Elle se relève et c’est un bruit de succion qui se fait entendre. Elle éclate de rire. Elle se rassied sur son transat. Elle est belle. La transpiration dessine sur son corps des petits ruisseaux qui mènent jusqu’au fruit défendu. Ses seins bougent au gré de sa respiration. Elle sirote son verre en me regardant.
— Tu es déjà en forme ? Humm, j’aime les mecs qui bandent pour moi. Dans quelle position veux-tu me prendre ?
— Je ne sais pas, dis-je en la faisant reculer discrètement vers la piscine. En levrette ou en cuillère, je ne sais pas.
Elle est à côté du rebord. Il me suffit d’une petite pression sur l’épaule pour qu’elle tombe à l’eau.
— AHHH, p’tit con… Me dit-elle avant un « SPLASH » et mon plongeon.
Elle refait surface avec les cheveux en bataille qui lui tombent sur son visage. Elle se remet de sa chute et me saute au coup. Son sourire est des plus envoûtants. Elle m’embrasse et met ses jambes autour de mes hanches. Qu’est-ce qu’elle est belle. J’adore le contact de sa peau, douce comme de la soie. Je lui caresse le dos, les fesses et les épaules. Je me délecte de ce contact.
— Tu bandes encore !!!!
— Oui, rien que pour toi.- Humm, j’en ai de la chance !
— Oui, mais pour l’instant j’ai envie de te boire, te manger. Viens…On sort de l’eau et on prend une douche.
On retourne à nos places et je la mets debout face à moi et je m’assieds. J’ai son petit triangle de poil à la hauteur des yeux. Je le caresse de la paume de la main. C’est doux. Je lui fais écarter les jambes et je me gave de ses senteurs. Son odeur est enivrante, excitante. J’ai envie de goutter de ce liquide qui commence à couler. Je lèche délicatement l’entrée de son minou. Je m’enivre de son jus, je me délecte de ce sirop. C’est fort mais goûteux. Elle me tient la tête à deux mains et me dirige sur son clito. Il est mignon. Il pointe fièrement hors de son fourreau. Je le touche à peine que les jambes de Salam tremblent. Je la fait s’asseoir et je me mets à genoux. Je relève ses jambes et je les tiens écartées. Je gobe son mini-pénis. Elle se cambre et m’appuie sur la tête. Je lui suce. Elle est prise de spasmes. Je pénètre à l’intérieur de son vagin, ressorts, lui mordille les petites lèvres.
— Viens, prends-moi. S’il te plait…
Je n’entends pas répondre à cette requête. J’introduis deux doigts et commence à frotter énergiquement la partie avant de son vagin tout en continuant à lui sucer son petit bouton. Elle se cambre aussitôt. Elle râle. Elle se tient les jambes et se plante les ongles dans les mollets. Elle expulse de petits jets de cyprine en hurlant.
— PUTAIN, JE JOUIS, JE VIENS… OUIIII.
Elle se laisse retomber lourdement sur le transat en lâchant ses jambes. Je ne la laisse pas reprendre son souffle. Je la fait se mettre à quatre pattes sur le matelas et je l’embroche d’un coup.
— ARGH, SALOPERIE DE MERDE !!! TU ES GROS, VA DOUCEMENT.
— Tu veux de la queue, tu vas en avoir.
Je la bourrine intensément, lui gifle les fesses. Elle rentre en transe. On transpire tous les deux.
— HUM, OUI, VAS-Y, DÉFONCE MOI…. OUIIIII…
Elle s’avachit sur le matelas. Je peux voir son visage, elle est belle. Bouche ouverte, yeux à demi ouverts. Je me mets dans ma position préférée. Accroupie et la tenant par les hanches, tel un cavalier sur sa monture. Je prends mon rythme et mes mouvements favoris, ressortant mon gland à chaque fois. A chaque pénétration elle expire bruyamment. Je me régale à la voir prendre son pied. Je suis en train de défoncer la reine de Saba. Elle jouit. Je sens ma sève monter dans ma colonne.
— JE VIENS, SALAM, JE VIENS, OUIIII, TROP BON….. ARGH, OUF… HUMM…
— OUIII, INONDES-MOI !!!!
Je reste planté en elle un long moment. Elle me demande de me retirer et c’est ce que je fais. Elle tombe inerte sur son coté. Je la suis, on est en position de cuillère. Je lui prends les seins à pleines mains. Elle s’endort, me semble-t-il.
— Salam, tu dors ?
— Non, je profite de ta queue, elle bande encore. Tu es un baiseur exceptionnel.
— Tu en veux encore ?
— Oui mais laisse-moi apprécier ce moment.
— Tu veux une petite flûte ?
— Humm, je veux bien.Je quitte, à regret, les fesses de Salam. Je prends nos verres et me dirige vers la terrasse. Isa a la côte. Elle est en train de tailler une pipe à Bob et Fréd pendant que Nat lui bouffe la cramouille goulûment.
Je refais je plein de nos verres et parts rejoindre ma belle négresse. Elle est assise sur le bord de la piscine, les pieds dans l’eau, en appuie sur ses bras tendus. Ses seins sont magnifiquement exposés et ses tétons bandent. Je lui donne son doux breuvage. Elle éclate de rire quand elle voit ma queue au garde à vous.
— Putain, t’es terrible toi ! Tu bandes encore ? Mais comment c’est possible ?
Je lui explique le bois bandé, les applications matin, midi et soir. Elle me demande si ma femme est au courant car pas évident de me cacher. Je lui raconte notre histoire entre Lili, Isa et moi. Quand j’arrive à l’épisode se Vanessa, elle reste sans voix. Je propose de la, ou le, lui présenter le weekend suivant, ainsi que mon épouse.
20h00. Isa nous a rejointes. Le père de Salam ayant dû repartir. Un appel mystérieux. Salam nous explique qu’il est toujours militaire, à Aubagne, et que l’appel devait provenir de sa caserne. Il était commandant du 1ér RE. Qu’il ne fallait pas s’inquiéter, ça arrivait souvent. Salam s’amuse à voir Isa me caresser la queue.
— Jolie objet, lui dit Salam.
— Oui et toujours prête à servir. Tu arrives à la prendre à fond, lui répond Isa.
— Oui, mais ça a été dur.
— Facile, regarde…- Hop là, les filles, je n’ai pas mon mot à dire ?
— Non, rétorque t’elle ensemble.
Isa me prend en bouche jusqu’au contact de son nez sur mon ventre. Elle fait trois allers-retours et passe la main (la bite devrais-je dire) à Salam. Ex-æquo. Elles s’y prennent aussi bien l’une que l’autre. C’est un jeu qui se met en place entre les deux coquines. Elles s’échangent mon sexe et s’en amusent. Elles me pompent sans s’occuper de moi. Encore une fois, j’ai l’impression d’être un sex-toy.
— Tu l’as eu dans le cul ? Demande Isa.
— Non, j’n’ ai pas eu cet honneur.
— Et tu aimerais ?- Il est un peu trop gros pour p’tit cul !
— mais non, bien préparé, il l’acceptera sans problème.
Isa se lève et invite Salam à en faire de même. La différence de taille met le visage d’Isa devant la poitrine de Salam. Sans hésiter, elle lui gobe un téton et d’une main, lui pince l’autre. Son autre main n’est pas inactive, elle lui caresse fiévreusement la moule. Salam semble apprécier ce traitement, elle a les yeux fermés, la bouche ouverte. Sa respiration s’accélère.
— Je vais te préparer. Viens, mets-toi là. Lui dit-elle en montrant le matelas.
Une fois installé, Isa s’agenouille devant ce joli postérieur noir. Elle commence par caresser les deux globes, à les écarter. Elles me regardent et me sourient. Isa approche son visage et commence un anulingus torride. Elle joue avec le sphincter de Salam. Bientôt, un puis deux doigts se sont joints à ce jeu érotique. Salam souffle et ferme les yeux. Isa s’amuse à masser l’intérieur du séant de la belle black.
— Viens, Hervé, elle est prête… Je n’ai pas dus trop forcé, tu vas te régaler.Je me positionne et c’est Isa qui guide ma verge vers le petit trou de Salam. Je pousse légèrement et mon gland est aspiré. Voyant que ça rentre facile, je pénètre son fion à fond.
— ARGH, HUM, elle est grosse mais c’est bon… Vas-y, défonce-moi…
— Tu vas ramasser, ma grande…
Je la pistonne comme un fou. Isa, assise à coté de nous, se touche. Elle a les yeux rivés sur mon membre. Que c’est beau un cul de négresse perforé par un pieu de blanc. Je sors à chaque fois et rentre à fond, brutalement. Salam hurle mais elle apprécie. Elle bouge son cul pour venir elle-même sur ma queue. Je ne bouge plus et c’est elle qui s’empale. Elle se bloque et jouit. Je ne compte pas en rester là. Je lui assène de violents coups de reins. Elle s’effondre mais laisse son cul bien haut. Isa s’approche du visage de mon enculée et l’embrasse. Je me sens venir. Mes couilles se vident dans de puissants jets. Je remplis son conduit anal, le trop plein est expulsé à chaque coup de queue.
— ARGH, PREND CA, OUI…. Je stoppe en restant au plus profond de son fondement. Isa s’approche et m’embrasse. Salam me regarde par-dessus son épaule.
— Putain, tu m’as mis mon compte. Dur de m’asseoir après ça… Ouf…
— Hihihi…. Ricane Isa.
— Tu voulais de la queue, je t’en ai donné.
— Oui, trop bon… Argh !!!
Je me retire. Elle grimace au passage de mon gland qui se libère dans un gros « PLOP ». On éclate de rire.
Isa aide Salam à se relever.Elles s’asseyent cote à cote. Isa admire le corps de sa voisine. Elle lui caresse le dos, les fesses. Salam la regarde tendrement, elle lui sourit. Je me sers du champagne et en propose aux filles, ce qu’elles acceptent. Nous parlons de la vie de Salam. Nous apprenons qu’elle est arrivée en France à l’âge très jeune et élevée par son colonel de père. Gâtée-pourrie par celui-ci, il lui cédait à tous ses caprices. Elle avait fait des études poussées en chimie et elle travaille pour une société de cosmétiques. Elle nous avoue qu’elle était retournée au Tchad mais la misère et les conditions de vie l’ont considérablement affecté. Elle était rentée peinée et bouleversée. Mais cela n’est plus qu’un souvenir. Elle se consacre à son boulot et à son plaisir.
Son intromission dans le monde libertin était le fait de sa marraine, Nat. Elle est son mari pratiquant le nudisme, ils l’avaient emmené au Cap d’Agde. C’est là que tout a commencé. Elle est toujours à la recherche du prince charmant qui acceptera sa « déviance ».
On discute ainsi jusqu’à 23h00 tout en sirotant nos verres qui s’enchaînent les uns après les autres. Nat, complètement nue, nous demande si on veut rester ici ou si l’on compte partir. Salam répond pour nous, elle nous invite dans son immense villa, elle ne veut pas rester seule ce soir.