Irina, Ruben – La lycéenne de 56 ans.
Dernièrement, j’ai (Ruben) reçu un appel téléphonique d’une femme (Irina), que je connais depuis qu’elle s’est mariée avec une de mes connaissances, alors qu’elle n’avait à l’époque que 18 ans. Elle me demandait si je pouvais l’aider dans son énième déménagement, afin qu’elle puisse se rapprocher de son nouveau compagnon. Irina était une femme de petite taille, très mince et proportionnellement bien foutue. En voyant Irina, de derrière, on avait l’impression d’avoir devant soi une Lycéenne, elle mesure 1m47, pour 42 kilos, toute mouillée, elle s’habille en 16 ans, elle a une taille de jeune fille qui va encore au Lycée, d’où le surnom que je lui ai attribué ’’ma Lycéenne’’, par contre elle a 56 ans.
C’est une femme que j’apprécie énormément, du fait qu’elle est toujours bien habillée, je ne l’ai jamais vue habillée sexy, provocante ou aguichante, elle porte toujours des tenues classiques et trop sérieuses à mon goût. Irina est toujours souriante et elle aime bien rire, malgré son parcours tumultueux dans la vie, un mariage raté avec un alcoolique, deux enfants, des déplacements dans différents coins de la France pour trouver du travail, un problème de reins, un AVC rattrapé de justesse et j’en passe… Elle est toujours de bonne humeur et toujours prête à sortir une vanne pour rigoler, bien qu’en ce moment la mémoire lui fait défaut.
Cette femme, je l’admire et je la respecte beaucoup, elle ne peut pas rester en place, il faut quelle bouge tout le temps, elle trouve toujours quelque chose à faire, elle est très travailleuse, et elle a horreur du désordre et de la saleté, il y a une certaine complicité entre nous, mais sans jamais dépasser une certaine limite à chaque fois qu’on se voit, quant à elle, elle me dit toujours ’’mon p’tit Ruben’’. Irina a les cheveux mi-longs de couleur blond tirant maintenant vers le châtain avec quelques cheveux gris, elle a une taille de guêpe, beaucoup d’hommes aimeraient la butiner et c’est vrai, elle n’est pas très grande avec ses 1m47 pour le poids léger qu’elle est, elle a de très petits seins qui vont avec sa taille (75 A), il n’y a même pas de quoi remplir la paume d’une main d’homme, mais ils sont fermes, et ils pointent tout seuls à l’horizon.
Par contre, ses grands défauts sont : qu’elle est très maniaque, elle parle beaucoup pour ne rien dire, quand elle a quelque chose en tête, elle ne l’a pas ailleurs, par contre elle ne sait pas toujours ce qu’elle veut exactement et à ces moments-là il faut trouver à peu près ce qui pourrait correspondre à ce qu’elle désire !
Donc comme je disais, Irina me demandait de l’aider dans son déménagement, elle avait des soucis avec plusieurs armoires assez fragiles. Il fallait déplacer ses meubles du lieu où elle habite, à sa nouvelle adresse, il y avait environ 45 kilomètres de distance entre eux. Comme toujours lorsqu’on se rencontre, c’est de grandes embrassades, puis on se serre dans les bras l’un de l’autre et comme à mon habitude, je lui lance : ’’Salut ma petite Lycéenne’’ et elle me répond : ’’Salut mon p’tit Ruben’’, puis elle m’invite à boire un café. Elle est incroyable et je l’admire pour cela, malgré son cursus, Irina, est toujours souriante et toujours prête à lancer une vanne ou une connerie pour rigoler. Ensuite, nous commençons à démonter les armoires, nous les descendons directement au rez-de-chaussée pour pouvoir ensuite les charger dans nos voitures.
Les voitures chargées, nous partons pour sa nouvelle demeure, arrivée sur place, nous déchargeons puis nous remontons de suite ces armoires, toujours en rigolant, de temps en temps elle me lance des pics du genre : ’’Maintenant je pourrais cacher mon amant, j’ai déjà les armoires’’ ou encore ’’ comme j’ai encore deux logements, dans l’un je vais avec mon amant et dans l’autre avec mon compagnon’’ et on se met à rire de bon cur. Puis, je lui dis : comme tu le sais jusqu’à ce jour, je n’ai jamais trompé ma femme ! Mais je me ferais bien une Lycéenne, pour pouvoir faire la comparaison entre les deux et nous nous mettons à rire ensemble, puis nous continuons notre remontage d’armoire ensemble tout en riant sur des banalités.
Une fois les armoires montées, elle me fait visiter son nouveau logement. Au rez-de-chaussée il y a trois pièces, une buanderie, des w. c. et le garage, plus une porte pour descendre à la cave, dans celle-ci se trouvait une porte donnant vers l’extérieur. Au premier étage il y a la cuisine, un grand salon, des w. c., la salle d’eau et trois chambres, plus une porte qui donnait au grenier, ou se trouvait une immense pièce qui faisait la taille d’un étage, mais qui n’était pas isolée, je dis alors à Irina : ’’Tu n’as pas intérêt à demander à ton amant d’aller se cacher au grenier en hiver, quand ton copain rentre, car il risque de se geler les couilles’’, et on se remet à rire aux éclats. Sur ce, elle me répond : ’’De toute manière c’est une grande maison avec beaucoup de pièces et si les deux seraient malheureusement ici le même jour, chose improbable, car quand je suis avec quelqu’un, je n’ai pas d’amant.
Donc je disais si mon amant et mon copain seraient là le même jour, il y aurait assez de pièces pour s’y réfugier et avant qu’il ne le trouve, il aurait eu le temps de s’éclipser vers l’extérieur’’, et c’est reparti pour des éclats de rire. Une fois la visite terminée, on part à la cuisine et nous buvons un café ensemble et c’est toujours en déconnant que la discussion se poursuit.
A un moment, je dis à Irina : ’’Ca fait quand même 44 ans qu’on se connaît, qu’on se rencontre ou qu’on demande des nouvelles de l’un ou de l’autre, au moins une fois par mois et il n’y a jamais rien eu entre nous, c’est quand même bizarre et pas normal du tout ? Comment ça se fait ? Et je rajoute : Tu sais dans mon couple après 42 ans de mariage, il ne se passe plus rien côté sexualité, entre ma femme et moi et cela dure déjà depuis plus de sept ans, je ne sais même plus l’effet qu’on a d’être dans une chatte bien chaude et baveuse’’, et on éclata de rire en cur. Puis Irina me répond : Tu sais ’’mon p’tit Ruben’’ je sais que ta femme est très jalouse, en plus c’est une bonne copine, on s’est toujours tout confié l’une à l’autre et donc j’aurais eu trop peur de faire une allusion ou peur de dire un mot qui aurait pu trahir une telle situation, si jamais il y aurait eu quelque chose entre nous !
Mais c’est vrai que tu as toujours été là pour moi, tu m’as toujours soutenue lors de mes moments de détresse, tu m’as toujours bien conseillée, tu n’as jamais rien dit lorsque je changeais de compagnon ou lorsque je changeais de région pour le travail, mais maintenant qu’on n’est plus trop loin l’un de l’autre, il y a peut-être moyen de rectifier le tir…
A mon tour je dis encore : tu sais Irina, j’ai parlé à ma femme en le menaçant même de nous séparer si elle restait sur sa position et je lui ai dit :«A partir du moment qu’il n’y a plus de sexe entre nous et que de temps en temps, j’ai certains besoins, que tu ne satisfais plus, je vais devoir chercher ailleurs… Je l’ai même déjà menacée de divorcer, mais rien n’y fait et rien ne change, mais c’est vrai que pour cette unique raison, de manque de sexe, je ne souhaite pas me séparer d’elle, nous avons tellement l’habitude d’être ensemble, que quelque part ça me dérangerait de nous séparer, rien que par manque de sexe…»
Sur ce, Irina, me dit : Si c’est bien vrai ce que tu me racontes là, il y a peut-être moyen de faire quelque chose pour toi, mais sache que je n’ai pas pour habitude de tromper mon compagnon du moment, que je ne couche pas avec n’importe qui et que surtout il ne faudra jamais rien dire à ta femme, ni même faire allusion qu’il ait pu y avoir quelque chose entre nous ? Tu m’as bien compris, et cela à aucun moment ? Si je veux bien coucher avec toi, c’est uniquement pour te remercier d’avoir été à mes côtés, si je puis dire, lors de certains moments difficiles, que ça fait quand même 44 ans que nous nous côtoyons, que moi aussi de mon côté j’ai quelques sentiments pour toi, mais que j’ai toujours refoulés en moi jusqu’à ce jour et comme tu me dis qu’il n’y plus de sexe entre ta femme et toi, que ça te manque, je veux bien essayer de te remonter le moral de ce côté et elle vint se placer derrière moi, en me caressant la tête, puis elle me fait des petits bisous dans le cou.
En entendant Irina, prononcer ces mots, mon sang ne fit qu’un tour et je sus qu’enfin j’allais à nouveau pouvoir sentir une chatte, que j’allais enfin pouvoir refaire l’amour à une femme et je bandais très fort en sachant cela. Je me suis alors levée à mon tour et je suis venue la prendre entre mes bras, puis j’ai cherché ses lèvres pour l’embrasser goulûment et amoureusement, enfin je peux assouvir un fantasme que j’avais si longtemps refoulé intérieurement moi aussi, enfin je pouvais faire l’amour à ma ’’Lycéenne’’. Comme Irina avait déjà ramené quelques affaires, mais pas encore de lit, nous avons dû nous contenter de quelques draps et couvertures posées à même le sol, pour satisfaire nos pulsions sexuelles.
Une fois les affaires étalées par terre, nous nous sommes remis à nous embrasser langoureusement et tout en le faisant, j’effeuillais Irina, de ses vêtements, elle en faisait de même de son côté avec moi, une fois que nous étions entièrement dénudés, on se mit sur les couvertures et je commençais à lui faire de petits bisous sur tout le corps, tandis qu’elle me caressait la tête, enfin elle était prête à se donner à moi, à offrir son corps à l’homme qui l’a toujours soutenu et qui sans être avec elle, l’était quand même, mais à sa manière.
Enfin j’avais devant moi cette Lycéenne de 56 ans, couchée à mes côtés, qui s’offrait à moi pour quelques instants de bonheur réciproque. Je suis descendu avec mes lèvres sur sa petite poitrine d’adolescente, dont les seins n’étaient pas plus gros que des petites pommes, mais qui étaient fermes et dont les tétons étaient très durs sous l’effet du désir. Ensuite j’ai continué à lui faire de petits baisers sur le ventre, m’attardant sur son nombril, puis descendant plus loin encore sur son pubis, qu’elle avait l’habitude de raser, afin d’avoir une peau de bébé et pour ne rien avoir qui pourrait gêner à cet endroit, me disait-elle. Ensuite, je me suis mis à laper entre ses lèvres vaginales la sécrétion qui s’écoulait de son orifice, tellement elle jouissait et tellement elle était heureuse des soins que je lui prodiguai.
De temps à autre, je lui titillais son clitoris dur et dressé comme une petite bite, j’étais heureux de faire jouir ma belle de la sorte, Irina gémissait de plus belle lorsque j’introduisais un doigt dans son anus, je sentis comme ses hanches se redresser, me faisant comprendre qu’elle venait d’avoir un fulgurant orgasme.
Puis, je l’ai laissée reprendre des forces et je vins doucement en remontant le chemin inverse jusqu’à sa bouche, dans laquelle je lui déversais un peu de son jus d’amour, au début elle n’en voulait pas, mais comme je lui roulais un magistral patin, elle ne put que déglutir, si elle ne voulait pas s’étouffer. Puis je me redresse, je me relève légèrement et là je l’entends me dire : maintenant que tu m’as mis le feu au corps et dans la chatte, il va falloir que tu assumes ’’mon p’tit Ruben’’, il va falloir éteindre celui-ci ? Je l’avais exactement amenée là où je voulais, je voulais qu’elle me dise d’aller plus loin et de la prendre enfin, je voulais l’entendre de sa bouche et c’est ce qu’elle venait de faire. J’étais plus qu’heureux d’avoir réussi à la rendre folle de plaisir.
Je revins lui faire un gros bécot et je pris ma verge en main pour la présenter à l’entrée de sa caverne et avant de la pénétrer, je la fis aller le long de ses grandes lèvres jusqu’à son clitoris, à plusieurs reprises, je tapotais avec ma bite sur celui-ci comme pour lui dire ’’Bonjour, c’est maintenant que j’attends de toi que tu fasses jouir ta patronne’’, puis, je revins et je m’introduis dans son vagin.
En sentant que mon phallus rentrait en elle, je vis Irina, se crisper et serrer les draps avec les deux mains en même temps, en même temps qu’elle relevait sa tête pour voir où j’en étais avec mon intromission ? La voyant se relever, je lui demandais : veux-tu que je m’arrête ? Elle me répondit : OOHH NON, surtout pas, continue et baise-moi comme il faut, j’ai trop envie de te sentir bouger en moi ! J’aime à ces moments-là qu’on me bourre rapidement la chatte et surtout qu’on aille bien au fond de celle-ci…
" OUI Ruben, comme ça… "
" Encore… "
" Plus fort… "
" Plus loin… "
" OOOHHH que c’est bon… "
" J’aime beaucoup comme tu me prends, c’est vraiment trop bon… "
" Tu sens comme je me liquéfie sur ton sexe… "
" Tu sens comme mon corps apprécie ce que tu lui fais ! Oh Ruben, pourquoi avons-nous attendu aussi longtemps pour le faire, tu me fais jouir intensément, c’est trop… "
En entendant cela, je me mis alors à accélérer mon mouvement de va-et-vient et je vins inonder à mon tour son antre, ça débordait de toutes parts, il y avait une grande tâche sur la couverture et ses fesses y baignaient dedans. Puis, je m’affalais sur elle, épuisé.
Au bout de quelques minutes, je lui refis un gros baiser et je lui dis : Merci ma belle, merci ma petite Lycéenne, tu as été formidable, merci de m’avoir enfin permis de te prendre, ça valait bien la peine d’attendre aussi longtemps. Sur ce, Irina, me répliqua : Attends encore un peu, reste en moi, je veux le sentir reprendre de la vigueur, et on va le refaire encore une fois, là de suite, c’était trop bon… Et je te garantis que la prochaine fois qu’on le refera, ce ne sera sûrement pas dans 44 ans… Et on éclata de rire.