide d’être pénétré… J’étais vraiment pleine de mouille à présent, j’avais l’impression que je n’avais jamais été dans cet état. Peu à peu j’ai enfoncé le gode blanc dans ma chatte, à petits va-et-viens rapides et nerveux.
La sensation de cette masse dure et froide qui s’enfonçait de plus en plus loin en moi était très particulière, et peut etre qu’en une auitre circonstance je l’aurais trouvée désagréable, car le corps de l’objet était loin d’avoir eu le temps de se réchauffer à la température de mes mains, mais ce jour là, il m’a semblé que c’était la chose la plus divine du monde, et que je ne voulais rien d’autre qu’être prise par cette bite en caillou. C’était comme une expérience mystique, une révélation.
Bientôt, j’étais en train de me goder avec enthousiasme, parvenant à peine à retenir mes cris de plaisir.
Le gode de jade était toujours dans ma main gauche, enserré entre mes doigts crispés. Soudain je me suis retournée et me suis placée sur le dos, face à la fenêtre, les pieds au mur, un de chaque côté de la fenêtre.
Mon mateur était accroupi à présent, ses yeux rivée à mon entrejambe, la bouche entrouverte.
Doucement j’ai caressé et doigté mon anus de l’index, afin de bien me préparer, puis d’un geste précautionneux je me suis enfoncé mon deuxième gode dans le cul, alors qu’au même moment, affolé par cette vision d’une jeune inconnue avec un olisbos dans chaque orifice se donnant ainsi en spectacle, mon espion a commencé a se branler bien plus énergiquement.
Je pouvais dire à son expression qu’il allait bientôt jouir, il avait fermé les yeux, ne cherchant même plus à me regarder, tellement ce qu’il avait déjà vu était assez… Encouragée par son air d’abandon si émouvant, je me suis laissée aller moi aussi, et j’ai senti monter l’orgasme au creux de ma gorge. Jugeant ma position peu pratique et désirant me concentrer sur une seule main à la fois, j’ai laissé le gode de jade de côté et je me suis adonnée à l’unique tâche de bien me limer la chatte, ne lui laissant aucun répit, faisant entrer et ressortir mon étrange queue glacée avec une intensité de plus en plus grande, titillant chaque terminaison nerveuse, chaque point sensible.
Au même moment, mon inconnu a joui et un grand jet de sperme a jailli de sa queue tendue, pour aller s’écraser sur la vitre qui nous séparait, avant de retomber lentement, en coulées blanchâtres, vers le sol.
Quant à moi j’ai joui en me donnant un dernier grand coup du gode de marbre, et je l’ai gardé profondément introduit en moi tandis que je livrais mon corps aux spasmes de la jouissance.
Quand j’ai rouvert les yeux, il était toujours là, à genoux, me regardant droit dans les yeux, avec un air à la fois aux abois et plein de gratitude.
Me remettant sur mes pieds, j’ai ouvert la fenêtre…