On part tous les trois, laissant Vanessa et Salam en tête à tête qui, me semble-t-il, va être torride.On arrive devant le cabanon de Vanessa. Lili nous ouvre l’appartement de Vanessa et nous demande si on veut une coupe de champagne. Sans attendre notre réponse, elle nous sert et nous fait asseoir sur le clic-clac. Elle s’assied sur un pouf face à nous, dans la même position que tout à l’heure, c’est-à-dire jambes écartées.
— Je vais vous conter mon aventure parisienne. On est parti après avoir passé deux jours ici à me faire baiser, dilater par la machine de Madame Vanessa. Dit-elle avec un petit sourire. On est allez chez une « copine » à elle. Là j’y ai vécu comme une princesse la journée. On a fait le tour des boutiques, des pierceurs. Le soir, par contre, je devenais leur pute. Elles me maquillaient outrageusement, m’habillaient de la même manière que je suis vêtu là. Ensuite elles m’emmenaient dans des clubs libertins à caractère SM soft. Je devenais leur objet, leur chose pour des parties de baise intense. J’ai même participé à un gang-bang, comme autre fois. J’étais, je suis libérée. Mon chéri, pardon de t’avoir lâchement oublié. Je m’en excuse et je compte bien me rattraper. Voilà tout ce que vous devez savoir sur notre escapade. Je vous aime tous les deux. Finit-t-elle.
— Je t’aime ma chérie et sache qu’Isa aussi. Elle me l’a avoué. Viens entre nous deux…
Elle se lève et nous rejoint et c’est un fabuleux balai à trois langues qui démarre. Nos mains se font baladeuses. Je caresse les seins piercés de ma femme. Je joue avec les anneaux. Isa, quant à elle, s’amuse avec les cinq anneaux du bas. Isa se place entre les jambes largement ouvertes de ma femme. Elle continue à jouer avec les anneaux. Elle joue à les faire tinter entre eux, ce qui l’a fait rigoler. Moi, je joue avec ses anneaux des seins. Ma femme s’abandonne à nos caresses. Elle a la tête en arrière et les yeux fermés. Pendant une demi-heure, on s’amuse de son corps, de ses bijoux. Elle nous regarde et nous sourit.
— Venez, on change de pièce. J’ai envie de faire connaitre à Isa la jouissance obtenue avec la machine. Tu vas voir, c’est divin.
On abandonne nos verres et on pénètre dans l’antre du vice.
— Tu préfères sur le dos ou sur le ventre ?
— Sur le ventre et ensuite sur le dos…
— Petite cochonne. Hervé, aide-moi.
Une fois Isa positionnée sur le banc, les seins bien exhibés dans le vide, on lui attache pieds et mains. Lili ajuste la mentonnière de façon qu’elle ait la tête relevée.
— Waouh, fis-je. Bandante.
-Prépare-la, fait la mouiller, je prépare la machine.
Je commence à la doigter. Elle mouille. J’en fais la remarque à Lili, qui est en train d’installer deux énormes godes sur l’appareil. Ils font tous deux 25cm de longueur par 4 de diamètre. Elle me dit de lui préparer l’anus et elle me tend un tube de vaseline. Je lui masse l’intérieur de son conduit, en n’en mettant plus que de raison. Lili approche la machine, ajuste la hauteur et l’écartement. Une fois les réglages faits, elle met en contact les deux verges au contact. Je graisse celui qui lui prendra le cul.
Ma femme s’accroupie et s’empare de la télécommande. Un bruit discret de moteur électrique se fait entendre. Le gode du bas se met à pénétrer très lentement le sexe de la suppliciée. Je peux voir la tête d’Isa qui est morte de rire. Va-t-elle le rester, ça m’étonnerai fort. Le gland disparaît et ma femme stoppe sa progression. Elle active le second et il pénètre aussi lentement, forçant sur le sphincter mais entrant comme dans du beurre (normal au vu de la quantité de vaseline introduite). Isa souffle. Ce n’est pas son premier double mais sa première avec des engins pareils. Elle remet l’autre en action et les deux godes la pénètrent sur un bon vingt centimètres.
— ARGH… C’EST GROS !!!
Je m’assieds devant Isa avec un petit fauteuil prévu à cet effet, de ce fait j’ai la bite à la bonne hauteur. Je lui fourre la bouche pendant qu’elle se prend les deux manchons en silicone. Elle est rouge pivoine. Je la laisse reprendre son souffle avant de le lui ré-enfourner ma verge. Lili accélère les vas-et-viens. Isa n’en peut déjà plus. Elle bave sur ma queue, pleure, hurle sa jouissance à chaque fois qu’elle a la bouche libre.
— PUTAIN, OUIII, TROP BON… HUM…HUM…HUM…
Je libère définitivement sa bouche, je veux l’entendre crier. Elle hurle de bonheur. Ma femme alterne les pénétrations. Une fois c’est celui du haut qui se bloque au plus profond et l’autre la lime à une vitesse plus que respectable, des fois c’est l’inverse. Isa essaie de se contorsionner mais attachée comme elle l’est, aucun mouvement n’est possible. Elle a jouissance sur jouissance. Cela fait bien quinze minutes qu’elle subit ce traitement. Laissant les godes la perforer.
Lili me tire à elle et m’entreprend en gorge profonde. Quel pied. Les hurlements d’Isa et la bouche de ma chérie ont raison de moi. J’éjacule puissamment directement dans son gosier. Même pas un haut le cur, une grimace, rien. Elle m’avale, jet après jet. Dès que ma source se tarie, elle me nettoie la bite en me regardant et avec un large sourire.
— On la libère ? M’interroge Lili.
— Je crois que oui. Elle est assommée.
Lili arrête les godes. Je détache Isa qui reste inerte sur son banc. Elle a peine à reprendre son souffle. Elle n’est plus qu’une loque, noyée de sueur.
Lili m’emmène retrouver Vanessa. En marchant vers la villa, Lili me prend la queue.
— Elle m’a manqué celle-là.
Je m’arrête et l’embrasse. Elle me masturbe lentement, tendrement. Isa, qui a repris connaissance nous rejoint en titubant. On éclate de rire. Elle nous propose une douche, ce que l’on accepte. On se dirige à la douche près de la piscine. De là, on ne peut pas voir la terrasse. On se savonne, on se touche, plutôt elles me touchent. Je rebande. Lili est derrière moi, elle me masse les couilles. Isa, elle me masse la bite. Je les regarde tour à tour. Elles ont dans leurs yeux cette lueur pleine de perversité et d’envie.
— On va les rejoindre ? Me susurre Lili.
— Oui, j’ai hâte de savoir où elles en sont. Lui répond Isa.
On se dirige vers la terrasse. Personne ! On rentre dans le salon. Elles sont là, Salam chevauchant Vanessa tout en lui fourrant sa langue dans sa bouche. Elles nous voient et rigolent ensemble. Je demande aux filles de les laisser tranquille.
On s’installe au salon extérieur et Lili nous sert du champagne. Voyant ma queue en érection, elle vient s’empaler dessus, dos à moi. Isa fait sa boudeuse. Elle me fait rire. On dirait une enfant à qui l’on aurait volé son doudou. Tranquillement, ma femme boit son verre et voyant la tête d’Isa, elle l’invite à venir la remplacer, ce qu’elle fait avec joie. Une fois Isa installée, ma femme s’assied entre nos jambes et vient gober mes couilles, lécher le sexe d’Isa.
— C’est devenue une vraie salope !!! S’exclame Isa.
— Une bonne petite salope. Tu en dis quoi Lili.
— La reine des salopes… Me répond-elle.
On rit de bon cur. On boit nos verres, Lili nous ressert. Isa est inactive. Il est vrai qu’elle a ramassé sévère. On entend Salam crier, jouir. Elle doit aussi prendre grave. On boit et picore des petits fours.
Il est vrai qu’il est déjà 17h00 et nous n’avons pas encore mangé.